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Pas de câble sous-marin entre Hong Kong et Los Angeles

Le vendredi, 04 septembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

Pas de câble sous-marin entre Hong Kong et Los Angeles

Baptisé “Pacific Light Cable Network” (PLCN), le câble de fibre optique sous-marin qui devait relier Los Angeles à Hong Kong ne se fera finalement pas. C’est en effet ce que viennent d’annoncer Facebook et Google. Les nouveaux plans de ce câble déposés devant le gendarme américain des télécommunications, la FCC, indiquent que celui-ci reliera uniquement les États-Unis à Taïwan et aux Philippines.

 

Ce projet, annoncé initialement en 2016, visait pourtant à connecter directement Hong Kong à Los Angeles via six paires de fibres optiques. Il avait dû être remanié en catastrophe afin d’obtenir l’approbation du régulateur américain, dont la direction est réputée proche de l’administration Trump.

 

Trois entreprises se partagent la propriété du consortium : Google détient ainsi une paire de fibres avec une branche vers Taïwan, Facebook possède une autre paire avec des branches vers les Philippines et la société Hong Kong Pacific Light Data Co (PLDC) a la main sur toutes les paires restantes et fait office de point d’atterrissage à Hong Kong.

 

Et c’est bien cette dernière partie qui pose problème pour la FCC. Elle a donc refusé l’exploitation de ce système de câbles sous-marins se connectant directement à Hong Kong, arguant que ce projet serait contraire à l’intérêt de la sécurité nationale américaine.

Le gendarme américain des Télécoms a également fait valoir que la grande capacité et la faible latence du réseau encourageraient le trafic de communication américain traversant le Pacifique à faire un détour par Hong Kong avant d’atteindre la destination prévue, ce qui augmenterait inutilement la quantité de données passant par les infrastructures contrôlées par le gouvernement chinois. Ce qui a contraint Google et Facebook à revoir leurs plans.

« Nous pouvons confirmer que la demande initiale pour le système de câble PLCN a été retirée, et qu’une demande révisée […] a été soumise. Nous continuons à travailler par les voies établies pour obtenir des licences d’atterrissage pour nos câbles sous-marins », a indiqué la direction de Google, interrogée par la rédaction de ZDNet.

 

Le projet initial avait de quoi séduire nombre d’entreprises américaines afin d’étendre leur clientèle à l’Asie. Les tensions actuelles entre Pékin et Washington font d’autres victimes…

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

Panne CenturyLink : baisse de 3,5 % du trafic mondial

Le vendredi, 04 septembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

Panne CenturyLink : baisse de 3,5 % du trafic mondial

Le 30 août dernier, le fournisseur d’accès Internet américain CenturyLink a subi une panne technique majeure. Une mauvaise configuration dans l’un de ses centres de données a causé des dégâts sur l’ensemble du réseau Internet.

Impliquant à la fois un pare-feu et un routage BGP, cette panne de nature technique s’est propagée vers l’extérieur du réseau de CenturyLink. Cette erreur a également touché d’autres fournisseurs de services Internet, finissant par causer des problèmes de connectivité pour de nombreuses autres entreprises.

 

Les géants technologiques dont les services ont été interrompus sont nombreux : Amazon, Twitter, Microsoft (Xbox Live), EA, Blizzard, Steam, Discord, Reddit, Hulu, Duo Security, Imperva, NameCheap, OpenDNS, et bien d’autres.

Également sévèrement touché, Cloudflare a déclaré que le problème de propagation vers l’extérieur de CenturyLink a entraîné une baisse de 3,5 % du trafic Internet mondial. Ce qui en ferait l’une des plus grandes pannes d’Internet jamais enregistrées.

 

D’après la page de statut de CenturyLink, le problème provient de son centre de données à Mississauga, une ville proche de Toronto au Canada.

Le FAI affirme que la cause première de l’incident est une annonce Flowspec incorrecte. En effet, son centre de données de Mississauga aurait envoyé une annonce Flowspec incorrecte empêchant ainsi les routes BGP de la société de s’implanter.

Comme la commande Flowspec incorrecte de CenturyLink a fait tomber certains des routeurs de son réseau, certains de ces routeurs ont également commencé à annoncer des routes BGP incorrectes vers d’autres services Internet voisins de “niveau 1”. Cela a eu pour effet de faire tomber d’autres réseaux dans un effet de dominos.

 

CenturyLink a résolu le problème en prenant comme mesure inédite de dire à tous les autres fournisseurs d’accès Internet de “niveau 1” de se déconnecter et d’ignorer tout trafic provenant de son réseau. Les entreprises prennent rarement ce genre de décisions car cela entraîne une perte totale de connectivité pour tous leurs clients.

