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L’Internet des champs et l’Internet des villes

Le vendredi, 17 septembre 2021. Posté dans News Rezopole

L’Internet des champs et l’Internet des villes

Force est de constater que les zones blanches ne se limitent pas aux déserts ruraux. Elles concernent également des zones touristiques très fréquentées l’été par les cyclistes, les randonneurs et les dépités du littoral.

Dans le Luberon, si la fibre optique est bien arrivée à l’Isle sur la Sorgue ou à Maubec, l’ADSL est particulièrement anémique à Gordes, et la 4G presque aux abonnés absents. Les différents acteurs locaux subissent un désinvestissement des principaux opérateurs et des pouvoirs publics. Ces derniers peinent à imposer un service minimum pour des services désormais essentiels à l’heure de la dématérialisation des démarches administratives.

 

Si le numérique est aujourd’hui sur toutes les lèvres, une fois sorti des agglomérations, c’est la misère digitale avec une France à deux vitesses.

L’ancien défenseur des droits, Jacques Toubon, indiquait dans un rapport publié le 16 janvier 2020, que « dans les communes de moins de 1 000 habitants, plus d’un tiers des habitants n’ont pas accès à un Internet de qualité, ce qui représente près de 75 % des communes de France et 15 % de la population ». Heureusement des fournisseurs d’accès Internet alternatifs ou des sociétés  d’aménagement numérique viennent en aide aux communes rurales. Ils montent ainsi des réseaux radio artisanaux accessibles aux particuliers comme aux petites entreprises. Des initiatives locales essentielles puisque le plan France Très Haut Débit, lancé en 2013, et le New Deal Mobile, initié en 2018, peinent à éradiquer la fracture numérique et assurer une égalité d’accès à Internet à tous les Français.

 

 

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Source : Le Monde Informatique

 

 

 

 

Europe : 10 ans pour couvrir les zones habitées en 5G

Le vendredi, 12 mars 2021. Posté dans Archives Rezopole

Europe : 10 ans pour couvrir les zones habitées en 5G

La Commission européenne a dévoilé, le 9 mars dernier, sa vision « pour une transformation numérique réussie de l’Europe d’ici à 2030 ». Une série d’objectifs à remplir d’ici moins de dix ans, comme la disponibilité de tous les services publics clés sur le web ou encore la montée en compétence des individus.

La 5G constitue l’un de ces objectifs. L’ultra haut débit mobile arrive progressivement sur le Vieux Continent et Bruxelles souhaite que cette nouvelle technologie soit accessible en 2030 dans toutes les zones peuplées.

 

D’après la Commission européenne, 14 % des zones habitées sont couvertes en 5G en 2021. Un chiffre qui peut paraître élevé compte tenu du caractère très récent de cette norme. Mais la formulation choisie par l’exécutif européen exclut les aires inhabitées, ce qui de fait évacue du calcul de larges pans du continent. Neuf ans suffiraient donc à combler les 86 % restants.

 

Mais libre aux pays d’aller plus vite s’ils le souhaitent. En France, tout le réseau pourrait être en 5G d’ici 2030. C’est en tous cas la perspective que l’ex-président de l’Arcep, Sébastien Soriano, a tracée en 2019. Un premier palier devra avoir été franchi en 2025, avec deux tiers de la population couverte.

Le calendrier de la 5G contient plusieurs rendez-vous, selon les impératifs d’aménagement du territoire (couverture des principaux axes de transport et des régions plus rurales) et les circonstances de l’actualité (à l’image des Jeux olympiques d’été en 2024). Par ailleurs, le régulateur fournira d’autres licences aux opérateurs pour qu’ils exploitent des fréquences additionnelles.

 

 

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Source : Numerama

 

 

 

 

5G : les opérateurs énervés après un refus des aéroports

Le vendredi, 27 novembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

5G : les opérateurs énervés après un refus des aéroports

S’appuyant sur un rapport américain d’octobre évoquant le cas de la bande des 3,7-3,9 GHz utilisée par la 5G, la Direction Générale de l’Aviation Civile (DGAC) redoute que les premières antennes 5G perturbent les systèmes de guidage à l’intérieur des avions. En effet, cela créerait un “risque majeur” pour les radioaltimètres des avions qui s’appuient également sur ces fréquences. Ce système étant le seul appareil à bord des avions à pouvoir mesurer leur distance par rapport au sol ou à d’autres obstacles. Philippe Barnola, sous-directeur à la DGAC, précise que « Des analyses techniques complémentaires sont en cours pour s’assurer de la compatibilité de ces stations 5G avec les besoins de l’aviation civile ».

