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Iliad veut racheter UPC Poland

Le vendredi, 24 septembre 2021. Posté dans News Rezopole

Iliad veut racheter UPC Poland

L’intégration de l’opérateur polonais Play étant terminée, la société de Xavier Niel lance le rachat du câblo-opérateur UPC Poland. Ce dernier est présenté comme « l’un des principaux fournisseurs d’accès à Internet de Pologne avec 3,7 millions de foyers couverts en Fibre et 1,5 million d’abonnés ».

 

Une transaction estimée à 7,0 milliards de zlotys, ce qui représente 1,53 milliard d’euros. « La transaction sera financée en dette et trésorerie disponible au niveau de Play ». La finalisation est attendue pour le 1er semestre 2022, après approbation des autorités compétentes. UPC Poland sera alors une filiale de Play.

 

 

 

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Source : NextInpact

 

 

 

 

Xavier Niel veut retirer Iliad de la Bourse

Le vendredi, 30 juillet 2021. Posté dans Archives Rezopole

Xavier Niel veut retirer Iliad de la Bourse

Le fondateur et actionnaire majoritaire d’Iliad, Xavier Niel, a décidé de renforcer son contrôle sur le groupe Télécom en lançant une opération de rachat d’actions. L’objectif étant de retirer le titre de la Bourse.

Cette offre publique d’achat simplifiée, visant à détenir l’ensemble des actions non détenues, est fixée à 182 euros l’action soit environ 60 % au-dessus du dernier cours. Cette annonce faisait mécaniquement s’envoler le titre Iliad de 61 % à la Bourse de Paris dans les premiers échanges vendredi 30 juillet au matin.

 

L’opération est initiée par HoldCo II, une société contrôlée par Xavier Niel. Il détient ainsi, directement et indirectement, 70,6 % du capital et 78,7 % des droits de vote de la société.

Xavier Niel et les cadres dirigeants et actionnaires historiques d’Iliad, qui se sont engagés à apporter leurs actions à l’offre, détiennent directement et indirectement 74,9 % du capital et 83,6 % des droits de vote du groupe. « À l’issue de l’offre, si le nombre d’actions non présentées à l’offre ne représente pas plus de 10 % du capital et des droits de vote d’Iliad, HoldCo II demandera à l’Autorité des marchés financiers la mise en œuvre d’une procédure de retrait obligatoire », a indiqué l’entreprise dans un communiqué.

 

Fondée en 1999, la maison mère de l’opérateur Free est présente en France, en Italie et en Pologne. Sixième opérateur mobile européen en nombre d’abonnés, Iliad compte 42,7 millions d’abonnés et a généré un chiffre d’affaires de 5,9 milliards d’euros en 2020.

« Désormais, la nouvelle phase de développement d’Iliad exige des transformations rapides et des investissements significatifs qui seront plus aisément menés à bien en tant que société non cotée. Notre ambition pour Iliad nous pousse à accélérer son développement pour en faire un leader des télécommunications en Europe », a indiqué Xavier Niel dans un communiqué.

 

Une opération non isolée dans le secteur des Télécom. En effet en janvier dernier, Patrick Drahi, fondateur et actionnaire majoritaire du groupe Altice, a également retiré de la cote son groupe européen (SFR, RMC, BFMTV…). L’opération devait permettre à Altice Europe de mettre en place plus facilement sa stratégie et de mieux se concentrer sur des objectifs de long terme, sans avoir ses performances trimestrielles scrutées par les marchés.

 

 

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Source : Challenges

 

 

 

 

Opérateurs : les plaintes des Français ont augmenté en 2020

Le vendredi, 07 mai 2021. Posté dans Archives Rezopole

Opérateurs : les plaintes des Français ont augmenté en 2020

Avec plus de 33 000 alertes de consommateurs via la plateforme “J’alerte l’Arcep” en 2020, le gendarme des télécoms révèle une hausse des plaintes de 37,5 % par rapport à 2019.

 

Parmi les 4 opérateurs (Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free), le plus mauvais élève a été Free en générant le plus de requêtes négatives de la part des Français. Il prend ainsi la place de SFR. Dans le détail, Bouygues Telecom a connu 19 alertes pour 100 000 clients. C’est 25 pour Orange, 26 pour SFR et 29 pour Free.

