Together, your Internet even better

Articles in Category: Archives Rezopole

Salle comble pour l’Aperezo #62

Le lundi, 03 février 2020. Posté dans Archives Rezopole

Salle comble pour l’Aperezo #62

Plus de 100 professionnels se sont retrouvés au Hard Rock Café Lyon pour découvrir l’AOTA.

Missions principales de l’Association des Opérateurs Télécoms Alternatifs : représentation, défense et assistance aux Opérateurs Commerciaux d’Envergure Régionale.

 

Retrouvez les photos de l’événement en cliquant ici.

 

 

 

 

 

Photographe : Marine-Agathe GONARD / AGATHE PHOTOS

 

 

 

 

L’UE dégaine son plan d’action pour sécuriser la 5G

Le vendredi, 31 janvier 2020. Posté dans Archives Rezopole

L’UE dégaine son plan d’action pour sécuriser la 5G

L’Union européenne vient de publier une salve de mesures – boite à outils dans le jargon de l’UE – pour permettre à ses membres d’atténuer les risques cyber. « Conformément au rapport coordonné d’évaluation des risques de l’UE, les mesures concernent la sécurité des parties prenantes de l’écosystème 5G, qui sont principalement des opérateurs de réseaux mobiles et leurs fournisseurs, en particulier les fabricants d’équipements de télécommunications », peut-on lire dans un rapport.

 

Les mesures énoncées par l’Union se répartissent en deux catégories : stratégiques et techniques, complétées par des actions de support ciblées. Chacune de ses mesures est associée à un niveau de risque adossé à des facteurs de mise en œuvre positifs ou négatifs, et le temps requis de mise en place.

Elle a ainsi identifié 8 mesures stratégiques d’atténuation des risques cyber de la 5G et 11 mesures d’atténuation au niveau stratégique.

 

Par ailleurs, une feuille de route a été précisée : les États membres sont invités à prendre d’ici le 30 avril 2020 « des mesures concrètes et quantifiables pour mettre en œuvre l’ensemble de mesures clés selon les recommandations figurant dans les conclusions associées à la boîte à outils de l’UE ». Puis à élaborer avant le 30 juin 2020 « un rapport du groupe de coopération SRI sur l’état d’avancement de la mise en œuvre, dans chaque État membre, de ces mesures clés, en se fondant sur les rapports et le suivi régulier assuré notamment au sein du groupe de coopération SRI, avec l’aide de la Commission et de l’ENISA ».

 

Cette annonce intervient au moment où les 28 membres de l’Union se seraient mis d’accord pour privilégier des acteurs locaux, Nokia et Ericsson, pour les technologies cœur de réseau 5G, excluant de facto des acteurs comme Huawei. Ce qui ne signifie pas pour autant une disparition totale des équipements du fabricant chinois qui, par exemple en Angleterre, pourra les proposer pour des parties non sensibles du réseau tout en étant plafonné à hauteur de 35 % du marché de la 5G. Une perspective qui semble loin d’être d’actualité en Allemagne, où le gouvernement aurait des preuves de la connivence de Huawei avec les services de renseignement chinois…

 

 

 

 

 Lire l'article

 

Source : Le Monde Informatique

 

 

 

 

Un plan de continuation pour Kosc

Le vendredi, 31 janvier 2020. Posté dans Archives Rezopole

Un plan de continuation pour Kosc

La perspective de mettre la clé sous la porte s’éloigne un peu pour Kosc. « Un plan de continuation d’activité va être proposé par la direction de Kosc et massivement soutenu par Altitude Infrastructure », explique David El Fassy, le président de ce groupe spécialisé dans le déploiement de fibre optique en zone rurale.

L’offre sera déposée lundi sur le bureau de l’administrateur judiciaire, à qui il reviendra de choisir entre celle-ci et d’éventuels plans de cessions présentés par d’autres candidats, comme Bouygues Telecom, longtemps présenté comme un repreneur potentiel.

