Together, your Internet even better

Articles in Category: Archives Rezopole

Internet : niveaux records de trafic sur le réseau

Le vendredi, 13 mars 2020. Posté dans Archives Rezopole

Internet : niveaux records de trafic sur le réseau

Le 10 mars dernier, les échanges Internet dans le monde entier ont enregistré des pics de trafic. Deux raisons à ce niveau record : l’utilisation accrue d’Internet liée à la propagation du Coronavirus et la sortie d’un nouveau jeu Call of Duty.

 

Une des stratégies clés pour ralentir la propagation du virus est la distanciation sociale et l’évitement des foules. De nombreuses entreprises ont déjà demandé à leurs employés de travailler à domicile. Cette tendance devrait s’accentuer dans les jours à venir avec l’augmentation du nombre de cas aux États-Unis et en Europe. Parallèlement, les universités se tournent vers la prestation de cours en ligne.

Ces décisions accroissent donc leur dépendance aux réseaux de données permettant la diffusion de vidéos en continu et la collaboration. Kentik, société d’exploitation de réseaux, a déclaré qu’elle avait « constaté une augmentation d’environ 200 % des vidéoconférences pendant les heures de travail » en Amérique du Nord et en Asie.

 

Cette augmentation du trafic commercial est entrée en collision avec la sortie de “Call of Duty : Warzone” le mardi 10 mars. La sortie de ce jeu a provoqué des encombrements et des retards sur les principaux réseaux Internet, ainsi qu’un trafic record.

DE-CIX de Francfort, l’un des points d’interconnexion les plus actifs au monde, a annoncé mardi soir un nouveau pic de trafic de plus de 9,1 térabits par seconde, soit une augmentation de 800 gigabits par seconde (Gbps) par rapport à il y a deux semaines.

« Que ce soit pour échanger des informations, diffuser des films en streaming, jouer à des jeux en ligne, ou la situation exceptionnelle que vivent actuellement les gens avec le virus COVID-19, l’utilisation d’Internet joue un rôle de plus en plus important », a déclaré le Dr Thomas King, directeur de la technologie du DE-CIX.

 

L’utilisation d’Internet va probablement encore augmenter dans les jours à venir, car de plus en plus d’entreprises adoptent le télétravail et les systèmes scolaires commencent à proposer des cours en ligne.

« Alors que le monde fait face à l’incertitude, l’économie numérique continue de permettre à l’économie mondiale de continuer à évoluer. […] Le télétravail par vidéoconférence sur des applications telles que Zoom, Microsoft Teams, Cisco et Slack sont des exemples clés de nos clients qui aident les plus grandes entreprises mondiales à permettre et à mener des activités commerciales » a déclaré Marc Ganzi, PDG de Digital Bridge, qui fait partie de Colony Capital d’entreprises d’infrastructures numériques, comprenant les opérateurs de fibre, de tours de téléphonie cellulaire et de centres de données DataBank et Vantage.

 

 

 

 Lire l'article

 

Source : Data Center Frontier

 

 

 

 

Aperezo #63 : reporté

Le vendredi, 13 mars 2020. Posté dans Archives Rezopole

Aperezo #63 : reporté

En raison du trop grand nombre d’incertitudes liées à la pandémie du Coronavirus / COVID-19 et par mesure de prévention, Rezopole a pris la décision de reporter l'Aperezo du 18 mars prochain. La protection de toutes les parties prenantes restant notre priorité.

 

La date de report vous sera communiquée dès que possible.

Vous remerciant pour votre compréhension et en espérant vous retrouver très bientôt.