Et cela dérange particulièrement les opérateurs qui expliquent avoir été informés du problème une fois les fréquences payées. Désormais, ils redoutent des retards dans le déploiement de la 5G.

Si au départ les opérateurs vont se concentrer sur les centres-ville, ils craignent cependant de ne pas pouvoir couvrir des zones plus ou moins larges autour des aéroports à l’avenir. Et cela pourrait concerner des villes dans certains cas comme celles autour des aéroports de Roissy ou d’Orly.

 

Les opérateurs ont donc décidé d’écrire au secrétaire d’État en charge du Numérique et des Communications électroniques. De son côté, SFR menace de ne pas payer la première tranche qu’il doit à l’État pour des fréquences. Tandis que Bouygues Telecom veut être indemnisé « à proportion de ces nouvelles contraintes ».

Au cabinet du secrétaire d’État, on se veut rassurant « En Allemagne tout se passe bien, il n’y a pas de raison que cela soit différent en France ». Les zones de protection autour des aéroports vont être adaptées pour la 5G, par exemple. Des travaux ont également été lancés au niveau européen.

Il en est de même du côté de l’Agence nationale des fréquences (ANFR). « Au final, il y aura un retard de quelques semaines, voire de quelques mois, sur un nombre limité d’antennes à proximité des aéroports […] Il n’y aura pas de zones d’exclusion durables. Les aéroports français ont la 2G, la 3G et la 4G. Ils auront aussi la 5G ».

 

 

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Source : Kulture Geek

 

 

 

 

Nice première ville couverte par la 5G

Le vendredi, 20 novembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

Nice première ville couverte par la 5G

C’est au micro de BFM Business que Grégory Rabuel, directeur général de SFR, a annoncé le lancement de la 5G à Nice à partir du 20 novembre au soir. Un peu plus de 50 % de la ville sera couverte par cette nouvelle génération de réseau mobile.

Si Montpellier, Bordeaux, Nantes, Marseille et le Grand Paris seront les prochaines villes couvertes en 5G par l’opérateur d’autres communes demandent un moratoire sur cette technologie.

 

SFR a également dévoilé ses offres commerciales à destination du grand public et des entreprises. De leurs côtés, Orange et Bouygues Telecom ont communiqué leurs offres grand public mais sans pour autant annoncer leur plan de couverture. Tandis que Free a évoqué un lancement dans "les prochaines semaines".

 

Si les opérateurs peuvent jouir de leurs fréquences 5G depuis le 18 novembre dernier, ils restent toutefois soumis à des procédures administratives liées aux autorisations techniques à déposer auprès de l’ANFR et aux demandes d’information des mairies.

Or plusieurs maires écologistes ou de gauche, comme à Lille ou Grenoble, ont déclaré être en faveur d’un moratoire jusqu’à la publication d’un rapport de l’Anses, prévue au printemps 2021.

Dans la capitale, le conseil de Paris a voté la création d’une conférence citoyenne sur la 5G, alors qu’une partie de l’opinion se dit méfiante sur les effets sanitaires et environnementaux des ondes électromagnétiques.

 

Même si la 5G promet d’offrir, à terme, un débit jusqu’à 10 fois plus rapide ; avant tout, les opérateurs comptent sur son lancement pour gérer l’augmentation du trafic et éviter la saturation de leurs réseaux mobiles.

 

 

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Source : Le Parisien

 

 

 

 

5G : les opérateurs connaissent leur positionnement

Le vendredi, 06 novembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

5G : les opérateurs connaissent leur positionnement

L'Arcep, en apposant un point final à l’appel d’offres pour les fréquences 5G, vient de livrer le positionnement des opérateurs sur la bande des 3,5 GHz.

Seul Free aura déboursé 3 millions d’euros pour s’offrir une place centrale sur la “bande reine” de la 5G. En effet, la filiale française d’Iliad disposera de 70 MHz de fréquences sur un bloc allant de 3,64 GHz à 3,71 GHz.

