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Huawei : lenteurs de l’administration française

Le jeudi, 23 janvier 2020. Posté dans Archives Rezopole

Huawei : lenteurs de l’administration française

À en croire plusieurs spécialistes des Télécoms, l’incertitude des opérateurs sur la possibilité ou non d’utiliser les antennes 5G de Huawei pour leurs nouveaux réseaux mobiles se renforce.

 

Pourtant la loi sur la sécurisation des réseaux mobiles (surnommée « anti-Huawei ») a clarifié les choses. En effet, les opérateurs doivent obtenir le feu vert de l'Anssi – Agence nationale de sécurité des systèmes d’information –  avant d’utiliser un équipement 5G. L’Agence dispose alors de deux mois pour étudier leurs dossiers.

Fin décembre, Orange, SFR et Bouygues Telecom ont ainsi tous les trois déposés des dossiers d’autorisation pour des déploiements d’antennes 5G chinoises sur le territoire hexagonal.

 

Seulement voilà, les cyber-experts tricolores multiplient les demandes de précision, selon plusieurs sources. « Ce n’est pas sérieux, grince-t-on chez un opérateur concerné. S’ils cherchent à gagner du temps de cette façon, c’est une erreur. Un tribunal ne leur donnerait jamais raison, la jurisprudence est très claire ».

 

Ce que redoutent les opérateurs en réalité, c’est que l'Anssi traîne délibérément les pieds pour ne pas avoir à afficher un refus d’autorisation en amont des attributions des fréquences 5G, prévues en avril. Si des équipementiers devaient être refusés aux opérateurs avant cette date, ces derniers seraient alors fragilisés et pourraient donc revoir à la baisse leurs mises pour les enchères 5G...

 

Selon le nouveau cadre légal, l’absence de réponse positive de l'Anssi dans les deux mois vaut refus. Mais ce délai court à réception d’un dossier… complet. D’où l’agacement des opérateurs devant ce qu’un acteur décrit comme « des manoeuvres dilatoires » pour différer l’échéance.

Un spécialiste du secteur indique même que « Certains opérateurs attendent impatiemment un refus implicite pour pouvoir attaquer en justice ».

 

Mais l’intérêt stratégique des quatre acteurs diffère. En effet, Free, n’utilisant que des antennes du finlandais Nokia, n’est pas concerné.

Orange n’utilise pas d’antennes Huawei en France à ce jour. Il veut toutefois avoir la possibilité de solliciter le fournisseur chinois pour son futur réseau 5G.

Quant à SFR et Bouygues Telecom, qui utilisent Huawei sur la moitié de leurs réseaux respectifs, ils tiennent absolument à pouvoir continuer de faire affaire avec le géant de Shenzhen. Se passer de ses antennes 5G nécessiterait en effet de démonter les antennes 3G et 4G pour des raisons de compatibilité. Le coût serait énorme. Il faudrait acheter et installer ces équipements. Surtout, une large partie du réseau serait perturbée pendant de longs mois, poussant les clients dans les bras de la concurrence. « Free deviendrait, sans rien faire, le deuxième meilleur réseau du pays… alors qu’il reste loin derrière » comme l’analyse un spécialiste des Télécoms.

 

 

 

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Source : Les Echos

 

 

 

 

Belgique : Orange et Proximus bloqués par le régulateur

Le vendredi, 17 janvier 2020. Posté dans Archives Rezopole

Belgique : Orange et Proximus bloqués par le régulateur

L’accord de partage de réseau d’accès mobile entre Orange Belgique et son concurrent Proximus vient d’être suspendu par l’Autorité belge de la concurrence saisie par Telenet, le troisième opérateur mobile du marché outre-Quiévrain. Ce dernier estime que cette alliance aurait pour effet de créer un mastodonte sur le marché belge des Télécoms.

« Telenet comprend ce qui motive les opérateurs mobiles à vouloir partager leur réseau mobile, certes dans les limites de la légalité, mais se pose des questions sérieuses quant à la façon très poussée dont les deux plus grands acteurs mobiles de Belgique veulent collaborer dans le cadre d’une joint-venture », a fait savoir la direction.

D’autant qu’un « accord poussé de ce type entre Proximus et Orange Belgique a également pour effet de réduire de trois à deux le nombre d’acteurs détenteurs d’infrastructure mobile », a relevé Telenet au terme d’un argumentaire qui n’a pas laissé insensible le régulateur belge. Et qui pourrait bien intéresser les opérateurs français.

 

« Compte tenu de leur impact possible sur la concurrence, le collège de la concurrence impose à Orange et à Proximus de suspendre la mise en œuvre de l’accord entre actionnaires et de l’accord de partage RAN conclu entre eux le 22 novembre 2019, à compter de la date de réception de la présente décision et jusqu’au 16 mars 2020 », a expliqué, en fin de semaine dernière, l’Autorité belge de la concurrence.

