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5G : possibles interférences avec un autre service

Le vendredi, 30 juillet 2021. Posté dans Archives Rezopole

5G : possibles interférences avec un autre service

Lancée fin 2020 en France, la 5G fonctionne sur plusieurs bandes de fréquences, et notamment sur celle des 3,4-3,8 GHz. L’Arcep s’interroge sur de possibles perturbations avec les stations terriennes du service fixe du satellite puisque celles-ci utilisent la bande des 3,8‑4,2 GHz.

 

Une telle proximité pourrait causer des interférences. C’est pourquoi le régulateur des Télécom a décidé de lancer une consultation publique le 27 juillet dernier : “La présente consultation publique a ainsi pour objet de clarifier ces conditions de coexistence, tant du point de vue des conditions techniques à respecter que de leur localisation et durée. Le texte proposé s’attache à distinguer les stations existantes de celles qui pourraient être déployées dans le futur, et à tenir compte des niveaux de contraintes sur le déploiement des réseaux 5G qui peuvent varier selon les stations et leur emplacement”. Les contributions des acteurs concernés sont attendues avant le 29 octobre 2021.

 

L’Arcep rappelle également que des mesures ont été déjà prises en ce sens : “Afin d’éviter de tels brouillages, les décisions de l’Arcep en date du 12 novembre 2020 autorisant les opérateurs mobiles à utiliser la bande 3,4‑3,8 GHz, spécifient l’obligation aux opérateurs mobiles de prendre les mesures nécessaires pour respecter des niveaux de puissance d’émission”.

 

 

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Source : Univers Freebox

 

 

 

 

L’État veut investir 1,7 milliard d’euros pour accélérer la 5G

Le vendredi, 09 juillet 2021. Posté dans Archives Rezopole

L’État veut investir 1,7 milliard d’euros pour accélérer la 5G

Afin d’accélérer le développement de la 5G, et en particulier dans le monde industriel, l’État vise 1,7 milliard d’euros d’investissements publics et privés jusqu’en 2025. L’exécutif « va mobiliser 480 millions d’euros de financement public pour soutenir des projets prioritaires d’ici 2022, et vise jusqu’à 735 millions de financements publics d’ici 2025 pour mobiliser, par effet de levier, jusqu’à 1,7 milliard d’investissements d’ici 2025 », a indiqué Agnès Pannier-Runacher, ministre déléguée à l’Industrie, le 6 juillet dernier lors d’une conférence de presse.

 

Le problème pour le gouvernement aujourd’hui n’est pas de déployer des infrastructures de la 5G mais d’accélérer le développement de cas d’usage de celle-ci. L’État a ainsi déjà sélectionné en septembre 2020, 18 projets qui recevront 83 millions d’euros d’argent public, pour un total d’investissement de 260 millions d’euros.

Trois autres projets ont été annoncés et recevront 10 millions d’argent public : un projet de communication machine à machine (mMTC) porté par la société d’ingénierie et de conseil Médiane Système, une carte d’accélération de réseau de la PME grenobloise Kalray, et une solution de contrôle de la ventilation et du chauffage des bâtiments d’une autre PME grenobloise, Adeunis.

 

Les fonds publics proviendront de France Relance, le plan pour soutenir l’économie après la crise de la Covid-19, et du 4ème programme pour les investissements d’avenir. Le gouvernement estime que cet effort de stimulation des applications de la 5G peut permettre de créer 20 000 nouveaux emplois d’ici 2025, et porter à 15 milliards d’euros le marché de la 5G en France à cette date.

 

 

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Source : FrenchWeb.fr

 

 

 

 

5G : les opérateurs accélèrent (enfin) sur la “bande reine”

Le vendredi, 11 juin 2021. Posté dans Archives Rezopole

5G : les opérateurs accélèrent (enfin) sur la “bande reine”

Selon les derniers chiffres publiés par l’Agence nationale des fréquences (ANFR), la France compte aujourd’hui 25 105 sites 5G autorisés, dont 14 284 déclarés techniquement opérationnels par les opérateurs.

