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Kosc contre-attaque devant le Conseil d’État

Le vendredi, 13 septembre 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX Archives LyonIX

Kosc contre-attaque devant le Conseil d’État

Débouté face à Altice, Kosc conteste la décision prise par l’Autorité de la concurrence. En effet, saisi à l’occasion de la cession du réseau cuivre de Completel, le gendarme de la concurrence a rendu la semaine dernière son verdict : « aucun élément ne permet de définir qu'Altice à commis une faute au regard de ses obligations ».

 

Un coup dur pour le fournisseur de gros de services télécoms aux opérateurs du marché entreprise qui dénonce depuis des mois les retards de livraison de la maison-mère de SFR. Une décision d’autant plus difficile à encaisser que son équation financière s’est ainsi sensiblement compliquée.

 

Mais l’opérateur n’entend pas en rester là puisqu’il « récuse », dans un communiqué, le verdict de l’Autorité de la Concurrence et annonce porter l’affaire devant le Conseil d’État. Une saisine « motivée par les nombreuses irrégularités qui ont émaillé le suivi du dossier par l’Autorité de la Concurrence, parmi lesquelles la durée inexpliquée de son instruction dans un contexte d’urgence et la probable violation de son secret ».

De plus, la société estime que l’abandon de la Banque des Territoires (groupe Caisse des dépôts), l’un de ses principaux soutiens, ne peut s’expliquer que par une connaissance du résultat favorable à Altice – SFR en amont.

 

Kosc met en garde contre une perspective de consolidation s’estimant désormais la « cible privilégiée d’une acquisition hostile » au regard de sa fragilité financière. Une opération qui « refermerait de facto le marché des télécommunications d’entreprises au détriment non seulement de l’écosystème de centaines d’opérateurs de services numériques aux entreprises mais aussi du début de rattrapage du retard en matière de numérisation des PME et TPE françaises », avertit l’opérateur.

 

 

 

 

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Source : DegroupNews

 

 

 

 

Arcep : Orange " attaque le modèle français de régulation "

Le vendredi, 13 septembre 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX Archives LyonIX

Arcep : Orange

Dans sa newsletter de lundi, le collège de l'Arcep a publié un édito afin de faire le point sur les implications d’une récente pique de l’opérateur historique. En effet, Orange a déposé, à la fin de l’été, une Question Prioritaire de Constitutionnalité (QPC) au Conseil d’État dans le but de contester le pouvoir de sanction du régulateur des télécoms. Mais d’après le collège, Orange « [défie] l’esprit pragmatique de la régulation à la française ». Avec cette initiative, l’opérateur historique « n’agresse pas tellement l'Arcep mais attaque plus largement le modèle français de régulation », précise Sébastien Soriano, président de l’Arcep.

 

Le pouvoir de sanction de l'Arcep est vital pour le bon fonctionnement de la régulation actuelle souligne le collège dans son édito. Il ne serait notamment pas possible de bénéficier « des engagements que peuvent prendre les opérateurs sur des enjeux concurrentiels ou de couverture du territoire » argumente le gendarme des Télécoms. « Sans contrôle ni sanction, ces engagements ne seraient que de papier », insiste-t-il.

 

Très remonté par l’initiative de l’opérateur historique, Sébastien Soriano a déclaré « Je ne suis pas certain qu’Orange a mesuré toutes les conséquences ». Le président de l'Arcep affirme que si son pouvoir de sanction disparaissait, alors la France devrait choisir un autre modèle de régulation. Souhaitant tirer avantage de la « synergie entre les infrastructures et les services », elle a décidé de laisser l’opérateur historique maître de son réseau de ses déploiements.