 

 

Le service Communication

Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

+33 4 27 46 00 53

 

 

 

 

Orange & Free : mutualisation des réseaux mobiles

Le vendredi, 06 mars 2020. Posté dans Archives Rezopole

Orange & Free : mutualisation des réseaux mobiles

D’une durée d’au moins cinq ans, ce partenariat entre Orange et Free – appelé “accord de mutualisation passive” – vise à partager et à construire ensemble des pylônes de téléphonie mobile dans les territoires ruraux. En clair, les opérateurs partageraient des pylônes et leurs coûts d’exploitation mais chacun y grefferait ses propres équipements radios. Les territoires concernés se situent dans une zone dite “de déploiement prioritaire” (ou ZDP), c’est-à-dire les territoires ruraux où la couverture mobile est mauvaise ou insuffisante.

 

En général, ce type d’accord permet aux opérateurs de baisser significativement leurs coûts pour couvrir des zones peu peuplées et donc peu rentables. Néanmoins, l’enjeu ici est un peu différent pour Orange.

Aujourd’hui, tout opérateur souhaitant déployer un nouveau pylône dans la ZDP est confronté à une “obligation de consultation préalable”. Il doit prévenir ses rivaux pour savoir s’ils sont intéressés par une mutualisation du site. Une obligation apparue en janvier 2018 lors du New Deal afin d’en finir avec les zones “blanches” et “grises”. Mais à l’époque, cette disposition était inacceptable pour Orange estimant qu’elle ruinait tous ces efforts de différenciation en ZDP.

 

L'Arcep a alors revu sa copie et a proposé que si un opérateur faisait à un de ses rivaux une offre de mutualisation passive en ZDP jugée raisonnable, alors l’obligation de consultation préalable pourrait sauter. Orange a donc demandé au régulateur de lever cette obligation. Free a fait la même demande, mais uniquement pour les sites qui seraient co-construits avec Orange. De son côté, l’Arcep a lancé une consultation publique pour recueillir l’avis du secteur à ce sujet mais aussi concernant une possible disparition, pour tous les acteurs, de cette obligation.

 

La question de la mutualisation des infrastructures mobiles est devenue éminemment stratégique pour les opérateurs avec l’arrivée de la 5G l’été prochain. SFR et Bouygues Telecom partagent depuis longtemps une grande part de leurs infrastructures mobiles dans les zones moins denses. Un accord similaire entre Orange et Free leur permettrait d’être plus compétitif. C’est particulièrement vrai pour l’opérateur de Xavier Niel contraint de faire davantage d’efforts pour améliorer sa couverture nationale.

 

 

 

 Lire l'article

 

Source : La Tribune

 

 

 

 

Recours rejetés contre l’attribution des fréquences 5G

Le vendredi, 06 mars 2020. Posté dans Archives Rezopole

Recours rejetés contre l’attribution des fréquences 5G

Les recours formés par Priartem et Agir pour l’environnement viennent d’être rejetés par le Conseil d’État. Le juge administratif estime que le caractère d’urgence n’est pas rempli et se prononcera sur le fond de l’affaire au cours de l’été 2020.

 

Quatre recours avaient été déposés mi-février 2020 dans lesquels les deux associations demandaient la suspension immédiate du décret fixant les conditions d’attribution des fréquences 5G et de l’arrêté organisant la procédure d’appel d’offre. Elles critiquaient l’absence d’évaluation environnementale préalable au déploiement et ses conséquences environnementales et sanitaires.

 

L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) a fait des critiques similaires dans son rapport préliminaire publié fin février 2020. Elle expliquait regretter le manque de données statistiques sur les effets sanitaires de l’exposition à certaines fréquences utilisées par la 5G.

 

 

 

 Lire l'article

 

Source : L'Usine Digitale

 

 

 

 

Aperezo #63 : ouverture des inscriptions

Le mercredi, 04 mars 2020. Posté dans Archives Rezopole

Aperezo #63 : ouverture des inscriptions

Adista et Rezopole ont le plaisir de vous convier à la 63ème édition de l’Aperezo.

Rendez-vous le mercredi 18 mars à l'Avenue 45, à partir de 18h30.


 Attention : le nombre de places étant limité, l'inscription est OBLIGATOIRE.

Pour des raisons d'organisation et de sécurité, toute personne non munie de sa confirmation nominative d'inscription * se verra refuser l'accès à l’événement.


