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Fibre : chantier ouvert pour améliorer les raccordements

Le vendredi, 23 juillet 2021. Posté dans Archives Rezopole

Fibre : chantier ouvert pour améliorer les raccordements

Le 20 juillet, les opérateurs ont remis leur plan d'attaque pour renforcer la qualité des raccordements au gouvernement. Pour la Fédération française des télécoms (FFT) il n’est pas question de laisser ces dysfonctionnements nuire à l'image de la fibre et entraver son déploiement à court et moyen terme.

Cette opinion est partagée par l'ensemble des acteurs des Télécom. « Une bonne qualité [des raccordements] est essentielle pour assurer l’exploitation des réseaux FttH dans de bonnes conditions, assurer leur pérennité et limiter les surcoûts liés aux travaux de reprise ou de réintervention », rappelle l'Arcep. Même son de cloche du côté des opérateurs, regrettant les dégradations commises contre les infrastructures réseaux, qu'elles soient volontaires ou non, ne nuisent à leur image et celle de la fibre.

 

Les opérateurs d'infrastructures ont déjà souscrit, en mai dernier, à une série d'engagements pour améliorer la qualité des raccordements via une évolution du contrat de sous-traitance (mode STOC) qui régit le marché. C’est au tour des opérateurs commerciaux de prendre le problème à bras-le-corps. Dans ce livre blanc, ces derniers proposent diverses pistes pour en finir avec les "plats de nouilles".

Au-delà de la seule formation de leurs agents de terrain, les opérateurs vantent également la généralisation d'une nouvelle forme d'ingénierie au sein des armoires de mutualisation. Cette nouvelle architecture, baptisé forme en "M",  « rend le brassage plus fluide et intuitif, grâce à un code couleur des cheminements ». Ces derniers militent ainsi pour une généralisation de ce dispositif à l'échelle nationale.

Par ailleurs, et afin de permettre un meilleur audit des raccordements déjà effectués, les opérateurs souhaitent généraliser un nouveau type de compte-rendu photographique, « qui prévoit la prise de photos horodatées avant et après chaque intervention, permettant de contrôler la qualité du travail réalisé par les intervenants et de détecter rapidement l’apparition de malfaçons ». Lancé en début d’année, l'outil souffre pourtant de quelques limites « l’incapacité du contrôleur, qu’il soit humain ou mécanisé à base d’intelligence artificielle, de s’assurer que les positions optiques occupées sont conformes à ce qui est prévu ». Un défaut de taille, alors qu'il est courant que ce dysfonctionnement débouche sur des embouteillages dans les armoires.

Les opérateurs souhaitent également s'appuyer sur une application interopérateurs, baptisée "e-Mutation", ayant pour objet d'aider les techniciens à améliorer leur visibilité sur les routes optiques empruntées dans une armoire donnée. Ils annoncent ainsi le lancement prochain d'un outil informatique interopérateurs permettant de suivre une malfaçon, depuis sa notification jusqu’à sa résolution.
Le dernier point concerne la Base d’Adresses Nationales (dite BAN), cette base de données publique qui a pour but de référencer l'adresse de l'intégralité des locaux sur le territoire français. La base de données, exploitable sous la forme d'une API par les opérateurs, est en effet montrée du doigt pour ses lacunes, notamment en milieu rural. « Il est indispensable que les collectivités se dotent rapidement d’un référentiel d’adresses complet », expliquent les opérateurs, qui se basent sur ces informations dans leurs opérations de raccordement.

 

De quoi mettre un terme à la prolifération des plats de nouilles ? C'est en tous cas ce qu'espèrent les opérateurs. D'autant que le timing est critique pour l'adoption de la fibre, alors que le déploiement du très haut débit continue tous azimuts sur le territoire métropolitain. Les professionnels de la fibre s'attendent à déployer 6,2 millions de prises en 2021. De quoi dépasser les objectifs gouvernementaux en la matière, avec des prévisions de 87 % de logements raccordés à la fibre en 2022, au lieu des 80 % initialement souhaités par les pouvoirs publics.

 

 

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Source : ZDnet

 

 

 

 

Fibre : les professionnels du raccordement s’engagent

Le vendredi, 28 mai 2021. Posté dans Archives Rezopole

Fibre : les professionnels du raccordement s’engagent

C’est au tour des professionnels chargés du raccordement de s’engager pour résoudre le problème posé par les défauts d’entretien ou de raccordement à la fibre. Ils se sont en effet engagés, à travers la signature d’une charte de bonnes pratiques, à mettre fin à ce que les pouvoirs publics voient comme un obstacle majeur à l’adoption de la fibre sur le territoire.