 

« Nous proposons de maintenir l’activité et les services rendus aux clients. Nous nous adossons à Altitude, un groupe familial extrêmement expérimenté, habitué à fournir des prestations de ‘wholesale only’. Et nous payons les passifs de l’entreprise. C’est de loin la meilleure solution », plaide Yann de Prince, le président fondateur de Kosc.

Dans le cadre du plan de continuation, les dettes d’un montant de 40 millions d’euros seraient renégociées. Et un accord serait recherché avec SFR pour solder tout litige.

 

Reste que l’entreprise brûle du cash. Les anciens actionnaires – le groupe OVH et la Caisse des Dépôts – avaient accepté de mettre 4 millions d’euros début décembre pour assurer le fonctionnement pendant la phase de redressement. L’administrateur sait que cette caisse sera bientôt vide.

Face à ce problème de trésorerie, Altitude Infrastructure promet d’investir 100 millions d’euros dans Kosc sur les cinq prochaines années. Une large part de cet apport sera faite sur fonds propres. « L’acquisition de nouveaux clients coûte cher, explique David El Fassy. L’infrastructure technique de Kosc est aujourd’hui performante et irrigue énormément d’entreprises. Le marché de Kosc est devant lui. Notre plan de marche prévoit un retour à l’équilibre opérationnel en 2022 ».

 

L’existence de ce plan de continuation devrait rassurer les salariés de Kosc, les dizaines d’opérateurs clients, les entreprises qu’eux-mêmes fournissent mais aussi les élus du Sénat et de l’Assemblée, montés au créneau ces derniers mois pour critiquer l’action de l’Autorité de la concurrence sur le marché des télécoms d’entreprise. En effet, devant l’accès très insatisfaisant des PME à la fibre optique et les prix élevés, dans un contexte de domination d’Orange et dans une moindre mesure de SFR, les parlementaires appelaient au sauvetage du modèle Kosc. Les secours sont en route.

 

 

 

 Lire l'article

 

Source : Les Echos

 

 

 

 

Fibre : la concurrence arrive dans les grandes villes

Le jeudi, 23 janvier 2020. Posté dans Archives Rezopole

Fibre : la concurrence arrive dans les grandes villes

Il y a un peu plus d’un an, Axione et le fonds Mirova ont créé CityFast. La société avait acheté les 140 000 lignes de fibre optique déployées par Bouygues Telecom dans les grandes villes. CityFast avait alors pris l’engagement de connecter 3,4 millions de foyers urbains d’ici fin 2021 et de louer cette infrastructure à l’opérateur de Martin Bouygues et à d’autres.

 

Un an plus tard, CityFast assure avoir franchi les 800 000 lignes de fibre optique déployées. Le grossiste va donc passer à la phase suivante : la commercialisation de ces tuyaux aux opérateurs intéressés. La foultitude d’opérateurs régionaux ou spécialisés sur la fourniture des TPE-PME pourra alors offrir des abonnements à la fibre optique dans les centres-villes à des tarifs très compétitifs.

 

Le président de CityFast, Eric Jammaron, explique « Aujourd’hui, c’est un marché très fermé. Un cabinet d’avocats de centre-ville, par exemple, a un choix très limité. Soit il prend un abonnement FTTH auprès d’un des grands opérateurs présents dans l’immeuble, sans garanties, soit il passe par un opérateur d’entreprise pour avoir une fibre dédiée avec une qualité de service très supérieure, mais un abonnement très cher ».

 

Le grossiste est persuadé que les petits et moyens opérateurs se presseront pour proposer de la fibre, avec ou sans garantie de temps de rétablissement, aux TPE-PME.

« Nous faisons le pari de la masse, avec des prix extrêmement agressifs, assure Eric Jammaron. Aujourd’hui, une offre ADSL pro, avec des débits très inférieurs, se vend 60 à 80 euros. La fibre pro ne descend pas en dessous de 300 euros ». CityFast vendra ses lignes FTTH avec garanties de service trois fois moins cher aux opérateurs.

Un argument qui ne convainc pas entièrement. Nicolas Aubé, patron de Celeste, est persuadé que les entreprises resteront friandes de lignes rien qu’à elles.