 

Les Français ont beaucoup plus utilisé Internet en 2020, avec les différents confinements, et ont constaté bien des problèmes. « Les signalements reçus concernent, cette année encore, le plus fréquemment la qualité de service, service après-vente (SAV) compris. Viennent ensuite l’insatisfaction quant aux évolutions des réseaux (déploiement de la fibre, couverture mobile insuffisante, etc.) en particulier le déploiement de la fibre, suivi par les pratiques commerciales des opérateurs et les difficultés rencontrées lors d’un changement d’opérateur », explique l’Arcep.

 

De manière générale, la satisfaction des Français a baissé. Si la moyenne des opérateurs était de 7,65/10 en 2019, ce fut 7,5/10 en 2020.

Les écarts les plus importants se trouvent dans le fixe. Les clients de SFR attribuent une note de satisfaction de 6,8/10 à SFR contre 7,5/10 à Orange.

Concernant le mobile, les notes s’échelonnent 7,4 pour SFR à 7,8 pour Orange et Free.

Tandis que les services clients des opérateurs sont globalement mal notés. Free tire son épingle du jeu avec un 2,6/5 quand SFR clôt le banc avec un piteux 1,8/5.

 

 

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Source : Journal du Geek

 

 

 

 

Sites 5G ouverts : Orange et Free toujours très en avance

Le vendredi, 16 avril 2021. Posté dans Archives Rezopole

Sites 5G ouverts : Orange et Free toujours très en avance

L’Arcep a publié son observatoire des déploiements commerciaux 5G le 14 avril dernier. Au 31 mars, les opérateurs ont commercialement ouvert 12 917 sites 5G, dont 2 838 en bande 3,5 GHz. Si l’analyse des courbes des opérateurs montrent que personne ne néglige la technologie de cinquième génération, tous n’avancent pas au même rythme.

 

Avec près de 13 000 sites ouverts en 5G en France fin mars, le déploiement du réseau mobile est soutenu. En à peine quelques mois, les opérateurs se sont assurés de couvrir des millions d’abonnés potentiels, et l’Arcep évoque même une progression « régulière pour les premiers mois de 2021 ».

 

Orange a activé le plus de sites et antennes dans la “bande cœur” 5G avec 1 105 sites en 3,5 GHz. L’opérateur historique soutient aussi ce déploiement à l’aide de la technologie 2,1 GHz (fréquences moyennes), permettant ainsi d’obtenir des débits équivalents à la 4G puisqu’elle exploite une bande déjà en fonction. D’ici 2023, cette bande intermédiaire donnera accès aux nouveaux services 5G dans les zones actuelles 4G.

 

Free Mobile continue de tirer son épingle du jeu. Si l’opérateur fondé par Xavier Niel a activé moins de sites en 3,5 GHz qu’Orange (824 contre 1 105), il est celui à avoir ouvert commercialement le plus de sites en France : 8 074 au total, soit 1 030 sites supplémentaires en un mois, contre 338 pour Orange.

Contrairement à ses trois concurrents, Free mise toujours très fort sur les fréquences basses (700 MHz). Plus de 7 000 sites ont été ouverts dans cette bande aux débits moindres mais qui présente l’avantage de mieux pénétrer dans les bâtiments.

 

En ce qui concerne les deux autres opérateurs. Bouygues Telecom conserve un temps d’avance sur SFR, et même sur Orange au nombre total de sites, d’un point de vue statistique. L’opérateur – filiale du géant français du BTP – a activé au total 2 263 sites, dont 491 en 3,5 GHz et 2 091 en 2,1 GHz.

En nombre de sites 5G ouverts en 3,5 GHz, SFR fait jeu égal avec Bouygues Telecom avec un total de 418. Mais l’opérateur au carré rouge est nettement derrière pour les sites complémentaires. En effet, il a ouvert commercialement 778 sites en 2,1 GHz. Soit un total de 1 196 sites 5G activés toutes fréquences confondues. Ce qui place, au final, SFR assez loin de son premier concurrent.

