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Fibre : Pression sur les opérateurs d’infrastructures

Le vendredi, 08 octobre 2021. Posté dans News Rezopole

Fibre : Pression sur les opérateurs d’infrastructures

Même si le déploiement de la fibre optique bat tous les records, les écueils à franchir pour garantir le très haut débit restent encore nombreux.

 

À commencer par la qualité de service, un sujet qui n’en finit pas de mobiliser les autorités. Les taux d’échec dans les raccordements finaux s’élèvent encore aujourd’hui à environ 17 %, contre 25 % quelques mois auparavant. S’il y a du mieux sur ce front et que les “plats de nouilles” dans les points de mutualisation et les points de branchements optiques ont tendance à diminuer, la situation ne va toutefois pas sans irriter Cédric O.

 

Interrogé, le secrétaire d’État au numérique n’a pas mâché ses mots à l’encontre des opérateurs d’infrastructure, chargés du déploiement de la fibre optique sur le territoire. « Si qualitativement, les choses semblent aller un peu mieux, nous ne sommes pas au bout de l’histoire », a-t-il estimé, avant de pointer à mots couverts la responsabilité d’Orange et XpFibre (ex-SFR FttH) dans ce dossier.

 

Les deux opérateurs n’ont toujours pas ratifié la nouvelle version du contrat de sous-traitance à l’opérateur commercial (STOC) contrairement à leurs concurrents – Altitude, Axione et TDF. Mise en place il y a quelques mois, la V2 de ce cadre contractuel doit remettre de l’ordre dans les relations entre les opérateurs d’immeubles, les opérateurs commerciaux et leurs sous-traitants.

 

Si le retard accumulé par XpFibre et Orange dans la signature du contrat STOC V2 devrait bientôt être résorbé, il reste encore du pain sur la planche aux opérateurs d’infrastructures pour palier aux défauts de raccordement final. Ce problème de la qualité des raccordements finaux ne date pas d’hier. Un groupe de travail constitué par l'Arcep sur le sujet faisait déjà état en 2019 de « taux de malfaçons importants dans la réalisation des opérations de raccordement final et de brassage au point de mutualisation ».

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

Nouveau câble transatlantique à Bordeaux

Le vendredi, 01 octobre 2021. Posté dans News Rezopole

Nouveau câble transatlantique à Bordeaux

L’un des principaux projets de câble transatlantique concernant l’Hexagone vient “d’atterrir” sur une plage à Porge, près de Bordeaux. Un projet initié par Facebook et construit par Alcatel Submarine Networks. Orange, partenaire pour la partie française, était responsable de l’opération. Celle-ci a nécessité un forage horizontal à 20 mètres sous la plage et la dune, afin de limiter l’impact sur l’environnement et notamment la forêt.

Baptisé “Amitié”, ce câble relie le Massachusetts aux États-Unis à Porge en France et Bude en Angleterre. Il mesure 6 800 km et embarque en tout 16 paires de fibre optique. Sa mise en service est prévue début 2022.

 

L’opérateur historique français bénéficiera de deux paires de fibres optiques sur ce câble et sera en charge de l’exploitation et de la maintenance de la “station d’atterrissement”. Orange fournira les liens terrestres au départ de cette station vers Bordeaux, puis Paris et Lyon, et enfin le reste de l’Europe. Il indique aussi que le câble permettra l’implantation de nouveaux data centers dans la région de Bordeaux.

 

Un autre câble transatlantique, “Dunant”, a récemment été mis en service en Vendée par Google. Le trafic entre l’Europe et l’Amérique du Nord doublant en moyenne tous les deux ans, il est nécessaire d’investir dans de nouvelles infrastructures pour absorber cette hausse. À eux deux, “Dunant” et “Amitié”, auront une capacité supérieure à celle de tous les câbles transatlantiques précédents.

 

 

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Source : L'Usine Digitale

 

 

 

 

Pratiques commerciales trompeuses chez Orange

Le vendredi, 27 août 2021. Posté dans Archives Rezopole

Pratiques commerciales trompeuses chez Orange

Après avoir fait l’objet d’une condamnation pour ses pratiques commerciales concernant ses offres de forfaits mobiles 4G et 5G il y a trois semaines, Orange se fait de nouveau taper sur les doigts. Cette fois ce sont ses pratiques en termes d’application – et surtout de présentation – de la garantie légale de conformité de deux ans qui a conduit la Direction Départementale de la Protection des Populations (DDPP) du Val-de-Marne à sévir.