* Confirmation nominative transmise ultérieurement par courriel

 

 

Je m'inscris

 

En vous inscrivant, vous acceptez, si vous apparaissez sur les photos prises lors de l'événement, que celles-ci soient publiées sur notre site, les réseaux sociaux et le site de notre partenaire.

 

 

 
À propos de notre sponsor

 

La force d’Adista réside dans sa capacité à associer les savoir-faire d’hébergeur, d’opérateur de télécommunications, de spécialiste de l’informatique d'entreprise. Adista est certifié ISO27001, compte 31 agences et 500 collaborateurs.

Son offre couvre 4 univers : Connectivity, Modern Workplace, IT as a Service, Digital Factory, avec les Services Managés associés :

  • VPN MPLS et SDWAN, technologies fibre, 4G, satellite …
  • Téléphonie IP convergente fixe/mobile, Microsoft Teams/O365
  • Hébergement, infogérance, 5 datacenters en propre et cloud public, cybersécurité
  • Développement Applicatif

 

 

 

 

5G : les 4 grands opérateurs dans les starting-blocks

Le jeudi, 27 février 2020. Posté dans Archives Rezopole

5G : les 4 grands opérateurs dans les starting-blocks

Les noms des opérateurs qui participeront à l’attribution des premières fréquences dédiées à la 5G ont été dévoilés par l'Arcep ce 26 février. Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free se sont donc portés candidats. Les quatre grands opérateurs nationaux vont s’affronter lors d’enchères, qui doivent débuter mi-avril, pour récupérer un maximum de fréquences. Et l’enjeu est de taille : ceux qui remporteront le plus de spectre pourront proposer un meilleur service que les autres.

 

Pour l'Arcep, le fait que les quatre grands opérateurs aient répondu présent est une satisfaction. Pour le président de l’institution, Sébastien Soriano, cela prouve que les conditions de cette vente « sont raisonnables ». Même si certains opérateurs ont hurlé le contraire ces derniers mois estimant que le gouvernement se montrait financièrement trop gourmand. Ils jugeaient également que ce spectre était assorti d’obligations de couverture du territoire – en particulier des zones rurales, bien moins rentables que les villes – trop importantes et coûteuses.

 

Aucun autre acteur des télécoms ne s’est porté candidat pour la 5G y compris les grands MVNO. Idem pour les industriels de différents secteurs. Il faut dire que l’attribution oblige à acheter un minimum de 40 MHz de fréquences. Cette mesure, qui vise « à éviter la fragmentation du spectre » explique Sébastien Soriano, a de facto « mis la barre un peu haut » pour les industriels.

 

Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free, sous réserve qu’ils se plient bien aux engagements demandés, devraient chacun récupérer un bloc de 50 MHz au prix fixe de 350 millions d’euros. Suivra une bataille pour les 110 MHz restants, qui seront mis aux enchères par blocs de 10 MHz, mais aucun opérateur ne pourra décrocher plus de 100 MHz de spectre au total.

 

L'Arcep doit déterminer dans les prochaines semaines la manière dont les enchères se dérouleront. Plusieurs modalités restent encore à régler.

À noter que pendant les enchères, les opérateurs n’auront pas le droit de discuter entre eux et de s’entendre sur certaines stratégies communes, ce qui fausserait la concurrence. Si rien ne vient bousculer l’agenda, le régulateur table sur une attribution des fréquences au mois de juin. Les opérateurs pourront alors débuter le déploiement de la 5G au début de l’été, courant juillet.

 

 

 

 Lire l'article

 

Source : La Tribune

 

 

 

 

Les noces à un milliard de Cellnex et Bouygues Telecom

Le jeudi, 27 février 2020. Posté dans Archives Rezopole

Les noces à un milliard de Cellnex et Bouygues Telecom

Le partenariat entre le géant européen du pylône telco et Bouygues Telecom se renforce encore avec la création d’une coentreprise (détenue à 51 % par Cellnex et à 49 % par Bouygues Telecom). Ce nouvel accord porte sur le déploiement et l’exploitation du réseau de fibre optique de l’opérateur en France, pour un investissement chiffré, à l’horizon 2027, à un milliard d’euros.

