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Articles taggés avec : Bouygues Telecom

Incendies d’antennes relais

Le vendredi, 17 septembre 2021. Posté dans News Rezopole

Incendies d’antennes relais

Une panne est intervenue le 11 septembre dernier, et s’est poursuivi jusqu’au lendemain, dans les départements du Tarn et de l’Aveyron. Les autorités ont ainsi indiqué : « Suite à des dégradations volontaires sur deux antennes relais, 52 000 abonnés Bouygues et SFR ont été impactés par une perte de réseau ».

 

Les détails exacts de cette défaillance n’ont pas été communiqués mais les autorités ont néanmoins bien précisé qu’elle n’était en rien accidentelle. En effet, une antenne-relais et un pylône TDF ont été incendiés à Albi.

Des agissements dénoncés également par le secrétaire d’État au Numérique, Cédric O, sur Twitter : « Je condamne fermement l’incendie volontaire d’un pylône TDF qui a affecté le réseau des abonnés SFR et Bouygues Telecom, et les communications de 50 000 personnes dans le Tarn et l’Aveyron ».

 

Cet événement s’inscrit dans un contexte très particulier. Depuis maintenant plus d’un an, nous assistons à des incendies volontaires sur les antennes 5G partout en France et en Europe. Alors que la police enquête, certains n’hésitent pas à revendiquer leurs actes, comme cela a été le cas de la mouvance anarchiste, selon Ouest-France.

 

 

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Source : Presse citron

 

 

 

 

Bouygues Telecom lance son propre cloud souverain

Le vendredi, 04 juin 2021. Posté dans Archives Rezopole

Bouygues Telecom lance son propre cloud souverain

Nouvelle structure indépendante bénéficiant de ses infrastructures en propre et de la décennie d’expérience de Nerim, Bouygues Telecom Entreprises OnCloud est spécialisée dans l’hébergement et le Cloud computing.

« Depuis deux ans, des dizaines de collaborateurs ont conçu de nouvelles infrastructures et des offres basées sur les besoins réels de nos clients. Ce que propose Bouygues Telecom Entreprises OnCloud aujourd’hui est unique sur le marché, tant par la qualité du conseil qu’elle apporte que par son agilité technique et commerciale » justifie François Treuil, Directeur de Bouygues Telecom Entreprises.

 

Bouygues Telecom Entreprises OnCloud est à la fois opérateur, intégrateur et hébergeur et veut s’affirmer comme un ‘pure player’ du cloud. Son ambition est d’être rapidement reconnu comme un Cloud de confiance, selon la nouvelle appellation du gouvernement français dans le cadre de la Stratégie nationale pour le cloud. Toutefois, cette reconnaissance passe par une certification SecNumCloud délivrée par l’ANSSI. Un processus complexe, contraignant et coûteux qui demandera plusieurs mois, voire plusieurs années.

 

Un nouvel acteur qui veut ratisser large en s’adressant aussi bien aux PME et ETI qu’aux collectivités publiques et aux grands groupes. L’opérateur veut à la fois proposer des services cloud IaaS publics mais aussi aider les entreprises à bâtir leurs propres clouds privés.

 

Reste que le terrain est déjà encombré entre les hyperscalers américains (AWS, Azure, GCP, OCI, IBM Cloud…), les petits hébergeurs locaux ou encore OVHcloud et 3DS Outscale, déjà certifiés SecNumCloud. Sans oublier Scaleway et l’encore naissant Bleu (fruit d’une joint venture entre Capgemini et Orange). Et sans compter sur l’initiative Gaia-X qui doit permettre aussi à d’autres opérateurs européens de s’implanter plus fortement en France. La concurrence va être rude…

 

 

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Source : Informatique News

 

 

 

 

5G : la BEI va prêter 350 millions d’euros à Bouygues Telecom

Le vendredi, 07 mai 2021. Posté dans Archives Rezopole

5G : la BEI va prêter 350 millions d’euros à Bouygues Telecom

Cet accord de financement est le premier du genre entre la Banque Européenne d’Investissement (BEI) et l’opérateur français. L’objectif étant de soutenir le déploiement du réseau 5G de Bouygues Telecom, « y compris en zones rurales », et à multiplier « par 4 » la capacité de son réseau radio mobile d’ici 2026, ajoute la BEI dans un communiqué.