Sébastien Soriano explique « Nous avons jugé qu’Orange, du fait de son besoin de regagner des clients dans l’Internet fixe était incité à investir dans la fibre », y voyant une « dynamique de marché positive. Mais la contrepartie de ce choix, c’est qu’il faut que le régulateur vérifie au quotidien qu’Orange ne profite pas de cette situation en se donnant un avantage sur le marché de détail. C’est ce qu’on appelle la non-discrimination. Pour y veiller, il faut un contrôle régulier et des procédures de sanction. Sans elles, nous serions potentiellement poussés à choisir des approches de régulation beaucoup plus radicales… »

Et termine en corrigeant : « Ce n’est pas une menace, c’est factuel ».

 

 

 

 

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Source : La Tribune

 

 

 

 

4G : l'Arcep tape du poing sur la table

Le mercredi, 07 août 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX Archives LyonIX

4G : l'Arcep tape du poing sur la table

Le gendarme des Télécoms vient d’adresser une mise en demeure anticipée à Orange, SFR, Bouygues Telecom et Iliad-Free à propos du « New Deal mobile ». En effet, l’Arcep estime que les engagements pris par les opérateurs dans le cadre de cet accord, datant de janvier 2018, n’avancent pas assez vite.

 

À l’époque, l’État avait accepté de renouveler une partie des fréquences accordées aux opérateurs pour dix ans et gracieusement. Un « cadeau » avec toutefois une contrepartie : les opérateurs s’étaient engagés à couvrir davantage le territoire, notamment dans les fameuses « zones blanches ».

D’ici la fin 2020, ils doivent avoir convertir tous leurs sites 2G et 3G existants en 4G ainsi qu’améliorer la couverture mobile des axes de transports (dès 2018) et à l’intérieur des bâtiments (dès 2019).

 

Mais voilà, un an et demi après la signature, le régulateur trouverait que les avancées soient insuffisantes. « Le régulateur n’a pas confiance dans les opérateurs, il estime que ce dossier traîne », explique une source au fait du dossier.

Si les objectifs n’étaient pas tenus à l’échéance de 2020, la mise en demeure anticipée permettrait d’enclencher plus vite les sanctions sans perdre de temps.

 

Conscient que les opérateurs ont toujours eu du mal à respecter leurs engagements, le gouvernement a organisé des points d’étape sur l’avancement des travaux. Cela n’a visiblement pas été suffisant.

Pourtant en juin 2018, le gouvernement avait publié les 485 premiers sites sur lesquels les opérateurs devaient installer leurs antennes 4G. De son côté, l'Arcep avait lancé son tableau de bord trimestriel. Mais plusieurs observateurs avaient déjà alerté sur l’ampleur de la tâche. « Les délais étaient super-short. On pouvait légitimement être inquiet », se rappelle aujourd’hui un participant.

 

Les opérateurs, quant à eux, nient tout retard. « Les opérateurs déploient dans le calendrier prévu. […] Nous sommes sur le terrain quotidiennement pour résoudre les défis administratifs et techniques avec l’appui des collectivités et des services de l’État. L'Arcep est la bienvenue dans les territoires et se rendra ainsi encore mieux compte de la réussite collective en cours pour régler enfin le problème des zones blanches » estime Arthur Dreyfuss, président de la Fédération française des Télécoms. L’été risque donc d’être agité.

 

 

 

 

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Source : Les Echos

 

 

 

 

Les « petits » opérateurs s’attaquent à Orange

Le vendredi, 26 juillet 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX Archives LyonIX

Les « petits » opérateurs s’attaquent à Orange

L'AOTA – Association des Opérateurs Télécoms Alternatifs – vient de saisir l’Arcep pour demander l’ouverture du réseau fibre d’Orange. En effet, les 47 membres de l’association se plaignent de ne pas y avoir suffisamment accès et accusent l’opérateur historique de pratiques anticoncurrentielles.

 

Faute de pouvoir construire eux-mêmes des réseaux très coûteux couvrant tout le territoire, les petits opérateurs doivent d’abord « emprunter » les réseaux d’Orange et de SFR. Ils louent donc des accès aux deux acteurs dominant du marché Télécom des entreprises et leur achètent, à prix de gros, de la voix ou de la data. Ils les vendent ensuite à leurs propres clients.