 

Une série d’engagements dont celui de se limiter à un seul niveau de sous-traitance, « avec une attention particulière au statut et à la qualification » des sous-traitants employés.

Une gageure alors que la sous-traitance “en cascade” est souvent rendue responsable des défauts dans la qualité des raccordements. Les entreprises signataires de cette charte, représentant 70 % des acteurs du secteur, se sont également engagées à favoriser le recours à l’emploi local et à accompagner la formation de leurs collaborateurs via la mise en place d’actions dédiées à la formation initiale ou à la montée en compétences.

Parmi elles figurent les entreprises Axians, Circet, Constructel, Eiffage, ENGIE Solutions, Firalp, NGE Infranet, SADE Télécom, Groupe Scopelec, SNEF Télécom, Sogetrel, Solutions30 et SPIE CityNetworks.

 

Les opérateurs commerciaux ainsi que les opérateurs d’infrastructures comme Altitude Infra, Axione, Orange, TDF et XpFibre s’étaient déjà engagés début mars sur un nouveau contrat cadre de sous-traitance (également connu sous l’appellation de mode STOC, pour “Sous-Traitance Opérateur Commercial”) afin de mettre un terme à ces abus répétés qui empoisonnent la vie des utilisateurs.

 

Un problème qui ne date malheureusement pas d’hier. En effet, un groupe de travail constitué par l'Arcep sur le sujet faisait déjà état en 2019 de « taux de malfaçons importants dans la réalisation des opérations de raccordement final et de brassage au point de mutualisation ».

Et de citer trois difficultés principales à résoudre pour mettre fin à la prolifération des “plats de nouilles” : le non-respect répété des règles de brassage au point de mutualisation, les défauts des routes empruntées par la fibre optique pouvant entraîner des embouteillages sur les points de branchement optique ainsi que les actes de vandalisme divers sur les points de mutualisation.

 

 

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Source : ZDnet

 

 

 

 

Les professionnels de la fibre vers de nouveaux records de déploiement en 2021

Le jeudi, 20 mai 2021. Posté dans Archives Rezopole

Les professionnels de la fibre vers de nouveaux records de déploiement en 2021

À l’occasion d’un colloque organisé pour la présentation d’un baromètre dédié réalisé par Infranum, les représentants des acteurs de la fibre et les autorités avaient de quoi se féliciter. En effet, le secteur devrait de nouveau franchir un palier en 2021 avec le déploiement de 6,2 millions de prises au cours de l’année.

Les acteurs de la fibre se sont même permis le luxe de dépasser les objectifs gouvernementaux avec des prévisions de 87 % de logements raccordés à la fibre en 2022 au lieu des 80 % initialement souhaités par les pouvoirs publics.

 

Si l’année 2020 avait déjà vu la filière battre tous les records de raccordements, avec 5,8 millions de prises installées, l’exercice actuel se présente sous de meilleurs auspices encore. Et c’est sur les réseaux d’initiative publique (RIP) que les professionnels du secteur ont choisi de mettre l’accent en 2021. Sur les 6,2 millions de prises attendues en 2021, 3,6 millions seront situées en zones RIP, contre 1,8 million en zones AMII, 0,5 million en zones très denses et 0,4 million en zones AMEL.

 

Un ralentissement est prévu pour 2022 avec le déploiement de 5,8 millions de prises dont une majorité seront encore installées en zone RIP. Résultat des courses : si 40,6 millions de logements disposeront de la fibre optique en 2025, un « reste à déployer » de l’ordre de 6,5 millions de prises à installer d’ici à 2025 sera encore de la partie pour arriver à la complétude des réseaux.

Et c’est bien là que le bât blesse « s’il ne restera alors “plus que” 6,5 millions de prises à déployer au total d’ici 2025, ce seront les plus ardues », soulignent les représentants de la filière.

