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Communiqué de presse

Le jeudi, 12 novembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

Communiqué de presse

FRANCE-IX FUSIONNE AVEC REZOPOLE ET RÉAFFIRME SA POSITION DE PLATEFORME D’INTERCONNEXION MULTISERVICES LEADER EN FRANCE

 

Ce rapprochement va permettre aux deux entités de s’appuyer sur leurs expertises mutuelles pour

apporter toujours plus de services à valeur ajoutée à leurs membres.

 

Paris, le 14 janvier 2021 – France-IX, l'un des principaux points d'échange Internet (IXP) d'Europe,  annonce sa fusion avec Rezopole, le point d’échange régional le plus important en France. Ce rapprochement s’inscrit dans la stratégie de croissance de France-IX qui consiste à étendre sa présence sur le territoire national et francophone et élargir sa gamme de services. Il va également permettre à Rezopole de se développer plus largement en capitalisant sur les ressources financières, humaines et  techniques de France-IX. La nouvelle entité, qui opèrera sous la marque France-IX, entend consolider son rôle de plateforme d’interconnexion multiservices de référence en France avec un positionnement fort sur le territoire national pour faire face à la concurrence internationale.

 

France-IX est le premier fournisseur de services d'échange de trafic Internet - aussi appelé Peering - en France offrant des services d'interconnexion publics et privés par l'intermédiaire de ses points d'échange neutres à Paris et Marseille. En quelques années, France-IX a su fédérer les principaux acteurs de l’Internet national et international sur sa plateforme et compte aujourd’hui plus de 400 membres. De son côté, Rezopole compte plus de 100 membres connectés à Lyon et dans la région Auvergne-Rhône-Alpes, et  propose une large gamme de services complémentaires au peering.

 

« France-IX et Rezopole sont des structures associatives basées sur l’adhésion de leurs membres, créées initialement pour construire des communautés et des services autour de l’interconnexion auprès d’acteurs très différents de l’écosystème Internet », précise Christian Kaufmann, Président du Conseil d’Administration de France-IX. « Cette fusion, basée sur un ADN commun, bénéficiera aux deux entités ainsi qu’à l’ensemble de leurs membres. 95 % des membres France-IX et 94 % de ceux de Rezopole l’ont d’ailleurs plébiscitée récemment lors d’un vote en Assemblée Générale. C’est un nouveau cap qui est franchi aujourd’hui avec pour volonté de développer toujours davantage la communauté Internet en France ».

 

Vers une extension sur le territoire national et francophone

 

France-IX dispose d’une forte connaissance de l’Internet français et entend partager cette expertise avec l’ensemble de l’écosystème mondial. Après avoir fédéré un grand nombre d’acteurs internationaux, le groupe souhaite en effet se concentrer sur le marché français et consolider ses contenus francophones qui sont aujourd’hui essentiels pour ses membres locaux et internationaux.

L’implantation stratégique de Rezopole en région Auvergne-Rhône-Alpes (Lyon, Grenoble et Annecy) est un premier pas pour atteindre cet objectif.

 

De son côté, Rezopole pourra s’appuyer sur le savoir-faire et l’infrastructure de France-IX, sa force de  vente et sa solide capacité financière pour poursuivre son développement et accéder aux plus grands acteurs de l’Internet national et international.

 

À terme, la nouvelle entité aura pour volonté de poursuivre son développement dans des villes stratégiques où les infrastructures sont déjà existantes, mais aussi de consolider sa présence dans les territoires d’Outre-Mer et les pays de la francophonie.

 

Une plateforme multiservices au service de ses membres

 

Dans l’objectif de renforcer son rôle de plateforme d’interconnexion multiservices leader en France, la  fusion va permettre à France-IX d’étoffer son offre de services en s’appuyant sur le portefeuille et  l’expertise de Rezopole qui propose notamment des services d’hébergement, de NAP, de formation, de conseil & infogérance BGP ou encore d’animation de filière. La nouvelle entité visera à apporter des  services intégrés et complémentaires de qualité à l’ensemble de ses membres, notamment à destination  des entreprises et des clients internationaux. Elle sera ainsi à même de répondre au mieux aux besoins des organisations qui souhaitent optimiser leurs coûts et leur connexion Internet dans le cadre de leur  transformation numérique.