Ainsi le FAI a dû réinitialiser tous les équipements et commencer avec des tables de routage BGP propres, un processus qui a pris près de sept heures a déclaré la compagnie.

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

Bouygues va retirer 3 000 antennes Huawei

Le vendredi, 28 août 2020. Posté dans Archives Rezopole

Bouygues va retirer 3 000 antennes Huawei

Olivier Roussat, directeur général adjoint du groupe Bouygues, a annoncé que l’opérateur Télécom va progressivement retirer des antennes relais pour la téléphonie mobile fabriquées par Huawei. Implantées dans des zones denses en France, 3000 antennes seront concernées d’ici à 2028. Une décision prise à la demande du gouvernement français pour des raisons de sécurité du réseau 5G.

 

En effet, l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (Anssi) va accorder des autorisations aux opérateurs télécoms pour utiliser des équipements 5G, y compris ceux fabriqués par Huawei, d’une durée maximale de 8 ans. Lorsqu’elles arriveront à échéance, les autorisations d’exploitation des équipements Huawei ne devraient pas être renouvelées.

Résultat : en 2028, le géant chinois pourrait être totalement évincé des réseaux 5G français.

 

Afin d’anticiper cette décision, Bouygues commence dès aujourd’hui à retirer et remplacer les antennes fabriquées par Huawei. Cela lui permet aussi de limiter l’impact financier de cette décision. Bouygues n’a pas précisé quelle entreprise allait remplacer Huawei.

 

Olivier Roussat a également indiqué que des discussions étaient en cours avec les autorités françaises afin de compenser l’interdiction des équipements Huawei, très coûteuse pour l’opérateur français. Mais sans en dire plus. Il a toutefois précisé que le groupe avait lancé en parallèle plusieurs procédures judiciaires à l’encontre de l’État français.

 

 

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Source : L'Usine Digitale

 

 

 

 

Fibre optique : le gouvernement va muscler son jeu

Le vendredi, 28 août 2020. Posté dans Archives Rezopole

Fibre optique : le gouvernement va muscler son jeu

Le discours de l’exécutif semble avoir évolué durant l’été sur le dossier de l’aménagement numérique. Le futur plan de relance n’oubliera pas la fibre puisque le dispositif prévoira ainsi des fonds supplémentaires pour accompagner les zones où quelque 3 millions de lignes restent à financer.

Un coup de pouce financier qui s’inscrit dans un projet plus ambitieux, esquissé par Cédric O : aller vers un “service universel” pour la fibre.

 

La première information livrée par le secrétaire d’État en charge de la Transition numérique et des Communications électroniques : le guichet de subventions aux projets publics de déploiement de la fibre va être renfloué.

Le gouvernement refusait jusqu’ici d’aller au-delà de 280 millions d’aides, quand les collectivités comme les industriels calculaient les besoins totaux à 680 millions d’euros. En mai dernier les associations de collectivités dans un courrier adressé à l’exécutif prévenaient déjà qu’« une réévaluation de cette enveloppe devra être étudiée au regard de la situation financière des collectivités, du renchérissement des coûts de déploiement lié aux mesures sanitaires et du nombre de prises à déployer plus élevé qu’attendu ».

Dévoilé la semaine prochaine, le plan de relance permettra d’en savoir plus sur l’effort que le gouvernement est prêt à consentir sur ce point précis.

 

Des fonds supplémentaires pour généraliser la fibre, oui, mais « avec l’ambition d’évoluer vers cette logique que la fibre doit être un service essentiel », a ajouté Cédric O. Le gouvernement paraît s’aligner sur une demande formulée par les collectivités puisque cela permettrait “aux professionnels du secteur de pouvoir en cas de crise” continuer à assurer le déploiement et l’exploitation des réseaux fixes et mobiles. L’opportunité également de lever certains freins au déploiement, comme l’accès aux parties communes pour fibrer les colonnes montantes des immeubles.

 

Si l’idée de faire de la fibre une infrastructure essentielle rencontrait les réserves de l’ancien ministre de la Ville et du Logement – chargé du dossier THD, c’est toutefois ce vers quoi veut tendre l’exécutif aujourd’hui : « nous voulons travailler sur la notion de service universel », a en effet ajouté Cédric O. Un chantier qui pourrait démarrer dès cet automne, à l’occasion de la transposition dans le droit français du Code européen des communications électroniques. « Celui-ci devrait nous permettre d’élargir la notion de service universel à la couverture fibrée du territoire », a ainsi précisé le secrétaire d’État au Numérique.