Dans le détail, SFR disposera de 80 MHz de fréquences sur un bloc allant de 3,49 GHz à 3,57 GHz, tandis que les 70 MHz de fréquences détenues par Bouygues Telecom seront disposées entre les fréquences 3,57 GHz et 3,64 GHz. Enfin, Orange, qui détient le plus gros bloc de fréquences, avec 90 MHz de fréquences 5G, disposera d’un bloc allant de 3,71 GHz à 3,80 GHz.

 

Lors de cette seconde phase d’enchères, les opérateurs ont déboursé la somme totale de 2,78 milliards d’euros. Pour s’offrir 70 MHz de fréquences sur la bande des 3,5 GHz, Bouygues Telecom a déboursé 602 millions d’euros, tout comme Free qui a rajouté 3 millions d’euros à cette somme pour bénéficier du positionnement de son choix. De son côté, SFR a investie 728 millions d’euros pour mettre la main sur 80 MHz de fréquences, tandis qu’Orange a dépensé 854 millions d’euros pour disposer de 90 MHz de fréquences sur la bande des 3,5 GHz.

 

Les 350 millions d’euros déboursés par chaque opérateur pour s’offrir des blocs fixes de 50 MHz seront remboursables « en 15 parts égales exigibles sur 15 ans, la première dès l’attribution de l’autorisation d’utilisation des fréquences et les 14 autres à la date anniversaire de l’attribution ».

Les sommes déboursées par les opérateurs lors de la phase d’enchère et de positionnement seront quant à elles remboursables « en quatre parts égales exigibles sur quatre ans, la première dès l’attribution de l’autorisation d’utilisation des fréquences et les trois autres à la date anniversaire de l’attribution ».

« À ces sommes viendront s’ajouter une part annuelle variable, égale à 1 % du chiffre d’affaires réalisé par l’exploitation de ces fréquences », indique le gendarme des télécoms.

Les fréquences seront officiellement délivrées à compter du 18 novembre prochain par l’Arcep. Mais les opérateurs devront encore attendre l’accord de l’ANFR, pour pouvoir commercialiser leurs premières offres 5G auprès du grand public et des professionnels, ce qui devrait prendre environ 10 jours supplémentaires.

 

Concernant la commercialisation des forfaits 5G, les opérateurs n’ont pas encore fait connaître leurs stratégies. Quoi qu’il en soit, ils devront attendre l’assentiment des municipalités pour lancer officiellement l’ère de la 5G auprès des utilisateurs. Si la patience reste donc de mise, les opérateurs commencent déjà les grandes manœuvres pour faire baisser le coût de leurs infrastructures 5G.

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

Prolongation de l’accord d’itinérance entre Free et Orange

Le vendredi, 30 octobre 2020. Posté dans Archives Rezopole

Prolongation de l’accord d’itinérance entre Free et Orange

Le 23 octobre dernier, l'Arcep a validé un avenant au contrat d’itinérance qui liait déjà les deux opérateurs. Free pourra ainsi utiliser les réseaux 2G et 3G d’Orange pour ses propres offres commerciales jusqu’au 31 décembre 2022 au lieu du 31 décembre 2020. Et ce en dépit des critiques de SFR, Bouygues Telecom ou d’autres opérateurs alternatifs regroupés au sein de l’association Alternative Telecom.

 

Pour justifier de son retard dans le déploiement de ses propres infrastructures 2G et 3G, l’opérateur fondé par Xavier Niel dénonçait pêle-mêle la mutualisation des réseaux signée en 2014 par Bouygues Telecom et SFR, les obligations de déploiement de la 4G renforcées, imposées par le New Deal Mobile, ou encore le manque de fréquences

Un argumentaire qui a fait mouche auprès de l'Arcep qui a toutefois maintenu le plafonnement des débits maxima montants et descendants atteignables par les clients en itinérance à 384 kbits.

 

Même si l'Arcep assure qu’elle « restera attentive à la poursuite des investissements de Free Mobile dans le déploiement de ses réseaux en propre », cela ne suffit pas à calmer les critiques des opposants à cette prolongation.