 

Grâce à cette somme, Cellnex pourra déployer un réseau de 31 500 km reliant les toits et pylônes télécom qu’opère Bouygues Telecom au réseau de “metropolitan offices” destinés à héberger des centres de traitement de données.

De quoi donner naissance à « un véritable anneau de fibre optique reliant plusieurs éléments clés de l’écosystème fixe et mobile, qui vont des pylônes raccordés à la fibre, aux small cells en passant par les centres de traitement de données », s’est réjoui Tobias Martinez, directeur général de Cellnex.

Placé dans le cadre d’une joint-venture créée entre les deux sociétés, l’accord portera également sur le déploiement de 90 nouveaux “metropolitan offices” d’ici 2027.

 

En France depuis 2016 via sa branche locale, le groupe compte aujourd’hui 130 collaborateurs chargés de la gestion d’un patrimoine de 9 192 sites mobiles répartis dans tout le pays. Une croissance rapide conduisant aujourd’hui Cellnex France à tutoyer les deux autres champions du secteur, Hivory et TDF.

Ce qui illustre bien les fortes ambitions du groupe en France et en Europe, alors qu’il a dégagé en 2019 – et pour la première fois – 51 % de son chiffre d’affaires et 60 % de son ebitda hors d’Espagne.

Une stratégie portée par un investissement conséquent de l’ogre espagnol en France. Depuis la création de sa branche locale, celui-ci a injecté pas moins de 4,3 milliards d’euros dans l’Hexagone. De quoi le faire passer au rang de premier investisseur espagnol et l’élever au statut d’acteur de référence des infrastructures mobiles.

Rappelons que Cellnex France a également mis la main sur 5 700 sites passifs de Free via l’acquisition de 70 % de la TowerCo d’Iliad.

 

Une stratégie donc payante puisque 67,5 % des revenus de Cellnex sont désormais tirés des services d’infrastructures aux opérateurs mobiles. Le géant espagnol a annoncé avoir dépassé le cap du milliard d’euros de revenus en 2019 avec aujourd’hui 36 471 sites opérationnels en Europe.

En effet, le groupe a enregistré un chiffre d’affaires global en hausse de 15 % sur l’année ainsi qu’un Ebitda en hausse de 16 % par rapport à l’exercice précédent. Et avec un carnet de commande qui atteint aujourd’hui 44 milliards d’euros, cela ne devrait pas s’arrêter.

 

Des performances qui doivent beaucoup à un investissement hors-norme de la part de l’ogre espagnol. Celui-ci a injecté pas moins de 8 milliards d’euros en opérations de croissance en 2019.

« 2019 aura sans aucun doute été une année de transformation avec un bond prodigieux en termes de taille et un saut qualitatif dans le renforcement de la position du groupe sur ses marchés clés, ainsi qu’une expansion de notre présence géographique en Europe », s’est réjoui le président du groupe Franco Bernabè.

 

 

 

 Lire l'article

 

Source : ZDNet

 

 

 

 

Inscrivez-vous à l'IXPloration #25 !

Le mercredi, 26 février 2020. Posté dans Archives Rezopole

Inscrivez-vous à l'IXPloration #25 !

Rezopole a le plaisir de vous inviter le jeudi 19 mars à la prochaine IXPloration organisée dans ses locaux au 16 rue de la Thibaudière, 69007 Lyon.

 

Cet événement entièrement gratuit sera l'occasion pour vous de découvrir LyonIX, l'IXP / NAP de Lyon.

 

Ainsi seront détaillés lors de cette matinale :

- la partie IXP qui apporte une amélioration des échanges Internet entre les utilisateurs d’un territoire, une baisse des coûts Télécom, ainsi qu'une sécurisation et optimisation du réseau grâce aux routes multiples proposées.