 

CityFast saura rapidement à quoi s’en tenir. Dès cette semaine, il ouvre à la location ses lignes de fibre dans le 7e arrondissement de Paris, puis dans les autres quartiers de la capitale, ainsi qu’à Lyon et Marseille.

 

 

 

 

 Lire l'article

 

Source : Les Echos

 

 

 

 

Huawei : lenteurs de l’administration française

Le jeudi, 23 janvier 2020. Posté dans Archives Rezopole

Huawei : lenteurs de l’administration française

À en croire plusieurs spécialistes des Télécoms, l’incertitude des opérateurs sur la possibilité ou non d’utiliser les antennes 5G de Huawei pour leurs nouveaux réseaux mobiles se renforce.

 

Pourtant la loi sur la sécurisation des réseaux mobiles (surnommée « anti-Huawei ») a clarifié les choses. En effet, les opérateurs doivent obtenir le feu vert de l'Anssi – Agence nationale de sécurité des systèmes d’information –  avant d’utiliser un équipement 5G. L’Agence dispose alors de deux mois pour étudier leurs dossiers.

Fin décembre, Orange, SFR et Bouygues Telecom ont ainsi tous les trois déposés des dossiers d’autorisation pour des déploiements d’antennes 5G chinoises sur le territoire hexagonal.

 

Seulement voilà, les cyber-experts tricolores multiplient les demandes de précision, selon plusieurs sources. « Ce n’est pas sérieux, grince-t-on chez un opérateur concerné. S’ils cherchent à gagner du temps de cette façon, c’est une erreur. Un tribunal ne leur donnerait jamais raison, la jurisprudence est très claire ».

 

Ce que redoutent les opérateurs en réalité, c’est que l'Anssi traîne délibérément les pieds pour ne pas avoir à afficher un refus d’autorisation en amont des attributions des fréquences 5G, prévues en avril. Si des équipementiers devaient être refusés aux opérateurs avant cette date, ces derniers seraient alors fragilisés et pourraient donc revoir à la baisse leurs mises pour les enchères 5G...

 

Selon le nouveau cadre légal, l’absence de réponse positive de l'Anssi dans les deux mois vaut refus. Mais ce délai court à réception d’un dossier… complet. D’où l’agacement des opérateurs devant ce qu’un acteur décrit comme « des manoeuvres dilatoires » pour différer l’échéance.

Un spécialiste du secteur indique même que « Certains opérateurs attendent impatiemment un refus implicite pour pouvoir attaquer en justice ».

 

Mais l’intérêt stratégique des quatre acteurs diffère. En effet, Free, n’utilisant que des antennes du finlandais Nokia, n’est pas concerné.

Orange n’utilise pas d’antennes Huawei en France à ce jour. Il veut toutefois avoir la possibilité de solliciter le fournisseur chinois pour son futur réseau 5G.

Quant à SFR et Bouygues Telecom, qui utilisent Huawei sur la moitié de leurs réseaux respectifs, ils tiennent absolument à pouvoir continuer de faire affaire avec le géant de Shenzhen. Se passer de ses antennes 5G nécessiterait en effet de démonter les antennes 3G et 4G pour des raisons de compatibilité. Le coût serait énorme. Il faudrait acheter et installer ces équipements. Surtout, une large partie du réseau serait perturbée pendant de longs mois, poussant les clients dans les bras de la concurrence. « Free deviendrait, sans rien faire, le deuxième meilleur réseau du pays… alors qu’il reste loin derrière » comme l’analyse un spécialiste des Télécoms.

 

 

 

 Lire l'article

 

Source : Les Echos

 

 

 

 

L’Aperezo 62 est complet !

Le vendredi, 17 janvier 2020. Posté dans Archives Rezopole

L’Aperezo 62 est complet !

Désolé pour les retardataires, mais nous clôturons aujourd’hui les inscriptions !

L’AOTA et Rezopole vous remercient pour l’intérêt que vous portez à cet événement.

 

Rendez-vous le mercredi 29 janvier à partir de 18h30

dans un lieu emblématique de la musique et du divertissement, le Hard Rock Café.