 

Bouygues Telecom prévoit d’investir 1,5 milliard d’euros dans le déploiement de ses réseaux 4G et 5G et dans le marché de la fibre, où l’opérateur prévoit de conquérir 3 millions de clients supplémentaires. Le groupe espère ainsi faire grimper les recettes de ses abonnements d’au moins 40 % d’ici cinq ans tout en augmentant sa rentabilité.

« Bouygues Telecom a de grandes ambitions autour du mobile et de la 5G pour les années à venir et veut contribuer à désenclaver les territoires en réduisant la fracture numérique. Le soutien affiché de la Banque de l’Union européenne à ce vaste projet industriel est une validation de nos choix et vient confirmer la pertinence de notre stratégie », a estimé le directeur général adjoint de l’opérateur Christian Lecoq, cité dans le communiqué.

 

 

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Source : Le Figaro

 

 

 

 

Opérateurs : les plaintes des Français ont augmenté en 2020

Le vendredi, 07 mai 2021. Posté dans Archives Rezopole

Opérateurs : les plaintes des Français ont augmenté en 2020

Avec plus de 33 000 alertes de consommateurs via la plateforme “J’alerte l’Arcep” en 2020, le gendarme des télécoms révèle une hausse des plaintes de 37,5 % par rapport à 2019.

 

Parmi les 4 opérateurs (Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free), le plus mauvais élève a été Free en générant le plus de requêtes négatives de la part des Français. Il prend ainsi la place de SFR. Dans le détail, Bouygues Telecom a connu 19 alertes pour 100 000 clients. C’est 25 pour Orange, 26 pour SFR et 29 pour Free.

 

Les Français ont beaucoup plus utilisé Internet en 2020, avec les différents confinements, et ont constaté bien des problèmes. « Les signalements reçus concernent, cette année encore, le plus fréquemment la qualité de service, service après-vente (SAV) compris. Viennent ensuite l’insatisfaction quant aux évolutions des réseaux (déploiement de la fibre, couverture mobile insuffisante, etc.) en particulier le déploiement de la fibre, suivi par les pratiques commerciales des opérateurs et les difficultés rencontrées lors d’un changement d’opérateur », explique l’Arcep.

 

De manière générale, la satisfaction des Français a baissé. Si la moyenne des opérateurs était de 7,65/10 en 2019, ce fut 7,5/10 en 2020.

Les écarts les plus importants se trouvent dans le fixe. Les clients de SFR attribuent une note de satisfaction de 6,8/10 à SFR contre 7,5/10 à Orange.

Concernant le mobile, les notes s’échelonnent 7,4 pour SFR à 7,8 pour Orange et Free.

Tandis que les services clients des opérateurs sont globalement mal notés. Free tire son épingle du jeu avec un 2,6/5 quand SFR clôt le banc avec un piteux 1,8/5.

 

 

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Source : Journal du Geek

 

 

 

 

Sites 5G ouverts : Orange et Free toujours très en avance

Le vendredi, 16 avril 2021. Posté dans Archives Rezopole

Sites 5G ouverts : Orange et Free toujours très en avance

L’Arcep a publié son observatoire des déploiements commerciaux 5G le 14 avril dernier. Au 31 mars, les opérateurs ont commercialement ouvert 12 917 sites 5G, dont 2 838 en bande 3,5 GHz. Si l’analyse des courbes des opérateurs montrent que personne ne néglige la technologie de cinquième génération, tous n’avancent pas au même rythme.

 

Avec près de 13 000 sites ouverts en 5G en France fin mars, le déploiement du réseau mobile est soutenu. En à peine quelques mois, les opérateurs se sont assurés de couvrir des millions d’abonnés potentiels, et l’Arcep évoque même une progression « régulière pour les premiers mois de 2021 ».

 

Orange a activé le plus de sites et antennes dans la “bande cœur” 5G avec 1 105 sites en 3,5 GHz. L’opérateur historique soutient aussi ce déploiement à l’aide de la technologie 2,1 GHz (fréquences moyennes), permettant ainsi d’obtenir des débits équivalents à la 4G puisqu’elle exploite une bande déjà en fonction. D’ici 2023, cette bande intermédiaire donnera accès aux nouveaux services 5G dans les zones actuelles 4G.