 

En hausse de 3,7 % sur un mois, la progression du nombre de sites 5G doit beaucoup à l’héritage des réseaux passés – et surtout de la 4G. L’ANFR rappelle en effet que « la quasi-totalité de ces implantations 5G a été autorisée sur des sites existants, déjà utilisés par les technologies 2G, 3G ou 4G » et que seuls deux sites mobiles en France n’hébergent que de la 5G.

 

Selon les déclarations des opérateurs, 56,9 % des 25 105 sites 5G autorisés à la fin du mois de mai sont techniquement opérationnels. Les grandes tendances du déploiement effectué en ordre dispersé par les opérateurs jusqu’à maintenant se dessinent alors.

Free confirme son attrait pour la bande des 700 MHz à des fins de couverture accélérée du territoire.16 683 sites 5G sont comptabilisés dans cette bande de fréquence, dont 9 584 sont déclarés techniquement opérationnels.

Tactique similaire chez Bouygues Telecom, Orange et SFR. Les trois opérateurs s’appuient sur la bande des 2,1 GHz, déjà exploitée pour la 4G. Fin mai, ils disposaient ainsi de 8 376 sites 5G autorisés sur cette bande, pour 3 973 déclarés techniquement opérationnels.

 

Les opérateurs n’en oublient pas pour autant la “bande reine” de la 5G, celle des 3,5 GHz puisqu’ils semblent bien décidés à passer la seconde sur cette bande spécifique à la 5G.

L’ANFR décompte ainsi 8 550 sites 5G autorisés sur cette bande fin mai, dont 3 973 sont déclarés techniquement opérationnels. De bon augure pour la suite du déploiement de la nouvelle génération de technologie mobile.

 

 

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Source : ZDnet

 

 

 

 

5G : la BEI va prêter 350 millions d’euros à Bouygues Telecom

Le vendredi, 07 mai 2021. Posté dans Archives Rezopole

5G : la BEI va prêter 350 millions d’euros à Bouygues Telecom

Cet accord de financement est le premier du genre entre la Banque Européenne d’Investissement (BEI) et l’opérateur français. L’objectif étant de soutenir le déploiement du réseau 5G de Bouygues Telecom, « y compris en zones rurales », et à multiplier « par 4 » la capacité de son réseau radio mobile d’ici 2026, ajoute la BEI dans un communiqué.

 

Bouygues Telecom prévoit d’investir 1,5 milliard d’euros dans le déploiement de ses réseaux 4G et 5G et dans le marché de la fibre, où l’opérateur prévoit de conquérir 3 millions de clients supplémentaires. Le groupe espère ainsi faire grimper les recettes de ses abonnements d’au moins 40 % d’ici cinq ans tout en augmentant sa rentabilité.

« Bouygues Telecom a de grandes ambitions autour du mobile et de la 5G pour les années à venir et veut contribuer à désenclaver les territoires en réduisant la fracture numérique. Le soutien affiché de la Banque de l’Union européenne à ce vaste projet industriel est une validation de nos choix et vient confirmer la pertinence de notre stratégie », a estimé le directeur général adjoint de l’opérateur Christian Lecoq, cité dans le communiqué.

 

 

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Source : Le Figaro

 

 

 

 

5G : pas de risque pour la santé publique conclut l’Anses

Le vendredi, 23 avril 2021. Posté dans Archives Rezopole

5G : pas de risque pour la santé publique conclut l’Anses

La 5G a suscité bon nombre de fantasmes avant même son lancement sur le territoire français. Pourtant l’Agence nationale de la sécurité sanitaire (Anses) estime qu’il n’existe à ce jour aucun risque de santé publique lié au déploiement de la 5G.

Il faut dire que si la nouvelle norme mobile promet d’accélérer nos communications, elle exploite actuellement plusieurs bandes de fréquences : celles entre 700 MHz – 2,1 GHz, déjà utilisées par la 3G et la 4G, une nouvelle bande attribuée aux opérateurs en novembre 2020 et d’ici quelques années, la bande 26 GHz.