 

 

 

 

 

 

La SNCF veut vendre de la fibre aux entreprises

Le vendredi, 17 janvier 2020. Posté dans Archives Rezopole

La SNCF veut vendre de la fibre aux entreprises

À partir du second semestre, le groupe ferroviaire va vendre de la fibre aux opérateurs Télécoms régionaux s’adressant aux entreprises.

 

Sur ce marché dominé par Orange et SFR, l’arrivée de la SNCF devrait donc faire des vagues. La société dispose historiquement d’un réseau de fibre de 20 000 kilomètres qui connecte notamment ses 3 000 gares. Depuis des années, la SNCF loue déjà l’accès à son réseau à des opérateurs Télécoms régionaux trop modestes pour construire eux-mêmes de telles infrastructures. Cependant, il s’agit de fibre “noire” de très longue distance. Les opérateurs doivent installer leurs propres équipements pour la mettre en service. Cette fois-ci, la SNCF ambitionne de vendre de la fibre “activée”, c’est-à-dire prête à l’emploi.

 

Le groupe assure ne pas vouloir « disrupter » le marché mais simplement contribuer à l’aménagement numérique du territoire. Le plan Très Haut Débit doit généraliser la fibre à travers l’Hexagone d’ici à 2022, mais aujourd’hui seulement 23 % des TPE-PME y sont raccordées, selon une étude de Covage.

 

La SNCF veut proposer une offre premium avec pour objectif d’atteindre la rentabilité. « La SNCF va aller sur ce marché avec les aides de l’État. Ce projet ne va donc pas être très bien accueilli par les grands opérateurs. C’est un dossier très politique » avance un observateur.

 

Le “timing” de ce projet n’a rien d’anodin. Kosc, un opérateur de gros créé en 2016 pour bousculer le duopole Orange-SFR dans les Télécoms d’entreprises et qui louait son réseau fibre à 65 000 clients, n’a que six mois pour retrouver un repreneur. Dans ce contexte, les petits opérateurs inquiets d’être coupés du réseau Kosc pourraient se tourner… vers la SNCF.

 

 

 

 Lire l'article

 

Source : Les Echos

 

 

 

 

Belgique : Orange et Proximus bloqués par le régulateur

Le vendredi, 17 janvier 2020. Posté dans Archives Rezopole

Belgique : Orange et Proximus bloqués par le régulateur

L’accord de partage de réseau d’accès mobile entre Orange Belgique et son concurrent Proximus vient d’être suspendu par l’Autorité belge de la concurrence saisie par Telenet, le troisième opérateur mobile du marché outre-Quiévrain. Ce dernier estime que cette alliance aurait pour effet de créer un mastodonte sur le marché belge des Télécoms.

« Telenet comprend ce qui motive les opérateurs mobiles à vouloir partager leur réseau mobile, certes dans les limites de la légalité, mais se pose des questions sérieuses quant à la façon très poussée dont les deux plus grands acteurs mobiles de Belgique veulent collaborer dans le cadre d’une joint-venture », a fait savoir la direction.

D’autant qu’un « accord poussé de ce type entre Proximus et Orange Belgique a également pour effet de réduire de trois à deux le nombre d’acteurs détenteurs d’infrastructure mobile », a relevé Telenet au terme d’un argumentaire qui n’a pas laissé insensible le régulateur belge. Et qui pourrait bien intéresser les opérateurs français.

 

« Compte tenu de leur impact possible sur la concurrence, le collège de la concurrence impose à Orange et à Proximus de suspendre la mise en œuvre de l’accord entre actionnaires et de l’accord de partage RAN conclu entre eux le 22 novembre 2019, à compter de la date de réception de la présente décision et jusqu’au 16 mars 2020 », a expliqué, en fin de semaine dernière, l’Autorité belge de la concurrence.

La décision adoptée par cette dernière permet à Orange Belgique et Proximus de continuer leurs travaux préparatoires en vue de la mise en place de leur future joint-venture. En effet, la décision du régulateur belge « n’empêche pas l’envoi de RFP pour l’acquisition d’équipements de réseau et la sélection des employés à transférer, si cela ne conduit pas à la conclusion d’accords contraignants ».