 

Mais voilà, les opérateurs alternatifs s’estiment évincés du marché des entreprises n’ayant pas pu suffisamment « se brancher » au réseau d’Orange. Avec 12,4 millions de prises, le réseau fibre de l’opérateur historique est à la fois très vaste et très capillaire. S’y raccrocher permet donc de cibler les PME avec des besoins de connectivité sur plusieurs sites ou usines disséminées sur le territoire. Ce sont précisément ces clients qui échappent aux membres de l'AOTA, plus limités géographiquement.

 

Un problème ancien et lié au manque de régulation sur la fibre pour les professionnels. En effet, Orange est obligé de proposer des offres de gros aux petits opérateurs voulant accéder au réseau cuivre (ADSL) mais pas sur la fibre. En 2017, Alternative Télécom avait déjà exigé davantage d’ouverture.

 

Cependant, il est impossible pour Orange d’ouvrir à la concurrence un réseau construit à coups de milliards d’investissements. Les petits opérateurs estiment quant à eux que l’opérateur a été favorisé par son empreinte historique sur le câble, qu’il a pu très vite convertir en fibre. Aujourd’hui, Orange contrôle environ 70 % du marché de la fibre pour les entreprises.

 

De son côté, l’Autorité de la concurrence a choisi de réguler ce marché en faisant émerger un troisième acteur, Kosc, pour « casser » la prédominance d’Orange-SFR. Cet opérateur « de gros » déploie lui-même son réseau fibre qu’il loue ensuite aux petits opérateurs de l'AOTA ou d’Alternative Télécom. « Kosc, c’est un bon complément, mais c’est une solution parmi d’autres. Et de toute façon, le réseau de Kosc n’a pas la même capillarité qu’Orange » explique l’un de ces petits opérateurs. La balle est donc maintenant dans le camp de l’Arcep.

 

 

 

 

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Source : Les Echos

 

 

 

 

Inscrivez-vous à yALPA 002 !

Le mardi, 25 juin 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX

Inscrivez-vous à yALPA 002 !

Après un 1er rassemblement le 29 janvier dernier, le deuxième est donc planifié au 2 juillet prochain à Challes-les-Eaux.

 
Thèmatique : Le THD dans les Alpes

Départements concernés : 38 ; 73 ; 74 et 01 (Jura Sud) avec un focus sur les zones touristiques (stations de ski, hôtels).

 
Constat :

Les besoins en haut débit explosent avec l'avènement des réseaux « Over The Top » (OTT ) et la forte croissance de services comme Amazon Prime Video, Netflix, OCS, MyCanal...

Les premières observations entre les vacances de Noël 2017 et 2018 font état d’une augmentation de +60 % des débits consommés dans les hôtels et résidences hôtelières. Pour ces établissements, des connexions en Mbs ne suffiront bientôt plus et commencent à arriver des demandes en 1, 2, 3, voire 4 Gbs.

 
Travailler en synergie :

Dès à présent, il convient pour les opérateurs Télécom et Internet de s'organiser pour pouvoir répondre efficacement à ce besoin hier émergeant et aujourd’hui bien présent.

C’est là l'objectif de yALPA ! Il faut encourager les acteurs du déploiement Très Haut Débit à se rencontrer, mieux se connaître afin d’envisager de futures collaborations plutôt que de planifier, chacun de son côté, des investissements aux mêmes endroits.

Les DSP locales (38, 73 et 74) font une partie du travail, mais le simple fait de changer de département s'avère compliqué. Gageons qu’en échangeant de manière informelle, une intelligence collective permettra d’accélérer l'arrivée d’offres vraiment Très Haut Débit dans les Alpes (stations mais aussi vallées et plaines).

Il est entendu que les résultats de ces premières discussions yALPA ne pourront avoir d’effet immédiat. Ceci étant, à plus ou moins brève échéance, les problèmes rencontrés actuellement en termes de THD dans les zones touristiques pourront être résolus.