- la partie NAP qui propose aux membres connectés un accès direct aux opérateurs présents et à leurs offres. On y achète ou vend tout type de service Télécom avec une grande flexibilité.

 

Au programme

9h00 – 9h30 : Accueil autour d'un café

9h30 – 10h30 : Présentation de LyonIX :

                         - Avantages économiques et techniques

                         - Solutions de raccordement

                         - Questions et réponses

10h30 – 11h30 : Visite d'un Point de présence LyonIX

 

 

Je m'inscris

 

 

 

 

Participez au workshop BGP !

Le mardi, 25 février 2020. Posté dans Archives Rezopole

Participez au workshop BGP !

Rezopole propose deux jours de formation les 24 et 25 mars prochains afin de vous apporter les bases du routage BGP et de vous guider vers l’autonomie. Le protocole BGP, fondateur d’Internet, est nécessaire pour s’interconnecter à un IXP.

Mêlant cours théoriques et travaux pratiques, cet atelier vous permet d’aborder de manière progressive et complète les différents aspects du BGP comme le peering et l’utilisation de Route Server. Dès le 1er jour, vous mettez en place votre première session.

Vous découvrirez aussi le fonctionnement et la configuration du protocole sur différents équipements tels que Bird, Cisco, Mikrotik, Quagga et les techniques pour annoncer et filtrer les réseaux tant en IPv4 qu’en IPv6

Vous saurez ainsi prendre en main et contrôler votre réseau IP Public. Vous gagnerez en fiabilité, indépendance et réactivité vis-à-vis des fournisseurs de transit.

  

Tarif : 1000 € HT/participant pour 2 jours (déjeuners inclus).

Cette formation est susceptible d'être prise en charge par votre OPCO (numéro d’activité de Rezopole : 84691581469).

 

Vous souhaitez participer ? Demandez un devis ici.

Clôture des inscriptions le 17 mars 2020.

 

Programme

 

    • Rappels IP/AS/Routage
    • Détails du protocole BGP
    • Différence IGP / EGP
    • Prise en main de l'environnement de TP (frr)
    • Configuration premières sessions, FULL Table
    • Sessions de peering multiples
    • Filtrage : Prefix-list et Route-map
    • Debugs d'annonces, filtrages, boucles
    • Outils de diagnostics
    • Filtrage : AS-PATH et Route-map
    • Les communautés BGP
    • Exemples d’utilisation pour LyonIX
    • Traffic Shaping : AS-PATH prepend et désagrégation
    • Fine BGP Tuning : Convergence rapide et détection de PATHs sub-optimal / Perte de paquets
    • Déclarations de routes RIPE / RPSL / RPKI / Peering DB et filtrages associés
    • Best Current Practices de configuration switch / routeur
    • Différences entre V4 et V6 ! Pour mettre en place V6 et continuer à assurer V4.                        

 

 

 

 

Télécharger la plaquette BGP

 

 

 

 

Câbles sous-marins : Orange et Telxius s’associent

Le jeudi, 20 février 2020. Posté dans Archives Rezopole

Câbles sous-marins : Orange et Telxius s’associent

Le 18 février, Orange et Telxius, une filiale de l’opérateur historique espagnol Telefonica, ont annoncé leur association en vue de la mise en service d’un nouveau câble sous-marin transatlantique. Appartenant à Google, le câble ‘Dunant’ reliera courant 2020 la France aux États-Unis. Orange disposera de deux paires de fibre et Telxius d’une seule sur les douze que compte le câble.

 

Ils « offriront et exploiteront des services de colocalisation dans leurs stations d’atterrissement respectives », à Saint-Hilaire-de-Riez (côte ouest de la France) et à Virigina Beach (côte est des États-Unis), précisent les deux groupes dans un communiqué commun. Telxius fournira à Orange par une liaison de sa station d’atterrissement à Ashburn, en Virginie. En retour, Telxius bénéficiera des liaisons d’Orange vers Paris et les principales villes de l’Hexagone.