 

Free Mobile continue de tirer son épingle du jeu. Si l’opérateur fondé par Xavier Niel a activé moins de sites en 3,5 GHz qu’Orange (824 contre 1 105), il est celui à avoir ouvert commercialement le plus de sites en France : 8 074 au total, soit 1 030 sites supplémentaires en un mois, contre 338 pour Orange.

Contrairement à ses trois concurrents, Free mise toujours très fort sur les fréquences basses (700 MHz). Plus de 7 000 sites ont été ouverts dans cette bande aux débits moindres mais qui présente l’avantage de mieux pénétrer dans les bâtiments.

 

En ce qui concerne les deux autres opérateurs. Bouygues Telecom conserve un temps d’avance sur SFR, et même sur Orange au nombre total de sites, d’un point de vue statistique. L’opérateur – filiale du géant français du BTP – a activé au total 2 263 sites, dont 491 en 3,5 GHz et 2 091 en 2,1 GHz.

En nombre de sites 5G ouverts en 3,5 GHz, SFR fait jeu égal avec Bouygues Telecom avec un total de 418. Mais l’opérateur au carré rouge est nettement derrière pour les sites complémentaires. En effet, il a ouvert commercialement 778 sites en 2,1 GHz. Soit un total de 1 196 sites 5G activés toutes fréquences confondues. Ce qui place, au final, SFR assez loin de son premier concurrent.

 

 

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Source : Clubic

 

 

 

 

Iliad rejoint l’association af2m

Le vendredi, 19 mars 2021. Posté dans Archives Rezopole

Iliad rejoint l’association af2m

Dans un communiqué l’af2m (Association Française pour le développement des services et usages Multimédias Multi-opérateurs, « salue l’adhésion d’Iliad qui rejoint Bouygues Telecom, Orange et SFR parmi ses membres opérateurs ».

 

Cette association a pour but de « développer et promouvoir des services multi-opérateurs B2B2C en veillant au respect et à la protection de l’utilisateur final » depuis plus de 15 ans. Parmi les sujets de préoccupation : la publicité segmentée, les solutions de paiement sur facture opérateur, le marketing SMS, etc.

 

Pour l’af2m « Cette adhésion est une opportunité pour l’ensemble des acteurs du digital qui pourront proposer à leurs clients professionnels (entreprises, fournisseurs de services en ligne, collectivités, associations…) des services désormais accessibles à l’ensemble des équipés mobile et Internet français ».

 

De quoi certainement préparer le lancement de l’offre B2B de l’opérateur : Free Pro. Un lancement qui serait imminent depuis des mois… mais serait enfin en train de se préciser. Pour rappel, la maison mère de Free n’est toujours pas membre de la Fédération Française des Télécoms.

 

 

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Source : Next Inpact

 

 

 

 

Raccordements fibre : un accord mais pas à l’unisson

Le vendredi, 05 mars 2021. Posté dans Archives Rezopole

Raccordements fibre : un accord mais pas à l’unisson

InfraNum vient d’annoncer « un accord majeur entre opérateurs pour améliorer la qualité des raccordements et garantir la pérennité des réseaux fibre en France ». La qualité des opérations de raccordement à la fibre optique étant en ce moment sous le feu des critiques, la fédération des industriels des infrastructures numériques s’efforce ainsi de rassurer. Un cadre a donc été mis en place et sera décliné dans de multiples accords entre fournisseurs d’accès et exploitants de réseaux… mais dont certains restent néanmoins à signer.

 

Depuis 18 mois, opérateurs d’infrastructure (OI) et opérateurs commerciaux (OC) travaillent ensemble à l’élaboration de ces nouveaux contrats Stoc (pour sous-traitance opérateur commercial). Le but étant d’améliorer un mode opératoire que tous tiennent absolument à conserver : le fournisseur d’accès à Internet (OC) réalise le raccordement de son abonné, en qualité de sous-traitant de l’exploitant du réseau (OI).