 
Programme de la matinale (09h00 - 12h00) :
  • accueil, café, viennoiseries
  • tour de table : présentation de chaque participant
  • présentation Transalpinet (étude faite par Rezopole)
  • piste d'amélioration :
    • outil de carto commun... On commence où on attend encore 10 ans ?
    • nouvelles offres de backbone des opérateurs exogènes
    • les territoires sans PoP
 
Inscriptions :

Auprès de Samuel Triolet (directeur de Rezopole) : striolet (de chez) rezopole.net

 
Informations pratiques :

Rendez-vous le 02 juillet à 09h00 au Hub des Alpes (salle Altitude 193) - 37 avenue des Massettes, 73190 Challes-les-Eaux.

 

 

 

 

Covage est en vente pour un milliard d’euros

Le jeudi, 07 mars 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX Archives LyonIX

Covage est en vente pour un milliard d’euros

Après Altice fin novembre, c’est au tour de Cube Infrastructure de mettre en vente ses parts selon plusieurs sources. L’actionnaire à 50 % de Covage avait déboursé 66 millions d’euros en 2012 pour racheter ses parts à Vinci. Or, la banque Morgan Stanley a été mandatée pour trouver un acheteur sur la base d’une valorisation de 1 milliard d’euros.

 

L’EBITDA du groupe atteindrait aujourd’hui 35 millions d’euros pour une centaine de millions d’euros de chiffre d’affaires « Ces ratios ne sont pas pertinents. On parle d’une activité en pleine explosion avec une maturité très faible. En réalité, le principal driver est la rareté » pointe un bon connaisseur du dossier.

Chargé par plusieurs départements de déployer la fibre optique, Covage a déjà connecté 630 000 foyers sur les 2,2 millions prévus. L’entreprise espère encore gagner quelques contrats pour atteindre les 3 millions de prises ce qui représenterait un peu moins de 10 % des foyers français.

Lorsque tous les câbles seront tirés, Covage fera partie des rares acteurs à disposer d’une telle infrastructure numérique sur une portion significative du territoire. En effet, une fois cette tâche terminée, les opérateurs devront payer un droit de passage pour utiliser leurs réseaux.

 

Une certitude de gains futurs qui a, par exemple, permis à Altice de convaincre 3 fonds de débourser 1,8 milliard d’euros pour acquérir la moitié des lignes optiques que SFR doit déployer hors des grandes villes. Mais ce deal est décrié dans l’industrie car beaucoup pensent que les infrastructures ont été survendues. En effet, les prix de location à la ligne mis en avant ne pourraient pas être appliqués.

 

Sur le papier, les candidats au rachat de Covage sont nombreux : des fonds d’investissement, d’autres acteurs des RIP notamment Altitude ou des grands opérateurs…

 

 

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Source : Les Echos.fr

 

 

 

 

Nouvel événement : yALPA !

Le jeudi, 24 janvier 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX

Nouvel événement : yALPA !
Thèmatique : Le THD dans les Alpes

Départements concernés : 38 ; 73 ; 74 et 01 (Jura Sud) avec un focus sur les zones touristiques (stations de ski, hôtels).


Constat :

Les besoins en haut débit explosent avec l'avènement des réseaux « Over The Top » (OTT ) et la forte croissance de services comme Amazon Prime Video, Netflix, OCS, MyCanal...

Les premières observations entre les vacances de Noël 2017 et 2018 font état d’une augmentation de +60 % des débits consommés dans les hôtels et résidences hôtelières. Pour ces établissements, des connexions en Mbs ne suffiront bientôt plus et commencent à arriver des demandes en 1, 2, 3, voire 4 Gbs.

 

Travailler en synergie :

Dès à présent, il convient pour les opérateurs Télécom et Internet de s'organiser pour pouvoir répondre efficacement à ce besoin hier émergeant et aujourd’hui bien présent.

C’est là l'objectif de yALPA ! Il faut encourager les acteurs du déploiement Très Haut Débit à se rencontrer, mieux se connaître afin d’envisager de futures collaborations plutôt que de planifier, chacun de son côté, des investissements aux mêmes endroits.