Avec cet accord Orange disposera de davantage de capacité entre l’Europe et les États-Unis. Il s’agit pour l’opérateur historique d’un impératif pour faire face à l’explosion du trafic de données entre le Vieux Continent et le pays de l’Oncle Sam. Pour le leader français des télécoms, Dunant constitue un investissement conséquent s’élevant à plusieurs dizaines de millions d’euros.

 

Dans le cadre de cette entreprise, Orange collabore aussi avec Google afin de lui fournir des liaisons en fibre optique terrestres en France. Ce qui permet au géant de Mountain View de connecter ses data centers des deux côtés de l’Atlantique. Ces dernières années, il a investi dans une dizaine de ces artères reposant au fond des mers, et si essentielles au bon fonctionnement d’Internet.

 

 

 

 

 Lire l'article

 

Source : La Tribune

 

 

 

 

Iliad confirme le choix de Nokia pour sa 5G

Le jeudi, 20 février 2020. Posté dans Archives Rezopole

Iliad confirme le choix de Nokia pour sa 5G

Comme pressenti en septembre dernier, Iliad a confirmé son choix de se tourner vers Nokia pour son infrastructure télécom 5G. Au total, 17 millions d’abonnés, en France et en Italie, sont potentiellement concernés pour basculer le moment venu sur cette technologie mobile de dernière génération.

 

« Le groupe Iliad installera la toute dernière technologie d’accès radio de Nokia, AirScale, ce qui lui permettra de tirer parti des premiers réseaux 5G tout en prenant en charge la 4G / LTE et la 5G dans le même système d’accès radio », indique l’équipementier finlandais.

Cette technologie prend en charge différentes topologies réseau, du RAN distribué, centralisé et cloud. L’équipementier met en avant sa rapidité et facilité d’installation et des gains énergétiques de 60 % ainsi qu’une rétrocompatibilité avec ses contrôleurs de station de base Flexi.

 

Outre Iliad, Orange a également choisi Nokia – aux côtés d'Ericsson – pour le déploiement de son réseau 5G. Avec en particulier sa technologie Single RAN couplée à des outils d’automatisation et de gestion réseau ainsi que des services professionnels associés dans les régions.

 

 

 

 Lire l'article

 

Source : Le Monde Informatique

 

 

 

 

La Chine demande ne pas discriminer Huawei

Le jeudi, 13 février 2020. Posté dans Archives Rezopole

La Chine demande ne pas discriminer Huawei

Le déploiement de la 5G est devenu un enjeu géopolitique international. Et le porte-parole de l’ambassade de Chine en France s’inquiète de « reportages récents dans plusieurs médias français selon lesquels les autorités compétentes françaises envisageraient de prendre des mesures restrictives contre Huawei dans le déploiement de la 5G en France ».

Il rappelle, dans ce communiqué, que le président français ainsi que de hauts responsables ont affirmé qu’en matière de 5G, « la France ne prendrait pas de mesures discriminatoires contre un pays ou une entreprise spécifique, ni n’exclurait pas Huawei ».

 

Ces craintes d’espionnage sont infondées pour la Chine. « En réalité, les équipements 5G de Huawei sont totalement fiables et n’ont jamais présenté aucun risque technique ou sécuritaire, ni laissé aucune ‘porte dérobée’ », dit le porte-parole.

La Chine dit compter sur la France « pour prendre des actions concrètes et créer un environnement d’affaires ouvert, transparent et non discriminatoire à l’égard des entreprises de tous les pays, y compris de la Chine ».

 

Vendredi dernier, Orange a annoncé avoir sélectionné les groupes européens Nokia et Ericsson comme équipementiers pour le déploiement d’un réseau mobile de 5ᵉ génération en France métropolitaine.

Au sein du secteur français des Télécoms, le sentiment qui prévaut au est que les autorités françaises souhaitent bannir Huawei du marché de la 5G mais ne le diront pas publiquement.