 

Franck Simon, Président de France IX Services, déclare : « Si l’on considère notre volonté d’expansion à la fois en termes de services et de couverture géographique, il était aujourd’hui essentiel pour France-IX de franchir une nouvelle étape. La fusion avec Rezopole s’intègre parfaitement dans notre stratégie de  croissance qui vise à enrichir notre offre de services à destination des entreprises et à étendre notre empreinte territoriale tout en nous concentrant sur ce qui fait notre force, les contenus francophones. »

 

Philippe Duby, Président de Rezopole, conclut : « Nous sommes convaincus que ce rapprochement est  synonyme de pérennité. Il s’inscrit dans une suite logique pour Rezopole qui s’appuiera sur l’expertise  technique de France-IX pour continuer d’offrir un service de proximité à l’ensemble des membres de la  nouvelle entité tout en poursuivant son développement sur le marché français. » À noter que Philippe Duby se porte candidat pour intégrer le nouveau Conseil d’Administration de France-IX dont l’ensemble des membres seront élus le 29 janvier prochain.

 

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Pour consulter les différents documents légaux, cliquez ici.

 

 

 

 

Jaguar Network lance la construction d’un 3ᵉ DC à Lyon

Le vendredi, 06 novembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

Jaguar Network lance la construction d’un 3ᵉ DC à Lyon

Après avoir racheté DCforData et son datacenter à Limonest en 2018, Jaguar Network inaugure son deuxième datacenter baptisé “Rock” un an plus tard dans le 8ᵉ arrondissement de Lyon. L’opérateur et hébergeur, filiale B2B du Groupe Iliad, lance aujourd’hui la construction d’un troisième site.

 

Une construction permettant de répondre à la demande exponentielle d’hébergement de données en région Auvergne-Rhône-Alpes et ainsi préserver cette souveraineté en proximité immédiate. L’objectif étant de proposer immédiatement de nouveaux services complémentaires pour des secteurs précurseurs comme l’industrie 4.0 et la e-Santé.

 

Les architectures d’hébergement désormais réparties sur trois sites actifs permettront d’adresser des demandes en provenance de toute la métropole lyonnaise et de sa région tout en garantissant la diversification et la sécurité de l’alimentation électrique.

Interconnecté aux opérateurs internationaux de premier rang ainsi qu’aux opérateurs nationaux et régionaux, ce nouveau de nœud de communication à très haut débit permettra d’accompagner les nouveaux usages et la transformation de la ville en optimisant la connectivité.

Spécialisé dans la smartcity et les enjeux de l’IA et du big data, ce nouveau datacenter, aura pour vocation de créer de nouveaux partenariats avec l’écosystème et d’ouvrir de nouvelles opportunités pour un bassin d’emplois en pleine mutation.

 

Une annonce confirmant l’investissement du Groupe Iliad dans la fibre optique pusiqu’il vise à raccorder 100 % des entreprises de la région AuRA d’ici 2024.

Et c’est l’affirmation pour Jaguar Network de son installation au sein de la deuxième région économique française en lien avec son marché historique des PME, ETI et grands comptes. Ceci préfigurant l’arrivée prochaine du Groupe Iliad dans le marché de l’entreprise.

 

 

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Source : Datacenter Magazine

 

 

 

 

5G : les opérateurs connaissent leur positionnement

Le vendredi, 06 novembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

5G : les opérateurs connaissent leur positionnement

L'Arcep, en apposant un point final à l’appel d’offres pour les fréquences 5G, vient de livrer le positionnement des opérateurs sur la bande des 3,5 GHz.

Seul Free aura déboursé 3 millions d’euros pour s’offrir une place centrale sur la “bande reine” de la 5G. En effet, la filiale française d’Iliad disposera de 70 MHz de fréquences sur un bloc allant de 3,64 GHz à 3,71 GHz.

Dans le détail, SFR disposera de 80 MHz de fréquences sur un bloc allant de 3,49 GHz à 3,57 GHz, tandis que les 70 MHz de fréquences détenues par Bouygues Telecom seront disposées entre les fréquences 3,57 GHz et 3,64 GHz. Enfin, Orange, qui détient le plus gros bloc de fréquences, avec 90 MHz de fréquences 5G, disposera d’un bloc allant de 3,71 GHz à 3,80 GHz.