Et de relever que 2,1 millions de locaux, soit les derniers 5 %, devront nécessairement être financés via des aides publiques conséquentes… Pire encore, 3 % de ce « reste à déployer » ne pourra pas l’être, en raison de contraintes techniques et financières. « Pour ces logements, il faudra nécessairement étudier d’autres pistes, comme l’internet satellitaire », indique-t-on du côté de l’Infranum, qui voit dans le lancement de nouvelles offres satellitaires une alternative de plus en plus crédible pour atteindre l’objectif du très haut débit pour tous.

 

Pour atteindre le 100 % de logements fibrés au cours de la prochaine décennie, les professionnels du secteur en appellent à la mise en place d’un service universel de la fibre.

Mais d’autres écueils se trouvent également dans le très haut débit pour tous. À commencer par la qualité des raccordements alors que le taux d’échec moyen des raccordements se situe aujourd’hui entre 20 et 25 %. Et si les représentants de la filière et des pouvoirs publics ont pris des engagements il y a quelques semaines pour combattre la propagation des “plats de nouilles” dans les armoires de génie civil ou au sein des immeubles, le résultat ne sera pas immédiat.

Parmi les dossiers brûlants à gérer pour la filière se trouve également celui de l’emploi. Que faire des professionnels du raccordement lorsque celui-ci sera effectif ? La question devrait continuer à se poser dans les années à venir, d’autant que le secteur a recruté en 2020 9 700 nouveaux collaborateurs, au lieu de 5 500 annoncés l’année dernière et en prévoit, non plus 1 500 en 2021, mais 5 500.

 

« Trois points doivent concentrer nos efforts : la transition cuivre-fibre, l’amélioration de la qualité des raccordements et l’anticipation de la période post 2021, notamment en ce qui concerne l’emploi », a concédé ce mardi le secrétaire d’État au Numérique Cédric O.… tout en se félicitant du travail effectué jusqu’à maintenant, relevant que « les chiffres sont très bons, mais il faut continuer ce travail collectif, car il reste encore des défis à relever ».

 

 

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Source : ZDnet

 

 

 

 

Fibre : les opérateurs commerciaux rappelés à l’ordre

Le vendredi, 19 mars 2021. Posté dans Archives Rezopole

Fibre : les opérateurs commerciaux rappelés à l’ordre

L'Arcep vient de donner sa position concernant la qualité des raccordements à la fibre. Verdict : si la scission de la filière du raccordement à la fibre entre les opérateurs d’infrastructure et les opérateurs commerciaux a permis une « accélération massive » du déploiement de la fibre en France, elle a également donné lieu à des dérives. Comme l’illustre les “plats de nouilles” qui débordent trop souvent des armoires de génie civil.

 

En effet, pour le gendarme des Télécoms, même si la porte est ouverte à tous les opérateurs commerciaux qui en font la demande afin d’améliorer la concurrence et de tirer les prix vers le bas, ils doivent continuer à privilégier la qualité à la quantité.

Et le mode STOC se trouve particulièrement dans la ligne de mire de l’Autorité. Elle rappelle d’ailleurs qu’« à ce titre, la décision de l’Arcep est très claire : le cadre réglementaire permet pleinement à un opérateur d’infrastructure de suspendre l’accès d’un opérateur commercial au mode STOC en cas de manquement répété de sa part aux spécifications techniques raisonnables et aux règles de l’art ».

 

Le problème du raccordement final n’est pas nouveau. Mais pour faire face à l’accroissement des signalements et la montée des mécontentements, Infranum vient d’annoncer un accord majeur entre opérateurs d’infrastructures et opérateurs commerciaux. Les opérateurs se sont engagés à améliorer la sécurité et la qualité des interventions, en renforçant les procédures contractuelles de reprise des malfaçons et via la réalisation d’audits communs entre opérateurs d’infrastructures et opérateurs commerciaux.

L’accord annoncé par Infranum prévoit une prise en charge collective des frais de remise en état du réseau, selon une clé de répartition approuvée par l’Arcep, alors que la loi stipule que seul l’opérateur d’infrastructure est responsable du bon fonctionnement et de l’entretien des équipements de raccordement à la fibre optique. Le nouveau cadre s’accompagne également d’un régime de sanctions plus drastiques pouvant aller jusqu’à l’exclusion d’un sous-traitant en cas de manquement contractuel.

 

De quoi satisfaire l’Arcep pour qui « la situation actuelle est difficilement compréhensible ». Et d’appeler à ce que les engagements portés par Infranum soient signés par l’ensemble des parties prenantes de la filière. Et de rappeler que « ces réseaux seront l’infrastructure fixe de référence des prochaines décennies ».

