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Megalis Bretagne hausse le ton face aux retards

Le vendredi, 10 juillet 2020. Posté dans Archives Rezopole

Megalis Bretagne hausse le ton face aux retards

Le déploiement total du très haut débit via la fibre optique en Bretagne est prévu à l’horizon 2026. Mais, outre le confinement et la crise sanitaire, le RIP Mégalis Bretagne doit également faire face à des retards accumulés par ses partenaires : la filiale de Suez Safege, Axione, Artelia/Orange et Snef. La phase 2 doit se conclure fin 2022 alors que la phase 1 du projet accuse déjà deux années de retard.

 

Le syndicat mixte, représentant 1 233 communes bretonnes, vient donc d’infliger ses premières pénalités pour une somme totale estimée à 600 000 euros. Megalis Bretagne devrait de son côté débloquer huit millions d’euros de crédits complémentaires en 2020.

  

Axione, la filiale de Bouygues, a annoncé la création de 350 emplois supplémentaires pour venir à bout de ce chantier dont l’échéance reste fixée à 2026. Face au retard pris en Côtes-d’Armor et en Ille-et-Vilaine, le syndicat mixte vient de lancer un nouvel appel d’offres pour sélectionner des entreprises de travaux « pleinement opérationnelles » au 1er janvier 2021 et portant sur 15 000 prises à construire.

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

Un langage commun pour les réseaux de fibre optique

Le jeudi, 25 juin 2020. Posté dans Archives Rezopole

Un langage commun pour les réseaux de fibre optique

Depuis 18 mois, l’Association de collectivités pour le numérique Avicca, la fédération d’industriels InfraNum et la mission France THD travaillent sur la refonte du format d’échange de données Grace THD. Une “v3” revue et corrigée qui deviendra la future norme pour les réseaux publics de fibre optique.

 

Les promesses de Grace THD V3 : « l’harmonisation et l’uniformisation des pratiques en matière d’échanges de données entre les acteurs privés et publics » soient une des conditions à l’“industrialisation des déploiements”. Afin de tenir les objectifs du Plan France THD, l’ambition est de renouer au plus vite avec les cadences de production de 2019.

Ce référentiel commun vise également à permettre aux collectivités de constituer une base fiable et exploitable de leurs réseaux d’initiative publique.

 

Une recommandation du plan France THD, accompagnée d’un guide d’application, va contribuer à promouvoir l’adoption de ce modèle. Ainsi, « la mission France THD préconise à l’ensemble des collectivités territoriales la migration en GraceTHD v3 » en phase d’exploitation. Tandis qu’en phase de déploiement, « la migration sera décidée par la collectivité sous l’égide de la MTHD, après consultation des acteurs privés locaux et nationaux concernés ».

 

 

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Source : DegroupNews

 

 

 

 

L’Arcep veut faire le ménage dans les armoires

Le vendredi, 19 juin 2020. Posté dans Archives Rezopole

L’Arcep veut faire le ménage dans les armoires

Autre épine dans le pied du secteur des infrastructures du numérique, les raccordements finaux des clients à la fibre optique. En effet, la grogne s’amplifie face aux désordres constatés dans les points de mutualisation et la menace qu’ils constituent pour la pérennité des réseaux. Appelée à intervenir plus franchement, l'Arcep prend enfin les choses en main pour faire un sort aux “plats de nouilles”.

 

Lors de la conférence Telconomics du 16 juin dernier, l’Autorité de régulation s’est dite « extrêmement préoccupée » par la multiplication de ces aberrations. Pour y remédier, le régulateur des Télécoms a donc publié une « première feuille de route » élaborée en concertation avec les acteurs du secteur. L’objectif étant de donner aux opérateurs d’infrastructure la possibilité de mieux contrôler les interventions sur leurs réseaux. Ils pourront ainsi signaler, voire déréférencer, les sous-traitants indélicats mandatés par les opérateurs commerciaux.

 

Sébastien Soriano, président de l’Autorité, précise qu’il s’agit d’« éviter que quelques brebis galeuses viennent saccager le travail extrêmement professionnel de l’essentiel des autres sous-traitants ». Un premier pas qui ne réglera pas toutes les questions, comme celles du recrutement, de la tarification de ces interventions, ou des divergences sur les technologies de raccordement entre opérateurs d’infrastructure et fournisseurs d’accès.

 

 

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Source : DegroupNews

 

 

 

 

Le déploiement de la fibre se cherche des stimulants

Le vendredi, 22 mai 2020. Posté dans Archives Rezopole

Le déploiement de la fibre se cherche des stimulants

Organisés par Mon Territoire Numérique chaque année en mars à Deauville, les États généraux des RIP se sont finalement déroulés sous format visio. Le rendez-vous des réseaux d’initiative publique a permis de jauger l’impact de la crise sanitaire sur les projets Très Haut Débit portés par les collectivités.