 

Concernant les deux premières bandes de fréquences, déjà utilisées pour la 3G et la 4G, pas de nouveaux risques. Après plusieurs travaux réalisés en amont pour le déploiement de la 5G, l’Anses explique qu’il est “peu vraisemblable à ce stade que le déploiement de la 5G dans la bande de fréquence autour de 3,5 GHz constitue un nouveau risque pour la santé”.

En revanche, pour la bande de 26 GHz qui n’est pas encore attribuée en France, l’organisme se veut plus modérée : “À l’heure actuelle, les données ne sont pas suffisantes pour conclure à l’existence ou non d’effets sanitaires”.

Le gouvernement s’est félicité de ces résultats rassurants, considérant le déploiement de la 5G comme “un tournant dans l’innovation”. La 5G n’est pourtant pas encore totalement tirée d’affaires. Depuis déjà plusieurs mois, le Haut conseil pour le climat avait alerté sur le fait que la nouvelle norme de connectivité risquait “susceptible d’augmenter significativement” l’empreinte carbone du secteur du numérique, qui fait déjà partie des plus gros pollueurs à l’échelle mondiale.

 

 

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Source : Journal du Geek

 

 

 

 

Sites 5G ouverts : Orange et Free toujours très en avance

Le vendredi, 16 avril 2021. Posté dans Archives Rezopole

Sites 5G ouverts : Orange et Free toujours très en avance

L’Arcep a publié son observatoire des déploiements commerciaux 5G le 14 avril dernier. Au 31 mars, les opérateurs ont commercialement ouvert 12 917 sites 5G, dont 2 838 en bande 3,5 GHz. Si l’analyse des courbes des opérateurs montrent que personne ne néglige la technologie de cinquième génération, tous n’avancent pas au même rythme.

 

Avec près de 13 000 sites ouverts en 5G en France fin mars, le déploiement du réseau mobile est soutenu. En à peine quelques mois, les opérateurs se sont assurés de couvrir des millions d’abonnés potentiels, et l’Arcep évoque même une progression « régulière pour les premiers mois de 2021 ».

 

Orange a activé le plus de sites et antennes dans la “bande cœur” 5G avec 1 105 sites en 3,5 GHz. L’opérateur historique soutient aussi ce déploiement à l’aide de la technologie 2,1 GHz (fréquences moyennes), permettant ainsi d’obtenir des débits équivalents à la 4G puisqu’elle exploite une bande déjà en fonction. D’ici 2023, cette bande intermédiaire donnera accès aux nouveaux services 5G dans les zones actuelles 4G.

 

Free Mobile continue de tirer son épingle du jeu. Si l’opérateur fondé par Xavier Niel a activé moins de sites en 3,5 GHz qu’Orange (824 contre 1 105), il est celui à avoir ouvert commercialement le plus de sites en France : 8 074 au total, soit 1 030 sites supplémentaires en un mois, contre 338 pour Orange.

Contrairement à ses trois concurrents, Free mise toujours très fort sur les fréquences basses (700 MHz). Plus de 7 000 sites ont été ouverts dans cette bande aux débits moindres mais qui présente l’avantage de mieux pénétrer dans les bâtiments.

 

En ce qui concerne les deux autres opérateurs. Bouygues Telecom conserve un temps d’avance sur SFR, et même sur Orange au nombre total de sites, d’un point de vue statistique. L’opérateur – filiale du géant français du BTP – a activé au total 2 263 sites, dont 491 en 3,5 GHz et 2 091 en 2,1 GHz.

En nombre de sites 5G ouverts en 3,5 GHz, SFR fait jeu égal avec Bouygues Telecom avec un total de 418. Mais l’opérateur au carré rouge est nettement derrière pour les sites complémentaires. En effet, il a ouvert commercialement 778 sites en 2,1 GHz. Soit un total de 1 196 sites 5G activés toutes fréquences confondues. Ce qui place, au final, SFR assez loin de son premier concurrent.