 

 

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Source : DegroupNews

 

 

 

 

Les fréquences 5G s’arrachent au Luxembourg

Le jeudi, 30 juillet 2020. Posté dans Archives Rezopole

Les fréquences 5G s’arrachent au Luxembourg

Le gendarme des télécoms du Grand Duché vient de procéder à son appel d’offres pour l’octroi de fréquences 5G sur les bandes 700 MHz et 3,5 GHz pour un montant total de 41,3 millions d’euros.

Les opérateurs Orange Luxembourg et Post se sont vus tous deux accorder 130 MHz de fréquences sur ces deux bandes. De son côté, l’opérateur Proximus s’est offert 120 MHz de fréquences également sur ces deux bandes tandis que l’opérateur Luxembourg Online disposera de 10 MHz de fréquences. Enfin, Eltrona a participé à la vente aux enchères mais n’a remporté aucun spectre.

 

Les licences distribuées seront ainsi valables pour une durée de 15 ans, renouvelables au moins une fois, pour une période de cinq ans. Elles seront soumises à des obligations de couverture, ayant pour but de garantir la disponibilité de la 5G dans la commune de Luxembourg d’ici la fin de 2020, et dans tout le pays au plus tard en 2025.

 

Très présent au Luxembourg, Orange s’est félicité de l’obtention d’un spectre conséquent de 110 MHz dans la bande des 3,5 Ghz. « Nous avons obtenu 110 MHz sur la bande de 3,5 GHz, ce qui est le maximum. Cela nous permettra de mettre à disposition de nos clients la plus forte capacité pour utiliser ou imaginer les services de demain », s’est réjouie Corinne Lozé, la CEO d’Orange Luxembourg.

 

En France, l’appel d’offres pour l’octroi de blocs de fréquences 5G dans la bande des 3,5 GHz se tiendra entre le 20 et le 30 septembre sous l’égide de l'Arcep. La fin de la procédure doit permettre d’attribuer des 110 MHz de fréquences restantes à chacun des quatre opérateurs en lice.

 

Cette phase d’enchère sera suivie en octobre d’une phase supplémentaire durant laquelle les opérateurs pourront de nouveau enchérir au plus offrant pour déterminer leur positionnement dans la bande des 3,5 GHz. L’octroi des fréquences dans la seule bande des 3,5 GHz devrait rapporter un minimum de 2,17 milliards d’euros aux autorités françaises.

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

L’Arcep veut faire le ménage dans les armoires

Le vendredi, 19 juin 2020. Posté dans Archives Rezopole

L’Arcep veut faire le ménage dans les armoires

Autre épine dans le pied du secteur des infrastructures du numérique, les raccordements finaux des clients à la fibre optique. En effet, la grogne s’amplifie face aux désordres constatés dans les points de mutualisation et la menace qu’ils constituent pour la pérennité des réseaux. Appelée à intervenir plus franchement, l'Arcep prend enfin les choses en main pour faire un sort aux “plats de nouilles”.

 

Lors de la conférence Telconomics du 16 juin dernier, l’Autorité de régulation s’est dite « extrêmement préoccupée » par la multiplication de ces aberrations. Pour y remédier, le régulateur des Télécoms a donc publié une « première feuille de route » élaborée en concertation avec les acteurs du secteur. L’objectif étant de donner aux opérateurs d’infrastructure la possibilité de mieux contrôler les interventions sur leurs réseaux. Ils pourront ainsi signaler, voire déréférencer, les sous-traitants indélicats mandatés par les opérateurs commerciaux.

 

Sébastien Soriano, président de l’Autorité, précise qu’il s’agit d’« éviter que quelques brebis galeuses viennent saccager le travail extrêmement professionnel de l’essentiel des autres sous-traitants ». Un premier pas qui ne réglera pas toutes les questions, comme celles du recrutement, de la tarification de ces interventions, ou des divergences sur les technologies de raccordement entre opérateurs d’infrastructure et fournisseurs d’accès.

 

 

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Source : DegroupNews

 

 

 

 

Enchères 5G : le nouveau calendrier dévoilé

Le vendredi, 12 juin 2020. Posté dans Archives Rezopole

Enchères 5G : le nouveau calendrier dévoilé

L’Autorité de régulation des Télécom a publié un nouveau calendrier pour la suite de la procédure d’attribution des fréquences 5G dans la bande des 3,5 GHz. Ce sera donc entre le 20 et le 30 septembre. Bouygues Telecom, Free, Orange et SFR, qualifiés en février dernier à l’issue d’un appel à candidature, y participeront.