 

Fin mars, InfraNum prévenait que l’arrêt complet des chantiers de déploiement de la fibre optique serait une “catastrophe” susceptible d’engendrer 12 mois d’inertie. Aujourd’hui la Fédération des industriels des infrastructures numériques respire – un peu. Son président, Étienne Dugas, indique « Nous avons travaillé sur les ordonnances, sur les différents décrets avec plus ou moins de succès » afin d’ « éviter l’arrêt complet de l’outil industriel, ce qui est chose faite ».

Au global, l’activité est tombée, en moyenne, aux alentours de 30 % de la production nominale durant le confinement. Permettant donc de maintenir l’outil industriel en fonctionnement, bien que la situation ait fortement varié selon les territoires.

 

Aujourd’hui l’heure est à la remontée en charge : 50 % d’activité la semaine dernière, 70 % cette semaine. Ce sont en tous cas les chiffres annoncés par le ministre de la Ville et du logement Julien Denormandie, en charges des dossiers THD depuis 2017. Mais Étienne Dugas prévient qu’ils sont à prendre avec précaution « En termes de productivité, nous sommes encore loin des taux que nous pouvions avoir précédemment ».

Un constat corroboré par Lionel Recorbet pour SFR FttH : « Nous allons avoir beaucoup, beaucoup de difficultés à retrouver le 100 % ». Cyril Luneau, directeur des relations avec les collectivités chez Orange, avertit lui aussi d’ores et déjà que le retour aux niveaux de déploiement de la fibre d’avant crise « n’est pas pour tout de suite ». L’épisode Covid aura « une incidence sérieuse et profonde sur les calendriers, les jalons de cette fin d’année, et sans doute sur 2022 », c’est-à-dire les échéances d’engagement de l’opérateur en zone AMII.

 

Les opérateurs préviennent donc qu’à ce stade il est difficile de chiffrer les délais supplémentaires. Pascal Rialland, président de Covage, se risque néanmoins à prédire un report de déploiement de « 4 à 6 mois en 2021 » pour les 75 000 lignes de fibre optique que Covage devait déployer en 2020 dans le Calvados.

Des dérapages de calendriers seront inévitables et par conséquent les retards de commercialisation risquent de peser à terme sur l’économie des projets portés par les collectivités. Tout comme les surcoûts plus immédiats liés aux précautions sanitaires.

Impossible à ce stade de chiffrer le montant de ces surcoûts. InfraNum a par ailleurs commandée une étude d’impact pour la fin du mois. La Fédération d’industriels compte s’appuyer sur ce travail pour s’inscrire dans le plan de relance promis par le gouvernement pour septembre prochain.

 

En attendant d’y voir plus clair sur l’impact de la crise sanitaire, les participants aux États généraux des RIP ont préféré insister sur les autres leviers d’accélération du déploiement pour répondre à l’impatience numérique.

Côté industriel, on souligne les besoins de cash immédiats des entreprises de la filière afin de pouvoir poursuivre leur activité. Au plus fort de la crise, les opérateurs d’infrastructure ont multiplié les initiatives pour soulager la trésorerie de leurs sous-traitants (réductions des délais de paiement, avances et autres bonifications). À présent, l’idée est de « mettre plus d’agilité » dans les versements des subventions France THD aux collectivités, annonce Julien Denormandie.

 

Mais le président de la Fédération française des Télécoms, Arthur Dreyfuss, tempère « la réponse ne peut pas être qu’argent public ». Au-delà de nouveaux coups de pouce financiers, le secrétaire général d'Altice France attend que soient levés « tous ces petits freins du quotidien » au déploiement de la fibre. De nombreuses doléances sont émises depuis des années que de nombreux acteurs du THD aimeraient voir enfin entendues. Dans cette situation exceptionnelle, « il faut battre le fer », résume Patrick Chaize. En faisant, par exemple, des infrastructures numériques un bien essentiel, fait valoir le sénateur de l’Ain et président de l'Avicca. Une approche permettant ainsi au déploiement d’outrepasser certains de ces blocages, croit aussi Arthur Dreyfuss, déplorant que « nous ne bénéficions pas du droit dont bénéficient le gaz ou l’électricité ».

Une idée qui ne convainc pas Julien Denormandie, pour qui consacrer un tel statut risque d’être mal compris par les Français privés d’une bonne connexion. Le ministre préfère passer par d’autres textes pour certaines avancées opérationnelles auxquelles il se dit “ouvert”. En revanche, concernant la très pressante question des copropriétés, le ministre botte en touche, en renvoyant aux “équilibres” de la loi Elan. Opérateurs et collectivités n’en ont donc pas fini avec ce travail de fourmi.

 

 

 

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Source : DegroupNews

 

 

 

 

Vous avez dit Backbone ?

Le lundi, 06 avril 2020. Posté dans Archives Rezopole

Vous avez dit Backbone ?