 

 

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Source : Clubic

 

 

 

 

5G : les opérateurs énervés après un refus des aéroports

Le vendredi, 27 novembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

5G : les opérateurs énervés après un refus des aéroports

S’appuyant sur un rapport américain d’octobre évoquant le cas de la bande des 3,7-3,9 GHz utilisée par la 5G, la Direction Générale de l’Aviation Civile (DGAC) redoute que les premières antennes 5G perturbent les systèmes de guidage à l’intérieur des avions. En effet, cela créerait un “risque majeur” pour les radioaltimètres des avions qui s’appuient également sur ces fréquences. Ce système étant le seul appareil à bord des avions à pouvoir mesurer leur distance par rapport au sol ou à d’autres obstacles. Philippe Barnola, sous-directeur à la DGAC, précise que « Des analyses techniques complémentaires sont en cours pour s’assurer de la compatibilité de ces stations 5G avec les besoins de l’aviation civile ».

Et cela dérange particulièrement les opérateurs qui expliquent avoir été informés du problème une fois les fréquences payées. Désormais, ils redoutent des retards dans le déploiement de la 5G.

Si au départ les opérateurs vont se concentrer sur les centres-ville, ils craignent cependant de ne pas pouvoir couvrir des zones plus ou moins larges autour des aéroports à l’avenir. Et cela pourrait concerner des villes dans certains cas comme celles autour des aéroports de Roissy ou d’Orly.

 

Les opérateurs ont donc décidé d’écrire au secrétaire d’État en charge du Numérique et des Communications électroniques. De son côté, SFR menace de ne pas payer la première tranche qu’il doit à l’État pour des fréquences. Tandis que Bouygues Telecom veut être indemnisé « à proportion de ces nouvelles contraintes ».

Au cabinet du secrétaire d’État, on se veut rassurant « En Allemagne tout se passe bien, il n’y a pas de raison que cela soit différent en France ». Les zones de protection autour des aéroports vont être adaptées pour la 5G, par exemple. Des travaux ont également été lancés au niveau européen.

Il en est de même du côté de l’Agence nationale des fréquences (ANFR). « Au final, il y aura un retard de quelques semaines, voire de quelques mois, sur un nombre limité d’antennes à proximité des aéroports […] Il n’y aura pas de zones d’exclusion durables. Les aéroports français ont la 2G, la 3G et la 4G. Ils auront aussi la 5G ».

 

 

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Source : Kulture Geek

 

 

 

 

Nice première ville couverte par la 5G

Le vendredi, 20 novembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

Nice première ville couverte par la 5G

C’est au micro de BFM Business que Grégory Rabuel, directeur général de SFR, a annoncé le lancement de la 5G à Nice à partir du 20 novembre au soir. Un peu plus de 50 % de la ville sera couverte par cette nouvelle génération de réseau mobile.

Si Montpellier, Bordeaux, Nantes, Marseille et le Grand Paris seront les prochaines villes couvertes en 5G par l’opérateur d’autres communes demandent un moratoire sur cette technologie.

 

SFR a également dévoilé ses offres commerciales à destination du grand public et des entreprises. De leurs côtés, Orange et Bouygues Telecom ont communiqué leurs offres grand public mais sans pour autant annoncer leur plan de couverture. Tandis que Free a évoqué un lancement dans "les prochaines semaines".

 

Si les opérateurs peuvent jouir de leurs fréquences 5G depuis le 18 novembre dernier, ils restent toutefois soumis à des procédures administratives liées aux autorisations techniques à déposer auprès de l’ANFR et aux demandes d’information des mairies.

Or plusieurs maires écologistes ou de gauche, comme à Lille ou Grenoble, ont déclaré être en faveur d’un moratoire jusqu’à la publication d’un rapport de l’Anses, prévue au printemps 2021.