 

L’administration française reproche à l’opérateur historique de présenter cette garantie légale de deux ans, rendue obligatoire en 2016, comme une offre propre à l’opérateur, et non comme une garantie imposée légalement. Orange s’est donc vu imposé l’affichage d’un message afin de rappeler que cette garantie est avant tout le fruit du travail des pouvoirs publics.

L’opérateur est également appelé à remettre de l’ordre dans ses offres commerciales, en y ajoutant notamment ce fameux terme manquant de « garantie légale », qui n’apparaît pas sur ses étiquettes et affichages dans ses boutiques physiques. L’administration pointe du doigt aussi que l’omission de cette mention légale peut amener les abonnés d’Orange à ne pas faire appliquer leurs droits.

 

Loin d’être première pour l’opérateur historique, ce dernier a récemment été condamné pour des omissions similaires. En effet, il s’est en effet fait condamner le 27 juillet dernier pour avoir « sciemment omis » de présenter dans « des conditions satisfaisantes les restrictions d’usage apportées » aux services 4G et 5G. Une amende de 15 000 euros lui a été infligé par le tribunal judiciaire de Paris pour avoir oublié de présenter la disponibilité effective du réseau 5G sur le territoire français, ainsi que les débits minimaux réellement disponibles de la nouvelle génération de technologie mobile à ses clients.

Cette condamnation faisait suite à une assignation en justice de l’association Consommation Logement Cadre de vie (CLCV), pour qui l’oubli de ces précisions revenait à tromper sciemment les consommateurs potentiellement intéressés à l’idée de s’essayer à la nouvelle génération de technologie mobile et de profiter de l’explosion des débits tant vantée par les promoteurs de la 5G.

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

Enquête suite à la panne des numéros d’urgence

Le vendredi, 23 juillet 2021. Posté dans Archives Rezopole

Enquête suite à la panne des numéros d’urgence

Le gouvernement a présenté, le 22 juillet, les résultats de son audit sur la vaste panne du réseau téléphonique qui a rendu inaccessibles les numéros d’urgence, le 2 juin dernier pendant plusieurs heures. Et la conclusion est sans appel : « Il y a eu des insuffisances de la part d’Orange ».

 

Dans le rapport remis par l’Anssi, l’IGA, l’Igas, le CGE et le CCED , le déroulé reprend celui déjà posé par Orange dans son enquête maison. À savoir que la panne est survenue le mercredi 2 juin, à 16h45, lors d’une opération de maintenance sur un équipement du réseau téléphonique.

Techniquement, le dysfonctionnement est dû à un équipement du réseau dit "calls servers", passerelles permettant l’interconnexion entre l’ancien réseau téléphonique commuté et le réseau fibre transportant les données internet. Un passage obligatoire pour les appels passés depuis un téléphone en Wi-Fi vers un poste fixe, ou depuis un mobile d’un autre opérateur vers les numéros d’urgence. Le rapport retient : « Le dysfonctionnement de l’équipement a été causé par une manipulation de l’opérateur, qui a déclenché un bogue logiciel bloquant les équipements et les rendant incontrôlables ».

 

L’Anssi insiste sur la conjonction de trois facteurs, à savoir d’abord des « commandes [informatiques] un peu hasardeuses passées par Orange », c’est-à-dire des manipulations techniques pour une opération d’amélioration du call server mais effectuées « dans un ordre inhabituel » par le technicien. Ensuite, ces mêmes commandes ont été répliquées « dans un temps très réduit » sur l’ensemble des calls servers. C’est là qu’est « apparu le bug » sur l’équipement fourni par le prestataire Italtel, bug qui « n’est pas de la responsabilité d’Orange ».

L’agence tient aussi à noter « une certaine lenteur dans la réaction d’Orange » et « un manque de conseils techniques de sa part » envers les différents services d’urgence.

 

Au total, ce sont environ 3 millions d’appels qui n’ont pas pu aboutir, dont 11 800 à destination des numéros d’urgence. L’incident a probablement eu des conséquences dramatiques : des enquêtes judiciaires ou administratives ont été ouvertes sur six décès survenus durant la panne. « Orange a mis près d’une heure à prendre conscience que la panne touchait en particulier les services d’urgence, deux heures pour en informer les autorités et près de trois heures pour mettre en place un dispositif adapté », insiste le rapport.

 

Cédric O indique également que « le gouvernement va saisir dans les prochains jours l’Arcep pour étudier les suites », potentiellement judiciaires. Les opérateurs télécoms se trouvent en effet dans l’obligation d’acheminer les appels, en particulier d’urgence, ainsi que de maintenir la sécurité et l’intégrité des réseaux.

 

De plus, d’ici à la fin septembre, de nouvelles recommandations pour la gestion des numéros d’urgence seront établies, et devront être mises en œuvre par les opérateurs. Le tout accompagné d’un futur exercice de crise.