 

Lors de cette seconde phase d’enchères, les opérateurs ont déboursé la somme totale de 2,78 milliards d’euros. Pour s’offrir 70 MHz de fréquences sur la bande des 3,5 GHz, Bouygues Telecom a déboursé 602 millions d’euros, tout comme Free qui a rajouté 3 millions d’euros à cette somme pour bénéficier du positionnement de son choix. De son côté, SFR a investie 728 millions d’euros pour mettre la main sur 80 MHz de fréquences, tandis qu’Orange a dépensé 854 millions d’euros pour disposer de 90 MHz de fréquences sur la bande des 3,5 GHz.

 

Les 350 millions d’euros déboursés par chaque opérateur pour s’offrir des blocs fixes de 50 MHz seront remboursables « en 15 parts égales exigibles sur 15 ans, la première dès l’attribution de l’autorisation d’utilisation des fréquences et les 14 autres à la date anniversaire de l’attribution ».

Les sommes déboursées par les opérateurs lors de la phase d’enchère et de positionnement seront quant à elles remboursables « en quatre parts égales exigibles sur quatre ans, la première dès l’attribution de l’autorisation d’utilisation des fréquences et les trois autres à la date anniversaire de l’attribution ».

« À ces sommes viendront s’ajouter une part annuelle variable, égale à 1 % du chiffre d’affaires réalisé par l’exploitation de ces fréquences », indique le gendarme des télécoms.

Les fréquences seront officiellement délivrées à compter du 18 novembre prochain par l’Arcep. Mais les opérateurs devront encore attendre l’accord de l’ANFR, pour pouvoir commercialiser leurs premières offres 5G auprès du grand public et des professionnels, ce qui devrait prendre environ 10 jours supplémentaires.

 

Concernant la commercialisation des forfaits 5G, les opérateurs n’ont pas encore fait connaître leurs stratégies. Quoi qu’il en soit, ils devront attendre l’assentiment des municipalités pour lancer officiellement l’ère de la 5G auprès des utilisateurs. Si la patience reste donc de mise, les opérateurs commencent déjà les grandes manœuvres pour faire baisser le coût de leurs infrastructures 5G.

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

RDV en ligne pour le Rezopole User Group #23

Le vendredi, 06 novembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

RDV en ligne pour le Rezopole User Group #23

L’équipe technique de Rezopole vous donne rendez-vous le vendredi 27 novembre pour un Rezopole User Group virtuel.

 

Au programme :

  • les bonnes pratiques de filtrage IP au niveau des routeurs de bordure d’un réseau
  • l’implémentation et le maniement de RTBH dans le contexte d’un IXP
  • un retour d’expérience sur l’utilisation d’un outil d’optimisation BGP basé sur les relèves de performances

 

Informations utiles

  • Horaire de 9h30 à 12h00
  • Confirmez votre participation avant le 25 novembre
  • Le lien de la visioconférence sera envoyé quelques jours avant l'événement

 

 

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L’IXPloration #27 en visioconférence

Le jeudi, 05 novembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

L’IXPloration #27 en visioconférence

Rezopole vous donne rendez-vous le 24 novembre prochain pour une matinée dédiée à l’amélioration des échanges Internet BtoB grâce aux infrastructures de LyonIX et GrenobliX.

 

Seront détaillés lors de cette visioconférence :

- la partie IXP qui apporte une amélioration des échanges Internet entre les utilisateurs d’un territoire, une baisse des coûts Télécom, ainsi qu'une sécurisation et optimisation du réseau grâce aux routes multiples proposées.

- la partie NAP qui propose aux membres connectés un accès direct aux opérateurs présents et à leurs offres. On y achète ou vend tout type de service Télécom avec une grande flexibilité.