À commencer par la direction de SFR, pour qui « dix ans après avoir obtenu sa licence 3G, cet accord d’itinérance consenti à Free Mobile n’est que l’aveu d’un manque criant d’investissements de Free Mobile durant toutes ces années ».

De son côté, Bouygues Telecom rappelle que « l’itinérance a été conçue dès l’origine comme une mesure transitoire, avec pour seul objectif de permettre au nouvel entrant de compenser son entrée tardive sur le marché ». Or, « Free ne peut plus être qualifié de nouvel entrant sur le marché de la téléphonie mobile » et « dispose aujourd’hui d’un réseau largement comparable à celui de ses concurrents, donc tout à fait suffisant pour lui permettre d’exercer une vive concurrence » sur le marché mobile.

Tandis que les opérateurs alternatifs rappellent que la licence attribuée à Free Mobile par les autorités avait été accordée « en contrepartie d’engagements ambitieux pour animer la concurrence ».

 

Autant de critiques qui n’ont pas permis d’empêcher la prolongation de l’accord d’itinérance entre Free et Orange. Même si la direction de Free tend aujourd’hui à rattraper son retard en termes de déploiement, pas sûr que cela suffise à calmer la fronde de ses concurrents. D’autant que les récentes déclarations du PDG d’Orange concernant une possible mutualisation des réseaux 5G des deux opérateurs ne devrait pas contribuer à pacifier les débats.

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

Enchères 5G : le nouveau calendrier dévoilé

Le vendredi, 12 juin 2020. Posté dans Archives Rezopole

Enchères 5G : le nouveau calendrier dévoilé

L’Autorité de régulation des Télécom a publié un nouveau calendrier pour la suite de la procédure d’attribution des fréquences 5G dans la bande des 3,5 GHz. Ce sera donc entre le 20 et le 30 septembre. Bouygues Telecom, Free, Orange et SFR, qualifiés en février dernier à l’issue d’un appel à candidature, y participeront.

 

À l’issue de la procédure, ils obtiendront un bloc de 50 GHz chacun en contrepartie de 350 millions d’euros par tête et d’un certain nombre d’obligations de déploiement. Au début de l’automne, l’enchère principale leur permettra de compléter ce premier bloc en décrochant un ou plusieurs blocs de 10 GHz. S’ensuivra une enchère permettant de positionner les fréquences obtenues dans la section 3,4-3,8 GHz. L’Arcep indique que l’attribution définitive des fréquences aura lieu “en octobre ou novembre”. Les opérateurs pourront ainsi commercialiser leurs futurs forfaits 5G “d’ici à la fin de l’année”.

 

Cependant, les opérateurs ne seront finalement pas obligés d’assurer la couverture en 5G d’au moins deux grandes villes avant fin 2020. Le décalage de la procédure a conduit le gendarmes des Télécom à lever cette obligation accompagnant le premier bloc de 50 GHz. La commercialisation se fera “à l’initiative des opérateurs” même si l’Arcep promet de rester attentive aux conditions de commercialisation du nouveau réseau et aux promesses des opérateurs.

 

La première obligation sera donc de déployer la 5G sur au moins 3 000 de leurs sites d’ici à fin 2022. Les opérateurs devront également distiller au moins 240 Mb/s sur 75 % de leurs sites en 4G+ à la même échéance.

Une manière de rappeler que le cahier des charges a été élaboré pour que le déploiement de la 5G et la couverture 4G des territoires aillent de pair. Et aussi de répondre à Bouygues Telecom et SFR qui ont récemment mis en balance le déploiement du réseau de 5e génération et la nécessaire amélioration de la couverture 4G en zone rurale.

 

En parallèle, l'Arcep entend également répondre aux préoccupations croissantes entourant l’impact environnemental du numérique. Dans le cadre d’une nouvelle plateforme baptisée “pour un numérique soutenable”, “associations, institutions, opérateurs, entreprises du numérique, personnalités” sont invités à y contribuer lors d’une série d’ateliers thématiques à partir du 9 juillet.

Un rapport pour la fin d’année permettra de faire le point sur ces travaux et proposera les “premières pistes pour aller plus loin dans la réponse aux enjeux environnementaux” dont l’Autorité entend faire un “nouveau chapitre de la régulation”.