La décision adoptée par cette dernière permet à Orange Belgique et Proximus de continuer leurs travaux préparatoires en vue de la mise en place de leur future joint-venture. En effet, la décision du régulateur belge « n’empêche pas l’envoi de RFP pour l’acquisition d’équipements de réseau et la sélection des employés à transférer, si cela ne conduit pas à la conclusion d’accords contraignants ».

 

Orange Belgique et Proximus ont toutefois tenu à défendre leur accord finalisé en novembre dernier « l’accord sur le partage du réseau mobile d’accès aura des effets positifs pour les clients et pour la société belge dans son ensemble, en particulier un déploiement plus rapide et plus étendu de la 5G, une réduction significative de la consommation énergétique globale et une amélioration totale de l’expérience mobile, tout en maintenant une solide différenciation entre les parties au niveau des services et de l’expérience client ».

 

Pour rappel, cette alliance a pour but de créer une joint-venture détenue à parts égales entre les deux opérateurs. « Bien que partageant leurs réseaux d’accès mobile, les deux entreprises conserveront le plein contrôle de leurs propres ressources de spectre et continueront à exploiter en toute indépendance leurs cœurs de réseaux afin de garantir une expérience client et de service différenciée », avaient déclaré Orange Belgique et Proximus lors de l’annonce de cet accord.

 

Le marché belge des Télécommunications mobile est actuellement animé par trois opérateurs principaux : Proximus, (44 % des parts de ce marché en 2017), suivi d’Orange Belgique (27 %) et de Telenet, (avec une part de marché comprise entre 20 et 30 %).

Depuis plusieurs mois, différentes rumeurs font état de l’entrée sur le marché belge d’un quatrième opérateur permettant ainsi d’introduire plus de concurrence sur un marché caractérisé par son faible nombre d’acteurs et des prix relativement élevés. Dans une étude publiée en 2018, le régulateur belge s’était montré lui-même favorable à l’entrée d’un quatrième opérateur mobile sur le marché, relevant que cette concurrence nouvelle permettrait de faire baisser les prix et d’améliorer l’innovation, au risque toutefois d’une baisse des investissements consentis, notamment en zone rurale.

 

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

Fréquence 5G : les candidatures sont ouvertes

Le lundi, 13 janvier 2020. Posté dans Archives Rezopole

Fréquence 5G : les candidatures sont ouvertes

Cette fois, c’est parti ! Les opérateurs qui souhaitent se lancer dans la 5G peuvent désormais déposer une candidature auprès de l’Arcep afin d’obtenir des fréquences dans la bande 3,4 ‑ 3,8 GHz. Les opérateurs doivent se signaler avant 12 h le 25 février 2020.

L’autorité de régulation procédera à l’examen des dossiers de candidature et délivrera les autorisations au cours du premier semestre 2020. Il est attendu que les quatre opérateurs – Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free Mobile – soient lauréats au terme de la procédure d’attribution.

 

La ressource étant limitée, la vraie question est de savoir combien de fréquences aura chaque candidat.

Un système mixte d’attribution a été prévu : les fréquences sont scindées en lots à prix fixe et en lots à prix variable, qui sera déterminé lors d’enchères. Les lots à prix fixe contiennent chacun un bloc de 50 MHz tandis que les lots à prix variable sont constitués d’un bloc de 10 MHz. Un opérateur doit postuler pour au moins 40 MHz et n’a pas le droit d’avoir plus de 100 MHz.

Les blocs à prix fixe sont vendus 350 millions d’euros à l’unité. Quant aux autres, leur prix démarre à partir de 70 millions d’euros.

Cela étant, le gouvernement n’entend pas essorer les candidats et une certaine souplesse dans l’achat des fréquences est ainsi prévu : les blocs de 10 MHz pourront être payés sur 4 ans et les blocs de 50 MHz sur 15 ans – il s’agit de la durée d’attribution des fréquences. Celle-ci pourra être éventuellement prolongée.

 

 

 

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Source : Numerama

 

 

 

 

5G : ticket d’entrée à 350 millions d’euros

Le jeudi, 19 décembre 2019. Posté dans Archives Rezopole

5G : ticket d’entrée à 350 millions d’euros

Le 17 décembre dernier, l'Arcep a annoncé avoir déterminé avec les autorités le cahier des charges du futur appel d’offres 5G. Pour s’offrir les premiers blocs de 50 MHz dans la bande des 3,5 GHz, chaque opérateur devra débourser la somme fixe de 350 millions d’euros mais également répondre aux différents engagements fixés par les autorités.