 

Au programme

  • Présentation générale de Rezopole
  • Qu'est-ce qu'un IXP/NAP ?
    • Comment ça fonctionne ?
    • Avantages économiques & techniques
  • Les infrastructures de LyonIX & GrenoblIX
    • Les membres de Rezopole
    • Les offres & services
    • Les solutions de raccordement
  • Événements & outils Rezopole
  • Questions & réponses

 

Informations utiles

  • Horaire de 9h30 à 11h
  • Lien de la visioconférence envoyé par email quelques jours avant

 

 

 

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Prolongation de l’accord d’itinérance entre Free et Orange

Le vendredi, 30 octobre 2020. Posté dans Archives Rezopole

Prolongation de l’accord d’itinérance entre Free et Orange

Le 23 octobre dernier, l'Arcep a validé un avenant au contrat d’itinérance qui liait déjà les deux opérateurs. Free pourra ainsi utiliser les réseaux 2G et 3G d’Orange pour ses propres offres commerciales jusqu’au 31 décembre 2022 au lieu du 31 décembre 2020. Et ce en dépit des critiques de SFR, Bouygues Telecom ou d’autres opérateurs alternatifs regroupés au sein de l’association Alternative Telecom.

 

Pour justifier de son retard dans le déploiement de ses propres infrastructures 2G et 3G, l’opérateur fondé par Xavier Niel dénonçait pêle-mêle la mutualisation des réseaux signée en 2014 par Bouygues Telecom et SFR, les obligations de déploiement de la 4G renforcées, imposées par le New Deal Mobile, ou encore le manque de fréquences

Un argumentaire qui a fait mouche auprès de l'Arcep qui a toutefois maintenu le plafonnement des débits maxima montants et descendants atteignables par les clients en itinérance à 384 kbits.

 

Même si l'Arcep assure qu’elle « restera attentive à la poursuite des investissements de Free Mobile dans le déploiement de ses réseaux en propre », cela ne suffit pas à calmer les critiques des opposants à cette prolongation.

À commencer par la direction de SFR, pour qui « dix ans après avoir obtenu sa licence 3G, cet accord d’itinérance consenti à Free Mobile n’est que l’aveu d’un manque criant d’investissements de Free Mobile durant toutes ces années ».

De son côté, Bouygues Telecom rappelle que « l’itinérance a été conçue dès l’origine comme une mesure transitoire, avec pour seul objectif de permettre au nouvel entrant de compenser son entrée tardive sur le marché ». Or, « Free ne peut plus être qualifié de nouvel entrant sur le marché de la téléphonie mobile » et « dispose aujourd’hui d’un réseau largement comparable à celui de ses concurrents, donc tout à fait suffisant pour lui permettre d’exercer une vive concurrence » sur le marché mobile.

Tandis que les opérateurs alternatifs rappellent que la licence attribuée à Free Mobile par les autorités avait été accordée « en contrepartie d’engagements ambitieux pour animer la concurrence ».

 

Autant de critiques qui n’ont pas permis d’empêcher la prolongation de l’accord d’itinérance entre Free et Orange. Même si la direction de Free tend aujourd’hui à rattraper son retard en termes de déploiement, pas sûr que cela suffise à calmer la fronde de ses concurrents. D’autant que les récentes déclarations du PDG d’Orange concernant une possible mutualisation des réseaux 5G des deux opérateurs ne devrait pas contribuer à pacifier les débats.

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

Pas de cœurs de réseau 5G Huawei en Italie

Le vendredi, 30 octobre 2020. Posté dans Archives Rezopole

Pas de cœurs de réseau 5G Huawei en Italie

Le gouvernement italien vient d’opposer, pour la première fois, son véto à la signature d’un accord entre l’opérateur Fastweb et Huawei pour la fourniture des cœurs de réseau 5G. Une décision laissant à penser que l’Italie pourrait revoir sa position quant à la présence d’équipements Huawei sur son réseau 5G.

Huawei avait été sélectionné par Fastweb, la division italienne de Swisscom, comme unique fournisseur du cœur de réseau. Un fait qui a sans doute poussé le gouvernement à mettre son veto.

 

Si d’autres pays comme le Royaume-Uni et la France ont déjà pris des décisions afin d’interdire, à terme, l’accès de Huawei aux réseaux 5G, l’Italie n’avait pas encore pris de décision allant dans ce sens. Cependant, certains proches du gouvernement ou acteurs du monde industriel affirment que Rome adopte de fait une ligne pro-américaine sur la 5G. Les entreprises utilisant les équipements Huawei pour leur réseau 5G sont soumises à des restrictions sur les interventions à distance pour résoudre des problèmes techniques et un seuil de sécurité extrêmement élevé.