 

 

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Source : L'Obs

 

 

 

 

Panne massive des numéros d’urgence

Le vendredi, 04 juin 2021. Posté dans Archives Rezopole

Panne massive des numéros d’urgence

Pendant environ sept heures le 02 juin au soir, les numéros du Samu (15), de la police (17), des pompiers (18) et le numéro européen unique d’urgence (112) étaient quasiment inaccessibles. Orange, par l’intermédiaire de son PDG Stéphane Richard, avait alors présenté « ses plus vives excuses ». Puis, ce 04 juin en début de matinée, l’opérateur historique a annoncé avoir lancé une enquête interne « approfondie ».

 

Une annonce qui a précédé la réunion de la cellule interministérielle de crise. « Les choses sont rentrées dans l’ordre » et « la situation est redevenue sous contrôle au moment où je m’exprime », a déclaré Jean Castex vers 09H00, à l’issue de cette réunion qu’il a présidée.

« Nous déplorons des victimes qui sont susceptibles d’avoir été causées par ce grave incident », a confirmé le Premier ministre.

Le chef du gouvernement a insisté sur le fait qu’« il faudra établir très clairement la cause des faits qui se sont produits et surtout les moyens pour qu’ils ne se reproduisent plus ».

 

Pour l’heure, Orange a déjà lancé une enquête interne approfondie. L’inspection générale de l’opérateur téléphone « devra mener les investigations nécessaires pour identifier les causes précises de cet incident et émettre des recommandations pour tirer tous les enseignements nécessaires », a précisé Orange.

Des conclusions attendues d’ici sept jours. « En lien avec la cellule interministérielle de crise, nous avons mis en place hier soir une cellule dédiée afin de résoudre d’éventuels dysfonctionnements locaux qui pourraient apparaître », a ajouté l’opérateur téléphonique, alors que des « perturbations » subsistaient encore le 03 juin « de façon aléatoire ».

 

Interrogé sur l’origine de cette panne, Stéphane Richard a d’ores et déjà écarté l’hypothèse d’une cyberattaque. Cet incident est « plus probablement » dû à « une défaillance logicielle dans (les) équipements critiques de réseaux », c’est-à-dire des plateformes chargées d’acheminer des appels.

 

 

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Source : Les Echos

 

 

 

 

Comment Orange va maintenir la qualité du réseau cuivre

Le vendredi, 28 mai 2021. Posté dans Archives Rezopole

Comment Orange va maintenir la qualité du réseau cuivre

Après de longues négociations, le gouvernement et Orange viennent de s’entendre sur un plan d’action pour améliorer la qualité de service du réseau cuivre. En effet, même si le déploiement de la fibre optique progresse rapidement, il ne faut pas négliger les 22 millions de Français disposant encore d’une ligne active reposant sur ce réseau.

 

Le plan prévoit ainsi d’engager 10 millions d’euros supplémentaires pour 17 territoires prioritaires ainsi que pourvoir 123 nouveaux postes dans les départements en tension et augmenter de 30 % les effectifs nationaux d’intervention en cas de crise.

 

L’opérateur historique devra fournir une solution de secours en 24 heures maximum à partir du signalement de l’incident, sous réserve d’une couverture mobile. Si le réseau mobile n’est pas suffisant, c’est une connexion satellitaire qui sera mise à disposition depuis les mairies.

 

Pour une meilleure concertation entre Orange et les élus, des comités de concertation locaux vont être mis en place. Un comité de concertation national fera appel, en plus, à des représentants de la commission supérieure du numérique et des postes (CSNP), les représentants des associations de collectivités territoriales et les services de l’État.

 

Rappelons que le démantèlement total du réseau cuivre débutera en 2023 et s’étendra jusqu’en 2030, au fur et à mesure que la couverture du territoire en fibre optique progressera.

 

 

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Source : 01net

 

 

 

 

Opérateurs : les plaintes des Français ont augmenté en 2020

Le vendredi, 07 mai 2021. Posté dans Archives Rezopole

Opérateurs : les plaintes des Français ont augmenté en 2020

Avec plus de 33 000 alertes de consommateurs via la plateforme “J’alerte l’Arcep” en 2020, le gendarme des télécoms révèle une hausse des plaintes de 37,5 % par rapport à 2019.

 

Parmi les 4 opérateurs (Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free), le plus mauvais élève a été Free en générant le plus de requêtes négatives de la part des Français. Il prend ainsi la place de SFR. Dans le détail, Bouygues Telecom a connu 19 alertes pour 100 000 clients. C’est 25 pour Orange, 26 pour SFR et 29 pour Free.