 

 

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Source : Clubic

 

 

 

 

Free défie Orange avec une offre agressive pour les pros

Le vendredi, 26 mars 2021. Posté dans Archives Rezopole

Free défie Orange avec une offre agressive pour les pros

Le 23 mars dernier, Free a annoncé ses offres commerciales à destination des entreprises : Free Pro. Une offre notamment destinée aux TPE, PME mais aussi les collectivités et entrepreneurs individuels, ne disposant pas des ressources suffisantes pour se fournir chez ses concurrents.

 

La Free Pro mettra à disposition des professionnels une Freebox 100 % fibre optique 10 EPON, disposant d’un WiFi tri-band associé à un répéteur. Afin de garantir une connexion Internet même en cas de coupure, cette box dispose d’un modem 4G externe et repose à la fois sur le réseau fibré de Free et celui de Jaguar Network. On y retrouve également une fonction NAS permettant de sauvegarder jusqu’à 200 Go de données dans le Cloud, du WiFi 5 et une protection WPA3 standard.

 

Free espère faire la différence grâce à la fiabilité, supposée, de son matériel : la box est dotée d’un OS dédié qui est capable de s’auto-diagnostiquer grâce à l’IA. L’opérateur s’engage aussi à fournir une assistance en ligne en moins de huit heures avec un support dédié basé en France. Cette offre inclut deux lignes fixes, avec appels illimités vers les mobiles en France et dans plus de 100 destinations autour du monde, ainsi qu’un forfait mobile 4G/5G illimité.

 

L’opérateur en profite également pour lancer une offre mobile pour les professionnels, laquelle ne diffère pas réellement de son offre grand public. Pour 19,99 €/mois, on profite de 150 Go de data en 4G/5G, 25 Go en roaming depuis plus de 70 destinations et les appels illimités vers mobiles et fixes vers plus de 100 destinations internationales. La subtilité, c’est son service client dédié aux professionnels, accessible 7j/7 de 7h à 20h, avec l’engagement d’obtenir une réponse sous huit heures.

 

 

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Source : Journal du Geek

 

 

 

 

Iliad rejoint l’association af2m

Le vendredi, 19 mars 2021. Posté dans Archives Rezopole

Iliad rejoint l’association af2m

Dans un communiqué l’af2m (Association Française pour le développement des services et usages Multimédias Multi-opérateurs, « salue l’adhésion d’Iliad qui rejoint Bouygues Telecom, Orange et SFR parmi ses membres opérateurs ».

 

Cette association a pour but de « développer et promouvoir des services multi-opérateurs B2B2C en veillant au respect et à la protection de l’utilisateur final » depuis plus de 15 ans. Parmi les sujets de préoccupation : la publicité segmentée, les solutions de paiement sur facture opérateur, le marketing SMS, etc.

 

Pour l’af2m « Cette adhésion est une opportunité pour l’ensemble des acteurs du digital qui pourront proposer à leurs clients professionnels (entreprises, fournisseurs de services en ligne, collectivités, associations…) des services désormais accessibles à l’ensemble des équipés mobile et Internet français ».

 

De quoi certainement préparer le lancement de l’offre B2B de l’opérateur : Free Pro. Un lancement qui serait imminent depuis des mois… mais serait enfin en train de se préciser. Pour rappel, la maison mère de Free n’est toujours pas membre de la Fédération Française des Télécoms.

 

 

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Source : Next Inpact

 

 

 

 

Raccordements fibre : un accord mais pas à l’unisson

Le vendredi, 05 mars 2021. Posté dans Archives Rezopole

Raccordements fibre : un accord mais pas à l’unisson

InfraNum vient d’annoncer « un accord majeur entre opérateurs pour améliorer la qualité des raccordements et garantir la pérennité des réseaux fibre en France ». La qualité des opérations de raccordement à la fibre optique étant en ce moment sous le feu des critiques, la fédération des industriels des infrastructures numériques s’efforce ainsi de rassurer. Un cadre a donc été mis en place et sera décliné dans de multiples accords entre fournisseurs d’accès et exploitants de réseaux… mais dont certains restent néanmoins à signer.