Internet est composé de liaisons d’accès qui acheminent le trafic vers des routeurs à large bande passante et accompagnent le trafic de sa source vers sa destination en empruntant le meilleur chemin disponible.

Afin de garantir l’acheminement du trafic Internet partout dans le monde, il faut interconnecter ces réseaux individuels de fibres optiques à haut débit. On appelle donc cette interconnexion backbone ou dorsale Internet. Chaque réseau appartient à des opérateurs Internet, généralement privés, de niveau 1 (Tier 1) et dont les réseaux sont reliés entre eux.

 

Ces opérateurs Internet de niveau 1 créent un réseau mondial unique en regroupant leurs réseaux longue distance permettant à chacun d’entre eux d’accéder à l’ensemble de la table de routage Internet. Ils peuvent ainsi acheminer efficacement le trafic vers sa destination en passant ensuite par une succession de fournisseurs locaux, de niveau 2 et 3. Ces opérateurs de backbone utilisent tous le même protocole de réseau partagé : TCP (Transmission Control Protocol)/IP (Internet Protocol).

 

Les réseaux de ces opérateurs Tier 1 sont connectés au niveau des IXP (Internet Exchange Point). Ces nœuds d’échange, étant équipés de commutateurs et de routeurs à haut débit, permettent d’acheminer le trafic entre les peers (participants connectés sur le nœud d'échange utilisant le protocole BGP pour faire du trafic). Ces points d’interconnexion sont souvent la propriété de tiers, parfois à but non-lucratif, facilitant ainsi l’unification du backbone.

Les opérateurs de niveau 1 participants à l’IXP contribuent à leur financement, mais ne se facturent pas mutuellement de frais pour le transport du trafic des autres opérateurs de niveau 1. Ce type de relation est appelé « peering ou échange de trafic sans accord ». Le peering évite les éventuels litiges financiers qui pourraient avoir un impact sur la performance de l’Internet.

 

Il existe des opérateurs de niveau 2 (Tier 2) et de niveau 3 (Tier 3), plus petits. Les opérateurs Tier 3 permettent à des entreprises et à des consommateurs d’accéder à Internet. N’ayant pas d’accès propre à la dorsale Internet, ces opérateurs de niveau 3 passe des contrats avec des fournisseurs d’accès de niveau 2 ou régionaux qui disposent de leurs propres réseaux pour acheminer le trafic vers une zone géographique limitée.

L’accès ne concernant pas tous les dispositifs connectés à Internet, les fournisseurs de niveau 2 passent quant à eux des contrats avec les fournisseurs de niveau 1 pour disposer d’un accès au backbone mondial.

En résumé, le trafic provenant d’un ordinateur situé d’un côté de la planète peut se connecter à un ordinateur connecté de l’autre côté de la planète en envoyant le trafic à un opérateur de niveau 3. Celui-ci l’achemine à un opérateur de niveau 2 qui le redirige vers un opérateur de backbone de niveau 1. Celui-ci le redirige alors vers l’opérateur de niveau 2 approprié. Lui-même envoi ce trafic à un opérateur de niveau 3 qui livre le trafic à l’ordinateur de destination.

 

 

 

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Source : Le Monde Informatique

 

 

 

 

Fibre : la filière appelle le gouvernement à l’aide

Le jeudi, 02 avril 2020. Posté dans Archives Rezopole

Fibre : la filière appelle le gouvernement à l’aide

Avec la crise du coronavirus, le Plan France Très haut débit, visant à offrir à tous les Français une connexion Internet fixe ultra-rapide à l’horizon 2022, est menacé. Cet énorme chantier a en effet fortement ralenti avec les mesures de confinement.

Le président d'InfraNum, Étienne Dugas, alerte ainsi « Si on ne fait rien, tout pourrait s’arrêter d’ici deux semaines. En bout de chaîne, énormément de TPE et de PME pourraient tomber ». Au-delà de la casse économique et sociale, il estime qu’il faudra des mois pour restructurer la filière et relancer ainsi la machine une fois l’épidémie passée.

 

Pour éviter un tel scénario, Étienne Dugas, juge indispensable de maintenir l’activité du déploiement de la fibre au niveau actuel. Il a donc demandé le soutien de l’exécutif le 1er avril dernier lors d’une réunion entre les représentants des Télécoms et les ministres en charge de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales.

 

Pour InfraNum comme pour la Fédération Française des Télécoms (FFT), il est indispensable que le gouvernement publie dès que possible son guide Covid-19 pour le BTP afin de fournir un cadre permettant aux ouvriers déployant la fibre de travailler en sécurité. D’autant que d’après InfraNum et la FFT les masques de protection FFP1 sont suffisants.