 

Les Français ont beaucoup plus utilisé Internet en 2020, avec les différents confinements, et ont constaté bien des problèmes. « Les signalements reçus concernent, cette année encore, le plus fréquemment la qualité de service, service après-vente (SAV) compris. Viennent ensuite l’insatisfaction quant aux évolutions des réseaux (déploiement de la fibre, couverture mobile insuffisante, etc.) en particulier le déploiement de la fibre, suivi par les pratiques commerciales des opérateurs et les difficultés rencontrées lors d’un changement d’opérateur », explique l’Arcep.

 

De manière générale, la satisfaction des Français a baissé. Si la moyenne des opérateurs était de 7,65/10 en 2019, ce fut 7,5/10 en 2020.

Les écarts les plus importants se trouvent dans le fixe. Les clients de SFR attribuent une note de satisfaction de 6,8/10 à SFR contre 7,5/10 à Orange.

Concernant le mobile, les notes s’échelonnent 7,4 pour SFR à 7,8 pour Orange et Free.

Tandis que les services clients des opérateurs sont globalement mal notés. Free tire son épingle du jeu avec un 2,6/5 quand SFR clôt le banc avec un piteux 1,8/5.

 

 

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Source : Journal du Geek

 

 

 

 

Sites 5G ouverts : Orange et Free toujours très en avance

Le vendredi, 16 avril 2021. Posté dans Archives Rezopole

Sites 5G ouverts : Orange et Free toujours très en avance

L’Arcep a publié son observatoire des déploiements commerciaux 5G le 14 avril dernier. Au 31 mars, les opérateurs ont commercialement ouvert 12 917 sites 5G, dont 2 838 en bande 3,5 GHz. Si l’analyse des courbes des opérateurs montrent que personne ne néglige la technologie de cinquième génération, tous n’avancent pas au même rythme.

 

Avec près de 13 000 sites ouverts en 5G en France fin mars, le déploiement du réseau mobile est soutenu. En à peine quelques mois, les opérateurs se sont assurés de couvrir des millions d’abonnés potentiels, et l’Arcep évoque même une progression « régulière pour les premiers mois de 2021 ».

 

Orange a activé le plus de sites et antennes dans la “bande cœur” 5G avec 1 105 sites en 3,5 GHz. L’opérateur historique soutient aussi ce déploiement à l’aide de la technologie 2,1 GHz (fréquences moyennes), permettant ainsi d’obtenir des débits équivalents à la 4G puisqu’elle exploite une bande déjà en fonction. D’ici 2023, cette bande intermédiaire donnera accès aux nouveaux services 5G dans les zones actuelles 4G.

 

Free Mobile continue de tirer son épingle du jeu. Si l’opérateur fondé par Xavier Niel a activé moins de sites en 3,5 GHz qu’Orange (824 contre 1 105), il est celui à avoir ouvert commercialement le plus de sites en France : 8 074 au total, soit 1 030 sites supplémentaires en un mois, contre 338 pour Orange.

Contrairement à ses trois concurrents, Free mise toujours très fort sur les fréquences basses (700 MHz). Plus de 7 000 sites ont été ouverts dans cette bande aux débits moindres mais qui présente l’avantage de mieux pénétrer dans les bâtiments.

 

En ce qui concerne les deux autres opérateurs. Bouygues Telecom conserve un temps d’avance sur SFR, et même sur Orange au nombre total de sites, d’un point de vue statistique. L’opérateur – filiale du géant français du BTP – a activé au total 2 263 sites, dont 491 en 3,5 GHz et 2 091 en 2,1 GHz.

En nombre de sites 5G ouverts en 3,5 GHz, SFR fait jeu égal avec Bouygues Telecom avec un total de 418. Mais l’opérateur au carré rouge est nettement derrière pour les sites complémentaires. En effet, il a ouvert commercialement 778 sites en 2,1 GHz. Soit un total de 1 196 sites 5G activés toutes fréquences confondues. Ce qui place, au final, SFR assez loin de son premier concurrent.

 

 

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Source : Clubic

 

 

 

 

Premier démantèlement de l’ADSL d’Orange

Le vendredi, 26 mars 2021. Posté dans Archives Rezopole

Premier démantèlement de l’ADSL d’Orange

À Lévis Saint Nom, dans les Yvelines, une équipe de techniciens d’Orange s’active pour déposer les lignes aériennes de cuivre de la commune. Cette expérimentation doit préparer la grande opération de “décommissionnement” du cuivre qui concernera tout le pays à partir de 2023.