 

Depuis 18 mois, opérateurs d’infrastructure (OI) et opérateurs commerciaux (OC) travaillent ensemble à l’élaboration de ces nouveaux contrats Stoc (pour sous-traitance opérateur commercial). Le but étant d’améliorer un mode opératoire que tous tiennent absolument à conserver : le fournisseur d’accès à Internet (OC) réalise le raccordement de son abonné, en qualité de sous-traitant de l’exploitant du réseau (OI).

En effet, face à l’afflux de demande, ses défenseurs arguent qu’il s’agit du fonctionnement le plus efficace pour faire vite. Mais pas pour faire bien, rétorquent les détracteurs du mode Stoc dénonçant dégradations, échecs de raccordement ou coupures d’accès.

 

Le mode Stoc s’efforce donc de faire sa mue, « pour améliorer la qualité et la sécurité des interventions, les processus et la rapidité de raccordement, la formation des intervenants ». InfraNum annonce donc que les discussions entre exploitants de réseaux et FAI ont permis d’avancer sur trois axes :

  • « Améliorer la sécurité et la qualité des interventions », avec notamment la « réalisation d’audits communs et introduction de sanctions pouvant aller jusqu’à l’exclusion d’un sous-traitant en cas de manquement contractuel »
  • « Renforcer la transparence » grâce un système de suivi des interventions et un « contrôle par un système d’intelligence artificielle » du côté de l’exploitant du réseau
  • « Rééquilibrer les coûts de maintenance : entre les OI et les OC, une prise en charge collective des frais de remise en état du réseau, selon une clé de répartition approuvée par l'Arcep »

 

Si la fédération industrielle assure que « les premières signatures ont déjà eu lieu pour une généralisation rapide et une mise en place immédiate », elle concède toutefois que ce « nouveau cadre contractuel » n’est pas encore pleinement déployé.

Ainsi, les opérateurs de réseaux Axione et Altitude Infra ont signé « avec la majorité des OC » tandis que les choses sont « en bonne voie » du côté de TDF. En revanche, rien sur l’avancée des discussions du côté d’Orange et SFR, qui ont la particularité d’être à la fois opérateurs commerciaux et exploitants de réseaux, notamment en zone publique et en zone d’initiative privée.

 

Encore un peu de patience donc avant que ce nouvel accord majeur soit décliné à l’unisson sur tous les réseaux et entre tous les exploitants et les FAI. L’intérêt pour les parties prenantes étant qu’il « évite d’imposer une décision réglementaire ». L'Arcep menant actuellement une consultation sur le sujet…

 

 

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Source : DegroupTest

 

 

 

 

Numérique plus vert : le gouvernement dévoile ses plans

Le vendredi, 26 février 2021. Posté dans Archives Rezopole

Numérique plus vert : le gouvernement dévoile ses plans

Le gouvernement vient d’annoncer une “feuille de route numérique et environnement” afin de réduire l’empreinte carbone du numérique en France. Avec plusieurs mesures, ce document est le fruit de la collaboration entre les cabinets de Cédric O, secrétaire d’État au numérique, et Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique. Un fonds d’aide doté d’une enveloppe de 300 millions d’euros est également prévu.

 

Parmi ces mesures, les opérateurs télécoms devront ainsi inciter les clients à rapporter leurs mobiles non utilisés. Le but étant de les injecter dans le circuit du reconditionnement ou les diriger vers celui du recyclage.

Si se tourner vers des appareils facilement réparables (grâce à l’indice de réparatibilité en place depuis le 1er janvier 2021) ou le reconditionné (auprès d’acteurs tels que Back Mark, ReCommerce ou PRS Solution), c’est mieux mais pas l’idéal non plus. Cédric O indique : « Nous avons confié une mission à l’Arcep afin qu’elle se penche sur le modèle des smartphones subventionnés par les opérateurs télécoms. Cela est peut-être un accélérateur du renouvellement des téléphones et donc problématique pour l’environnement. Nous voulons creuser ce sujet et objectiver l’impact de ces pratiques commerciales avant de prendre d’éventuelles décisions sur le sujet ».

Le secrétaire d’État au numérique réfléchit notamment à pousser davantage « la location des smartphones auprès des opérateurs, comme cela se fait dans d’autres pays ».