En effet, face à l’afflux de demande, ses défenseurs arguent qu’il s’agit du fonctionnement le plus efficace pour faire vite. Mais pas pour faire bien, rétorquent les détracteurs du mode Stoc dénonçant dégradations, échecs de raccordement ou coupures d’accès.

 

Le mode Stoc s’efforce donc de faire sa mue, « pour améliorer la qualité et la sécurité des interventions, les processus et la rapidité de raccordement, la formation des intervenants ». InfraNum annonce donc que les discussions entre exploitants de réseaux et FAI ont permis d’avancer sur trois axes :

  • « Améliorer la sécurité et la qualité des interventions », avec notamment la « réalisation d’audits communs et introduction de sanctions pouvant aller jusqu’à l’exclusion d’un sous-traitant en cas de manquement contractuel »
  • « Renforcer la transparence » grâce un système de suivi des interventions et un « contrôle par un système d’intelligence artificielle » du côté de l’exploitant du réseau
  • « Rééquilibrer les coûts de maintenance : entre les OI et les OC, une prise en charge collective des frais de remise en état du réseau, selon une clé de répartition approuvée par l'Arcep »

 

Si la fédération industrielle assure que « les premières signatures ont déjà eu lieu pour une généralisation rapide et une mise en place immédiate », elle concède toutefois que ce « nouveau cadre contractuel » n’est pas encore pleinement déployé.

Ainsi, les opérateurs de réseaux Axione et Altitude Infra ont signé « avec la majorité des OC » tandis que les choses sont « en bonne voie » du côté de TDF. En revanche, rien sur l’avancée des discussions du côté d’Orange et SFR, qui ont la particularité d’être à la fois opérateurs commerciaux et exploitants de réseaux, notamment en zone publique et en zone d’initiative privée.

 

Encore un peu de patience donc avant que ce nouvel accord majeur soit décliné à l’unisson sur tous les réseaux et entre tous les exploitants et les FAI. L’intérêt pour les parties prenantes étant qu’il « évite d’imposer une décision réglementaire ». L'Arcep menant actuellement une consultation sur le sujet…

 

 

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Source : DegroupTest

 

 

 

 

Numérique plus vert : le gouvernement dévoile ses plans

Le vendredi, 26 février 2021. Posté dans Archives Rezopole

Numérique plus vert : le gouvernement dévoile ses plans

Le gouvernement vient d’annoncer une “feuille de route numérique et environnement” afin de réduire l’empreinte carbone du numérique en France. Avec plusieurs mesures, ce document est le fruit de la collaboration entre les cabinets de Cédric O, secrétaire d’État au numérique, et Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique. Un fonds d’aide doté d’une enveloppe de 300 millions d’euros est également prévu.

 

Parmi ces mesures, les opérateurs télécoms devront ainsi inciter les clients à rapporter leurs mobiles non utilisés. Le but étant de les injecter dans le circuit du reconditionnement ou les diriger vers celui du recyclage.

Si se tourner vers des appareils facilement réparables (grâce à l’indice de réparatibilité en place depuis le 1er janvier 2021) ou le reconditionné (auprès d’acteurs tels que Back Mark, ReCommerce ou PRS Solution), c’est mieux mais pas l’idéal non plus. Cédric O indique : « Nous avons confié une mission à l’Arcep afin qu’elle se penche sur le modèle des smartphones subventionnés par les opérateurs télécoms. Cela est peut-être un accélérateur du renouvellement des téléphones et donc problématique pour l’environnement. Nous voulons creuser ce sujet et objectiver l’impact de ces pratiques commerciales avant de prendre d’éventuelles décisions sur le sujet ».

Le secrétaire d’État au numérique réfléchit notamment à pousser davantage « la location des smartphones auprès des opérateurs, comme cela se fait dans d’autres pays ».

 

De son côté, le gendarme des télécoms s’est vu demander la création d’un “baromètre environnemental des acteurs du numérique”. Celui-ci se basera sur les données collectées auprès d’acteurs tels que les gestionnaires de centre de données, les fabricants de smartphones et les opérateurs télécoms.