Dans la capitale, le conseil de Paris a voté la création d’une conférence citoyenne sur la 5G, alors qu’une partie de l’opinion se dit méfiante sur les effets sanitaires et environnementaux des ondes électromagnétiques.

 

Même si la 5G promet d’offrir, à terme, un débit jusqu’à 10 fois plus rapide ; avant tout, les opérateurs comptent sur son lancement pour gérer l’augmentation du trafic et éviter la saturation de leurs réseaux mobiles.

 

 

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Source : Le Parisien

 

 

 

 

5G : les opérateurs connaissent leur positionnement

Le vendredi, 06 novembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

5G : les opérateurs connaissent leur positionnement

L'Arcep, en apposant un point final à l’appel d’offres pour les fréquences 5G, vient de livrer le positionnement des opérateurs sur la bande des 3,5 GHz.

Seul Free aura déboursé 3 millions d’euros pour s’offrir une place centrale sur la “bande reine” de la 5G. En effet, la filiale française d’Iliad disposera de 70 MHz de fréquences sur un bloc allant de 3,64 GHz à 3,71 GHz.

Dans le détail, SFR disposera de 80 MHz de fréquences sur un bloc allant de 3,49 GHz à 3,57 GHz, tandis que les 70 MHz de fréquences détenues par Bouygues Telecom seront disposées entre les fréquences 3,57 GHz et 3,64 GHz. Enfin, Orange, qui détient le plus gros bloc de fréquences, avec 90 MHz de fréquences 5G, disposera d’un bloc allant de 3,71 GHz à 3,80 GHz.

 

Lors de cette seconde phase d’enchères, les opérateurs ont déboursé la somme totale de 2,78 milliards d’euros. Pour s’offrir 70 MHz de fréquences sur la bande des 3,5 GHz, Bouygues Telecom a déboursé 602 millions d’euros, tout comme Free qui a rajouté 3 millions d’euros à cette somme pour bénéficier du positionnement de son choix. De son côté, SFR a investie 728 millions d’euros pour mettre la main sur 80 MHz de fréquences, tandis qu’Orange a dépensé 854 millions d’euros pour disposer de 90 MHz de fréquences sur la bande des 3,5 GHz.

 

Les 350 millions d’euros déboursés par chaque opérateur pour s’offrir des blocs fixes de 50 MHz seront remboursables « en 15 parts égales exigibles sur 15 ans, la première dès l’attribution de l’autorisation d’utilisation des fréquences et les 14 autres à la date anniversaire de l’attribution ».

Les sommes déboursées par les opérateurs lors de la phase d’enchère et de positionnement seront quant à elles remboursables « en quatre parts égales exigibles sur quatre ans, la première dès l’attribution de l’autorisation d’utilisation des fréquences et les trois autres à la date anniversaire de l’attribution ».

« À ces sommes viendront s’ajouter une part annuelle variable, égale à 1 % du chiffre d’affaires réalisé par l’exploitation de ces fréquences », indique le gendarme des télécoms.

Les fréquences seront officiellement délivrées à compter du 18 novembre prochain par l’Arcep. Mais les opérateurs devront encore attendre l’accord de l’ANFR, pour pouvoir commercialiser leurs premières offres 5G auprès du grand public et des professionnels, ce qui devrait prendre environ 10 jours supplémentaires.

 

Concernant la commercialisation des forfaits 5G, les opérateurs n’ont pas encore fait connaître leurs stratégies. Quoi qu’il en soit, ils devront attendre l’assentiment des municipalités pour lancer officiellement l’ère de la 5G auprès des utilisateurs. Si la patience reste donc de mise, les opérateurs commencent déjà les grandes manœuvres pour faire baisser le coût de leurs infrastructures 5G.