 

À l’issue de la procédure, ils obtiendront un bloc de 50 GHz chacun en contrepartie de 350 millions d’euros par tête et d’un certain nombre d’obligations de déploiement. Au début de l’automne, l’enchère principale leur permettra de compléter ce premier bloc en décrochant un ou plusieurs blocs de 10 GHz. S’ensuivra une enchère permettant de positionner les fréquences obtenues dans la section 3,4-3,8 GHz. L’Arcep indique que l’attribution définitive des fréquences aura lieu “en octobre ou novembre”. Les opérateurs pourront ainsi commercialiser leurs futurs forfaits 5G “d’ici à la fin de l’année”.

 

Cependant, les opérateurs ne seront finalement pas obligés d’assurer la couverture en 5G d’au moins deux grandes villes avant fin 2020. Le décalage de la procédure a conduit le gendarmes des Télécom à lever cette obligation accompagnant le premier bloc de 50 GHz. La commercialisation se fera “à l’initiative des opérateurs” même si l’Arcep promet de rester attentive aux conditions de commercialisation du nouveau réseau et aux promesses des opérateurs.

 

La première obligation sera donc de déployer la 5G sur au moins 3 000 de leurs sites d’ici à fin 2022. Les opérateurs devront également distiller au moins 240 Mb/s sur 75 % de leurs sites en 4G+ à la même échéance.

Une manière de rappeler que le cahier des charges a été élaboré pour que le déploiement de la 5G et la couverture 4G des territoires aillent de pair. Et aussi de répondre à Bouygues Telecom et SFR qui ont récemment mis en balance le déploiement du réseau de 5e génération et la nécessaire amélioration de la couverture 4G en zone rurale.

 

En parallèle, l'Arcep entend également répondre aux préoccupations croissantes entourant l’impact environnemental du numérique. Dans le cadre d’une nouvelle plateforme baptisée “pour un numérique soutenable”, “associations, institutions, opérateurs, entreprises du numérique, personnalités” sont invités à y contribuer lors d’une série d’ateliers thématiques à partir du 9 juillet.

Un rapport pour la fin d’année permettra de faire le point sur ces travaux et proposera les “premières pistes pour aller plus loin dans la réponse aux enjeux environnementaux” dont l’Autorité entend faire un “nouveau chapitre de la régulation”.

 

 

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Source : DegroupNews

 

 

 

 

Le passage à l’IPv6 devrait prendre encore 5 à 10 ans…

Le vendredi, 12 juin 2020. Posté dans Archives Rezopole

Le passage à l’IPv6 devrait prendre encore 5 à 10 ans…

Alors qu’il vient de fêter son huitième anniversaire, les caractéristiques techniques de l’IPv6 ont été élaborées il y a près de vingt ans. Marco Hogewoning, l’un des porte-paroles de l’association RIPE NCC, constate que ce protocole réseau ne s’est toujours pas imposé pour remplacer l’IPv4. Il estime même que la transition pourrait prendre encore cinq à dix ans.

 

Malgré l’épuisement des adresses IPv4 en novembre 2019, les choses ne se sont pas accélérées. Pour faire basculer en IPv6 tous les acteurs de la chaîne, cela pourrait passer par l’incitation économique des petits opérateurs et réseaux d’entreprise à le faire. Ou encore l’obligation pour les constructeurs de lancer sur le marché des objets connectés compatibles en IPv6. De plus, les gouvernements de chaque pays devraient donner l’exemple avec leurs propres sites et services.

 

En France, l’Arcep tient un état des lieux des efforts des opérateurs dans ce domaine. Le dernier baromètre date du mois de novembre et montrait qu’une portion non négligeable des abonnés français n’étaient toujours pas activés en IPv6.

 

 

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Source : 01net

 

 

 

 

Déploiement 4G : premiers effets de la crise sanitaire ?

Le vendredi, 05 juin 2020. Posté dans Archives Rezopole

Déploiement 4G : premiers effets de la crise sanitaire ?

Si les chiffres de déploiement de la 4G étaient restés dans la norme en mars et avril 2020, le décrochage est finalement survenu en mai. 330 nouveaux sites mis en service par Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free selon les données de l’Agence nationale des fréquences. Le chiffre est relativement bas mais reste plus élevé qu’en février dernier ou que le printemps-été 2019.

 

Néanmoins, le détail par opérateur témoigne d’un ralentissement sensible de la part d’Orange et Free. Les locomotives du déploiement depuis un an ont respectivement mis en service 154 et 230 nouveaux sites 4G en mai, soit bien en deçà du rythme observé ces derniers mois. On ne peut s’empêcher d’associer ce ralentissement à la crise sanitaire. Les opérateurs ayant fait part de difficultés diverses durant le confinement.