L’Arcep devra également tenir compte de l’aspect environnemental lors de l’attribution des fréquences de la 5G. De ce fait, les critères d’attribution pourraient inclure la consommation énergétique des antennes-relais, au même titre que la couverture du territoire.

 

Sans oublier les géants du Net et plus particulièrement les plates-formes vidéo populaires telles que Neflix. Barbara Pompili explique : « Quel est l’intérêt de diffuser des vidéos en très haute qualité sur des écrans de smartphones de quelques centimètres ? Il faut éviter ces pratiques aberrantes comme, par exemple, la lecture automatique des vidéos, qui entraînent des dépenses d’énergie inutiles ».

 

Le gouvernement devra lui aussi montrer l’exemple en se tournant vers le reconditionné et en soutenant la filière. « L’État doit donner l’exemple. Nous souhaitons que 20 % des commandes publiques de téléphones ou de matériels informatiques concernent des appareils reconditionnés », annonce Barbara Pompili.

 

 

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Source : Univers Freebox

 

 

 

 

Fibre : fin d’année record pour Orange et Bouygues

Le vendredi, 19 février 2021. Posté dans Archives Rezopole

Fibre : fin d’année record pour Orange et Bouygues

Les résultats publiés par Orange et Bouygues Telecom confirment l’engouement des Français pour l’Internet à Très Haut Débit. Les deux opérateurs ont vu leur nombre d’abonnés FttH exploser au cours du 4e trimestre 2020 avec des gains de 9 % pour le premier et de 16 % pour le second.

 

La fin d’année 2020 n’a jamais été aussi fructueuse pour l’opérateur historique. Avec 388 000 clients fibre supplémentaires sur les trois derniers mois de l’année, Orange comptabilise 4,5 millions d’abonnés Internet en FttH. Ce qui lui permet aussi d’asseoir sa position de numéro un sur la fibre même si son dauphin, Free, n’a pas encore publié ses résultats.

L’acte 2 du confinement a achevé de convaincre bon nombre de Français de la nécessité de se doter d’une ligne Internet à très haut débit pour faire face à la répétition de ce type de situation. Dans ce contexte, la fibre Orange étant la plus disponible, avec 22,9 millions de locaux éligibles à la fin d’année, a sans surprise été fortement sollicitée.

 

Bouygues Telecom reste un cran derrière Orange, mais aussi Free, en nombre de locaux éligibles à ses offres FttH : 17,7 millions à fin 2020. C’est tout de même 6 millions de plus en un an, ce qui, conjugué à l’effet confinement et au fait qu’il parte de plus loin, n’est pas étranger à l’impressionnante progression affichée par l’opérateur.

En effet, la marque télécom du groupe Bouygues est passée de 1 million à 1,6 million de clients Internet en fibre optique en seulement un an. Soit un bond de 60 % auquel a largement contribué le 4e trimestre puisque 226 000 abonnés FttH sont venus grossir les rangs sur la période.

 

Au total, près de 40 % des 4,2 millions de foyers surfant chez Bouygues disposent de la fibre optique, soit un taux de pénétration similaire à celui d’Orange et Free. Avec un contexte si porteur pour la fibre, la marque d’Iliad devrait sans nul doute battre des records au 4e trimestre, et approcher le cap symbolique des 3 millions d’abonnés fibre. Réponse lors de son bilan 2020, prévu le mois prochain.

 

 

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Source : DegroupTest

 

 

 

 

Réseaux mobiles : fracture territoriale toujours d’actualité

Le vendredi, 12 février 2021. Posté dans Archives Rezopole

Réseaux mobiles : fracture territoriale toujours d’actualité

Le bilan annuel de la qualité d’expérience des services proposés par les opérateurs mobiles en France métropolitaine vient d’être publié par le cabinet spécialisé Qosi. Ce document est destiné à rendre compte de l’expérience des utilisateurs sur les réseaux 2G, 3G et 4G commercialisés par les opérateurs au cours de l’année 2020.