 

 

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Source : ZDnet

 

 

 

 

FttH : plus de 10 millions d’abonnements

Le vendredi, 05 mars 2021. Posté dans Archives Rezopole

FttH : plus de 10 millions d’abonnements

Les derniers chiffres trimestriels publiés par l'Arcep confirment la progression de la fibre optique sur le territoire français : « le quatrième trimestre 2020 a été marqué par une progression record de déploiement de la fibre optique (FttH) et de son adoption, qui conclut une année 2020 elle aussi record ». La barre des 10 millions d’abonnements à des offres FttH a ainsi été franchie.

 

Désormais, le nombre d’abonnements à très haut débit s’élève à 14,7 millions. Ce qui représente près de la moitié du nombre total d’abonnements Internet en France, et 51 % du nombre de locaux éligibles au très haut débit, soit une hausse de 3 points en un an.

Une progression qui est avant tout due à l’augmentation des abonnements au FttH. Avec 3,3 millions d’accès supplémentaires en 2020, le nombre d’abonnements FttH est chiffré à 10,4 millions soit 70 % du nombre total d’accès à très haut débit. Même si les abonnements à haut débit constituent toujours la majorité des abonnements à Internet, avec presque 16 millions, ils ont chuté de 2,5 millions en 2020.

Au total à la fin de l’année 2020, la France compte 30,6 millions d’abonnements à haut et très haut débit. Une progression de 285 000 en un trimestre et de 800 000 en un an (+ 2,7 %). « Une telle croissance annuelle n’avait pas été observée depuis trois ans », estime-t-on du côté de l'Arcep.

 

Une tendance qui doit beaucoup au déploiement soutenu des lignes de fibre optique de bout en bout par les opérateurs et les acteurs du secteur. Plus de 1,9 million de locaux supplémentaires ont été rendus raccordables au FttH au cours du quatrième trimestre 2020. « Plus de 5,8 millions de lignes ont été déployées au cours de l’année 2020, malgré la situation sanitaire, soit 19 % de plus qu’en 2019 », fait valoir le gendarme des télécoms.

Désormais, 24,2 millions de locaux sont éligibles aux offres FttH, soit une hausse de 31 % en un an. Cette croissance se situe majoritairement en zone moyennement dense – zone AMII (Appel à Manifestation d’Intention d’Investissement). À la fin du quatrième trimestre 2020, 28,6 millions de locaux au total étaient éligibles à des services à très haut débit, toutes technologies confondues, dont 21,7 millions en dehors des zones très denses.

 

Si le déploiement de la fibre optique va bon train, nombreux sont les foyers ou les entreprises à se plaindre d’une connectivité en berne. La faute à des défauts d’entretien ou de raccordement sur les points de mutualisation générant de nombreux problèmes de qualité de service.

Pour y remédier, les opérateurs viennent de conclure un accord qui pourrait faire date dans le secteur. Ils s’engagent ainsi à améliorer la sécurité et la qualité des interventions avec un nouveau régime de sanctions.

L’accord, annoncé par Infranum, prévoit également une prise en charge collective des frais de remise en état du réseau. De quoi freiner l’explosion des “plats de nouilles” débordant des points de mutualisation, qui pourrait à terme poser un problème majeur pour la connectivité des particuliers et des professionnels.

 

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

Raccordements fibre : un accord mais pas à l’unisson

Le vendredi, 05 mars 2021. Posté dans Archives Rezopole

Raccordements fibre : un accord mais pas à l’unisson

InfraNum vient d’annoncer « un accord majeur entre opérateurs pour améliorer la qualité des raccordements et garantir la pérennité des réseaux fibre en France ». La qualité des opérations de raccordement à la fibre optique étant en ce moment sous le feu des critiques, la fédération des industriels des infrastructures numériques s’efforce ainsi de rassurer. Un cadre a donc été mis en place et sera décliné dans de multiples accords entre fournisseurs d’accès et exploitants de réseaux… mais dont certains restent néanmoins à signer.

 

Depuis 18 mois, opérateurs d’infrastructure (OI) et opérateurs commerciaux (OC) travaillent ensemble à l’élaboration de ces nouveaux contrats Stoc (pour sous-traitance opérateur commercial). Le but étant d’améliorer un mode opératoire que tous tiennent absolument à conserver : le fournisseur d’accès à Internet (OC) réalise le raccordement de son abonné, en qualité de sous-traitant de l’exploitant du réseau (OI).