 

Autre sujet de préoccupation des industriels : beaucoup de sous-traitants ne peuvent plus travailler faute d’accord des collectivités. Tandis que d’autres peinent à accéder aux immeubles pour les raccorder à la fibre. Infranum demande donc que le gouvernement prenne des mesures pour lever ces freins.

 

Enfin, un appel a été lancé afin d’aider financièrement la filière de la fibre pour maintenir à flot les sous-traitants les plus fragiles. Selon Étienne Dugas, les grands opérateurs doivent aussi « faire un effort pour permettre à la filière de survivre à ce tsunami ».

Interrogé à ce sujet, le DG de la FFT, Michel Combot, souligne quant à lui que « la crise a un impact sur le chiffre d’affaires des opérateurs ». D’après lui, les Orange, SFR et Bouygues Telecom réfléchissent aux moyens d’épauler leurs propres chaînes de sous-traitants. « Des discussions sont en cours. Les opérateurs pourraient prendre différents types de mesure, des efforts sur les délais de paiement par exemple. Nous sommes bien conscients de notre responsabilité globale ».

 

 

 

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Source : La Tribune

 

 

 

 

Les noces à un milliard de Cellnex et Bouygues Telecom

Le jeudi, 27 février 2020. Posté dans Archives Rezopole

Les noces à un milliard de Cellnex et Bouygues Telecom

Le partenariat entre le géant européen du pylône telco et Bouygues Telecom se renforce encore avec la création d’une coentreprise (détenue à 51 % par Cellnex et à 49 % par Bouygues Telecom). Ce nouvel accord porte sur le déploiement et l’exploitation du réseau de fibre optique de l’opérateur en France, pour un investissement chiffré, à l’horizon 2027, à un milliard d’euros.

 

Grâce à cette somme, Cellnex pourra déployer un réseau de 31 500 km reliant les toits et pylônes télécom qu’opère Bouygues Telecom au réseau de “metropolitan offices” destinés à héberger des centres de traitement de données.

De quoi donner naissance à « un véritable anneau de fibre optique reliant plusieurs éléments clés de l’écosystème fixe et mobile, qui vont des pylônes raccordés à la fibre, aux small cells en passant par les centres de traitement de données », s’est réjoui Tobias Martinez, directeur général de Cellnex.

Placé dans le cadre d’une joint-venture créée entre les deux sociétés, l’accord portera également sur le déploiement de 90 nouveaux “metropolitan offices” d’ici 2027.

 

En France depuis 2016 via sa branche locale, le groupe compte aujourd’hui 130 collaborateurs chargés de la gestion d’un patrimoine de 9 192 sites mobiles répartis dans tout le pays. Une croissance rapide conduisant aujourd’hui Cellnex France à tutoyer les deux autres champions du secteur, Hivory et TDF.

Ce qui illustre bien les fortes ambitions du groupe en France et en Europe, alors qu’il a dégagé en 2019 – et pour la première fois – 51 % de son chiffre d’affaires et 60 % de son ebitda hors d’Espagne.

Une stratégie portée par un investissement conséquent de l’ogre espagnol en France. Depuis la création de sa branche locale, celui-ci a injecté pas moins de 4,3 milliards d’euros dans l’Hexagone. De quoi le faire passer au rang de premier investisseur espagnol et l’élever au statut d’acteur de référence des infrastructures mobiles.

Rappelons que Cellnex France a également mis la main sur 5 700 sites passifs de Free via l’acquisition de 70 % de la TowerCo d’Iliad.

 

Une stratégie donc payante puisque 67,5 % des revenus de Cellnex sont désormais tirés des services d’infrastructures aux opérateurs mobiles. Le géant espagnol a annoncé avoir dépassé le cap du milliard d’euros de revenus en 2019 avec aujourd’hui 36 471 sites opérationnels en Europe.

En effet, le groupe a enregistré un chiffre d’affaires global en hausse de 15 % sur l’année ainsi qu’un Ebitda en hausse de 16 % par rapport à l’exercice précédent. Et avec un carnet de commande qui atteint aujourd’hui 44 milliards d’euros, cela ne devrait pas s’arrêter.

 

Des performances qui doivent beaucoup à un investissement hors-norme de la part de l’ogre espagnol. Celui-ci a injecté pas moins de 8 milliards d’euros en opérations de croissance en 2019.

« 2019 aura sans aucun doute été une année de transformation avec un bond prodigieux en termes de taille et un saut qualitatif dans le renforcement de la position du groupe sur ses marchés clés, ainsi qu’une expansion de notre présence géographique en Europe », s’est réjoui le président du groupe Franco Bernabè.

 

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

Câbles sous-marins : Orange et Telxius s’associent

Le jeudi, 20 février 2020. Posté dans Archives Rezopole

Câbles sous-marins : Orange et Telxius s’associent

Le 18 février, Orange et Telxius, une filiale de l’opérateur historique espagnol Telefonica, ont annoncé leur association en vue de la mise en service d’un nouveau câble sous-marin transatlantique. Appartenant à Google, le câble ‘Dunant’ reliera courant 2020 la France aux États-Unis. Orange disposera de deux paires de fibre et Telxius d’une seule sur les douze que compte le câble.