Les 110 MHz restants, sur la bande concernée, feront l’objet d’enchères par blocs de 10 MHz. Le prix de départ de ces derniers a été fixé à 70 millions d’euros. Ce qui ne devrait toutefois pas faire les affaires des opérateurs. En effet, ils militaient pour que l’autorité ne fixe pas de montants trop élevés afin de leur permettre d’investir plus massivement dans le déploiement de leurs futurs réseaux 5G.

Les autorités devraient donc tirer de cet appel d’offres, au minimum, une somme totale « de 2,17 milliards d’euros pour l’ensemble des fréquences attribuées ». Celles-ci ne se sont pourtant pas montrées gourmandes au regard des différentes enchères 5G organisées par nos voisins, comme en Allemagne ou en Italie.

 

Le cahier des charges devrait être publié dans les prochains jours et donnera le coup d’envoi officiel de la procédure d’attribution conduite par l’Arcep. Les opérateurs candidats disposeront alors de huit semaines pour préparer leurs dossiers de candidature.

Les postulants ne pourront obtenir moins de 40 MHz de fréquences et ne pourront donc pas mettre la main sur plus de 100 MHz de fréquences dans la bande des 3,5 GHz. Les fréquences seront attribuées pour une durée de 15 ans et pourront être prolongée de 5 ans en cas d’accord ultérieur entre les autorités et les opérateurs concernés.

L’instruction des dossiers présentés par les candidats devrait démarrer au cours du mois de mars. L’Arcep rendra ses arbitrages et attribuera les premiers blocs fixes de fréquences 5G fin mars. Les enchères à proprement parler se dérouleront courant mai tandis que la finalisation de la procédure aura lieu au cours du mois de juin prochain.

 

Les obligations qui pèseront sur les opérateurs ne changent cependant pas. Comme initialement prévu par l'Arcep, le cahier des charges prévoit d’imposer l’ouverture de la 5G dans au moins deux villes par opérateur avant la fin 2020. Par la suite, les opérateurs se verront contraints de déployer leurs services sur 3 000 sites en 2022, 8 000 sites en 2024 et enfin 10 500 sites en 2025.

Mais sans oublier les zones rurales. Ainsi, 25 % des sites sur la bande des 3,5 GHz « des deux derniers jalons devront être déployés dans une zone rassemblant les communes des zones peu denses et celles des territoires d’industrie, hors des principales agglomérations », a fait savoir l'Arcep.

L’Autorité indique également que « dès 2022, au moins 75 % des sites devront bénéficier d’un débit au moins égal à 240 Mbit/s au niveau de chaque site. Cette obligation sera progressivement généralisée à tous les sites jusqu’à 2030 ».

De plus, comme prévu par des textes européens, les axes routiers font également figure de priorité. La couverture des axes de type autoroutier devra ainsi être assurée en 2025, avant une couverture des routes principales prévue en 2027.

Les opérateurs devront aussi s’engager à répondre aux demandes “raisonnables” qui émaneront des entreprises et collectivités publiques, afin de leur apporter « des offres adaptées avec de la couverture et des performances, voire, si l’opérateur le préfère, en leur confiant localement ses fréquences ».

Les autorités exigent plus de coopération entre opérateurs afin d’assurer une meilleure couverture in-door des bâtiments et pour garantir une plus grande transparence sur leurs prévisions de déploiement et pannes. Enfin, les opérateurs devront également s’engager à accueillir les MVNO sur leurs réseaux respectifs « afin notamment d’encourager l’innovation par tous les acteurs du secteur ».

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

Des fréquences 5G trop chères pour les opérateurs

Le vendredi, 06 décembre 2019. Posté dans Archives Rezopole

Des fréquences 5G trop chères pour les opérateurs

Le 22 novembre dernier, les modalités d’attribution des fréquences de la bande 3,5 Ghz ont été arrêtées par l'Arcep. Deux jours plus tard, le gouvernement dévoilait quant à lui le prix de réserve en dessous duquel il n’entend pas céder la première portion de spectre dédiée au réseau mobile 5G. Et les opérateurs font la grimace : le prix plancher retenu leur apparaît beaucoup trop élevé.

4 ensembles de 50 MHz attribués à chacun des quatre opérateurs au prix fixe de 350 millions d’euros. Puis 11 blocs de 10 Mhz qu’ils se disputeront ensuite aux enchères, mise à prix 70 millions d’euros. Soit au total 2,17 milliards d’euros, alors qu’Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free ne s’attendaient pas à voir ce prix de réserve dépasser les 2 milliards. L'Arcep militait même pour un prix de 1,5 milliard “grand maximum”.