Les DSP locales (38, 73 et 74) font une partie du travail, mais le simple fait de changer de département s'avère compliqué. Gageons qu’en échangeant de manière informelle, une intelligence collective permettra d’accélérer l'arrivée d’offres vraiment Très Haut Débit dans les Alpes (stations mais aussi vallées et plaines).

Il est entendu que les résultats de ces premières discussions yALPA ne pourront avoir d’effet immédiat. Ceci étant, à plus ou moins brève échéance, les problèmes rencontrés actuellement en termes de THD dans les zones touristiques pourront être résolus.


Inscriptions :

Auprès de Samuel Triolet (directeur de Rezopole) : striolet (de chez) rezopole.net



Agenda :

29/01/19 : épisode 001 à 09h00 au Conseil départemental de l'Isère - 7 rue Fantin Latour, CS 41096, 38022 Grenoble cedex 1.

Programme de la matinale (09h00 - 12h00) :

  • accueil, café, viennoiseries
  • tour de table : présentation de chaque participant
  • brainstorming : idées proposées et debriefées
  • atelier carto : "bring your kmz !!!" / "bring your own shape !!!"
  • premières conclusions et ébauche d'un plan d'action ; liste des demandes à faire à la Région, aux DSP le cas échéant, engagements de coopération entre opérateurs présents...

 

02/07/19 : épisode 002 à 09h00 au Hub des Alpes (salle Altitude 193) - 37 avenue des Massettes, 73190 Challes-les-Eaux.

Programme de la matinale (09h00 - 12h00) :

  • accueil, café, viennoiseries
  • tour de table : présentation de chaque participant
  • présentation Transalpinet (étude faite par Rezopole)
  • piste d'amélioration :
    • outil de carto commun... On commence où on attend encore 10 ans ?
    • nouvelles offres de backbone des opérateurs exogènes
    • les territoires sans PoP

 

 

 

 

 

Iliad prend le contrôle de Jaguar Network

Le jeudi, 24 janvier 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX Archives LyonIX

Iliad prend le contrôle de Jaguar Network

Annoncé le 18 janvier par la maison-mère de Free, le rachat de 75 % du capital de la société française Jaguar Network va permettre à l’opérateur de renforcer ses offres sur le marché B2B. Ces parts, jusque-là détenues par le fond d’investissement Naxicap, ont été revendues pour un peu moins de 100 millions d’euros.

 

« Cette opération constitue une étape importante pour Iliad dans sa stratégie de développement pour adresser le marché entreprises en s'appuyant sur les très fortes expertises et complémentarités entre les deux groupes et en s'associant à un entrepreneur reconnu », a fait savoir la direction de Free après l’acquisition.

 

Cette prise de contrôle devrait permettre à Iliad de développer son réseau national de datacenters afin d’augmenter ses capacités dans l’accompagnement technique des entreprises. Cependant, cette opération ne devrait pas modifier l’organigramme de l’opérateur et hébergeur Cloud Jaguar Network puisque la société reste dirigée par son fondateur, Kévin Polizzi, qui reste actionnaire à 25 % du capital.

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

 

 

Télécoms : coup d’envoi à la vente de TDF

Le jeudi, 24 janvier 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX Archives LyonIX

Télécoms : coup d’envoi à la vente de TDF

Né sous la protection de l’État suite à l’éclatement de l’ORTF, le groupe aux 14 000 pylônes et toits terrasses a décidé de céder ses parts dans l’hébergeur d’équipements Télécoms. Pour cela, les actionnaires actuels du groupe – Brookfield, APG, PSP, Arcus et Crédit Agricole Assurances – ont mandatés les banques Morgan Stanley et BNP Paribas. Si en 2014, TDF avait été cédé pour environ 370 millions d’euros, ses résultats étant stabilisés depuis, l’opération dépasserait aujourd’hui les 3,5 milliards d’euros.