 

Ils « offriront et exploiteront des services de colocalisation dans leurs stations d’atterrissement respectives », à Saint-Hilaire-de-Riez (côte ouest de la France) et à Virigina Beach (côte est des États-Unis), précisent les deux groupes dans un communiqué commun. Telxius fournira à Orange par une liaison de sa station d’atterrissement à Ashburn, en Virginie. En retour, Telxius bénéficiera des liaisons d’Orange vers Paris et les principales villes de l’Hexagone.

Avec cet accord Orange disposera de davantage de capacité entre l’Europe et les États-Unis. Il s’agit pour l’opérateur historique d’un impératif pour faire face à l’explosion du trafic de données entre le Vieux Continent et le pays de l’Oncle Sam. Pour le leader français des télécoms, Dunant constitue un investissement conséquent s’élevant à plusieurs dizaines de millions d’euros.

 

Dans le cadre de cette entreprise, Orange collabore aussi avec Google afin de lui fournir des liaisons en fibre optique terrestres en France. Ce qui permet au géant de Mountain View de connecter ses data centers des deux côtés de l’Atlantique. Ces dernières années, il a investi dans une dizaine de ces artères reposant au fond des mers, et si essentielles au bon fonctionnement d’Internet.

 

 

 

 

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Source : La Tribune

 

 

 

 

Un plan de continuation pour Kosc

Le vendredi, 31 janvier 2020. Posté dans Archives Rezopole

Un plan de continuation pour Kosc

La perspective de mettre la clé sous la porte s’éloigne un peu pour Kosc. « Un plan de continuation d’activité va être proposé par la direction de Kosc et massivement soutenu par Altitude Infrastructure », explique David El Fassy, le président de ce groupe spécialisé dans le déploiement de fibre optique en zone rurale.

L’offre sera déposée lundi sur le bureau de l’administrateur judiciaire, à qui il reviendra de choisir entre celle-ci et d’éventuels plans de cessions présentés par d’autres candidats, comme Bouygues Telecom, longtemps présenté comme un repreneur potentiel.

 

« Nous proposons de maintenir l’activité et les services rendus aux clients. Nous nous adossons à Altitude, un groupe familial extrêmement expérimenté, habitué à fournir des prestations de ‘wholesale only’. Et nous payons les passifs de l’entreprise. C’est de loin la meilleure solution », plaide Yann de Prince, le président fondateur de Kosc.

Dans le cadre du plan de continuation, les dettes d’un montant de 40 millions d’euros seraient renégociées. Et un accord serait recherché avec SFR pour solder tout litige.

 

Reste que l’entreprise brûle du cash. Les anciens actionnaires – le groupe OVH et la Caisse des Dépôts – avaient accepté de mettre 4 millions d’euros début décembre pour assurer le fonctionnement pendant la phase de redressement. L’administrateur sait que cette caisse sera bientôt vide.

Face à ce problème de trésorerie, Altitude Infrastructure promet d’investir 100 millions d’euros dans Kosc sur les cinq prochaines années. Une large part de cet apport sera faite sur fonds propres. « L’acquisition de nouveaux clients coûte cher, explique David El Fassy. L’infrastructure technique de Kosc est aujourd’hui performante et irrigue énormément d’entreprises. Le marché de Kosc est devant lui. Notre plan de marche prévoit un retour à l’équilibre opérationnel en 2022 ».

 

L’existence de ce plan de continuation devrait rassurer les salariés de Kosc, les dizaines d’opérateurs clients, les entreprises qu’eux-mêmes fournissent mais aussi les élus du Sénat et de l’Assemblée, montés au créneau ces derniers mois pour critiquer l’action de l’Autorité de la concurrence sur le marché des télécoms d’entreprise. En effet, devant l’accès très insatisfaisant des PME à la fibre optique et les prix élevés, dans un contexte de domination d’Orange et dans une moindre mesure de SFR, les parlementaires appelaient au sauvetage du modèle Kosc. Les secours sont en route.

 

 

 

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Source : Les Echos

 

 

 

 

Fibre : la concurrence arrive dans les grandes villes

Le jeudi, 23 janvier 2020. Posté dans Archives Rezopole

Fibre : la concurrence arrive dans les grandes villes

Il y a un peu plus d’un an, Axione et le fonds Mirova ont créé CityFast. La société avait acheté les 140 000 lignes de fibre optique déployées par Bouygues Telecom dans les grandes villes. CityFast avait alors pris l’engagement de connecter 3,4 millions de foyers urbains d’ici fin 2021 et de louer cette infrastructure à l’opérateur de Martin Bouygues et à d’autres.