 

Cette étude est basée sur les remontées de terrain de 42 000 contributeurs répartis dans 20 000 communes de France. Et les résultats rendent compte d’une disparité de plus en plus grande des situations, que l’on soit à la campagne ou à la ville. En 2020, 23 % des communes de métropole disposent de réseau 4G de faible qualité, avec une large majorité de débits inférieurs à 10 Mb/s. Pire encore, 3 % des communes sondées ne disposent pas d’un quelconque réseau data exploitable… autant de communes qui se trouvent à 95 % en zone rurale.

 

À noter tout de même que la qualité de service des réseaux mobiles ne cesse de s’améliorer, en ville comme à la campagne. Concernant les débits descendants par exemple, Orange a pris une longueur d’avance sur ses concurrents en 2020, avec le meilleur débit moyen au niveau national. L’opérateur historique est suivi par SFR, puis Bouygues et enfin Free.

Malgré une amélioration généralisée, celle-ci ne suffit toujours pas à creuser le fossé béant qui sépare désormais les connexions des ruraux et des urbains.

Prenons le cas d’Orange. Même en améliorant ses débits descendants de 10 Mb/s dans toutes les zones géographiques, cela reste insuffisant pour résorber l’écart entre la qualité de service observée en milieu rural et en milieu urbain. L’opérateur est ainsi celui avec la plus forte disparité de débits entre les différentes strates de la population.

À l’inverse, Free progresse de manière uniforme sur l’ensemble du territoire ce qui en fait l’opérateur proposant la qualité de service la plus homogène.

 

Même son de cloche pour les débits montants. Orange présente le meilleur débit moyen montant au niveau national. Mais la différence de traitement restera forte selon que les utilisateurs se trouvent en milieu urbain ou rural. Malgré cela, l’opérateur historique s’impose comme celui qui présente les meilleurs débits pour toutes les strates de population. Suit Bouygues Telecom, talonné par SFR puis Free.

 

Cette fracture territoriale se retrouve logiquement dans les résultats de la qualité de service proposée par les opérateurs sur la navigation web. Au niveau national, la proportion de pages affichées en moins de 10 secondes est de 92 % pour Orange, 89 % pour Bouygues Telecom et SFR et de 86 % pour Free. Et là encore, la zone rurale décroche de 5 à 10 points par rapport aux zones urbaines. De quoi pousser les opérateurs à redoubler d’efforts pour espérer enfin combler la fracture numérique en 2021.

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

Cellnex s’offre Hivory, la TowerCo d'Altice

Le vendredi, 05 février 2021. Posté dans Archives Rezopole

Cellnex s’offre Hivory, la TowerCo d'Altice

L’espagnol Cellnex vient de se porter acquéreur de l’ensemble du portefeuille de 10 500 sites mobiles français d'Hivory, la TowerCo de SFR. Effective d’ici au second semestre 2021 et sous réserve de validation par les autorités, l’opération été valorisée à 5,2 milliards d’euros pour Cellnex. Elle comprendra également un programme d’investissements complémentaires de 900 millions d’euros pour déployer 2 500 nouveaux sites d’ici à 2029.

 

Avec cette transaction, Cellnex se place aux avants-postes du marché des infrastructures mobiles en France. Présent en France depuis 2016 via sa branche locale, le groupe comptait début 2020 plus de 9 000 sites mobiles répartis dans tout l’Hexagone. L’acquisition d'Hivory place Cellnex dans la peau du leader du secteur, avec près de 20 000 sites mobiles (antennes et toits-terrasses) sur le territoire.

 

Comme lors des accords conclus par Bouygues Telecom puis Free avec Cellnex, SFR devrait rester locataire de son ancien réseau d’infrastructures mobiles pour une durée d’au moins 18 ans, renouvelable par périodes de 5 ans.

L’accord conclu avec SFR illustre les fortes ambitions du groupe en France et en Europe. Le champion espagnol des infrastructures mobiles vient donc de s’offrir l’un de ses principaux concurrents sur le marché français.

 

Ne reste plus désormais que TDF et la future TowerCo d’Orange France sur le marché français pour faire face au géant espagnol. Ce qui place ce dernier en position confortable, avant sa nouvelle augmentation de capital. Celle-ci doit lui permettre de financer un portefeuille de projets d’acquisition dont une partie a déjà été engagée pour l’acquisition d’Hivory en France et l’intégration des sites de Deutsche Telekom aux Pays-Bas.