 

 

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Source : DegroupNews

 

 

 

 

Déploiement 4G : premiers effets de la crise sanitaire ?

Le vendredi, 05 juin 2020. Posté dans Archives Rezopole

Déploiement 4G : premiers effets de la crise sanitaire ?

Si les chiffres de déploiement de la 4G étaient restés dans la norme en mars et avril 2020, le décrochage est finalement survenu en mai. 330 nouveaux sites mis en service par Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free selon les données de l’Agence nationale des fréquences. Le chiffre est relativement bas mais reste plus élevé qu’en février dernier ou que le printemps-été 2019.

 

Néanmoins, le détail par opérateur témoigne d’un ralentissement sensible de la part d’Orange et Free. Les locomotives du déploiement depuis un an ont respectivement mis en service 154 et 230 nouveaux sites 4G en mai, soit bien en deçà du rythme observé ces derniers mois. On ne peut s’empêcher d’associer ce ralentissement à la crise sanitaire. Les opérateurs ayant fait part de difficultés diverses durant le confinement.

Plus encore, le nombre de nouvelles antennes activées est en baisse de 20 à 50 % comparé au mois précédent chez Free et Orange. Les activations d’antennes sur leurs bandes fétiches du moment ont atteint les plus bas niveaux observés depuis longtemps, 18 à 24 mois dans certains cas.

Une baisse généralisée également pour le nombre d’autorisations obtenues par Free et la 4G en 700 MHz. Sur un rythme mensuel oscillant habituellement entre 500 et 1 000 par mois depuis un an, le nombre d’autorisations reçues par la marque d’Iliad sur cette bande a plongé à moins de 200 en mai dernier.

 

SFR et Bouygues Telecom semblent à première vue avoir été moins affectés par les perturbations malgré des replis sur les activations et les autorisations sur plusieurs bandes de fréquence. Il est toutefois difficile d’en tirer des conclusions tant le rythme de déploiement de ces deux opérateurs est irrégulier depuis plusieurs mois. À noter que seul SFR semble avoir ressenti le besoin de recourir amplement au dispositif dérogatoire mis en place par l’État pour assurer la continuité des déploiements, à 58 reprises.

Avec 155 nouveaux supports 4G en service, Bouygues Telecom a réalisé en mai son meilleur mois depuis décembre. Côté antennes aussi, l’opérateur signe son record depuis six mois : 556 de plus en mai. Dont 313 sur la bande de fréquence 1 800 MHz, notamment pour la desserte de quelques grandes métropoles (Paris, Lille), de plusieurs axes routiers et de zones balnéaires, selon l’ANFR.

 

 

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Source : DegroupNews

 

 

 

 

Pas question de reporter la 5G

Le jeudi, 14 mai 2020. Posté dans Archives Rezopole

Pas question de reporter la 5G

Margrethe Vestager, vice-présidente de la Commission européenne chargée du Numérique, aurait rappelé à l’ordre les ministres européens des Télécoms afin que l’attribution du spectre 5G ne prenne pas trop de retard.

 

Fixés en 2016, les objectifs actuels de l’UE dans ce domaine sont de commercialiser la 5G dans au moins une grande ville de chaque pays de l’Union avant fin 2020, ainsi que dans toutes les zones urbaines et les grands axes de transport d’ici 2025.

L’intervention de la vice-présidente ferait suite à une demande de la Croatie de revoir ce plan d’action et ce calendrier.

 

De nombreux pays, dont l’Espagne, l’Autriche, le Portugal, la Pologne et la République tchèque n’ont toujours pas attribué leurs premières fréquences 5G. Les procédures ayant été repoussées en raison de la pandémie et des mesures de confinement qui s’en sont suivies.

En France, les enchères devraient être reportées au plus tard en septembre pour un déploiement dans la foulée. La commercialisation est donc envisageable cet automne.

 

 

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Source : 01net

 

 

 

 

Les réseaux tiennent-ils en France ? Et en Europe ?

Le jeudi, 23 avril 2020. Posté dans Archives Rezopole

Les réseaux tiennent-ils en France ? Et en Europe ?

Que ce soit par le développement du télétravail, des visio-conférences ou des usages récréatifs, les Français sollicitent davantage les différents réseaux de Télécommunications, fixes comme mobiles, en cette période. Mais la situation semble sous contrôle en France.