En effet, face à l’afflux de demande, ses défenseurs arguent qu’il s’agit du fonctionnement le plus efficace pour faire vite. Mais pas pour faire bien, rétorquent les détracteurs du mode Stoc dénonçant dégradations, échecs de raccordement ou coupures d’accès.

 

Le mode Stoc s’efforce donc de faire sa mue, « pour améliorer la qualité et la sécurité des interventions, les processus et la rapidité de raccordement, la formation des intervenants ». InfraNum annonce donc que les discussions entre exploitants de réseaux et FAI ont permis d’avancer sur trois axes :

  • « Améliorer la sécurité et la qualité des interventions », avec notamment la « réalisation d’audits communs et introduction de sanctions pouvant aller jusqu’à l’exclusion d’un sous-traitant en cas de manquement contractuel »
  • « Renforcer la transparence » grâce un système de suivi des interventions et un « contrôle par un système d’intelligence artificielle » du côté de l’exploitant du réseau
  • « Rééquilibrer les coûts de maintenance : entre les OI et les OC, une prise en charge collective des frais de remise en état du réseau, selon une clé de répartition approuvée par l'Arcep »

 

Si la fédération industrielle assure que « les premières signatures ont déjà eu lieu pour une généralisation rapide et une mise en place immédiate », elle concède toutefois que ce « nouveau cadre contractuel » n’est pas encore pleinement déployé.

Ainsi, les opérateurs de réseaux Axione et Altitude Infra ont signé « avec la majorité des OC » tandis que les choses sont « en bonne voie » du côté de TDF. En revanche, rien sur l’avancée des discussions du côté d’Orange et SFR, qui ont la particularité d’être à la fois opérateurs commerciaux et exploitants de réseaux, notamment en zone publique et en zone d’initiative privée.

 

Encore un peu de patience donc avant que ce nouvel accord majeur soit décliné à l’unisson sur tous les réseaux et entre tous les exploitants et les FAI. L’intérêt pour les parties prenantes étant qu’il « évite d’imposer une décision réglementaire ». L'Arcep menant actuellement une consultation sur le sujet…

 

 

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Source : DegroupTest

 

 

 

 

Fibre : l’État débloque 570 millions d’euros de plus

Le vendredi, 22 janvier 2021. Posté dans Archives Rezopole

Fibre : l’État débloque 570 millions d’euros de plus

Afin de rendre la fibre disponible d’ici 2025 pour 100 % des locaux en France, l’État a décidé de débloquer 570 millions d’euros supplémentaires.

 

Cette somme va notamment concerner les Réseaux d’Initiatives Publiques (RIP) pour proposer de la fibre partout dans les zones rurales. Une première enveloppe de 420 millions d’euros va concerner 12 RIP dont ceux d’Auvergne et de Bretagne. Rien que l’Auvergne aura le droit à 123 millions d’euros pour créer 267 000 prises fibres, c’est-à-dire raccordements individuels, supplémentaires.

Les 150 millions d’euros restants arriveront un peu plus tard. L’État a indiqué que les détails de cette somme seront partagés au cours de l’été.

 

Il est également question de la couverture mobile. Si à ce jour les trois quarts de la France sont couverts en 4G par Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free Mobile, 2 000 pylônes supplémentaires seront installés dans les deux ans à venir. Ils rejoindront ainsi les 580 pylônes déjà existants. Au total, les opérateurs installeront quelque 10 000 pylônes.

 

 

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Source : KultureGeek

 

 

 

 

Un guide pour le raccordement fibre

Le jeudi, 10 décembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

Un guide pour le raccordement fibre

Sujet brûlant de cette fin d’année dans l’écosystème THD : la qualité des raccordements des abonnés aux réseaux de fibre optique. C’est pourquoi la plateforme Objectif Fibre, rassemblant les différentes organisations représentatives de la filière, a publié un guide pratique du raccordement, à destination de « tous les acteurs concernés, de près ou de loin, par le déploiement du FttH ».

 

Répertoriant les bonnes pratiques en fonction des (nombreux) cas de figure rencontrés sur le terrain, ce document livre « les préconisations techniques applicables dans chaque situation rencontrée et qui ont fait consensus entre les professionnels du secteur ». L’objectif étant de « bien faire dès la première fois » mais aussi de tendre vers une « homogénéité sur l’ensemble du territoire ».