 

Orange Belgique et Proximus ont toutefois tenu à défendre leur accord finalisé en novembre dernier « l’accord sur le partage du réseau mobile d’accès aura des effets positifs pour les clients et pour la société belge dans son ensemble, en particulier un déploiement plus rapide et plus étendu de la 5G, une réduction significative de la consommation énergétique globale et une amélioration totale de l’expérience mobile, tout en maintenant une solide différenciation entre les parties au niveau des services et de l’expérience client ».

 

Pour rappel, cette alliance a pour but de créer une joint-venture détenue à parts égales entre les deux opérateurs. « Bien que partageant leurs réseaux d’accès mobile, les deux entreprises conserveront le plein contrôle de leurs propres ressources de spectre et continueront à exploiter en toute indépendance leurs cœurs de réseaux afin de garantir une expérience client et de service différenciée », avaient déclaré Orange Belgique et Proximus lors de l’annonce de cet accord.

 

Le marché belge des Télécommunications mobile est actuellement animé par trois opérateurs principaux : Proximus, (44 % des parts de ce marché en 2017), suivi d’Orange Belgique (27 %) et de Telenet, (avec une part de marché comprise entre 20 et 30 %).

Depuis plusieurs mois, différentes rumeurs font état de l’entrée sur le marché belge d’un quatrième opérateur permettant ainsi d’introduire plus de concurrence sur un marché caractérisé par son faible nombre d’acteurs et des prix relativement élevés. Dans une étude publiée en 2018, le régulateur belge s’était montré lui-même favorable à l’entrée d’un quatrième opérateur mobile sur le marché, relevant que cette concurrence nouvelle permettrait de faire baisser les prix et d’améliorer l’innovation, au risque toutefois d’une baisse des investissements consentis, notamment en zone rurale.

 

 

 

 Lire l'article

 

Source : ZDNet

 

 

 

 

Inscrivez-vous à l'IXPloration #24 !

Le lundi, 13 janvier 2020. Posté dans Archives Rezopole

Inscrivez-vous à l'IXPloration #24 !

Rezopole a le plaisir de vous inviter le jeudi 30 janvier à la prochaine IXPloration organisée dans ses locaux au 16 rue de la Thibaudière, 69007 Lyon.

 

Cet événement entièrement gratuit sera l'occasion pour vous de découvrir LyonIX, l'IXP / NAP de Lyon.

 

Ainsi seront détaillés lors de cette matinale :

- la partie IXP qui apporte une amélioration des échanges Internet entre les utilisateurs d’un territoire, une baisse des coûts Télécom, ainsi qu'une sécurisation et optimisation du réseau grâce aux routes multiples proposées.

- la partie NAP qui propose aux membres connectés un accès direct aux opérateurs présents et à leurs offres. On y achète ou vend tout type de service Télécom avec une grande flexibilité.

 

Au programme

9h00 – 9h30 : Accueil autour d'un café

9h30 – 10h30 : Présentation de LyonIX :

                         - Avantages économiques et techniques

                         - Solutions de raccordement

                         - Questions et réponses

10h30 – 11h30 : Visite d'un Point de présence LyonIX

 

 

Je m'inscris

 

 

 

 

Fréquence 5G : les candidatures sont ouvertes

Le lundi, 13 janvier 2020. Posté dans Archives Rezopole

Fréquence 5G : les candidatures sont ouvertes

Cette fois, c’est parti ! Les opérateurs qui souhaitent se lancer dans la 5G peuvent désormais déposer une candidature auprès de l’Arcep afin d’obtenir des fréquences dans la bande 3,4 ‑ 3,8 GHz. Les opérateurs doivent se signaler avant 12 h le 25 février 2020.

L’autorité de régulation procédera à l’examen des dossiers de candidature et délivrera les autorisations au cours du premier semestre 2020. Il est attendu que les quatre opérateurs – Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free Mobile – soient lauréats au terme de la procédure d’attribution.

 

La ressource étant limitée, la vraie question est de savoir combien de fréquences aura chaque candidat.