Plus encore, le nombre de nouvelles antennes activées est en baisse de 20 à 50 % comparé au mois précédent chez Free et Orange. Les activations d’antennes sur leurs bandes fétiches du moment ont atteint les plus bas niveaux observés depuis longtemps, 18 à 24 mois dans certains cas.

Une baisse généralisée également pour le nombre d’autorisations obtenues par Free et la 4G en 700 MHz. Sur un rythme mensuel oscillant habituellement entre 500 et 1 000 par mois depuis un an, le nombre d’autorisations reçues par la marque d’Iliad sur cette bande a plongé à moins de 200 en mai dernier.

 

SFR et Bouygues Telecom semblent à première vue avoir été moins affectés par les perturbations malgré des replis sur les activations et les autorisations sur plusieurs bandes de fréquence. Il est toutefois difficile d’en tirer des conclusions tant le rythme de déploiement de ces deux opérateurs est irrégulier depuis plusieurs mois. À noter que seul SFR semble avoir ressenti le besoin de recourir amplement au dispositif dérogatoire mis en place par l’État pour assurer la continuité des déploiements, à 58 reprises.

Avec 155 nouveaux supports 4G en service, Bouygues Telecom a réalisé en mai son meilleur mois depuis décembre. Côté antennes aussi, l’opérateur signe son record depuis six mois : 556 de plus en mai. Dont 313 sur la bande de fréquence 1 800 MHz, notamment pour la desserte de quelques grandes métropoles (Paris, Lille), de plusieurs axes routiers et de zones balnéaires, selon l’ANFR.

 

 

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Source : DegroupNews

 

 

 

 

La FFT appelle à une “responsabilité numérique”

Le vendredi, 20 mars 2020. Posté dans Archives Rezopole

La FFT appelle à une “responsabilité numérique”

En raison du confinement lié à l’épidémie de coronavirus, les opérateurs de télécommunications s’attendent à une montée en charge de leurs infrastructures.

Invité de franceinfo le 17 mars dernier, le président de la Fédération Française des Télécoms, Arthur Dreyfuss, appelle à une “responsabilité numérique” pour éviter toute saturation. Il prévient que les opérateurs “pourraient avoir besoin de s’adapter” et de “prioriser” certains usages pour faire face à ces pics de connexions.

 

franceinfo : Les infrastructures vont-elles tenir le choc ?

Arthur Dreyfuss : Plus de 15 000 techniciens et ingénieurs de tous les opérateurs télécoms sont mobilisés pour que les réseaux tiennent pour les prochains jours, semaines, voire mois. Nous entrons dans une ère de discipline sociale et il faut aussi entrer dans une période de responsabilité numérique, individuelle et collective. La situation est tout à fait inédite. L’essentiel de la population sera au même moment, pendant toute la journée, pendant les semaines et mois qui arrivent, à la maison.

Nous nous apprêtons à connaître une hausse comme nous n’en avons jamais connue. Les opérateurs sont pleinement mobilisés et nous travaillons d’arrache-pied pour faire en sorte qu’ils puissent fonctionner.

 

Cela veut dire qu’il faut rationner sa consommation numérique ?

Non, mais il y a des gestes du quotidien à appréhender. À la maison par exemple, il vaut mieux se mettre en Wi-Fi pour téléphoner, travailler, communiquer, s’informer. Ceci permet de passer sur les réseaux fixes ayant une capacité plus importante que les réseaux mobiles.

 

Mais nous allons cumuler télétravail, enseignement à distance pour les enfants, loisirs numériques… Les réseaux ne vont-ils pas être en surchauffe ?

Nous sommes habitués à absorber des pics de consommation, mais nous allons vivre avec une hausse continue de la consommation. L’ensemble des particuliers, des entreprises doivent s’adapter et prioriser. C’est une responsabilité collective.

 

Les opérateurs pourraient-ils en arriver à brider les usages les plus consommateurs ?

Dans cette période, les priorités sont la santé de la population, le travail à la maison, la poursuite de la vie économique… Nous pourrions effectivement avoir besoin de nous adapter pour répondre à ces priorités et nous allons travailler avec l’ensemble des acteurs pour nous adapter s’il en était besoin.

C’est comme les chassés-croisés sur l’autoroute fin juillet, début août. Il faut savoir adapter sa consommation comme on a parfois l’habitude d’adapter sa circulation.