 

Afin de pouvoir se retirer, si Rome impose des conditions trop coûteuses en échange de son feu vert, les entreprises de Télécom italiennes ont inclus des clauses de sorties dans les contrats passés avec Huawei sur la 5G. Telecom Italia (TIM) est même allé jusqu’à exclure Huawei d’un appel d’offres concernant son cœur de réseau 5G. Le gouvernement italien pourrait donc revoir sa position concernant le rôle de Huawei dans la 5G et notamment pour la partie cœur de réseau.

 

 

 

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Source : L'Usine Digitale

 

 

 

 

Maintien de l'activité Rezopole

Le vendredi, 30 octobre 2020. Posté dans Archives Rezopole

Maintien de l'activité Rezopole

Suite aux annonces du Gouvernement (COVID-19), le bureau de Rezopole (16, rue de la Thibaudière 69007 Lyon) est fermé jusqu’à nouvel ordre.

Dans le cadre du plan de continuité et afin de maintenir opérationnels les différents IXP / NAP (LyonIX, GrenoblIX, AnnecIX & APIX), les équipes restent mobilisées en télétravail et joignables par les canaux habituels (courriel, téléphone, visioconférence).

 

Nous vous tiendrons informé.e.s au fur et à mesure des modalités d'accès et d'intervention sur les différents sites.

Pour les membres de Rezopole ayant une question technique urgente, veuillez contacter : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. ou appelez le +33 4 27 46 00 55.

 

Restant à votre disposition.

 

L’équipe Rezopole

Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

+33 4 27 46 00 50

 

 

 

 

5G : Huawei et ZTE bannis du réseau suédois

Le jeudi, 22 octobre 2020. Posté dans Archives Rezopole

5G : Huawei et ZTE bannis du réseau suédois

Après le Royaume-Uni en juillet, c’est au tour de la Suède de bannir explicitement les groupes chinois Huawei et ZTE de son nouveau futur réseau télécoms 5G, invoquant la sécurité nationale.

Une décision prise à la suite d’un examen de l’Autorité suédoise de régulation des télécoms (PTS), associée à l’armée et au renseignement, visant à « garantir que l’utilisation des fréquences ne met pas en danger la sécurité de la Suède ».

 

Huawei et ZTE seront donc bannis de toutes les « fonctions centrales », c’est-à-dire peu ou prou l’ensemble du réseau selon l’inventaire dressé par la PTS. D’ici le 1er janvier 2025, les équipements déjà installés pouvant servir à la 5G devront être retirés. Un délai encore plus court que celui fixé par Londres, qui a donné jusqu’à 2027.

 

En chef de file de la campagne contre Huawei, les États-Unis. Depuis le spectaculaire bannissement du groupe chinois par le président Donald Trump en mai 2019, Washington encourage ouvertement ses partenaires européens à faire de même. Les services de renseignement américains craignent avant tout que Huawei ne permette aux autorités chinoises d’utiliser ses équipements pour surveiller les communications et trafics de données. Huawei assure qu’il refuserait toute demande de ce type émanant du renseignement chinois.

 

Si le Japon et l’Australie ont suivi le mouvement américain, les positions européennes restent largement divergentes et les préconisations prises par Bruxelles sont non contraignantes. Sans l’avoir exprimé publiquement, la France a en fait banni l’utilisation d’équipements Huawei pour la 5G dans les « zones très denses ». Les périodes d’utilisation des équipements seront également limitées à huit ans.

La Slovénie et la Roumanie également pris des mesures facilitant la mise à l’écart de Huawei des appels d’offres. L’Espagne, la Pologne ou la Grèce, prévoient eux en revanche que les opérateurs puissent utiliser les équipements de Huawei.

 

 

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Source : FRENCHWEB.FR

 

 

 

 

Google révèle la plus grande attaque DDoS de l’histoire

Le jeudi, 22 octobre 2020. Posté dans Archives Rezopole

Google révèle la plus grande attaque DDoS de l’histoire

Le 16 octobre dernier, l’équipe Google Cloud a révélé une attaque DDoS qui a ciblé le service Google en septembre 2017. Ayant atteint 2,54 Tb/s, il s’agit de la plus grande attaque DDoS enregistrée à ce jour.

Les chercheurs du Google’s Threat Analysis Group (TAG) affirment que cette attaque est venue de Chine puisqu’elle avait pour origine le réseau de quatre fournisseurs chinois de services Internet (ASN 4134, 4837, 58453 et 9394).