Un système mixte d’attribution a été prévu : les fréquences sont scindées en lots à prix fixe et en lots à prix variable, qui sera déterminé lors d’enchères. Les lots à prix fixe contiennent chacun un bloc de 50 MHz tandis que les lots à prix variable sont constitués d’un bloc de 10 MHz. Un opérateur doit postuler pour au moins 40 MHz et n’a pas le droit d’avoir plus de 100 MHz.

Les blocs à prix fixe sont vendus 350 millions d’euros à l’unité. Quant aux autres, leur prix démarre à partir de 70 millions d’euros.

Cela étant, le gouvernement n’entend pas essorer les candidats et une certaine souplesse dans l’achat des fréquences est ainsi prévu : les blocs de 10 MHz pourront être payés sur 4 ans et les blocs de 50 MHz sur 15 ans – il s’agit de la durée d’attribution des fréquences. Celle-ci pourra être éventuellement prolongée.

 

 

 

 Lire l'article

 

Source : Numerama

 

 

 

 

OMTEL cède ses tours Télécom !

Le lundi, 13 janvier 2020. Posté dans Archives Rezopole

OMTEL cède ses tours Télécom !

Après l’Espagne, l’Italie, les Pays-Bas, la France, la Suisse, le Royaume-Uni et l’Irlande, le géant européen des infrastructures de télécommunications Cellnex se lance à la conquête du Portugal. En effet, la société a annoncé le 2 janvier dernier l’acquisition de 100 % de l’opérateur de tours portugais OMTEL, valorisé à 800 millions d’euros, dont 25 % appartenait à Altice Europe, la maison-mère de SFR.

 

La société portugaise est à la tête de 25 % du réseau de tours au Portugal et compte pour principal client PT Portugal, l’opérateur détenu par Altice Europe.

« Avec OMTEL, nous n’intégrons pas seulement l’un des principaux opérateurs indépendants d’infrastructures de télécommunications au Portugal. Nous nous engageons également dans une croissance cohérente en Europe, en y intégrant un huitième marché - ce qui étend naturellement la couverture géographique actuelle des sept pays dans lesquels nous sommes déjà présents », a fait savoir Tobias Martínez, CEO de Cellnex.

La direction de la société espagnole a également indiqué vouloir renforcer le réseau d'OMTEL de 350 sites supplémentaires d’ici 2027, pour un investissement chiffré à 140 millions d’euros.

Une débauche d’investissement qui ne semble pas faire peur à Cellnex. Depuis son entrée en bourse en 2015, la société a annoncé avoir engagé pas moins de 12 milliards d’euros d’investissement pour l’acquisition ou la construction jusqu’en 2027 d’environ 48 000 infrastructures de télécommunications en plus des quelques 10 000 dont la société disposait à l’époque. Son portefeuille s’élève donc à un total de 58 000 sites.

 

L’appétit de Cellnex vise également la France. Après avoir acquis en 2017 pas moins de 3 000 sites appartenant à Bouygues Telecom pour un montant total de 800 millions d’euros, l’ogre espagnol a finalisé en fin d’année dernière l’acquisition de 70 % d’Iliad TowerCo qui exploite quelques 5 700 sites de télécommunications mobiles en France, pour une opération valorisée à 2 milliards d’euros.

La transaction conclue avec Free, comprenant également la cession de 100 % de la filiale italienne d’infrastructures de Free et de 90 % des antennes de Salt, a permis à Cellnex de voir son parc de pylônes passer de 3 000 sites de télécommunications mobiles à plus de 8 000 sites dans l’Hexagone.

De quoi faire frémir la concurrence, alors qu'Hivory revendique un parc de plus de 10 000 sites et que le parc de TDF culmine pour sa part à 13 900 sites.

 

 

 

 Lire l'article

 

Source : ZDNet

 

 

 

 

Ça rock pour l’Aperezo #62 !

Le mercredi, 08 janvier 2020. Posté dans Archives Rezopole

Ça rock pour l’Aperezo #62 !

L'AOTA et Rezopole ont le plaisir de vous convier le mercredi 29 janvier à la 62ème édition de l’Aperezo.