 

 

 

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Source : franceinfo

 

 

 

 

Bouygues Telecom débarque en zone AMII

Le mercredi, 16 octobre 2019. Posté dans Archives Rezopole

Bouygues Telecom débarque en zone AMII

L’opérateur a lancé la commercialisation de ses abonnements Très Haut Débit, jusqu’à 1 Gb/s, dans de nombreuses villes. Pour ce faire, il s’est appuyé sur le réseau FttH que déploie SFR. Il s’agit de zones AMII, zones moyennement denses, où l’opérateur au carré rouge est seul à la manœuvre. Il y installe un réseau de fibre optique mutualisé, que les autres FAI pourront par la suite utiliser.

 

Plus de 50 villes dans une quinzaine de départements sont concernées au total par l’arrivée des offres de Bouygues Telecom. L’opérateur emboîte ainsi le pas à Free, qui a commencé à investir ces territoires depuis déjà plusieurs mois.

Absent jusqu’ici, Bouygues Telecom semble avoir lancé depuis fin septembre un vaste effort de commercialisation. Notamment en périphérie de grandes métropoles comme Calais, Cannes, Marignane, Nantes, Toulon, Toulouse et Orléans ainsi que dans plusieurs grandes communes d'Ile-de-France.

 

Dans ces régions, la concurrence va donc être quelque peu aiguisée puisqu’au début de l’année seules les offres de SFR, RED, Orange et Sosh étaient disponibles. Depuis quelques mois déjà Free monte en puissance, il n’est donc pas surprenant de voir Bouygues Telecom venir compléter le tableau. Cela afin de ne pas se laisser distancer sur ces territoires comptant des centaines de milliers de clients potentiels.

 

Parallèlement, Bouygues Telecom cravache pour reprendre du terrain dans les grandes métropoles. Début 2019, ses offres Internet très haut débit étaient encore absentes de nombreuses grandes villes situées en zone dite très dense (ZTD). Mais la situation s’améliore progressivement avec une arrivée de sa fibre à Cannes, Clermont-Ferrand, Grenoble, Poitiers, Rennes, Rouen, Saint-Etienne, Toulon ou encore certaines communes franciliennes comme très récemment Fontenay-sous-Bois.

 

 

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Source : Ariase

 

 

 

 

Épuisement des adresses IPv4 : désormais une réalité

Le jeudi, 10 octobre 2019. Posté dans Archives Rezopole

Épuisement des adresses IPv4 :  désormais une réalité

L’Arcep estimait encore, avant les vacances d’été, que le nombre d’adresses IPv4 publiques disponibles permettrait de tenir jusqu’en mars 2020. Mais depuis, les demandes d’allocation se multiplient et le stock restant fond comme neige au soleil. La date d’épuisement est désormais prévue… le 5 novembre 2019.

 

Passé cette date, le registre européen RIPE basculera dans un mode de strict rationnement. Les organisations souhaitant se fournir devront donc s’inscrire sur liste d’attente. Le cas échéant, ils recevront une petite plage de 256 adresses. Pour ceux détenant déjà des plages d’adresses, ils n’ont quasiment aucune chance de recevoir cette obole. « Nous allons privilégier les acteurs qui n’ont encore jamais bénéficié d’une allocation d’adresses IPv4 », prévient Marco Schmidt, responsable du développement des règles et de la politique interne au RIPE.

 

Ces adresses proviendront essentiellement d’entreprises en faillites. Les acteurs historiques ayant bénéficié d’une large allocation par le passé et n’ayant plus usage de certaines plages, peuvent évidemment les retourner au RIPE. Mais ce cas sera plutôt rare. « Les adresses IPv4 sont devenues des avoirs stratégiques. Presque personne ne voudra s’en séparer », estime Vincentus Grinius, PDG de Heficed.

Le nombre de transferts d’adresses IP ne devrait pas franchement s’envoler à l’avenir pour les mêmes raisons que vues ci-dessus. Cependant, le prix de l’adresse IPv4 pourrait fortement augmenter en même temps que l’offre se raréfie. On trouve actuellement une vingtaine d’offres au niveau global sur le site d’enchères auctions.ipv4.global. Le prix moyen d’achat a plus que doublé, passant de 9 à 21 dollars, en l’espace de trois ans.

 

Cette pénurie inspire d’ores et déjà les esprits fraudeurs qui sont à l’affût pour récupérer des stocks d’adresses IPv4. Ces dernières années, quelques centaines de cas ont déjà atterri sur les bureaux du RIPE.

Le RIPE a donc renforcé ses contrôles pour remédier à cette situation. Plus de 600 enquêtes, soit deux fois plus que l’année précédente, ont été réalisées en 2018. Les membres sont désormais priés de vérifier régulièrement que leurs données sont correctes et à jour.