 

Tirées à partir des années soixante et surtout dans les années 70, les lignes de cuivre ont apporté le service téléphonique aux Français. Elles ont ensuite permis d’accéder à Internet via la technologie de l’ADSL à la fin des années 90. En décembre 2020, l’Arcep comptait encore 16 millions de foyers utilisateurs de l’ADSL. Un chiffre voué à décliner inexorablement sous l’effet des raccordements en fibre optique. En effet, le gouvernement s’est fixé comme objectif de raccorder tout le monde en FttH d’ici 2025.

 

Il devenait donc difficile de maintenir ce réseau vieillissant, énergivore et qui coûte cher à entretenir. Avec 22,6 millions de lignes toujours actives et 1,1 million de câbles, dont 60 % dans des tranchées souterraines, il s’agit d’un chantier titanesque.

Orange, propriétaire historique du réseau cuivre, a signé un accord avec l’Arcep pour mener des tests de démantèlement.

« Nous avons choisi Lévis Saint Nom pour commencer à cause de ses 1 600 habitants, de ses 700 logements et du fait qu’il y ait peu d’entreprises. Cette typologie est représentative de 80 % des communes en France », nous explique Laurence Thouveny, directrice d’Orange Île-de-France.

 

Lors du démarrage du “décommissionnement”, en juin 2020, il restait 120 clients du cuivre dans la commune. Chaque opérateur commercial a alors dû convaincre ses clients de passer à la fibre optique avec la garantie, pour ceux utilisant uniquement le téléphone, d’avoir des offres tarifaires similaires. Huit abonnés s’accrochent encore au cuivre mais le 31 mars, quoiqu’il arrive, Orange coupera tout.

« Il n’y a pas de difficulté technique avec l’arrêt du cuivre. Le sujet principal, c’est d’accompagner les clients et de les contacter un par un pour leur proposer des offres de substitution », résume le directeur technique et ses systèmes d’information d’Orange Marc Blanchet.

 

L’extinction du cuivre ne fait que débuter et ne devrait pas s’achever avant 2030. Ce long processus se fera par plaques, zone par zone avec des préavis extrêmement larges de plusieurs années.

Enfin, la disparition du cuivre ne signifie absolument pas la fin du téléphone fixe qui pourra tout à fait continuer à fonctionner via la fibre optique, le tout sans aucune obligation de souscrire à un abonnement Internet.

 

Après Lévis Saint Nom, deux autres villes seront choisies dans les semaines qui viennent pour continuer l’expérimentation.

 

 

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Source : 01net

 

 

 

 

Iliad rejoint l’association af2m

Le vendredi, 19 mars 2021. Posté dans Archives Rezopole

Iliad rejoint l’association af2m

Dans un communiqué l’af2m (Association Française pour le développement des services et usages Multimédias Multi-opérateurs, « salue l’adhésion d’Iliad qui rejoint Bouygues Telecom, Orange et SFR parmi ses membres opérateurs ».

 

Cette association a pour but de « développer et promouvoir des services multi-opérateurs B2B2C en veillant au respect et à la protection de l’utilisateur final » depuis plus de 15 ans. Parmi les sujets de préoccupation : la publicité segmentée, les solutions de paiement sur facture opérateur, le marketing SMS, etc.

 

Pour l’af2m « Cette adhésion est une opportunité pour l’ensemble des acteurs du digital qui pourront proposer à leurs clients professionnels (entreprises, fournisseurs de services en ligne, collectivités, associations…) des services désormais accessibles à l’ensemble des équipés mobile et Internet français ».

 

De quoi certainement préparer le lancement de l’offre B2B de l’opérateur : Free Pro. Un lancement qui serait imminent depuis des mois… mais serait enfin en train de se préciser. Pour rappel, la maison mère de Free n’est toujours pas membre de la Fédération Française des Télécoms.

 

 

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Source : Next Inpact

 

 

 

 

FttH : plus de 10 millions d’abonnements

Le vendredi, 05 mars 2021. Posté dans Archives Rezopole

FttH : plus de 10 millions d’abonnements

Les derniers chiffres trimestriels publiés par l'Arcep confirment la progression de la fibre optique sur le territoire français : « le quatrième trimestre 2020 a été marqué par une progression record de déploiement de la fibre optique (FttH) et de son adoption, qui conclut une année 2020 elle aussi record ». La barre des 10 millions d’abonnements à des offres FttH a ainsi été franchie.

 

Désormais, le nombre d’abonnements à très haut débit s’élève à 14,7 millions. Ce qui représente près de la moitié du nombre total d’abonnements Internet en France, et 51 % du nombre de locaux éligibles au très haut débit, soit une hausse de 3 points en un an.