 

De son côté, le gendarme des télécoms s’est vu demander la création d’un “baromètre environnemental des acteurs du numérique”. Celui-ci se basera sur les données collectées auprès d’acteurs tels que les gestionnaires de centre de données, les fabricants de smartphones et les opérateurs télécoms.

L’Arcep devra également tenir compte de l’aspect environnemental lors de l’attribution des fréquences de la 5G. De ce fait, les critères d’attribution pourraient inclure la consommation énergétique des antennes-relais, au même titre que la couverture du territoire.

 

Sans oublier les géants du Net et plus particulièrement les plates-formes vidéo populaires telles que Neflix. Barbara Pompili explique : « Quel est l’intérêt de diffuser des vidéos en très haute qualité sur des écrans de smartphones de quelques centimètres ? Il faut éviter ces pratiques aberrantes comme, par exemple, la lecture automatique des vidéos, qui entraînent des dépenses d’énergie inutiles ».

 

Le gouvernement devra lui aussi montrer l’exemple en se tournant vers le reconditionné et en soutenant la filière. « L’État doit donner l’exemple. Nous souhaitons que 20 % des commandes publiques de téléphones ou de matériels informatiques concernent des appareils reconditionnés », annonce Barbara Pompili.

 

 

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Source : Univers Freebox

 

 

 

 

Fibre : fin d’année record pour Orange et Bouygues

Le vendredi, 19 février 2021. Posté dans Archives Rezopole

Fibre : fin d’année record pour Orange et Bouygues

Les résultats publiés par Orange et Bouygues Telecom confirment l’engouement des Français pour l’Internet à Très Haut Débit. Les deux opérateurs ont vu leur nombre d’abonnés FttH exploser au cours du 4e trimestre 2020 avec des gains de 9 % pour le premier et de 16 % pour le second.

 

La fin d’année 2020 n’a jamais été aussi fructueuse pour l’opérateur historique. Avec 388 000 clients fibre supplémentaires sur les trois derniers mois de l’année, Orange comptabilise 4,5 millions d’abonnés Internet en FttH. Ce qui lui permet aussi d’asseoir sa position de numéro un sur la fibre même si son dauphin, Free, n’a pas encore publié ses résultats.

L’acte 2 du confinement a achevé de convaincre bon nombre de Français de la nécessité de se doter d’une ligne Internet à très haut débit pour faire face à la répétition de ce type de situation. Dans ce contexte, la fibre Orange étant la plus disponible, avec 22,9 millions de locaux éligibles à la fin d’année, a sans surprise été fortement sollicitée.

 

Bouygues Telecom reste un cran derrière Orange, mais aussi Free, en nombre de locaux éligibles à ses offres FttH : 17,7 millions à fin 2020. C’est tout de même 6 millions de plus en un an, ce qui, conjugué à l’effet confinement et au fait qu’il parte de plus loin, n’est pas étranger à l’impressionnante progression affichée par l’opérateur.

En effet, la marque télécom du groupe Bouygues est passée de 1 million à 1,6 million de clients Internet en fibre optique en seulement un an. Soit un bond de 60 % auquel a largement contribué le 4e trimestre puisque 226 000 abonnés FttH sont venus grossir les rangs sur la période.

 

Au total, près de 40 % des 4,2 millions de foyers surfant chez Bouygues disposent de la fibre optique, soit un taux de pénétration similaire à celui d’Orange et Free. Avec un contexte si porteur pour la fibre, la marque d’Iliad devrait sans nul doute battre des records au 4e trimestre, et approcher le cap symbolique des 3 millions d’abonnés fibre. Réponse lors de son bilan 2020, prévu le mois prochain.

 

 

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Source : DegroupTest

 

 

 

 

Réseaux mobiles : fracture territoriale toujours d’actualité

Le vendredi, 12 février 2021. Posté dans Archives Rezopole

Réseaux mobiles : fracture territoriale toujours d’actualité

Le bilan annuel de la qualité d’expérience des services proposés par les opérateurs mobiles en France métropolitaine vient d’être publié par le cabinet spécialisé Qosi. Ce document est destiné à rendre compte de l’expérience des utilisateurs sur les réseaux 2G, 3G et 4G commercialisés par les opérateurs au cours de l’année 2020.