 

Ingénieur en fiabilité et sécurité pour Google Cloud, Damian Menscher, raconte que le pic correspond à « l’aboutissement d’une campagne de six mois » qui a utilisé de multiples méthodes d’attaques pour marteler l’infrastructure des serveurs de Google. « L’attaquant a utilisé plusieurs réseaux pour usurper 167 Mp/s (des millions de paquets par seconde) à 180 000 serveurs CLDAP, DNS et SMTP exposés, qui nous envoyaient ensuite des réponses importantes ».

 

Google a révélé l’incident la semaine dernière pour différentes raisons. Tout d’abord, pour sensibiliser à la tendance croissante des groupes de cyberattaquants parrainés par des États. Mais également pour alerter sur le fait que les attaques DDoS vont s’intensifier dans les années à venir, à mesure que la bande passante disponible pour Internet va augmenter.

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

Maîtrisez le protocole BGP !

Le mardi, 20 octobre 2020. Posté dans Archives Rezopole

Maîtrisez le protocole BGP !

Rezopole vous propose, les 17 & 18 novembre, un atelier interactif afin de vous transférer les bases du protocole BGP et vous guider vers l’autonomie IP.

 

Cette formation, assurée par des professionnels pour les professionnels, couvre le fonctionnement et la configuration du BGP sur Bird, Cisco, FFR. Ce protocole est nécessaire pour s’interconnecter sur un IXP et profiter au mieux des offres “transit multiple”.

 

Au cours de ces deux journées de visioconférence, vous abordez de manière progressive et complète les différents aspects du BGP (le peering et l’utilisation de Route Server). Vous mettez en place votre première session et découvrez les techniques pour annoncer et filtrer les réseaux, tant en IPv4 qu’en IPv6.

 

  

Tarif : 1000 € HT/participant pour 2 jours.

Cette formation est susceptible d'être prise en charge par votre OPCO (numéro d’activité de Rezopole : 84691581469).

 

Vous souhaitez participer ? Demandez un devis ici.

Clôture des inscriptions le 13 novembre 2020.

 

Programme

 

    • Rappels IP/AS/Routage
    • Détails du protocole BGP
    • Différence IGP / EGP
    • Prise en main de l'environnement de TP (frr)
    • Configuration premières sessions, FULL Table
    • Sessions de peering multiples
    • Filtrage : Prefix-list et Route-map
    • Debugs d'annonces, filtrages, boucles
    • Outils de diagnostics
    • Filtrage : AS-PATH et Route-map
    • Les communautés BGP
    • Exemples d’utilisation pour LyonIX
    • Traffic Shaping : AS-PATH prepend et désagrégation
    • Fine BGP Tuning : Convergence rapide et détection de PATHs sub-optimal / Perte de paquets
    • Déclarations de routes RIPE / RPSL / RPKI / Peering DB et filtrages associés
    • Best Current Practices de configuration switch / routeur
    • Différences entre V4 et V6 ! Pour mettre en place V6 et continuer à assurer V4.                        

 

 

 

 

Télécharger la plaquette BGP

 

 

 

 

Plan d’attaque pour la relance de Kosc

Le vendredi, 16 octobre 2020. Posté dans Archives Rezopole

Plan d’attaque pour la relance de Kosc

L’opérateur de gros, ayant pris le contrôle de Kosc à l’été 2020, s’apprête désormais à le relancer. Et le rebond de Kosc va forcément être scruté de près par les différents acteurs du secteur.

 

David El Fassy, le PDG d’Altitude Infrastructure – désormais renommé Altitude Infra, explique « Pour nous, l’acquisition de Kosc est une opportunité sans précédent d’élargir notre catalogue d’entreprises clientes dans d’autres zones que celles où nous opérons traditionnellement, et notamment dans les zones AMII ou les zones urbaines. […] Après avoir battu le record de commandes de Kosc en septembre, nous souhaitons désormais enrichir son catalogue d’adressable en FttE et FttO, sur lesquels Kosc n’était pas très présent jusqu’à maintenant ». Parmi les autres objectifs fixés figure le développement de la couverture de Kosc sur les zones AMII de SFR avec, à terme, l’ambition de pousser le dégroupage total de l’opérateur de gros.