Rendez-vous au Hard Rock Café Lyon, à partir de 18h30.


 Attention : le nombre de places étant limité, l'inscription est OBLIGATOIRE.

Pour des raisons d'organisation et de sécurité, toute personne non munie de sa confirmation nominative d'inscription * se verra refuser l'accès à l’événement.


* Confirmation nominative transmise ultérieurement par courriel

 

 

Je m'inscris

 

En vous inscrivant, vous acceptez, si vous apparaissez sur les photos prises lors de l'événement, que celles-ci soient publiées sur notre site, les réseaux sociaux et le site de notre partenaire.

 

 

À propos de notre sponsor

Fondée début 2017 par 22 opérateurs régionaux, l'AOTA (Association des Opérateurs Télécoms Alternatifs) défend les intérêts et organise la promotion des acteurs alternatifs du marché des télécoms en France. Deuxième structure exclusivement dédiée à la filière des opérateurs télécoms indépendants après la FFT, elle compte aujourd'hui près de 50 opérateurs adhérents, tous propriétaires d'infrastructures (LIR RIPE, collectes, boucles locales, etc), qui pèsent plus de 220 millions d'euros de chiffre d'affaires agrégé et emploient plus de 1500 personnes.

 

 

 

 

5G : ticket d’entrée à 350 millions d’euros

Le jeudi, 19 décembre 2019. Posté dans Archives Rezopole

5G : ticket d’entrée à 350 millions d’euros

Le 17 décembre dernier, l'Arcep a annoncé avoir déterminé avec les autorités le cahier des charges du futur appel d’offres 5G. Pour s’offrir les premiers blocs de 50 MHz dans la bande des 3,5 GHz, chaque opérateur devra débourser la somme fixe de 350 millions d’euros mais également répondre aux différents engagements fixés par les autorités.

Les 110 MHz restants, sur la bande concernée, feront l’objet d’enchères par blocs de 10 MHz. Le prix de départ de ces derniers a été fixé à 70 millions d’euros. Ce qui ne devrait toutefois pas faire les affaires des opérateurs. En effet, ils militaient pour que l’autorité ne fixe pas de montants trop élevés afin de leur permettre d’investir plus massivement dans le déploiement de leurs futurs réseaux 5G.

Les autorités devraient donc tirer de cet appel d’offres, au minimum, une somme totale « de 2,17 milliards d’euros pour l’ensemble des fréquences attribuées ». Celles-ci ne se sont pourtant pas montrées gourmandes au regard des différentes enchères 5G organisées par nos voisins, comme en Allemagne ou en Italie.

 

Le cahier des charges devrait être publié dans les prochains jours et donnera le coup d’envoi officiel de la procédure d’attribution conduite par l’Arcep. Les opérateurs candidats disposeront alors de huit semaines pour préparer leurs dossiers de candidature.

Les postulants ne pourront obtenir moins de 40 MHz de fréquences et ne pourront donc pas mettre la main sur plus de 100 MHz de fréquences dans la bande des 3,5 GHz. Les fréquences seront attribuées pour une durée de 15 ans et pourront être prolongée de 5 ans en cas d’accord ultérieur entre les autorités et les opérateurs concernés.

L’instruction des dossiers présentés par les candidats devrait démarrer au cours du mois de mars. L’Arcep rendra ses arbitrages et attribuera les premiers blocs fixes de fréquences 5G fin mars. Les enchères à proprement parler se dérouleront courant mai tandis que la finalisation de la procédure aura lieu au cours du mois de juin prochain.

 

Les obligations qui pèseront sur les opérateurs ne changent cependant pas. Comme initialement prévu par l'Arcep, le cahier des charges prévoit d’imposer l’ouverture de la 5G dans au moins deux villes par opérateur avant la fin 2020. Par la suite, les opérateurs se verront contraints de déployer leurs services sur 3 000 sites en 2022, 8 000 sites en 2024 et enfin 10 500 sites en 2025.