 

Cette étude est basée sur les remontées de terrain de 42 000 contributeurs répartis dans 20 000 communes de France. Et les résultats rendent compte d’une disparité de plus en plus grande des situations, que l’on soit à la campagne ou à la ville. En 2020, 23 % des communes de métropole disposent de réseau 4G de faible qualité, avec une large majorité de débits inférieurs à 10 Mb/s. Pire encore, 3 % des communes sondées ne disposent pas d’un quelconque réseau data exploitable… autant de communes qui se trouvent à 95 % en zone rurale.

 

À noter tout de même que la qualité de service des réseaux mobiles ne cesse de s’améliorer, en ville comme à la campagne. Concernant les débits descendants par exemple, Orange a pris une longueur d’avance sur ses concurrents en 2020, avec le meilleur débit moyen au niveau national. L’opérateur historique est suivi par SFR, puis Bouygues et enfin Free.

Malgré une amélioration généralisée, celle-ci ne suffit toujours pas à creuser le fossé béant qui sépare désormais les connexions des ruraux et des urbains.

Prenons le cas d’Orange. Même en améliorant ses débits descendants de 10 Mb/s dans toutes les zones géographiques, cela reste insuffisant pour résorber l’écart entre la qualité de service observée en milieu rural et en milieu urbain. L’opérateur est ainsi celui avec la plus forte disparité de débits entre les différentes strates de la population.

À l’inverse, Free progresse de manière uniforme sur l’ensemble du territoire ce qui en fait l’opérateur proposant la qualité de service la plus homogène.

 

Même son de cloche pour les débits montants. Orange présente le meilleur débit moyen montant au niveau national. Mais la différence de traitement restera forte selon que les utilisateurs se trouvent en milieu urbain ou rural. Malgré cela, l’opérateur historique s’impose comme celui qui présente les meilleurs débits pour toutes les strates de population. Suit Bouygues Telecom, talonné par SFR puis Free.

 

Cette fracture territoriale se retrouve logiquement dans les résultats de la qualité de service proposée par les opérateurs sur la navigation web. Au niveau national, la proportion de pages affichées en moins de 10 secondes est de 92 % pour Orange, 89 % pour Bouygues Telecom et SFR et de 86 % pour Free. Et là encore, la zone rurale décroche de 5 à 10 points par rapport aux zones urbaines. De quoi pousser les opérateurs à redoubler d’efforts pour espérer enfin combler la fracture numérique en 2021.

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

Cellnex s’offre Hivory, la TowerCo d'Altice

Le vendredi, 05 février 2021. Posté dans Archives Rezopole

Cellnex s’offre Hivory, la TowerCo d'Altice

L’espagnol Cellnex vient de se porter acquéreur de l’ensemble du portefeuille de 10 500 sites mobiles français d'Hivory, la TowerCo de SFR. Effective d’ici au second semestre 2021 et sous réserve de validation par les autorités, l’opération été valorisée à 5,2 milliards d’euros pour Cellnex. Elle comprendra également un programme d’investissements complémentaires de 900 millions d’euros pour déployer 2 500 nouveaux sites d’ici à 2029.

 

Avec cette transaction, Cellnex se place aux avants-postes du marché des infrastructures mobiles en France. Présent en France depuis 2016 via sa branche locale, le groupe comptait début 2020 plus de 9 000 sites mobiles répartis dans tout l’Hexagone. L’acquisition d'Hivory place Cellnex dans la peau du leader du secteur, avec près de 20 000 sites mobiles (antennes et toits-terrasses) sur le territoire.

 

Comme lors des accords conclus par Bouygues Telecom puis Free avec Cellnex, SFR devrait rester locataire de son ancien réseau d’infrastructures mobiles pour une durée d’au moins 18 ans, renouvelable par périodes de 5 ans.

L’accord conclu avec SFR illustre les fortes ambitions du groupe en France et en Europe. Le champion espagnol des infrastructures mobiles vient donc de s’offrir l’un de ses principaux concurrents sur le marché français.