 

Altitude Infra souhaite faire de l’API de Kosc l’agrégateur le plus complet d’infrastructures de télécommunications, à la fois pour ses grands comptes (comme OVH) mais aussi également pour les TPE. En effet, ces dernières constituent le bassin de développement économique le plus important du marché des télécoms d’entreprises.

Pour ce faire, l’opérateur wholesale prévoit un investissement massif de 100 millions d’euros sur cinq ans dans Kosc. Xavier Grossetete, qui officiait depuis 2017 au sein de Jaguar Network, a été nommé directeur commercial et sera chargé de dynamiser le recrutement de nouveaux clients.

 

« Avec Kosc, nous devenons le guichet unique des opérateurs, avec une offre de couverture sur l’ensemble du territoire », indique David El Fassy, confirmant son intention « d’investir et de peser dans la durée sur le marché de la fibre optique, mais aussi de développer de nouvelles offres et services pour les entreprises ». Le plan proposé par Altitude Infra doit permettre à Kosc un retour à un Ebitda positif, ainsi qu’un chiffre d’affaires compris entre 80 et 100 millions d’euros en 2022.

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

SFR condamné : plus de doute entre le câble et la fibre

Le vendredi, 16 octobre 2020. Posté dans Archives Rezopole

SFR condamné : plus de doute entre le câble et la fibre

Le 8 octobre dernier, la Cour d’appel de Paris a ordonné à SFR d’envoyer un courrier à certains abonnés les informant qu’ils peuvent résilier leur contrat d’accès à Internet fixe de manière unilatérale. Capital nous apprend que si l’opérateur résiste, il devra payer 500 000 euros par jour de retard.

 

Cette procédure judiciaire a été initiée en janvier 2018 par son concurrent Free. En effet, bien qu’un arrêté réglemente l’usage du mot fibre depuis 2016, SFR aurait continué à entretenir un certain flou dans ses offres commerciales.

L’usage du terme FttB (Fiber to the Building) lui également est reproché puisque, dans certains cas, sa fibre n’irait pas jusqu’en bas de l’immeuble mais seulement jusque dans une armoire de rue.

 

Aujourd’hui SFR revendique 3,1 millions de clients en fibre optique de bout en bout (FttH) et 13,8 millions de lignes éligibles au Très Haut Débit.

 

 

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Source : 01net

 

 

 

 

Sobriété numérique : priorité pour le gouvernement

Le vendredi, 09 octobre 2020. Posté dans Archives Rezopole

Sobriété numérique : priorité pour le gouvernement

L’impact du numérique sur l’environnement pèserait à hauteur de 1 % sur les émissions mondiales de gaz à effets de serre (GES) – 2 % en France. Afin d’endiguer cette tendance, le secrétaire d’État au Numérique, Cédric O, et la ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, ont lancé le 8 octobre une feuille de route pour s’y atteler.

 

Le premier axe consiste à « objectiver l’empreinte numérique », c’est-à-dire de rendre visible quelque chose d’immatériel et donc de quantifier exactement cette empreinte et d’améliorer la méthodologie de quantification. L’Ademe (Agence de la transition écologique) et l’Arcep rendront leurs conclusions sur la façon dont on peut informer les consommateurs sur l’impact de leurs usages numériques fin 2021.

 

La deuxième priorité est l’allongement de la durée de vie des appareils en incitant à leur réparation, leur réemploi et en luttant contre l’obsolescence programmée. Ainsi, les opérateurs seront tous tenus de massifier et systématiser la collecte dans leurs boutiques et de mener des campagnes de sensibilisation.

Par ailleurs, le plan de relance prévoit de consacrer 21 millions d’euros pour soutenir la filière du réemploi et de la réparation en France. Le gouvernement va également mener des négociations au niveau européen afin de réduire la TVA sur les produits reconditionnés.

 

Cependant, il n’est pas question de restreindre par la force les usages des Français. Le mot d’ordre est d’inciter la population à changer ses pratiques en faisant preuve de pédagogie.

L’une des nouveautés du projet de loi de finances de 2021 sera d’obliger les data centers à mettre en place des mesures ambitieuses concernant leur efficience énergétique et la récupération de la chaleur s’ils veulent bénéficier d’un tarif réduit sur leur consommation.