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

Pas de cœurs de réseau 5G Huawei en Italie

Le vendredi, 30 octobre 2020. Posté dans Archives Rezopole

Pas de cœurs de réseau 5G Huawei en Italie

Le gouvernement italien vient d’opposer, pour la première fois, son véto à la signature d’un accord entre l’opérateur Fastweb et Huawei pour la fourniture des cœurs de réseau 5G. Une décision laissant à penser que l’Italie pourrait revoir sa position quant à la présence d’équipements Huawei sur son réseau 5G.

Huawei avait été sélectionné par Fastweb, la division italienne de Swisscom, comme unique fournisseur du cœur de réseau. Un fait qui a sans doute poussé le gouvernement à mettre son veto.

 

Si d’autres pays comme le Royaume-Uni et la France ont déjà pris des décisions afin d’interdire, à terme, l’accès de Huawei aux réseaux 5G, l’Italie n’avait pas encore pris de décision allant dans ce sens. Cependant, certains proches du gouvernement ou acteurs du monde industriel affirment que Rome adopte de fait une ligne pro-américaine sur la 5G. Les entreprises utilisant les équipements Huawei pour leur réseau 5G sont soumises à des restrictions sur les interventions à distance pour résoudre des problèmes techniques et un seuil de sécurité extrêmement élevé.

 

Afin de pouvoir se retirer, si Rome impose des conditions trop coûteuses en échange de son feu vert, les entreprises de Télécom italiennes ont inclus des clauses de sorties dans les contrats passés avec Huawei sur la 5G. Telecom Italia (TIM) est même allé jusqu’à exclure Huawei d’un appel d’offres concernant son cœur de réseau 5G. Le gouvernement italien pourrait donc revoir sa position concernant le rôle de Huawei dans la 5G et notamment pour la partie cœur de réseau.

 

 

 

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Source : L'Usine Digitale

 

 

 

 

5G : Huawei et ZTE bannis du réseau suédois

Le jeudi, 22 octobre 2020. Posté dans Archives Rezopole

5G : Huawei et ZTE bannis du réseau suédois

Après le Royaume-Uni en juillet, c’est au tour de la Suède de bannir explicitement les groupes chinois Huawei et ZTE de son nouveau futur réseau télécoms 5G, invoquant la sécurité nationale.

Une décision prise à la suite d’un examen de l’Autorité suédoise de régulation des télécoms (PTS), associée à l’armée et au renseignement, visant à « garantir que l’utilisation des fréquences ne met pas en danger la sécurité de la Suède ».

 

Huawei et ZTE seront donc bannis de toutes les « fonctions centrales », c’est-à-dire peu ou prou l’ensemble du réseau selon l’inventaire dressé par la PTS. D’ici le 1er janvier 2025, les équipements déjà installés pouvant servir à la 5G devront être retirés. Un délai encore plus court que celui fixé par Londres, qui a donné jusqu’à 2027.

 

En chef de file de la campagne contre Huawei, les États-Unis. Depuis le spectaculaire bannissement du groupe chinois par le président Donald Trump en mai 2019, Washington encourage ouvertement ses partenaires européens à faire de même. Les services de renseignement américains craignent avant tout que Huawei ne permette aux autorités chinoises d’utiliser ses équipements pour surveiller les communications et trafics de données. Huawei assure qu’il refuserait toute demande de ce type émanant du renseignement chinois.

 

Si le Japon et l’Australie ont suivi le mouvement américain, les positions européennes restent largement divergentes et les préconisations prises par Bruxelles sont non contraignantes. Sans l’avoir exprimé publiquement, la France a en fait banni l’utilisation d’équipements Huawei pour la 5G dans les « zones très denses ». Les périodes d’utilisation des équipements seront également limitées à huit ans.

La Slovénie et la Roumanie également pris des mesures facilitant la mise à l’écart de Huawei des appels d’offres. L’Espagne, la Pologne ou la Grèce, prévoient eux en revanche que les opérateurs puissent utiliser les équipements de Huawei.