 

Un an plus tard, CityFast assure avoir franchi les 800 000 lignes de fibre optique déployées. Le grossiste va donc passer à la phase suivante : la commercialisation de ces tuyaux aux opérateurs intéressés. La foultitude d’opérateurs régionaux ou spécialisés sur la fourniture des TPE-PME pourra alors offrir des abonnements à la fibre optique dans les centres-villes à des tarifs très compétitifs.

 

Le président de CityFast, Eric Jammaron, explique « Aujourd’hui, c’est un marché très fermé. Un cabinet d’avocats de centre-ville, par exemple, a un choix très limité. Soit il prend un abonnement FTTH auprès d’un des grands opérateurs présents dans l’immeuble, sans garanties, soit il passe par un opérateur d’entreprise pour avoir une fibre dédiée avec une qualité de service très supérieure, mais un abonnement très cher ».

 

Le grossiste est persuadé que les petits et moyens opérateurs se presseront pour proposer de la fibre, avec ou sans garantie de temps de rétablissement, aux TPE-PME.

« Nous faisons le pari de la masse, avec des prix extrêmement agressifs, assure Eric Jammaron. Aujourd’hui, une offre ADSL pro, avec des débits très inférieurs, se vend 60 à 80 euros. La fibre pro ne descend pas en dessous de 300 euros ». CityFast vendra ses lignes FTTH avec garanties de service trois fois moins cher aux opérateurs.

Un argument qui ne convainc pas entièrement. Nicolas Aubé, patron de Celeste, est persuadé que les entreprises resteront friandes de lignes rien qu’à elles.

 

CityFast saura rapidement à quoi s’en tenir. Dès cette semaine, il ouvre à la location ses lignes de fibre dans le 7e arrondissement de Paris, puis dans les autres quartiers de la capitale, ainsi qu’à Lyon et Marseille.

 

 

 

 

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Source : Les Echos

 

 

 

 

Députés : dernier recours du Plan France THD

Le jeudi, 19 décembre 2019. Posté dans Archives Rezopole

Députés : dernier recours du Plan France THD

Réussite exceptionnelle concernant les déploiements FttH en zone d’initiative publique, le Plan France THD a été conçu pour équiper en fibre optique les logements dans les zones les plus fragiles (rurales, montagnardes et insulaires). Il unifie ainsi les conditions techniques de déploiement sur tout le territoire national.

 

Couvrir 100 % du territoire d’ici 2025 est une condition de la compétitivité de l’économie française au sein de l’Union européenne. Les gouvernements successifs ont soutenu une telle ambition en apportant une aide financière importante à parité avec les collectivités. Un équilibre aujourd’hui rompu…

En effet, la Conférence nationale des territoires de décembre 2017 a marqué le fléchissement du Plan France THD : la fermeture du guichet FSN, une aide publique de 3 à 5 milliards aux opérateurs privés dans le cadre du “New Deal Mobile”, la suppression de 100 millions d’€ de subventions aux collectivités…

 

L’annonce de la réouverture du guichet par le gouvernement le 15 octobre 2019 ne s’est accompagnée d’aucune projection budgétaire réaliste pour finaliser ce chantier essentiel d’infrastructure.

L’État persiste sur le chiffre de 140 millions d’€ alors que les besoins estimés sont 4 à 5 fois supérieurs. Les propositions du Sénat de compléter par 322 millions d’€ de crédits d’engagements ont été rejetées. Après l’échec de la Commission Mixte Paritaire, les députés sont donc le dernier recours des collectivités.

Les associations d’élus invitent ainsi les députés à être attentifs à l’article 38 – État B de la Mission économie proposé en seconde partie du texte et à s’opposer à tout amendement qui supprimerait cette disposition essentielle du projet de Loi de finances.

 

 

 

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Source : Avicca

 

 

 

 

Fibre : hausse des importations chinoises

Le vendredi, 13 décembre 2019. Posté dans Archives Rezopole

Fibre : hausse des importations chinoises

Les fabricants de câbles en fibre optique dédiés aux Télécoms se félicitaient encore d’un fort essor des ventes en avril dernier mais depuis l’activité s’est dégradée. Les industriels en pointe dans ce domaine, comme Nexans ou Acome, ont vu leurs livraisons baisser au troisième trimestre. C’est en tout cas ce que constate le Syndicat professionnel des fabricants de fils et câbles électriques et de communication (Sycabel) « Le très fort ralentissement des livraisons de câbles à fibre optique, de l’ordre de 20 % au troisième trimestre 2019 – et ce pour la première fois depuis le troisième trimestre 2011 – suscite l’inquiétude, alors même que les déploiements dans l’Hexagone s’accélèrent, déplorent ses membres. Cette baisse brutale – voire interruption – des livraisons soulève une vive préoccupation dans nos rangs, tant au niveau de la gestion industrielle et de l’emploi que de la pérennité des investissements réalisés en France ».