 

Ne reste plus désormais que TDF et la future TowerCo d’Orange France sur le marché français pour faire face au géant espagnol. Ce qui place ce dernier en position confortable, avant sa nouvelle augmentation de capital. Celle-ci doit lui permettre de financer un portefeuille de projets d’acquisition dont une partie a déjà été engagée pour l’acquisition d’Hivory en France et l’intégration des sites de Deutsche Telekom aux Pays-Bas.

 

Au titre de son exercice 2019, le groupe a enregistré un chiffre d’affaires global en hausse de 15 % sur l’année ainsi qu’un EBITDA en hausse de 16 % par rapport à l’exercice précédent. Présent en Espagne, en Italie, aux Pays-Bas, en France, en Suisse, en Grande-Bretagne, en Irlande, au Portugal, en Autriche, au Danemark et en Suède, l’ogre espagnol a aujourd’hui la main sur un parc de 120 000 sites, dont 75 000 sont opérationnels, les autres étant en cours d’acquisition ou de déploiement d’ici à 2028.

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

Les tarifs d’accès au réseau de SFR revus à la baisse

Le vendredi, 08 janvier 2021. Posté dans Archives Rezopole

Les tarifs d’accès au réseau de SFR revus à la baisse

En juillet 2020, Free saisissait l'Arcep en lui réclamant de préciser les conditions d’accès des acteurs du marché au réseau FttH de SFR en zone moins dense d’initiative privée (AMII). La filiale d’Iliad réclamait l’encadrement des tarifs exigés par SFR pour accéder à la partie terminale de son réseau en limitant toute hausse à la seule application de l’indexation prévue par le contrat de mutualisation noué entre les deux opérateurs et en conditionnant toute évolution au-delà de ce barème à la signature d’un avenant « négocié de bonne foi ».

 

Un sujet brûlant car déjà en avril dernier, l'Arcep se disait prête à remettre « les points sur les i » dans le dossier de la hausse des tarifs de raccordement au réseau fibre de SFR dans les zones privées. En effet, l’Autorité avait déjà exigé de la marque au carré rouge l’annulation de la hausse de ses tarifs en vigueur depuis le début d’année 2020 après avoir été saisie par Bouygues Telecom à l’hiver dernier.

 

Free qui exigeait donc la révision des tarifs de cofinancement reclamés par SFR, en zone AMII, afin qu’ils ne dépassent pas 5,12 € par ligne et par mois (ou 513,6 € par ligne pour le tarif non récurrent) pour un cofinancement à hauteur de 20 %.

Une demande acceptée par l'Arcep, qui a demandé à SFR d’ajuster ses tarifs dans les zones AMII mais également dans les zones AMEL. Le gendarme des télécoms justifie cette position en indiquant que la branche d’infrastructure de SFR « n’a pas produit d’éléments spécifiques permettant d’appréhender ses coûts » et estimant que les hausses de tarifs d’accès doivent « être justifiés par des éléments de coûts ».

 

Comme dans le différend opposant Bouygues Telecom à SFR, l'Arcep a enjoint la marque au carré rouge de revenir à ses tarifs de cofinancement pratiqués avant le mois de février 2020. Elle a toutefois la possibilité de les ajuster de manière beaucoup plus modeste par voie d’avenant. Une décision très attendue par certains acteurs du secteur, pour qui il en allait de la survie du principe de mutualisation de la partie terminale des réseaux fibre d’Orange et de SFR, en vigueur depuis 2008.

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

IPv6 disponible pour les utilisateurs Free mobile

Le jeudi, 31 décembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

IPv6 disponible pour les utilisateurs Free mobile

Free restait à la traîne concernant l’activation du support de l’IPv6 sur le mobile mais la donne vient néanmoins de changer. En effet, une nouvelle option est apparue dans l’espace abonné Free Mobile permettant de l’activer.

 

Le passage à IPv6 est un sujet de longue date pour les opérateurs puisque cela fait plusieurs années que la pénurie d’adresse IPv4 se fait sentir. L’utilisation de la nouvelle norme d’adresse IP permet de résoudre le problème ; le nouveau protocole disposant d’un stock quasi illimité d’adresse IP attribuables aux appareils.