 

Au titre de son exercice 2019, le groupe a enregistré un chiffre d’affaires global en hausse de 15 % sur l’année ainsi qu’un EBITDA en hausse de 16 % par rapport à l’exercice précédent. Présent en Espagne, en Italie, aux Pays-Bas, en France, en Suisse, en Grande-Bretagne, en Irlande, au Portugal, en Autriche, au Danemark et en Suède, l’ogre espagnol a aujourd’hui la main sur un parc de 120 000 sites, dont 75 000 sont opérationnels, les autres étant en cours d’acquisition ou de déploiement d’ici à 2028.

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

Les tarifs d’accès au réseau de SFR revus à la baisse

Le vendredi, 08 janvier 2021. Posté dans Archives Rezopole

Les tarifs d’accès au réseau de SFR revus à la baisse

En juillet 2020, Free saisissait l'Arcep en lui réclamant de préciser les conditions d’accès des acteurs du marché au réseau FttH de SFR en zone moins dense d’initiative privée (AMII). La filiale d’Iliad réclamait l’encadrement des tarifs exigés par SFR pour accéder à la partie terminale de son réseau en limitant toute hausse à la seule application de l’indexation prévue par le contrat de mutualisation noué entre les deux opérateurs et en conditionnant toute évolution au-delà de ce barème à la signature d’un avenant « négocié de bonne foi ».

 

Un sujet brûlant car déjà en avril dernier, l'Arcep se disait prête à remettre « les points sur les i » dans le dossier de la hausse des tarifs de raccordement au réseau fibre de SFR dans les zones privées. En effet, l’Autorité avait déjà exigé de la marque au carré rouge l’annulation de la hausse de ses tarifs en vigueur depuis le début d’année 2020 après avoir été saisie par Bouygues Telecom à l’hiver dernier.

 

Free qui exigeait donc la révision des tarifs de cofinancement reclamés par SFR, en zone AMII, afin qu’ils ne dépassent pas 5,12 € par ligne et par mois (ou 513,6 € par ligne pour le tarif non récurrent) pour un cofinancement à hauteur de 20 %.

Une demande acceptée par l'Arcep, qui a demandé à SFR d’ajuster ses tarifs dans les zones AMII mais également dans les zones AMEL. Le gendarme des télécoms justifie cette position en indiquant que la branche d’infrastructure de SFR « n’a pas produit d’éléments spécifiques permettant d’appréhender ses coûts » et estimant que les hausses de tarifs d’accès doivent « être justifiés par des éléments de coûts ».

 

Comme dans le différend opposant Bouygues Telecom à SFR, l'Arcep a enjoint la marque au carré rouge de revenir à ses tarifs de cofinancement pratiqués avant le mois de février 2020. Elle a toutefois la possibilité de les ajuster de manière beaucoup plus modeste par voie d’avenant. Une décision très attendue par certains acteurs du secteur, pour qui il en allait de la survie du principe de mutualisation de la partie terminale des réseaux fibre d’Orange et de SFR, en vigueur depuis 2008.

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

IPv6 disponible pour les utilisateurs Free mobile

Le jeudi, 31 décembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

IPv6 disponible pour les utilisateurs Free mobile

Free restait à la traîne concernant l’activation du support de l’IPv6 sur le mobile mais la donne vient néanmoins de changer. En effet, une nouvelle option est apparue dans l’espace abonné Free Mobile permettant de l’activer.

 

Le passage à IPv6 est un sujet de longue date pour les opérateurs puisque cela fait plusieurs années que la pénurie d’adresse IPv4 se fait sentir. L’utilisation de la nouvelle norme d’adresse IP permet de résoudre le problème ; le nouveau protocole disposant d’un stock quasi illimité d’adresse IP attribuables aux appareils.

 

Début décembre, l’Arcep a mis à jour son baromètre de la transition IPv6 en France. En la matière, Bouygues fait figure de bon élève avec 87 % de clients Android et 98 % de clients iOS activés en IPv6. En second arrivait Orange avec 35 % sur Android et 60 % sur iOS, tandis que sur SFR, seul 0,2 % des clients Android avaient activé IPv6. Free était bon dernier, l’activation IPv6 n’étant tout simplement pas disponible jusque-là pour les clients mobiles du FAI.