 

Pourquoi les commandes ne suivent-elles pas alors que les déploiements des réseaux de fibre vont bon train ? D’après le Sycabel, de nombreux acteurs du déploiement de la fibre s’approvisionnent désormais en Chine, et dans une moindre mesure en Corée du Sud. « Ces entrées en douanes atteignent en juillet 2019 un niveau très élevé et représentent 45 % de la production de câbles à fibre optique du Sycabel, alors qu’il était de 13 % en 2017 et 23 % en 2018 ».

 

Jacques de Heere, PDG d'Acome et vice-président du Sycabel, fait grise mine. « Les usines tournent au ralenti, et certaines vont fermer d’ici la fin de l’année […] nous avons très fortement ralenti notre production. Depuis un an, celle-ci a été plus que divisée par deux ».

 

S’il n’est pas interdit d’acheter des câbles chinois, Jacques de Heere et le Sycabel ont « de sérieux doutes » sur le fait que ces produits étrangers respectent le cahier des charges stricte imposés aux acteurs français. « Nous voulons que tout le monde soit soumis aux mêmes règles », poursuit Jacques de Heere. Le dirigeant brandit le risque que certains territoires se retrouvent avec des réseaux de piètre qualité, moins performants, moins durables, et davantage susceptibles d’essuyer des pannes.

 

 

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Source : La Tribune

 

 

 

 

Les opérateurs alternatifs étrillent le plan France THD v2

Le vendredi, 13 décembre 2019. Posté dans Archives Rezopole

Les opérateurs alternatifs étrillent le plan France THD v2

Le gouvernement envisage de changer les règles du projet Guichet France THD pour apporter la fibre optique en zone rurale. Avec le durcissement des modalités de subventions, ce nouveau cahier des charges a déjà fait bondir les collectivités. Et il ne passe pas non plus du côté des acteurs Télécoms d’entreprise.

 

En effet, pour l’Association des Opérateurs Télécoms Alternatifs (AOTA) et la Fédération des entreprises du bureau et du numérique (EBEN), les propositions de l’exécutif envoient même « des signaux très négatifs et profondément inquiétants pour la compétitivité des entreprises situés en dehors des zones très denses ». Elles réclament donc une “correction” du projet mis en consultation jusqu’au 23 décembre. L’AOTA et EBEN pointent notamment la remise en question du financement de la collecte, et donc de l’existence d’offres activées à destinations des opérateurs de services numériques de proximité. Une autre inquiétude concerne l’exclusion de la desserte de sites prioritaires du périmètre éligible aux aides d’État.

 

Dans un marché entreprises “totalement anémique”, notamment marqué par les difficultés de Kosc et par la “reconstitution de la puissance de marché d’Orange”, les acteurs Télécom B2B poursuivent « plus généralement, ce nouveau cahier des charges est à l’exact opposé des mesures attendues ».

 

 

 

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Source : DegroupNews

 

 

 

 

Dans la tuyauterie d’Internet

Le lundi, 18 novembre 2019. Posté dans Archives Rezopole

Dans la tuyauterie d’Internet

D’après Greenpeace, si Internet était un pays, il serait le troisième plus gros consommateur d’énergie de la planète derrière les États-Unis et la Chine. Car la toile a besoin d’infrastructures colossales pour fonctionner : câbles sous-marins, data centers et serveurs par millions.

 

Avant tout, Internet est une histoire de câbles interminables et de vastes bâtiments remplis de fibres et de serveurs. Du navire câblier déposant la fibre au fond des océans au data center hébergeant nos données, le Numérique offre une face visible et palpable mais trop souvent méconnue. Ce reportage de France Culture vous emmène à la découverte de ces briques essentielles sans lesquelles Internet n’existerait pas.

 

99 % des communications intercontinentales transitent par les câbles sous-marins. Le 1 % restant voyage par satellite, car cette technologie est bien plus coûteuse et bien plus lente en termes de débit. Mais pour installer ces immenses câbles, il faut des bateaux très spéciaux : des câbliers. Construits autour de grandes cuves stockant la fibre optique, ces navires sont plutôt rares. En effet, il n’en existe qu’une quarantaine dans le monde.

Colonne vertébrale de notre société connectée : le câble sous-marin est une technologie coûteuse et sophistiquée maîtrisée par peu d’acteurs dans le monde. Le marché est dominé par trois entreprises en 2019 : l’américain Subcom, le japonais Nec et le français Alcatel Submarine Network (ASN), propriété du finlandais Nokia depuis 2016. Mais pour investir dans le câble Internet sous-marin, comptez quelques dizaines de millions d’euros pour un petit câble régional et jusqu’à plusieurs centaines de millions d’euros pour une liaison transpacifique ou transatlantique. Dominée par les États au XIXe siècle lorsque la communication se faisait en morse, la pose des câbles était ensuite devenue l’affaire d’opérateurs télécoms nationaux mais les GAFAM ont pris la relève ces dernières années.