Une progression qui est avant tout due à l’augmentation des abonnements au FttH. Avec 3,3 millions d’accès supplémentaires en 2020, le nombre d’abonnements FttH est chiffré à 10,4 millions soit 70 % du nombre total d’accès à très haut débit. Même si les abonnements à haut débit constituent toujours la majorité des abonnements à Internet, avec presque 16 millions, ils ont chuté de 2,5 millions en 2020.

Au total à la fin de l’année 2020, la France compte 30,6 millions d’abonnements à haut et très haut débit. Une progression de 285 000 en un trimestre et de 800 000 en un an (+ 2,7 %). « Une telle croissance annuelle n’avait pas été observée depuis trois ans », estime-t-on du côté de l'Arcep.

 

Une tendance qui doit beaucoup au déploiement soutenu des lignes de fibre optique de bout en bout par les opérateurs et les acteurs du secteur. Plus de 1,9 million de locaux supplémentaires ont été rendus raccordables au FttH au cours du quatrième trimestre 2020. « Plus de 5,8 millions de lignes ont été déployées au cours de l’année 2020, malgré la situation sanitaire, soit 19 % de plus qu’en 2019 », fait valoir le gendarme des télécoms.

Désormais, 24,2 millions de locaux sont éligibles aux offres FttH, soit une hausse de 31 % en un an. Cette croissance se situe majoritairement en zone moyennement dense – zone AMII (Appel à Manifestation d’Intention d’Investissement). À la fin du quatrième trimestre 2020, 28,6 millions de locaux au total étaient éligibles à des services à très haut débit, toutes technologies confondues, dont 21,7 millions en dehors des zones très denses.

 

Si le déploiement de la fibre optique va bon train, nombreux sont les foyers ou les entreprises à se plaindre d’une connectivité en berne. La faute à des défauts d’entretien ou de raccordement sur les points de mutualisation générant de nombreux problèmes de qualité de service.

Pour y remédier, les opérateurs viennent de conclure un accord qui pourrait faire date dans le secteur. Ils s’engagent ainsi à améliorer la sécurité et la qualité des interventions avec un nouveau régime de sanctions.

L’accord, annoncé par Infranum, prévoit également une prise en charge collective des frais de remise en état du réseau. De quoi freiner l’explosion des “plats de nouilles” débordant des points de mutualisation, qui pourrait à terme poser un problème majeur pour la connectivité des particuliers et des professionnels.

 

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

Raccordements fibre : un accord mais pas à l’unisson

Le vendredi, 05 mars 2021. Posté dans Archives Rezopole

Raccordements fibre : un accord mais pas à l’unisson

InfraNum vient d’annoncer « un accord majeur entre opérateurs pour améliorer la qualité des raccordements et garantir la pérennité des réseaux fibre en France ». La qualité des opérations de raccordement à la fibre optique étant en ce moment sous le feu des critiques, la fédération des industriels des infrastructures numériques s’efforce ainsi de rassurer. Un cadre a donc été mis en place et sera décliné dans de multiples accords entre fournisseurs d’accès et exploitants de réseaux… mais dont certains restent néanmoins à signer.

 

Depuis 18 mois, opérateurs d’infrastructure (OI) et opérateurs commerciaux (OC) travaillent ensemble à l’élaboration de ces nouveaux contrats Stoc (pour sous-traitance opérateur commercial). Le but étant d’améliorer un mode opératoire que tous tiennent absolument à conserver : le fournisseur d’accès à Internet (OC) réalise le raccordement de son abonné, en qualité de sous-traitant de l’exploitant du réseau (OI).

En effet, face à l’afflux de demande, ses défenseurs arguent qu’il s’agit du fonctionnement le plus efficace pour faire vite. Mais pas pour faire bien, rétorquent les détracteurs du mode Stoc dénonçant dégradations, échecs de raccordement ou coupures d’accès.

 

Le mode Stoc s’efforce donc de faire sa mue, « pour améliorer la qualité et la sécurité des interventions, les processus et la rapidité de raccordement, la formation des intervenants ». InfraNum annonce donc que les discussions entre exploitants de réseaux et FAI ont permis d’avancer sur trois axes :

  • « Améliorer la sécurité et la qualité des interventions », avec notamment la « réalisation d’audits communs et introduction de sanctions pouvant aller jusqu’à l’exclusion d’un sous-traitant en cas de manquement contractuel »
  • « Renforcer la transparence » grâce un système de suivi des interventions et un « contrôle par un système d’intelligence artificielle » du côté de l’exploitant du réseau
  • « Rééquilibrer les coûts de maintenance : entre les OI et les OC, une prise en charge collective des frais de remise en état du réseau, selon une clé de répartition approuvée par l'Arcep »

 

Si la fédération industrielle assure que « les premières signatures ont déjà eu lieu pour une généralisation rapide et une mise en place immédiate », elle concède toutefois que ce « nouveau cadre contractuel » n’est pas encore pleinement déployé.