 

Lors d’une interview par Les Dernières Nouvelles D’Alsace, Arthur Dreyfuss, président de la Fédération Française des Télécoms, explique : « Nous avons constaté dès les premières heures une augmentation sans précédent du nombre de connexions et cela se maintient tout au long du confinement. […] Le besoin de réseaux télécoms est vital pour travailler, pour se divertir, pour s’informer ».

Et d’après lui la France s’en sort mieux que certains de ses voisins. « Or à la différence d’autres pays européens, les réseaux en France tiennent, et contribuent à assurer la continuité du pays. […] C’est parce que les opérateurs ont investi 20 milliards en deux ans dans les infrastructures et ils s’engagent collectivement pendant cette période ».

Il indique également que « malgré les difficultés liées au confinement, les techniciens travaillent d’arrache-pied pour tenir les engagements, poursuivre les déploiements afin de mettre en service de nouvelles connexions, en particulier les antennes sur les 140 sites mobiles mutualisés en travaux. Mais nous faisons face à de nombreuses difficultés opérationnelles liées à la crise qui nous font évidemment prendre du retard ».

 

 

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Source : Univers Freebox

 

 

 

 

Confinement : les réseaux ont globalement bien tenu

Le vendredi, 17 avril 2020. Posté dans Archives Rezopole

Confinement : les réseaux ont globalement bien tenu

Une saturation des réseaux Internet a été évoquée à plusieurs reprises au début du confinement. Un risque globalement inexistant hormis localement sur des antennes mobiles sur-sollicitées. C’est ce que vient de révéler nPerf dans une étude spécialement dédiée à l’impact du confinement sur les débits Internet. Le spécialiste de l’évaluation des connexions observe ainsi un léger affaissement des performances sur les réseaux mobiles mais celles des connexions fixes n’ont pas faibli.

 

En effet, les réseaux mobiles en zone résidentielle n’étaient pas vraiment taillés pour encaisser un surcroît de trafic du jour au lendemain. Beaucoup plus utilisés qu’en temps normal et le partage d’une même antenne par tous les riverains ont fait qu’ils n’ont pas pu délivrer leurs performances habituelles.

Une baisse des débits moyens de 10 %, soit 4 Mb/s, est observée en moyenne sur la fin mars. Accompagné d’un tassement sur les performances en navigation, notamment chez Orange et Free, tandis que le streaming reste stable. L’ensemble reste malgré tout “très acceptable” chez les 4 opérateurs, estime nPerf.

 

En revanche, le confinement n’a pas vraiment eu d’impact négatif sur les débits Internet fixe. Selon les tests compilés, l’ensemble a même eu tendance à s’améliorer fin mars. C’est le cas chez Bouygues Telecom, SFR et Orange, avec une exception du côté de Free.

En fibre, les débits Internet sont restés globalement stables chez Orange et Free. De son côté, SFR affiche une progression constante depuis le début de l’année qui ne s’est pas démentie malgré le confinement. Quant à celles de Bouygues Telecom, elles sont également orientées à la hausse en fin de trimestre.

 

 

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Source : Ariase

 

 

 

 

Itinérance 2G / 3G : prolongation pour Orange et Free ?

Le jeudi, 09 avril 2020. Posté dans Archives Rezopole

Itinérance 2G / 3G : prolongation pour Orange et Free ?

Alors même que son réseau n’était pas encore construit, Free Mobile a pu jouer un vrai rôle de quatrième opérateur Télécom sur le marché français dès son arrivée en 2012. Comment ? Grâce à l’accord d’itinérance 2G / 3G négocié avec Orange.

Un accord validé par l'Arcep à la condition que celui-ci ne soit que temporaire. Il était donc prévu que l’itinérance entre Orange et Free se termine fin 2020 mais les deux opérateurs viennent de demander une prolongation jusqu’à fin 2022.

 

Le 24 février dernier, l’Arcep a en effet indiqué avoir reçu un avenant annonçant une prolongation jusqu’au 31 décembre 2022. Cet avenant est justifié par « l’impossibilité pour Free Mobile de rattraper le standard de couverture du marché qui a nettement augmenté avec l’accord de mutualisation Crozon et les obligations New Deal malgré un déploiement très volontariste ».