 

Mais cela ne va toutefois pas résoudre le problème fondamental de la pénurie. Aujourd’hui, aucun acteur Télécom ne peut faire l’impasse sur l’IPv4. Même si l’IPv6 se développe, cette technologie ne connecte qu’environ un quart de la Toile. « L’Internet ne cessera pas de fonctionner, mais il cessera de grandir. Cette pénurie va surtout affecter les nouveaux entrants et les acteurs en croissance, car ce sont eux qui ont le plus besoin de nouvelles adresses IPv4 publiques. Soit ils arrivent à s’en procurer sur le marché secondaire, soit ils devront partager les adresses IPv4 entre plusieurs clients » explique Vivien Guéant, chargé de mission au sein de l’unité « Internet ouvert » de l’Arcep.

 

Une situation loin d’être neutre pour l’utilisateur final puisqu’elle influe sur la qualité de service. Effectivement, lorsqu’un opérateur récupère des adresses IPv4 depuis un acteur localisé dans un autre pays ou un autre continent, il peut arriver que cette information géographique ne soit pas mise à jour.

Le partage d’adresses a également des défauts puisqu’il permet de connecter plusieurs centaines voire milliers de clients sur une seule adresse IPv4. Et cela complexifie sensiblement la maintenance pour l’opérateur et rend difficiles, voire impossibles, certains usages « comme le peer-to-peer, l’accès à distance à des fichiers partagés sur un NAS, l’accès à des systèmes de contrôle de maison connectée, certains jeux en réseau », explique l’Arcep dans son « Suivi de l’épuisement des adresses IPv4 ».

La police pâtit également de ce partage forcé. Les enquêtes auront du mal à aboutir si les adresses sont de plus en plus partagées puisqu’elle s’appuie souvent sur une adresse IP pour trouver un délinquant numérique. Pour pallier cette situation, les forces de police européennes souhaiteraient que les opérateurs et FAI réduisent le nombre de clients partagés par adresse IPv4. En Belgique, par exemple, l’industrie des Télécoms a joué le jeu et l’instauration d’un code de bonne conduite a permis de limiter le ratio d’abonnés à 16/1.

 

La seule solution, à long terme, est la généralisation d’IPv6. « Les acteurs du secteur n’ont jamais vu beaucoup d’intérêt dans l’IPv6, car cette technologie n’avait pas d’effets immédiats : tous les sites Web et clients qui ont de l’IPv6 ont également de l’IPv4. IPv6 n’est utile que si tout le monde s’y met. Il faudra probablement garder l’IPv4 pendant encore longtemps. Certains pensent même que l’IPv4 ne s’arrêtera jamais », ajoute Vivien Guéant. À moins de faire comme la Biélorussie qui vient de déposer un décret présidentiel contraignant ces FAI à déployer l’IPv6 auprès de tous les utilisateurs d’ici le 1er janvier 2020. C’est à ce jour le seul pays à forcer le déploiement de l’IPv6 par une loi.

 

 

 

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Source : 01net

 

 

 

 

L'Arcep dévoile les projets 5G sur la bande 26 GHz

Le jeudi, 10 octobre 2019. Posté dans Archives Rezopole

L'Arcep dévoile les projets 5G sur la bande 26 GHz

Le 7 octobre dernier, l’Arcep a indiqué les premiers projets retenus pour utiliser la bande de fréquence 26 GHz. Appelée « bande millimétrique », cette bande représente selon le régulateur « un apport capacitif extrêmement localisé pour les réseaux mobiles très haut débit dans les zones très denses, essentiellement en zones urbaines ou suburbaines, dans des lieux spécifiques (ports, usines…) ou à l’intérieur des bâtiments ».

 

Le régulateur et le gouvernement avaient lancé un appel à projet, en janvier 2019, pour identifier les usages de la 5G dans cette bande de fréquence. Au total, 11 projets ont été validés par les autorités pour expérimenter la 5G sur la bande 26 GHz pendant 3 ans. Sébastien Soriano précise « l’enjeu fondamental c’est l’Internet des objets, un univers quasiment infini s’ouvre à nous ».

 

Des propositions hétérogènes :

  • le grand port maritime du Havre cherche à développer la ville portuaire de demain.
  • Bordeaux Métropole va se servir de la 5G pour gérer les lampadaires connectés et ainsi assurer la gestion intelligente de l’énergie au sein des communes concernées.
  • dans l’optique des jeux Olympiques de 2024, le vélodrome national de Saint-Quentin en Yvelines va pouvoir tester la 5G à destination des médias.
  • la SNCF va pouvoir observer les bienfaits de la 5G dans la gare de Rennes avec différents cas d’usage touchant aussi bien les usagers que les agents SNCF.