Ainsi, les opérateurs de réseaux Axione et Altitude Infra ont signé « avec la majorité des OC » tandis que les choses sont « en bonne voie » du côté de TDF. En revanche, rien sur l’avancée des discussions du côté d’Orange et SFR, qui ont la particularité d’être à la fois opérateurs commerciaux et exploitants de réseaux, notamment en zone publique et en zone d’initiative privée.

 

Encore un peu de patience donc avant que ce nouvel accord majeur soit décliné à l’unisson sur tous les réseaux et entre tous les exploitants et les FAI. L’intérêt pour les parties prenantes étant qu’il « évite d’imposer une décision réglementaire ». L'Arcep menant actuellement une consultation sur le sujet…

 

 

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Source : DegroupTest

 

 

 

 

Numérique plus vert : le gouvernement dévoile ses plans

Le vendredi, 26 février 2021. Posté dans Archives Rezopole

Numérique plus vert : le gouvernement dévoile ses plans

Le gouvernement vient d’annoncer une “feuille de route numérique et environnement” afin de réduire l’empreinte carbone du numérique en France. Avec plusieurs mesures, ce document est le fruit de la collaboration entre les cabinets de Cédric O, secrétaire d’État au numérique, et Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique. Un fonds d’aide doté d’une enveloppe de 300 millions d’euros est également prévu.

 

Parmi ces mesures, les opérateurs télécoms devront ainsi inciter les clients à rapporter leurs mobiles non utilisés. Le but étant de les injecter dans le circuit du reconditionnement ou les diriger vers celui du recyclage.

Si se tourner vers des appareils facilement réparables (grâce à l’indice de réparatibilité en place depuis le 1er janvier 2021) ou le reconditionné (auprès d’acteurs tels que Back Mark, ReCommerce ou PRS Solution), c’est mieux mais pas l’idéal non plus. Cédric O indique : « Nous avons confié une mission à l’Arcep afin qu’elle se penche sur le modèle des smartphones subventionnés par les opérateurs télécoms. Cela est peut-être un accélérateur du renouvellement des téléphones et donc problématique pour l’environnement. Nous voulons creuser ce sujet et objectiver l’impact de ces pratiques commerciales avant de prendre d’éventuelles décisions sur le sujet ».

Le secrétaire d’État au numérique réfléchit notamment à pousser davantage « la location des smartphones auprès des opérateurs, comme cela se fait dans d’autres pays ».

 

De son côté, le gendarme des télécoms s’est vu demander la création d’un “baromètre environnemental des acteurs du numérique”. Celui-ci se basera sur les données collectées auprès d’acteurs tels que les gestionnaires de centre de données, les fabricants de smartphones et les opérateurs télécoms.

L’Arcep devra également tenir compte de l’aspect environnemental lors de l’attribution des fréquences de la 5G. De ce fait, les critères d’attribution pourraient inclure la consommation énergétique des antennes-relais, au même titre que la couverture du territoire.

 

Sans oublier les géants du Net et plus particulièrement les plates-formes vidéo populaires telles que Neflix. Barbara Pompili explique : « Quel est l’intérêt de diffuser des vidéos en très haute qualité sur des écrans de smartphones de quelques centimètres ? Il faut éviter ces pratiques aberrantes comme, par exemple, la lecture automatique des vidéos, qui entraînent des dépenses d’énergie inutiles ».

 

Le gouvernement devra lui aussi montrer l’exemple en se tournant vers le reconditionné et en soutenant la filière. « L’État doit donner l’exemple. Nous souhaitons que 20 % des commandes publiques de téléphones ou de matériels informatiques concernent des appareils reconditionnés », annonce Barbara Pompili.

 

 

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Source : Univers Freebox

 

 

 

 

Fibre : fin d’année record pour Orange et Bouygues

Le vendredi, 19 février 2021. Posté dans Archives Rezopole

Fibre : fin d’année record pour Orange et Bouygues

Les résultats publiés par Orange et Bouygues Telecom confirment l’engouement des Français pour l’Internet à Très Haut Débit. Les deux opérateurs ont vu leur nombre d’abonnés FttH exploser au cours du 4e trimestre 2020 avec des gains de 9 % pour le premier et de 16 % pour le second.

 

La fin d’année 2020 n’a jamais été aussi fructueuse pour l’opérateur historique. Avec 388 000 clients fibre supplémentaires sur les trois derniers mois de l’année, Orange comptabilise 4,5 millions d’abonnés Internet en FttH. Ce qui lui permet aussi d’asseoir sa position de numéro un sur la fibre même si son dauphin, Free, n’a pas encore publié ses résultats.