Le guide s’adresse à la fois aux techniciens et à l’ensemble des acteurs concernés (donneurs d’ordre, opérateurs, bureaux d’étude, organismes de formation ou acteurs de l’immobilier) afin de garantir la réussite des interventions mais aussi prévenir les reprises de travaux qui peuvent s’avérer coûteuses ou encore servir de support technique de référence en cas de litige.

 

« C’est tout un écosystème […] qui va se réconcilier avec un savoir-faire totalement partagé », se félicite Cédric O dans l’avant-propos du guide. Un « document capital » écrit pour sa part Sébastien Soriano en préface, car « il représente un accomplissement pour l’ensemble de la filière vers une harmonisation et une qualité renforcée ».

Le président de l'Arcep juge aussi « primordial pour la pérennité des réseaux que les opérateurs renforcent les contrôles de leurs sous-traitants dans le déroulement de leurs interventions ». Un rappel à l’intention des opérateurs d’infrastructure et commerciaux, qui discutent en ce moment d’avenant à leurs contrats de sous-traitance pour acter ce contrôle renforcé avec l’espoir d’y parvenir d’ici à la fin de l’année…

 

 

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Source : DegroupTest

 

 

 

 

Fibre : la France championne du raccordement

Le vendredi, 10 juillet 2020. Posté dans Archives Rezopole

Fibre : la France championne du raccordement

L’Hexagone aurait gagné 1,9 millions d’abonnés et 3,5 millions de foyers raccordés en FttH ou FttB en 2019. D’après le think tank Idate qui réalise chaque année une étude pour le Conseil de l’Europe du FttH, ce serait la croissance la plus forte en Europe.

 

Des bons résultats dus au volontarisme du Plan France Très Haut Débit visant à atteindre 100 % de foyers accessibles au Très haut débit d’ici fin 2022.

57,1 % des abonnés français au total étaient éligibles au FttH ou FttB en 2019. Soit plus qu’en Allemagne ou au Royaume-Uni mais moins qu’en Italie, en Espagne, en Norvège ou encore en Lituanie.

La France atteint désormais la 16ᵉ place du classement européen des souscriptions à la fibre, avec un peu plus de 25 % des abonnés en FttH ou FttB.

 

Cependant, les chiffres pour la France ne concordent pas vraiment avec ceux de l'Arcep. L’autorité de régulation ne prend en compte que le FttH lorsqu’elle parle de fibre optique. Elle a ainsi comptabilisé 4,8 millions de locaux supplémentaires raccordés et 2,3 millions d’abonnements au FttH en 2019.

 

 

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Source : 01Net

 

 

 

 

L’Arcep veut faire le ménage dans les armoires

Le vendredi, 19 juin 2020. Posté dans Archives Rezopole

L’Arcep veut faire le ménage dans les armoires

Autre épine dans le pied du secteur des infrastructures du numérique, les raccordements finaux des clients à la fibre optique. En effet, la grogne s’amplifie face aux désordres constatés dans les points de mutualisation et la menace qu’ils constituent pour la pérennité des réseaux. Appelée à intervenir plus franchement, l'Arcep prend enfin les choses en main pour faire un sort aux “plats de nouilles”.

 

Lors de la conférence Telconomics du 16 juin dernier, l’Autorité de régulation s’est dite « extrêmement préoccupée » par la multiplication de ces aberrations. Pour y remédier, le régulateur des Télécoms a donc publié une « première feuille de route » élaborée en concertation avec les acteurs du secteur. L’objectif étant de donner aux opérateurs d’infrastructure la possibilité de mieux contrôler les interventions sur leurs réseaux. Ils pourront ainsi signaler, voire déréférencer, les sous-traitants indélicats mandatés par les opérateurs commerciaux.

 

Sébastien Soriano, président de l’Autorité, précise qu’il s’agit d’« éviter que quelques brebis galeuses viennent saccager le travail extrêmement professionnel de l’essentiel des autres sous-traitants ». Un premier pas qui ne réglera pas toutes les questions, comme celles du recrutement, de la tarification de ces interventions, ou des divergences sur les technologies de raccordement entre opérateurs d’infrastructure et fournisseurs d’accès.

 

 

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Source : DegroupNews

 

 

 

 

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