Mais sans oublier les zones rurales. Ainsi, 25 % des sites sur la bande des 3,5 GHz « des deux derniers jalons devront être déployés dans une zone rassemblant les communes des zones peu denses et celles des territoires d’industrie, hors des principales agglomérations », a fait savoir l'Arcep.

L’Autorité indique également que « dès 2022, au moins 75 % des sites devront bénéficier d’un débit au moins égal à 240 Mbit/s au niveau de chaque site. Cette obligation sera progressivement généralisée à tous les sites jusqu’à 2030 ».

De plus, comme prévu par des textes européens, les axes routiers font également figure de priorité. La couverture des axes de type autoroutier devra ainsi être assurée en 2025, avant une couverture des routes principales prévue en 2027.

Les opérateurs devront aussi s’engager à répondre aux demandes “raisonnables” qui émaneront des entreprises et collectivités publiques, afin de leur apporter « des offres adaptées avec de la couverture et des performances, voire, si l’opérateur le préfère, en leur confiant localement ses fréquences ».

Les autorités exigent plus de coopération entre opérateurs afin d’assurer une meilleure couverture in-door des bâtiments et pour garantir une plus grande transparence sur leurs prévisions de déploiement et pannes. Enfin, les opérateurs devront également s’engager à accueillir les MVNO sur leurs réseaux respectifs « afin notamment d’encourager l’innovation par tous les acteurs du secteur ».

 

 

 Lire l'article

 

Source : ZDNet

 

 

 

Députés : dernier recours du Plan France THD

Le jeudi, 19 décembre 2019. Posté dans Archives Rezopole

Députés : dernier recours du Plan France THD

Réussite exceptionnelle concernant les déploiements FttH en zone d’initiative publique, le Plan France THD a été conçu pour équiper en fibre optique les logements dans les zones les plus fragiles (rurales, montagnardes et insulaires). Il unifie ainsi les conditions techniques de déploiement sur tout le territoire national.

 

Couvrir 100 % du territoire d’ici 2025 est une condition de la compétitivité de l’économie française au sein de l’Union européenne. Les gouvernements successifs ont soutenu une telle ambition en apportant une aide financière importante à parité avec les collectivités. Un équilibre aujourd’hui rompu…

En effet, la Conférence nationale des territoires de décembre 2017 a marqué le fléchissement du Plan France THD : la fermeture du guichet FSN, une aide publique de 3 à 5 milliards aux opérateurs privés dans le cadre du “New Deal Mobile”, la suppression de 100 millions d’€ de subventions aux collectivités…

 

L’annonce de la réouverture du guichet par le gouvernement le 15 octobre 2019 ne s’est accompagnée d’aucune projection budgétaire réaliste pour finaliser ce chantier essentiel d’infrastructure.

L’État persiste sur le chiffre de 140 millions d’€ alors que les besoins estimés sont 4 à 5 fois supérieurs. Les propositions du Sénat de compléter par 322 millions d’€ de crédits d’engagements ont été rejetées. Après l’échec de la Commission Mixte Paritaire, les députés sont donc le dernier recours des collectivités.

Les associations d’élus invitent ainsi les députés à être attentifs à l’article 38 – État B de la Mission économie proposé en seconde partie du texte et à s’opposer à tout amendement qui supprimerait cette disposition essentielle du projet de Loi de finances.

 

 

 

 Lire le communiqué de presse

 

Source : Avicca

 

 

 

 

Lasotel fête ses 15 ans !

Le mardi, 17 décembre 2019. Posté dans Archives Rezopole

Lasotel fête ses 15 ans !

Lors de l'Aperezo dont il était le sponsor, l’opérateur lyonnais a dévoilé sa stratégie 2020 et son tout nouveau logo…

Que vous devriez bientôt découvrir ! Point d'orgue de la soirée ; lorsque Sylvain Charron et son équipe ont soufflé les bougies célébrant avec l'assistance le 15ᵉ anniversaire de Lasotel.

 

Retrouvez les principales photos de cette soirée en cliquant ici.

 

 

 

 

 

Photographe : Marine-Agathe GONARD / AGATHE PHOTOS

 

 

 

 

FaLang translation system by Faboba