De son côté, la Commission européenne a publié ses directives en refusant d’exclure le groupe chinois, tout en autorisant les pays membres à interdire les équipementiers qu’ils jugeraient à ‘haut risque’.

Plusieurs opérateurs disent redouter que l’exclusion de Huawei entraîne des retards et surcoûts dans le déploiement de la 5G.

 

 

 

 Lire l'article

 

Source : Challenges

 

 

 

 

L’Auvergne couverte en très haut débit fin 2020

Le jeudi, 13 février 2020. Posté dans Archives Rezopole

L’Auvergne couverte en très haut débit fin 2020

Un nouveau contrat entre la Région, les 4 départements auvergnats et Orange, signé il y a 10 mois, prévoit une couverture haut débit de l’ensemble de l’Auvergne d’ici fin 2020. Tout laisse penser que cet objectif sera atteint tout comme celui de rendre éligible à la fibre 91 % de la population auvergnate d’ici fin 2022.

 

Afin de financer l’équipement des zones rurales, la Région Auvergne et les 4 départements avaient créé un Réseau d’Initiative Public (RIP). L’an passé, Laurent Wauquiez a renégocié la phase 3 du RIP, obtenant que l’opérateur national fasse « mieux (800 communes au lieu de 400), plus vite (2022 au lieu de 2025) et pour moins cher (137 millions économisés) ».

 

Un comité de suivi a ensuite été créé pour s’assurer qu’Orange respecte son engagement. Il s’est réuni le 7 février dernier pour la deuxième fois. Jérôme Barré, responsable des marchés de gros chez Orange, a ainsi déclaré sans détour « En 2019, on a fait le grand chelem ».

En chiffres : 50 % de prises raccordées supplémentaires en 2019 par rapport en 2018, 166 000 clients déjà raccordables, 48 000 clients raccordés, soit un taux de pénétration de 28 %.

 

Depuis juillet 2019, les foyers raccordés ont le choix avec un autre opérateur, Free. Jérôme Barré a également annoncé que l’ensemble de l’offre (avec SFR et Bouygues) sera accessible en 2021. Et ce sera une première pour un RIP.

Du côté des entreprises, Orange s’engage à « mettre de la fibre partout ». Une offre à 250 € leur est proposée, alors que les précédents tarifs étaient prohibitifs, a rappelé Laurent Wauquiez.

 

 

 

 Lire l'article

 

Source : La Montagne

 

 

 

 

5G : plus d’antennes pour couvrir l'Hexagone

Le vendredi, 07 février 2020. Posté dans Archives Rezopole

5G : plus d’antennes pour couvrir l'Hexagone

Publiée le 4 février, une étude du cabinet Tactis montre que dans les zones péri-urbaines, il faudra environ 30 % de sites supplémentaires pour offrir un niveau de service 5G équivalent à celui de la 4G. Notamment dans les territoires ruraux, où deux fois plus de sites seront nécessaires pour disposer d’une couverture équivalente, et jusqu’à trois fois plus pour délivrer un service haut débit.

 

Pour arriver à ces estimations, les experts de Tactis ont simulé la couverture 4G dans plusieurs zones péri-urbaines et rurales à partir des sites d’antennes mobiles existants. Ils ont ensuite simulé ce que serait la couverture 5G en se basant sur ces mêmes sites. Dans ses projections, Tactis n’utilise que la bande de fréquences 3,5 GHz. Mais le constat est sans appel : la couverture est à chaque fois bien moindre en 5G qu’en 4G.