Free fait aussi valoir le besoin d’une couverture 2G afin de maintenir un certain nombre d’abonnés en 2G mais sans avoir les moyens de déployer un réseau. De plus, les autres opérateurs maintiennent la 2G comme « technologie de repli dans certaines situations, notamment en indoor aux heures de pointe ».

 

Une nouvelle qui ne va qui ne va pas être bien accueillie par Bouygues Telecom et SFR. En effet, ils n’ont cessé de dénoncer l’accord d’itinérance entre leurs concurrents, le considérant comme un avantage concurrentiel pour Free.

Les représentants de SFR fustigent déjà le choix de Free de vouloir distribuer des dividendes et d’essayer de faire perdurer cet accord au lieu d’investir dans ses réseaux.

SFR et Bouygues Telecom ont annoncé suspendre le versement de dividendes, mais c’est aussi pour bénéficier des aides gouvernementales liées à la mise au chômage partiel d’une partie du personnel.

 

 

 

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Source : Génération NT

 

 

 

 

Déploiement 4G : pas d’impact du COVID-19 en mars

Le jeudi, 09 avril 2020. Posté dans Archives Rezopole

Déploiement 4G : pas d’impact du COVID-19 en mars

Les données publiées par l’Agence nationale des fréquences pour le mois de mars, montre que la crise sanitaire n’a pas vraiment eu d’impact visible en chiffres sur le déploiement de la 4G.

En effet, l’ANFR comptabilisait au 1er avril une hausse de 1 % des demandes d’autorisations et des activations de sites 4G d’un mois sur l’autre. Soit la cadence habituellement constatée mais les restrictions n’ont été mises en place que mi-mars et il peut y avoir un délai entre l’installation d’une antenne et son activation…

 

L’impact risque d’être observable dans les données des mois à venir puisque les opérateurs donnent désormais la priorité à la maintenance et au redimensionnement de leurs réseaux. L’objectif étant de faire face à la forte sollicitation des réseaux – voix et données – ainsi qu’à la nouvelle donne géographique induite par le confinement.

La loi d’Urgence votée pour faire face aux conséquences de l’épidémie de coronavirus comporte un volet infrastructures numériques à destinations donc des opérateurs mobiles. Ils pourront recourir à une « procédure simplifiée pour des sites qui permettront d’assurer une continuité de service ». Toutefois, cette initiative est trop récente our figurer dans le bilan de mars, « la demande d’autorisation des sites autorisés au 1er avril ayant été reçue avant que ce dispositif ne soit applicable », explique l’ANFR.

 

Concernant les implantations recensées par l’Agence, Orange s’est montré le plus dynamique en mars, avec 350 nouveaux sites, suivi par SFR (276), Free (251) et Bouygues Telecom (83). L’opérateur historique conserve le leadership en nombre de sites 4G exploités (21 830), devant SFR (19 000), Bouygues Telecom (18 188) et Free (15 586).

 

S’agissant du nombre d’antennes activées, la donne est légèrement différente. Orange domine là aussi avec 1 481 nouvelles activations. Mais c’est Free que l’on retrouve derrière avec 1 016 antennes allumées. L’activité a été sensiblement moins intense en mars chez SFR (553) et Bouygues Telecom (352).

 

 

 

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Source : DegroupNews

 

 

 

 

5G : ticket d’entrée à 350 millions d’euros

Le jeudi, 19 décembre 2019. Posté dans Archives Rezopole

5G : ticket d’entrée à 350 millions d’euros

Le 17 décembre dernier, l'Arcep a annoncé avoir déterminé avec les autorités le cahier des charges du futur appel d’offres 5G. Pour s’offrir les premiers blocs de 50 MHz dans la bande des 3,5 GHz, chaque opérateur devra débourser la somme fixe de 350 millions d’euros mais également répondre aux différents engagements fixés par les autorités.

Les 110 MHz restants, sur la bande concernée, feront l’objet d’enchères par blocs de 10 MHz. Le prix de départ de ces derniers a été fixé à 70 millions d’euros. Ce qui ne devrait toutefois pas faire les affaires des opérateurs. En effet, ils militaient pour que l’autorité ne fixe pas de montants trop élevés afin de leur permettre d’investir plus massivement dans le déploiement de leurs futurs réseaux 5G.