 

Autre brique essentielle d’Internet : les data centers. Ces vastes bâtiments hébergent des serveurs et des équipements informatiques nous permettant d’accéder à nos données. La géographie des data centers recouvre celle des capitales économiques : Londres, Francfort, Paris, Madrid, etc. Mais parfois, les hébergeurs agissent sur d’autres critères ; ainsi Marseille est devenue une des villes les plus importantes au monde en la matière.

« Depuis cinq ans, Marseille est devenue un des hubs principaux des échanges de contenu dans le monde. La ville est désormais le 10ᵉ nœud mondial de concentration de réseaux et d’échanges de données […] il y a un atout géographique grâce aux 14 câbles sous marins qui atterrissent ici et qui permettent d’acheminer de la donnée tout autour de la Méditerranée mais aussi au Moyen-Orient et en Asie » Fabrice Coquio, président d'Interxion France.

 

Pour acheminer toutes ces données jusqu’à nos ordinateurs et téléphones, Internet s’appuie aussi sur 600 points d’échange dans le monde, une vingtaine en France dont France IX.

« [...] France IX a été créé il y a une dizaine d’années pour structurer l’Internet français. Le but était que les grands opérateurs puissent échanger entre eux sur des “autoroutes” en évitant les congestions. Tous ces acteurs se connectent à nos infrastructures afin d’avoir le chemin le plus rapide » Franck Simon, président de France IX.

 

Face au monopole des géants de la Silicon Valley, le salut de l’Europe – et de la France – peut-il venir de tous ces acteurs ? « C’est vrai qu’on a de beaux restes. On a quand même eu une grande industrie des télécoms, une grande industrie des composants. À titre personnel et avec mon expérience de 25 ans dans le numérique, peut-être qu’on ferait mieux de repartir d’industries où nous sommes encore forts, avec de grandes traditions. Nous sommes bons en Internet des objets, en domotique, en design, etc. Si l’on veut riposter, il faut trouver des points hauts stratégiques, et ça ne consiste pas à faire un contre Google, un contre Facebook ou un contre Netflix… On peut le faire si on veut, mais il faudra probablement inventer notre chemin propre avec notre génie propre. Il faudra aussi créer un marché européen unifié pour le numérique et trouver de nouvelles stratégies de financement ; la BPI (Banque publique d’investissement) a un peu changé la donne mais ça n’est pas encore assez » Henri Verdier, ambassadeur pour le numérique.

 

 

 

 

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Source : France Culture

 

 

 

 

Bouygues Telecom débarque en zone AMII

Le mercredi, 16 octobre 2019. Posté dans Archives Rezopole

Bouygues Telecom débarque en zone AMII

L’opérateur a lancé la commercialisation de ses abonnements Très Haut Débit, jusqu’à 1 Gb/s, dans de nombreuses villes. Pour ce faire, il s’est appuyé sur le réseau FttH que déploie SFR. Il s’agit de zones AMII, zones moyennement denses, où l’opérateur au carré rouge est seul à la manœuvre. Il y installe un réseau de fibre optique mutualisé, que les autres FAI pourront par la suite utiliser.

 

Plus de 50 villes dans une quinzaine de départements sont concernées au total par l’arrivée des offres de Bouygues Telecom. L’opérateur emboîte ainsi le pas à Free, qui a commencé à investir ces territoires depuis déjà plusieurs mois.

Absent jusqu’ici, Bouygues Telecom semble avoir lancé depuis fin septembre un vaste effort de commercialisation. Notamment en périphérie de grandes métropoles comme Calais, Cannes, Marignane, Nantes, Toulon, Toulouse et Orléans ainsi que dans plusieurs grandes communes d'Ile-de-France.

 

Dans ces régions, la concurrence va donc être quelque peu aiguisée puisqu’au début de l’année seules les offres de SFR, RED, Orange et Sosh étaient disponibles. Depuis quelques mois déjà Free monte en puissance, il n’est donc pas surprenant de voir Bouygues Telecom venir compléter le tableau. Cela afin de ne pas se laisser distancer sur ces territoires comptant des centaines de milliers de clients potentiels.

 

Parallèlement, Bouygues Telecom cravache pour reprendre du terrain dans les grandes métropoles. Début 2019, ses offres Internet très haut débit étaient encore absentes de nombreuses grandes villes situées en zone dite très dense (ZTD). Mais la situation s’améliore progressivement avec une arrivée de sa fibre à Cannes, Clermont-Ferrand, Grenoble, Poitiers, Rennes, Rouen, Saint-Etienne, Toulon ou encore certaines communes franciliennes comme très récemment Fontenay-sous-Bois.

 

 

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Source : Ariase

 

 

 

 

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