Dans un entretien aux Echos, Agnès Pannier-Runacher présente pourtant ce montant comme “raisonnable”. Notamment au regard des sommes qu’on déboursé les opérateurs allemands ou italiens. La représentante de Bercy a aussi fait valoir que ce chiffre correspond à celui déterminé par la Commission des Participations et Transferts, laquelle « analyse le prix en dessous duquel le patrimoine des Français ne lui semble pas devoir être cédé ».

 

Un discours se heurtant à la réalité opérationnelle et financière de la 5G, ont réagi les opérateurs. « Cette décision n’est pas cohérente avec ce qui a été avancé ces derniers mois par le gouvernement », a fait savoir Arthur Dreyfuss, président de la FFT. Laquelle ne cesse de mettre l’État en garde contre une flambée des prix qui priverait les opérateurs des moyens d’investir ensuite dans le déploiement. Surtout que les obligations qui leur sont assignées en contrepartie de l’attribution des fréquences leur semblent trop ambitieuses.

 

Des fréquences 5G trop chères : un différend de plus sur la route du futur réseau mobile. Leurs désaccords y portent non seulement sur le prix de réserve, mais aussi sur la taille des blocs à prix fixe, le rythme de déploiement, les obligations de couverture en 5G ou encore la durée des licences. Une liste non exhaustive de revendications sur lesquelles le régulateur est loin d’avoir donné satisfaction au quatuor des Télécoms.

 

Contre l’avis de l'Arcep, qui penchait pour des blocs de 60 MHz, l’État a finalement opté pour 50 MHz. « Avec des blocs à 50 MHz, pour un total de 310 MHz, le risque est de voir un opérateur obtenir deux fois plus de fréquences qu’un autre », expliquait Sébastien Soriano, président de l’Arcep, dans Le Figaro. Bouygues Telecom et Free craignent en effet d’être perdants dans l’affaire étant moins bien armés financièrement pour surenchérir.

Iliad réclamait également la suppression du troisième jalon de déploiement de sites 5G – 12 000 à fin 2025 – pour les opérateurs qui n’obtiendraient pas ces fameux 60 MHz. L'Arcep n’y a pas donné droit mais cette obligation a été revue à la baisse, à 10 500 sites. Un ajustement reflétant les nombreuses critiques rencontrées par l’échéancier initial. Celui-ci supposait une accélération de 1 000 sites par an de 2020 à 2022 puis à 2 500/an en 2023-2024 puis 4 000/an pour la seule année 2025.

Injouable ont répondu Bouygues Telecom, Orange et Free invoquant des contraintes techniques, financières et administratives. Les opérateurs n’ont tout simplement pas les moyens de réaliser le “saut” de 4 000 sites initialement attendu en 2025, fait valoir Bouygues Telecom. Pour qui, du reste, « il n’existe pas non plus de besoins capacitifs de cette ampleur à cet horizon ».

 

8 000 sites en 2024 et 10 500 en 2025 finalement mais pas seulement en secteur urbain. L'Arcep entend s’assurer que le déploiement de la 5G bénéficiera aussi aux zones peu denses, conformément aux attentes du gouvernement. Le régulateur avait initialement proposé de faire porter cette obligation sur les 22 000 communes de zone de déploiement prioritaire (ZDP) telles que définies par la décision de 2015 sur l’attribution des fréquences 700 MHz.

Là encore, l’idée n’a pas fait l’unanimité. Bouygues Telecom n’y va pas par quatre chemins : « Les obligations de couverture sont très lourdes et incohérentes avec l’objet vendu ». Pour l’opérateur, la bande 3,4-3,8 GHz est destinée à des usages avant tout capacitaires, si bien que son utilisation « n’est pas pertinente en zones peu denses ».

Également évoquée par d’autres acteurs, une approche consistant à prioriser les déploiements 5G sur « des territoires dont on est sûr qu’ils ne bénéficieront pas du FttH avant une date à déterminer ». L’une des pistes évoquées par le Cerema ou encore par l’Assemblée des départements de France est d’utiliser la 5G fixe pour pallier les futures carences du très haut débit filaire.

Enfin, l’opportunité d’ajouter le périmètre ZDP à la toute fraîche liste des “Territoires d’Industrie” est suggérée par plusieurs acteurs : Cerema encore, mais aussi Banque des Territoires ou Orange. Un complément finalement retenu par l'Arcep dans son cahier des charges.

Dernier point de contestation de la part des opérateurs : l’attribution des licences 5G pour une durée initiale de quinze ans seulement, extensible de cinq ans après bilan de l’Arcep. L’Autorité estime que cette durée est « adaptée au niveau d’investissements requis pour remplir les obligations prévues par la procédure ». Pas Orange, Bouygues Telecom et SFR : le trio juge que cela ne suffira pas à rentabiliser leurs investissements.

 

 

 

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Source : DegroupNews

 

 

 

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