 

Début décembre, l’Arcep a mis à jour son baromètre de la transition IPv6 en France. En la matière, Bouygues fait figure de bon élève avec 87 % de clients Android et 98 % de clients iOS activés en IPv6. En second arrivait Orange avec 35 % sur Android et 60 % sur iOS, tandis que sur SFR, seul 0,2 % des clients Android avaient activé IPv6. Free était bon dernier, l’activation IPv6 n’étant tout simplement pas disponible jusque-là pour les clients mobiles du FAI.

 

Si sur le mobile, Free fait figure de mauvais élève, l’opérateur se rattrape en revanche sur les réseaux Internet fixe avec 99 % de ses clients disposant d’une connexion IPv6 activée. On retrouve ensuite Orange avec 75 %, puis Bouygues à 28 % et SFR à 1,6 %.

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

IPv6 progresse doucement en France

Le jeudi, 10 décembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

IPv6 progresse doucement en France

Malgré la pénurie d’adresses IPv4, l’Arcep dresse un bilan mitigé de la transition vers le protocole réseau IPv6. Dans son baromètre annuel, le gendarme des Télécom constate les progrès des opérateurs sur le fixe, en particulier Free, et dans une moindre mesure, Orange. Si tous les deux présentent des taux élevés de clients activés en IPv6, SFR paraît à la traîne tandis que Bouygues Telecom doit accélérer ses efforts.

Concernant le mobile, Bouygues Telecom a fourni le plus d’efforts, suivi par Orange. Du côté de SFR, on met les bouchées doubles pour rattraper le retard alors que Free Mobile n’a toujours pas entamé de transition.

 

Cependant c’est le taux d’hébergement mail qui alarme le plus l’Arcep. En effet, seul Google se démarque avec plus de 95 % de noms de domaines en IPv6 pour les serveurs de courriels.

 

Aujourd’hui, la France se situerait au dixième rang du Top 30 mondial en matière de taux d’utilisation d’IPv6. Elle se classerait en cinquième position, derrière la Belgique, l’Allemagne, la Grèce et la Suisse au niveau européen.

 

 

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Source : 01Net

 

 

 

 

L'Arcep rabote les prix de gros de SFR sur la fibre optique

Le vendredi, 20 novembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

L'Arcep rabote les prix de gros de SFR sur la fibre optique

Après dix mois de procédure, l'Arcep a donné raison à Bouygues Telecom au sujet des prix de gros facturés par SFR FTTH aux autres opérateurs nationaux ou régionaux. Ces derniers se greffent sur le réseau de fibre optique de SFR dans les campagnes afin de pouvoir proposer cette technologie dans les zones où leurs propres réseaux sont moins développés.

 

L'Arcep avait été saisie en janvier dernier par l’opérateur de Martin Bouygues, après une hausse des prix côté SFR. En effet, pour accéder à un “paquet” de lignes de SFR, les opérateurs devaient payer 5,80 euros par ligne et par mois, contre 5,48 euros pour Orange. Les prix de la location à la ligne avaient eux augmenté pour atteindre 16,40 euros par mois et par ligne.

SFR FTTH a pu augmenter ses prix car, en matière de fibre optique, seuls les tarifs d’Orange sont régulés. De son côté, Bouygues Telecom exigeait deux choses : le retour aux tarifs en vigueur avant la hausse du 1er février 2020 et une baisse des prix de location à la ligne, avec une fourchette allant de 12,20 euros à 13,20 euros.

 

Le régulateur lui a donné raison sur ces deux sujets. SFR va donc devoir proposer à Bouygues Telecom un avenant au contrat pour rétablir les anciens tarifs dans un délai d’un mois. Concernant la location à la ligne, SFR est tenu de proposer un nouveau tarif à Bouygues ne devant pas dépasser 13,20 euros par mois et par ligne.

 

Un vrai revers pour SFR qui, fin 2018, avait vendu la moitié de son réseau de fibre optique dans les campagnes à trois fonds. Ces derniers avaient payé très cher pour cet actif, sans doute alléchés par la promesse de revenus locatifs élevés et de long terme.

Or deux ans plus tard, l’opérateur doit raboter ses prix. Et à cela s’ajoute le fait que Free a lui aussi saisi l'Arcep sur le même sujet.

 

 

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Source : Les Échos

 

 

 

 

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