 

 

 

 

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Source : Le Monde Informatique

 

 

 

 

Le Wi-Fi 6 cherche à s’imposer face à la 5G

Le lundi, 07 octobre 2019. Posté dans Archives Rezopole

Le Wi-Fi 6 cherche à s’imposer face à la 5G

Lancé le 16 septembre dernier, le Wi-Fi 6 va se généraliser dans les Télécoms. En effet, selon la Wi-Fi Alliance, plus de 1,6 milliard d’appareils le proposeront d’ici la fin 2020. « C’est la première fois, dans l’histoire du Wi-Fi, que l’on va avoir autant d’avancées. L’impact du Wi-Fi passe souvent inaperçu. Pourtant, même le commerce international en dépend ! Le Wi-Fi 6 est là, c’est une réalité, les entreprises livrent leurs produits » s’enthousiasme le vice-président marketing de Wifi-Alliance, Kevin Robinson.

 

Le prochain standard de téléphonie mobile, la 5G, est prévu pour 2020 en France. Les opérateurs Télécoms vont devoir dans un premier temps acheter les précieuses licences cet automne. Utilisant en revanche des fréquences gratuites, le Wi-Fi 6 a pu arriver dès cet été dans l’Hexagone.

Cette version 6 a de nombreux avantages. Il permet de connecter des dizaines d’appareils simultanément. « Aujourd’hui, dans une famille moyenne de quatre personnes, il y a au moins quatre téléphones sur un même Wi-Fi, sans parler des smartphones professionnels, des tablettes, un ou plusieurs PC, une télévision connectée… On constate que le nombre d’appareils par foyer augmente plus vite que le débit consommé » explique Christian Gacon, directeur des réseaux fixes chez Orange Labs.

Mais la 5G ne devrait pas soulager le problème. La 5G utilise des bandes de fréquences hautes, par rapport à la 4G, permettant certes de diffuser plus loin mais pénétrant moins bien à l’intérieur des bâtiments. C’est pour cette raison que la 5G sera surtout utilisée à l’extérieur et le Wi-Fi 6 à l’intérieur. « Ce sont deux technologies complémentaires. Par exemple, le Wi-Fi 6 ne va pas permettre le développement des voitures autonomes ! » reprend Kevin Robinson. Dans le monde industriel, la 5G sera donc incontournable pour les usages exigeant un temps de latence très faible et de la longue portée. Le Wi-Fi 6, quant à lui, convient davantage à des usages de courte portée.

 

Mais d’autres sont plus mesurés. « Le Wi-Fi 5 est déjà très puissant et soutiendra les dix ans à venir. Le Wi-Fi 6, c’est pour les vingt ans prochains. Il apporte une amélioration… De mon point de vue, la vraie rupture est venue avec le Wi-Fi 5 » tempère Marc Taieb, président-fondateur de Wifirst.

 

 

 

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Source : Les Echos

 

 

 

 

IPv6 obligatoire pour les FAI biélorusses

Le vendredi, 27 septembre 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX Archives LyonIX

IPv6 obligatoire pour les FAI biélorusses

La Biélorussie devient le premier pays au monde à exiger légalement l’adoption du protocole IPv6. À partir du 1er janvier 2020, tous les Fournisseurs d’Accès Internet devront prendre en charge IPv6 sur leur réseau et fournir une adresse IPv6 à tous leurs clients.

 

La nouvelle loi a été promulguée par décret présidentiel le 18 septembre. Ce décret actualise le précédent fixant les règles d’utilisation du « segment national de l’Internet » du pays. La Biélorussie possède l’une des dorsales Internet les plus récentes et les plus modernes du continent européen et les FAI locaux ont déjà testé le support IPv6 bien avant l’annonce de la semaine dernière.

 

Actuellement, l’adoption d’IPv6 en Biélorussie est d’environ 15 % en moyenne, soit inférieur à la moyenne mondiale (29 % ). Mais cela devrait augmenter, à partir de 2020, puisque les FAI locaux devront permettre la prise en charge de toutes les connexions.

Une fois activée, les clients se verront attribuer à la fois une adresse Internet IPv4 et une adresse IPv6, et les connexions fonctionneront entièrement sur IPv6 si possible.

 

Officiellement approuvé comme norme Internet en 2017, le protocole IPv6 a été conçu pour remplacer le protocole IPv4, qui a presque épuisé tout son espace d’adressage disponible de 4,3 milliards d’adresses. Depuis son adoption, les FAI du monde entier ont commencé à déployer le support, en collaboration avec les fabricants de périphériques grand public et professionnels. Un déploiement plutôt lent, principalement parce qu’il a été laissé à la discrétion des opérateurs.

 

 

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

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