 

 

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Source : FRENCHWEB.FR

 

 

 

 

Bouygues va retirer 3 000 antennes Huawei

Le vendredi, 28 août 2020. Posté dans Archives Rezopole

Bouygues va retirer 3 000 antennes Huawei

Olivier Roussat, directeur général adjoint du groupe Bouygues, a annoncé que l’opérateur Télécom va progressivement retirer des antennes relais pour la téléphonie mobile fabriquées par Huawei. Implantées dans des zones denses en France, 3000 antennes seront concernées d’ici à 2028. Une décision prise à la demande du gouvernement français pour des raisons de sécurité du réseau 5G.

 

En effet, l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (Anssi) va accorder des autorisations aux opérateurs télécoms pour utiliser des équipements 5G, y compris ceux fabriqués par Huawei, d’une durée maximale de 8 ans. Lorsqu’elles arriveront à échéance, les autorisations d’exploitation des équipements Huawei ne devraient pas être renouvelées.

Résultat : en 2028, le géant chinois pourrait être totalement évincé des réseaux 5G français.

 

Afin d’anticiper cette décision, Bouygues commence dès aujourd’hui à retirer et remplacer les antennes fabriquées par Huawei. Cela lui permet aussi de limiter l’impact financier de cette décision. Bouygues n’a pas précisé quelle entreprise allait remplacer Huawei.

 

Olivier Roussat a également indiqué que des discussions étaient en cours avec les autorités françaises afin de compenser l’interdiction des équipements Huawei, très coûteuse pour l’opérateur français. Mais sans en dire plus. Il a toutefois précisé que le groupe avait lancé en parallèle plusieurs procédures judiciaires à l’encontre de l’État français.

 

 

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Source : L'Usine Digitale

 

 

 

 

Enchères 5G : le nouveau calendrier dévoilé

Le vendredi, 12 juin 2020. Posté dans Archives Rezopole

Enchères 5G : le nouveau calendrier dévoilé

L’Autorité de régulation des Télécom a publié un nouveau calendrier pour la suite de la procédure d’attribution des fréquences 5G dans la bande des 3,5 GHz. Ce sera donc entre le 20 et le 30 septembre. Bouygues Telecom, Free, Orange et SFR, qualifiés en février dernier à l’issue d’un appel à candidature, y participeront.

 

À l’issue de la procédure, ils obtiendront un bloc de 50 GHz chacun en contrepartie de 350 millions d’euros par tête et d’un certain nombre d’obligations de déploiement. Au début de l’automne, l’enchère principale leur permettra de compléter ce premier bloc en décrochant un ou plusieurs blocs de 10 GHz. S’ensuivra une enchère permettant de positionner les fréquences obtenues dans la section 3,4-3,8 GHz. L’Arcep indique que l’attribution définitive des fréquences aura lieu “en octobre ou novembre”. Les opérateurs pourront ainsi commercialiser leurs futurs forfaits 5G “d’ici à la fin de l’année”.

 

Cependant, les opérateurs ne seront finalement pas obligés d’assurer la couverture en 5G d’au moins deux grandes villes avant fin 2020. Le décalage de la procédure a conduit le gendarmes des Télécom à lever cette obligation accompagnant le premier bloc de 50 GHz. La commercialisation se fera “à l’initiative des opérateurs” même si l’Arcep promet de rester attentive aux conditions de commercialisation du nouveau réseau et aux promesses des opérateurs.

 

La première obligation sera donc de déployer la 5G sur au moins 3 000 de leurs sites d’ici à fin 2022. Les opérateurs devront également distiller au moins 240 Mb/s sur 75 % de leurs sites en 4G+ à la même échéance.

Une manière de rappeler que le cahier des charges a été élaboré pour que le déploiement de la 5G et la couverture 4G des territoires aillent de pair. Et aussi de répondre à Bouygues Telecom et SFR qui ont récemment mis en balance le déploiement du réseau de 5e génération et la nécessaire amélioration de la couverture 4G en zone rurale.