Les autorités devraient donc tirer de cet appel d’offres, au minimum, une somme totale « de 2,17 milliards d’euros pour l’ensemble des fréquences attribuées ». Celles-ci ne se sont pourtant pas montrées gourmandes au regard des différentes enchères 5G organisées par nos voisins, comme en Allemagne ou en Italie.

 

Le cahier des charges devrait être publié dans les prochains jours et donnera le coup d’envoi officiel de la procédure d’attribution conduite par l’Arcep. Les opérateurs candidats disposeront alors de huit semaines pour préparer leurs dossiers de candidature.

Les postulants ne pourront obtenir moins de 40 MHz de fréquences et ne pourront donc pas mettre la main sur plus de 100 MHz de fréquences dans la bande des 3,5 GHz. Les fréquences seront attribuées pour une durée de 15 ans et pourront être prolongée de 5 ans en cas d’accord ultérieur entre les autorités et les opérateurs concernés.

L’instruction des dossiers présentés par les candidats devrait démarrer au cours du mois de mars. L’Arcep rendra ses arbitrages et attribuera les premiers blocs fixes de fréquences 5G fin mars. Les enchères à proprement parler se dérouleront courant mai tandis que la finalisation de la procédure aura lieu au cours du mois de juin prochain.

 

Les obligations qui pèseront sur les opérateurs ne changent cependant pas. Comme initialement prévu par l'Arcep, le cahier des charges prévoit d’imposer l’ouverture de la 5G dans au moins deux villes par opérateur avant la fin 2020. Par la suite, les opérateurs se verront contraints de déployer leurs services sur 3 000 sites en 2022, 8 000 sites en 2024 et enfin 10 500 sites en 2025.

Mais sans oublier les zones rurales. Ainsi, 25 % des sites sur la bande des 3,5 GHz « des deux derniers jalons devront être déployés dans une zone rassemblant les communes des zones peu denses et celles des territoires d’industrie, hors des principales agglomérations », a fait savoir l'Arcep.

L’Autorité indique également que « dès 2022, au moins 75 % des sites devront bénéficier d’un débit au moins égal à 240 Mbit/s au niveau de chaque site. Cette obligation sera progressivement généralisée à tous les sites jusqu’à 2030 ».

De plus, comme prévu par des textes européens, les axes routiers font également figure de priorité. La couverture des axes de type autoroutier devra ainsi être assurée en 2025, avant une couverture des routes principales prévue en 2027.

Les opérateurs devront aussi s’engager à répondre aux demandes “raisonnables” qui émaneront des entreprises et collectivités publiques, afin de leur apporter « des offres adaptées avec de la couverture et des performances, voire, si l’opérateur le préfère, en leur confiant localement ses fréquences ».

Les autorités exigent plus de coopération entre opérateurs afin d’assurer une meilleure couverture in-door des bâtiments et pour garantir une plus grande transparence sur leurs prévisions de déploiement et pannes. Enfin, les opérateurs devront également s’engager à accueillir les MVNO sur leurs réseaux respectifs « afin notamment d’encourager l’innovation par tous les acteurs du secteur ».

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

Sogeti et LexCase, matinale du 24 septembre 2013 : "Mobilité et BYOD : Avancez en toute sécurité"

Le mardi, 17 septembre 2013. Posté dans Archives Rezopole Archives LyonIX

Sogeti et LexCase, matinale du 24 septembre 2013 :

Le mardi 24 septembre 2013 de 9h à 12h, Sogeti et LexCase organisent une rencontre technico-juridique autour de la sécurité des devices mobiles intégrés à votre SI (BYOD ou COPE). Cette Matinale abordera notamment :

  • Comment autoriser sereinement vos collaborateurs à se connecter à votre SI avec leur propre mobile (impacts techniques ? impacts juridiques ? impacts RH ?).
  • Comment adapter votre charte informatique pour qu’elle soit en phase avec une approche BYOD ?
  • Comment intégrer les différents terminaux mobiles afin qu’ils ne soient pas une faille de sécurité dans votre SI ?

Invitation et programme disponible ici : http://goo.gl/REj9xS

Inscriptions en ligne : http://goo.gl/VSTK3a

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