 

Si sur le mobile, Free fait figure de mauvais élève, l’opérateur se rattrape en revanche sur les réseaux Internet fixe avec 99 % de ses clients disposant d’une connexion IPv6 activée. On retrouve ensuite Orange avec 75 %, puis Bouygues à 28 % et SFR à 1,6 %.

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

IPv6 progresse doucement en France

Le jeudi, 10 décembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

IPv6 progresse doucement en France

Malgré la pénurie d’adresses IPv4, l’Arcep dresse un bilan mitigé de la transition vers le protocole réseau IPv6. Dans son baromètre annuel, le gendarme des Télécom constate les progrès des opérateurs sur le fixe, en particulier Free, et dans une moindre mesure, Orange. Si tous les deux présentent des taux élevés de clients activés en IPv6, SFR paraît à la traîne tandis que Bouygues Telecom doit accélérer ses efforts.

Concernant le mobile, Bouygues Telecom a fourni le plus d’efforts, suivi par Orange. Du côté de SFR, on met les bouchées doubles pour rattraper le retard alors que Free Mobile n’a toujours pas entamé de transition.

 

Cependant c’est le taux d’hébergement mail qui alarme le plus l’Arcep. En effet, seul Google se démarque avec plus de 95 % de noms de domaines en IPv6 pour les serveurs de courriels.

 

Aujourd’hui, la France se situerait au dixième rang du Top 30 mondial en matière de taux d’utilisation d’IPv6. Elle se classerait en cinquième position, derrière la Belgique, l’Allemagne, la Grèce et la Suisse au niveau européen.

 

 

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Source : 01Net

 

 

 

 

5G : les opérateurs énervés après un refus des aéroports

Le vendredi, 27 novembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

5G : les opérateurs énervés après un refus des aéroports

S’appuyant sur un rapport américain d’octobre évoquant le cas de la bande des 3,7-3,9 GHz utilisée par la 5G, la Direction Générale de l’Aviation Civile (DGAC) redoute que les premières antennes 5G perturbent les systèmes de guidage à l’intérieur des avions. En effet, cela créerait un “risque majeur” pour les radioaltimètres des avions qui s’appuient également sur ces fréquences. Ce système étant le seul appareil à bord des avions à pouvoir mesurer leur distance par rapport au sol ou à d’autres obstacles. Philippe Barnola, sous-directeur à la DGAC, précise que « Des analyses techniques complémentaires sont en cours pour s’assurer de la compatibilité de ces stations 5G avec les besoins de l’aviation civile ».

Et cela dérange particulièrement les opérateurs qui expliquent avoir été informés du problème une fois les fréquences payées. Désormais, ils redoutent des retards dans le déploiement de la 5G.

Si au départ les opérateurs vont se concentrer sur les centres-ville, ils craignent cependant de ne pas pouvoir couvrir des zones plus ou moins larges autour des aéroports à l’avenir. Et cela pourrait concerner des villes dans certains cas comme celles autour des aéroports de Roissy ou d’Orly.

 

Les opérateurs ont donc décidé d’écrire au secrétaire d’État en charge du Numérique et des Communications électroniques. De son côté, SFR menace de ne pas payer la première tranche qu’il doit à l’État pour des fréquences. Tandis que Bouygues Telecom veut être indemnisé « à proportion de ces nouvelles contraintes ».

Au cabinet du secrétaire d’État, on se veut rassurant « En Allemagne tout se passe bien, il n’y a pas de raison que cela soit différent en France ». Les zones de protection autour des aéroports vont être adaptées pour la 5G, par exemple. Des travaux ont également été lancés au niveau européen.

Il en est de même du côté de l’Agence nationale des fréquences (ANFR). « Au final, il y aura un retard de quelques semaines, voire de quelques mois, sur un nombre limité d’antennes à proximité des aéroports […] Il n’y aura pas de zones d’exclusion durables. Les aéroports français ont la 2G, la 3G et la 4G. Ils auront aussi la 5G ».

 

 

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Source : Kulture Geek

 

 

 

 

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