 

TDF possédant un parc de 13 900 sites, les fonds d’infrastructures sont friands de ce type d’actifs de long terme. En effet, de telles occasions sont plutôt rares « C’est un actif pour des fonds d’infrastructures, des family office et des fonds de pension. Des industriels du secteur ont peu de synergies à dégager d’un éventuel rapprochement. » estime une source.

 

Après des difficultées en 2008 suite à la crise financière, le groupe a renforcé sa structure financière avec à présent un levier d’endettement en dessous des 4 fois l’EBITDA. D’autant que les échéances les plus importantes sont prévues en 2022 et 2026.

 

Fin 2018, TDF a poursuivi sa stratégie de recentrage avec la vente de Médiamobile et en accélérant dans la fibre optique. L’entreprise s’est vu confiée l’installation de plusieurs dizaines de milliers de prises par les territoires. De plus, plusieurs centaines de nouveaux pylônes sur les axes de transport et en zones rurales ont vu le jour l’année dernière.

 

 

 

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Source : Les Echos.fr

 

 

 

 

 

Démarrage du nouvel IXP d'Annecy

Le mercredi, 21 novembre 2018. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX Archives LyonIX

Démarrage du nouvel IXP d'Annecy

AnnecIX accueille aujourd'hui son 1er membre ! D-LAKE est un opérateur réseau et un hébergeur de données critiques fondé par 4 vétérans des Télécoms. D-LAKE est avant tout un fournisseur d'infrastructure en vente indirecte et marque blanche et permet ainsi à des revendeurs, intégrateurs et des ESN, de proposer un portfolio de service réseau Télécom et hébergement à forte valeur ajoutée.

La société est implantée sur plusieurs data centers en Région Rhône-Alpes et est également en mesure de livrer des clients partout en Europe. D-LAKE propose des services de VPN-MPLS, SD-WAN, LAN 2 LAN, IaaS Premium, Cloud Privé, Transit sécurisé.

 

« De par sa dimension locale, AnnecIX répond parfaitement à la volonté de D-LAKE d'apporter une meilleure connectivité réseau en Haute Savoie. La connectivité vers les différents fournisseurs de contenu connectés sur les différents IXP de Rezopole permettra d'améliorer la latence d'accès à ces sites pour les clients D-LAKE ».

 

 

 

 

ASN : AS49028

 

 

 

 

 

Ça bouge sur GrenoblIX !

Le mercredi, 21 novembre 2018. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX

Ça bouge sur GrenoblIX !

Depuis le 21 novembre, Rezopole compte un nouveau membre connecté sur les infrastructures de GrenoblIX. TOTAL CLOUD, situé à Grenoble, détient ses propres data centers niveau tiers III, le tout à proximité du siège de l’entreprise.

Ce nouvel adhérent propose de multiples solutions d’hébergement web, d’outils de stockage collaboratif, synchronisation et supervision. Et c’est également une salle sécurisée pour le housing de vos solutions informatiques. TOTAL CLOUD - opérateur téléphonique IP et mobile pour professionnels et particuliers - intervient pour vos raccordements fibre, Dark, ADSL et SDSL.

 

 

 

 

TOTAL CLOUD est présent à GrenoblIX 1.

ASN : AS210197

 

 

 

 

 

 

Nouveau membre LyonIX : Agora Calycé !

Le jeudi, 22 juin 2017. Posté dans Archives Rezopole Archives LyonIX

Nouveau membre LyonIX : Agora Calycé !

Agora Calycé accompagne la transformation numérique des organisations par la migration de leur Système d’information vers les services connectés, en élaborant avec elles des solutions sur-mesure et en leur fournissant des ressources à la demande dans les domaines de l’IT, l’IoT et les télécoms. Agora Calycé est l'alternative aux grands groupes en proposant un service de proximité de meilleure qualité.

 

 

Agora Calycé est présent en baie LyonIX 2D.

ASN : AS47833

En savoir plus

Trouvez plus d'informations ici : Agora Calycé

 

 

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