L’acte 2 du confinement a achevé de convaincre bon nombre de Français de la nécessité de se doter d’une ligne Internet à très haut débit pour faire face à la répétition de ce type de situation. Dans ce contexte, la fibre Orange étant la plus disponible, avec 22,9 millions de locaux éligibles à la fin d’année, a sans surprise été fortement sollicitée.

 

Bouygues Telecom reste un cran derrière Orange, mais aussi Free, en nombre de locaux éligibles à ses offres FttH : 17,7 millions à fin 2020. C’est tout de même 6 millions de plus en un an, ce qui, conjugué à l’effet confinement et au fait qu’il parte de plus loin, n’est pas étranger à l’impressionnante progression affichée par l’opérateur.

En effet, la marque télécom du groupe Bouygues est passée de 1 million à 1,6 million de clients Internet en fibre optique en seulement un an. Soit un bond de 60 % auquel a largement contribué le 4e trimestre puisque 226 000 abonnés FttH sont venus grossir les rangs sur la période.

 

Au total, près de 40 % des 4,2 millions de foyers surfant chez Bouygues disposent de la fibre optique, soit un taux de pénétration similaire à celui d’Orange et Free. Avec un contexte si porteur pour la fibre, la marque d’Iliad devrait sans nul doute battre des records au 4e trimestre, et approcher le cap symbolique des 3 millions d’abonnés fibre. Réponse lors de son bilan 2020, prévu le mois prochain.

 

 

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Source : DegroupTest

 

 

 

 

Réseaux mobiles : fracture territoriale toujours d’actualité

Le vendredi, 12 février 2021. Posté dans Archives Rezopole

Réseaux mobiles : fracture territoriale toujours d’actualité

Le bilan annuel de la qualité d’expérience des services proposés par les opérateurs mobiles en France métropolitaine vient d’être publié par le cabinet spécialisé Qosi. Ce document est destiné à rendre compte de l’expérience des utilisateurs sur les réseaux 2G, 3G et 4G commercialisés par les opérateurs au cours de l’année 2020.

 

Cette étude est basée sur les remontées de terrain de 42 000 contributeurs répartis dans 20 000 communes de France. Et les résultats rendent compte d’une disparité de plus en plus grande des situations, que l’on soit à la campagne ou à la ville. En 2020, 23 % des communes de métropole disposent de réseau 4G de faible qualité, avec une large majorité de débits inférieurs à 10 Mb/s. Pire encore, 3 % des communes sondées ne disposent pas d’un quelconque réseau data exploitable… autant de communes qui se trouvent à 95 % en zone rurale.

 

À noter tout de même que la qualité de service des réseaux mobiles ne cesse de s’améliorer, en ville comme à la campagne. Concernant les débits descendants par exemple, Orange a pris une longueur d’avance sur ses concurrents en 2020, avec le meilleur débit moyen au niveau national. L’opérateur historique est suivi par SFR, puis Bouygues et enfin Free.

Malgré une amélioration généralisée, celle-ci ne suffit toujours pas à creuser le fossé béant qui sépare désormais les connexions des ruraux et des urbains.

Prenons le cas d’Orange. Même en améliorant ses débits descendants de 10 Mb/s dans toutes les zones géographiques, cela reste insuffisant pour résorber l’écart entre la qualité de service observée en milieu rural et en milieu urbain. L’opérateur est ainsi celui avec la plus forte disparité de débits entre les différentes strates de la population.

À l’inverse, Free progresse de manière uniforme sur l’ensemble du territoire ce qui en fait l’opérateur proposant la qualité de service la plus homogène.

 

Même son de cloche pour les débits montants. Orange présente le meilleur débit moyen montant au niveau national. Mais la différence de traitement restera forte selon que les utilisateurs se trouvent en milieu urbain ou rural. Malgré cela, l’opérateur historique s’impose comme celui qui présente les meilleurs débits pour toutes les strates de population. Suit Bouygues Telecom, talonné par SFR puis Free.

 

Cette fracture territoriale se retrouve logiquement dans les résultats de la qualité de service proposée par les opérateurs sur la navigation web. Au niveau national, la proportion de pages affichées en moins de 10 secondes est de 92 % pour Orange, 89 % pour Bouygues Telecom et SFR et de 86 % pour Free. Et là encore, la zone rurale décroche de 5 à 10 points par rapport aux zones urbaines. De quoi pousser les opérateurs à redoubler d’efforts pour espérer enfin combler la fracture numérique en 2021.

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

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