 

Le principe de l’éco-conception doit également être généralisé. Pour cela, l’Ademe va lancer deux appels à projet auprès des entreprises. Les entreprises écoperont ainsi d’un bonus ou d’un malus suivant qu’elles prendront en compte ou non l’éco-conception. Elles seront aussi incitées à signer la Charte Numérique Responsable qui comporte un ensemble de bonnes pratiques pour un numérique plus responsable.

L’initiative Planet Tech Care a également été lancée pour mettre en relation des entreprises et formations du numérique avec des experts pour les aider gratuitement à réduire leur empreinte environnementale.

 

Enfin, le gouvernement veut croire que le numérique et l’innovation peuvent devenir des outils au service de l’environnement. Il prévoit de renforcer le dispositif GreenTech Innovation qui sera doté d’un fonds de 300 millions d’euros géré par la banque publique d’investissement Bpifrance pour favoriser et financer des starts-up vertes.

 

Certaines pistes vont maintenant être débattues et de nouvelles mesures sont attendues d’ici la fin de l’année.

 

 

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Source : 01net

 

 

 

 

Pas de collecte indifférenciée des données de connexion

Le vendredi, 09 octobre 2020. Posté dans Archives Rezopole

Pas de collecte indifférenciée des données de connexion

Les données de connexion permettent d’identifier quiconque ayant contribué à la création d’un contenu comme son adresse IP, sa géolocalisation, ses relevés téléphoniques ou encore le numéro de ses contacts fréquemment appelés. Très utiles lors d’une enquête, ces informations personnelles peuvent permettre d’identifier l’auteur d’une infraction ou récolter des preuves.

 

Mais voilà, la Cour de justice de l’Union européenne vient de juger que les États n’ont pas le droit d’imposer aux opérateurs une obligation de transmission et de conservation généralisée et indifférenciée des données de connexions des internautes.

 

La loi du 24 juillet 2015 offre la possibilité aux services de renseignement français de se voir transmettre en temps réel les données de connexion d’une personne identifiée comme une menace. Une obligation qui pèse sur les opérateurs et qui inquiète de nombreuses associations sur les pouvoirs conférés aux services de renseignement. C’est pourquoi la Quadrature du Net a saisi le Conseil d’État estimant que la législation française violait le droit européen.

Sollicité à la fois par le tribunal chargé des pouvoirs d’enquête au Royaume-Uni, le Conseil d’État et la Cour constitutionnelle belge, la Cour de justice de l’Union européenne s’est donc penchée sur la validité du régime de conservation des données au regard du droit européen.

Et cette nouvelle décision ne fait que confirmer les principes déjà posés en avril 2014 dans son arrêt Tele2 Sverige AB. « La directive du 12 juillet 2002 […] s’oppose à une réglementation nationale prévoyant, à des fins de lutte contre la criminalité, une conservation généralisée et indifférenciée de l’ensemble des données relatives au trafic et des données de localisation de tous les abonnés et utilisateurs inscrits concernant tous les moyens de communication électronique », tranchait la cour de justice.

Ces obligations de transmission et de conservation généralisée et indifférenciée constituent « des ingérences particulièrement graves dans les droits fondamentaux garantis par la Charte » tels que le droit au respect de la vie privée.

 

En résumé, les autorités judiciaires et de renseignement ne peuvent plus demander la transmission des données de connexion aux fournisseurs de services de communications électroniques à quelques exceptions près. En effet, dans le cas d’une “menace grave pour la sécurité nationale” ou “d’activités de terrorisme”, les États peuvent enjoindre les opérateurs de conserver les données de connexion.

Néanmoins, deux conditions sont posées : « La décision prévoyant cette injonction, pour une période temporairement limitée au strict nécessaire, doit faire l’objet d’un contrôle effectif, soit par une juridiction, soit par une entité administrative indépendante », tranche la cour. L’organe chargé du contrôle devra vérifier « l’existence d’une de ces situations ainsi que le respect des conditions et des garanties prévues ».

 

Une décision avec des conséquences très importantes pour les services judiciaires et de renseignement, en particulier sur les procédures en cours qui pourraient être arrêtées net ou leurs actes frappés de nullité.

 

 

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Source : L'Usine Digitale

 

 

 

 

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