 

En parallèle, l'Arcep entend également répondre aux préoccupations croissantes entourant l’impact environnemental du numérique. Dans le cadre d’une nouvelle plateforme baptisée “pour un numérique soutenable”, “associations, institutions, opérateurs, entreprises du numérique, personnalités” sont invités à y contribuer lors d’une série d’ateliers thématiques à partir du 9 juillet.

Un rapport pour la fin d’année permettra de faire le point sur ces travaux et proposera les “premières pistes pour aller plus loin dans la réponse aux enjeux environnementaux” dont l’Autorité entend faire un “nouveau chapitre de la régulation”.

 

 

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Source : DegroupNews

 

 

 

 

Iliad confirme le choix de Nokia pour sa 5G

Le jeudi, 20 février 2020. Posté dans Archives Rezopole

Iliad confirme le choix de Nokia pour sa 5G

Comme pressenti en septembre dernier, Iliad a confirmé son choix de se tourner vers Nokia pour son infrastructure télécom 5G. Au total, 17 millions d’abonnés, en France et en Italie, sont potentiellement concernés pour basculer le moment venu sur cette technologie mobile de dernière génération.

 

« Le groupe Iliad installera la toute dernière technologie d’accès radio de Nokia, AirScale, ce qui lui permettra de tirer parti des premiers réseaux 5G tout en prenant en charge la 4G / LTE et la 5G dans le même système d’accès radio », indique l’équipementier finlandais.

Cette technologie prend en charge différentes topologies réseau, du RAN distribué, centralisé et cloud. L’équipementier met en avant sa rapidité et facilité d’installation et des gains énergétiques de 60 % ainsi qu’une rétrocompatibilité avec ses contrôleurs de station de base Flexi.

 

Outre Iliad, Orange a également choisi Nokia – aux côtés d'Ericsson – pour le déploiement de son réseau 5G. Avec en particulier sa technologie Single RAN couplée à des outils d’automatisation et de gestion réseau ainsi que des services professionnels associés dans les régions.

 

 

 

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Source : Le Monde Informatique

 

 

 

 

La Chine demande ne pas discriminer Huawei

Le jeudi, 13 février 2020. Posté dans Archives Rezopole

La Chine demande ne pas discriminer Huawei

Le déploiement de la 5G est devenu un enjeu géopolitique international. Et le porte-parole de l’ambassade de Chine en France s’inquiète de « reportages récents dans plusieurs médias français selon lesquels les autorités compétentes françaises envisageraient de prendre des mesures restrictives contre Huawei dans le déploiement de la 5G en France ».

Il rappelle, dans ce communiqué, que le président français ainsi que de hauts responsables ont affirmé qu’en matière de 5G, « la France ne prendrait pas de mesures discriminatoires contre un pays ou une entreprise spécifique, ni n’exclurait pas Huawei ».

 

Ces craintes d’espionnage sont infondées pour la Chine. « En réalité, les équipements 5G de Huawei sont totalement fiables et n’ont jamais présenté aucun risque technique ou sécuritaire, ni laissé aucune ‘porte dérobée’ », dit le porte-parole.

La Chine dit compter sur la France « pour prendre des actions concrètes et créer un environnement d’affaires ouvert, transparent et non discriminatoire à l’égard des entreprises de tous les pays, y compris de la Chine ».

 

Vendredi dernier, Orange a annoncé avoir sélectionné les groupes européens Nokia et Ericsson comme équipementiers pour le déploiement d’un réseau mobile de 5ᵉ génération en France métropolitaine.

Au sein du secteur français des Télécoms, le sentiment qui prévaut au est que les autorités françaises souhaitent bannir Huawei du marché de la 5G mais ne le diront pas publiquement.

De son côté, la Commission européenne a publié ses directives en refusant d’exclure le groupe chinois, tout en autorisant les pays membres à interdire les équipementiers qu’ils jugeraient à ‘haut risque’.

Plusieurs opérateurs disent redouter que l’exclusion de Huawei entraîne des retards et surcoûts dans le déploiement de la 5G.

 

 

 

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Source : Challenges

 

 

 

 

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