 

Pourquoi de telles différences ? Parce que les fréquences utilisées pour fournir la 5G ne seront pas les mêmes que pour la 4G, et elles n’ont pas les mêmes caractéristiques. « Les déploiements 4G actuels utilisent notamment des fréquences basses, qui portent loin, tandis que les fréquences hautes qui seront utilisées pour les déploiements 5G, dans la bande des 3,5 GHz, offrent beaucoup de débit mais portent bien moins loin », explique Julien Renard, expert radio chez Tactis. Toutefois, les simulations de Tactis ne comprennent pas la bande de fréquences 700 MHz alors que ces fréquences sont basses et permettent de couvrir beaucoup mieux les territoires. Pour expliquer ce choix, Julien Renard précise que la bande des 700 MHz ne permettra pas de bénéficier « de toutes les promesses de la 5G ». Impossible, affirme-t-il, d’offrir un vrai service haut débit avec ces fréquences.

 

La densification des réseaux 5G dans les cœurs de villes et les zones les plus urbanisées, généralement très rentables pour les opérateurs, sera certainement une priorité pour les Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free. En revanche, le cabinet s’interroge pour les territoires péri-urbains et les zones rurales, moins rentables. Pour acquérir des fréquences 3,5 GHz, les opérateurs devront s’engager à ce que, en 2024 et 2025, 25 % du nombre de sites 5G déployés se situent en zone rurale. Mais ils n’ont pour autant aucunement l’obligation d’y déployer de nouveaux sites. Ce qui sera pourtant un impératif pour offrir une couverture 5G de qualité, d’après Tactis.

 

Le risque ? Une nouvelle fracture numérique entre les villes et les campagnes. Ces dernières pourraient se retrouver, durablement, avec des réseaux 5G inexistants ou de piètre qualité. Pour densifier davantage les réseaux, la solution pourrait venir d’une plus forte mutualisation des infrastructures mobiles.

Les opérateurs y songent déjà. Dans un entretien aux Echos, Stéphane Richard, PDG d’Orange, a jugé que « la question d’une mutualisation poussée se pose. […] Orange a signé (des accords en ce sens) en Espagne, en Pologne ou en Belgique. En France, certains de nos concurrents partagent déjà largement leurs réseaux ; nous y réfléchissons également ». Les grandes manœuvres pourraient commencer dès cette année, lorsque les fréquences 5G auront été attribuées.

 

 

 

 Lire l'article

 

Source : La Tribune

 

 

 

 

Les professionnels du logiciel libre s’associent en Europe

Le vendredi, 07 février 2020. Posté dans Archives Rezopole

Les professionnels du logiciel libre s’associent en Europe

Le 31 janvier dernier, le CNLL, l’OSBalliance et le Cossfi ont jeté les bases d’une nouvelle structure : APELL (Association Professionnelle Européenne du Logiciel Libre). « L’idée est de créer une association chapeau pour porter la voix des entreprises du logiciel libre en Europe au sens large » explique Stéphane Fermigier, co-président du CNLL.

Une structure relativement légère qui comprend des membres, des membres de soutien (comme l’Open Forum Europe ou OW2) et des membres associés. L’association sera basée à Bruxelles et inscrite au registre des lobbies auprès des institutions européennes.

 

Deux déclencheurs ont été à l’origine de cette création. « Le premier a été la directive sur le droit d’auteur et son impact sur le développement du logiciel libre, la bataille sur les forges. Nous avons clairement vu qu’il était nécessaire d’avoir la voix des entreprises du logiciel libre », observe Stéphane Fermigier. « Le second déclencheur est la structuration des associations pour répondre à des dossiers européens, de collaborer sur des projets d’ordre commerciaux, d’avoir une R&D collaborative », poursuit-il.

 

Cette initiative s’inscrit aussi à un moment où la Commission européenne communique beaucoup autour de l’open source et 2020 devrait être une année importante dans ce domaine. « Une grande étude est lancée sur l’open source à Bruxelles et un grand événement de restitution doit avoir lieu en 2021 », souligne Stéphane Fermigier. Et d’évoquer d’autres éléments comme les recommandations sur les bonnes pratiques en matière de logiciel libre, les politiques de soutien à l’innovation ou encore les travaux sur l’éthique et la souveraineté numérique.

 

 

 

 

 Lire l'article

 

Source : Le Monde Informatique

 

 

 

 

FaLang translation system by Faboba