Together, your Internet even better

Articles taggés avec : réseau FttH

Premier démantèlement de l’ADSL d’Orange

Le vendredi, 26 mars 2021. Posté dans Archives Rezopole

Premier démantèlement de l’ADSL d’Orange

À Lévis Saint Nom, dans les Yvelines, une équipe de techniciens d’Orange s’active pour déposer les lignes aériennes de cuivre de la commune. Cette expérimentation doit préparer la grande opération de “décommissionnement” du cuivre qui concernera tout le pays à partir de 2023.

 

Tirées à partir des années soixante et surtout dans les années 70, les lignes de cuivre ont apporté le service téléphonique aux Français. Elles ont ensuite permis d’accéder à Internet via la technologie de l’ADSL à la fin des années 90. En décembre 2020, l’Arcep comptait encore 16 millions de foyers utilisateurs de l’ADSL. Un chiffre voué à décliner inexorablement sous l’effet des raccordements en fibre optique. En effet, le gouvernement s’est fixé comme objectif de raccorder tout le monde en FttH d’ici 2025.

 

Il devenait donc difficile de maintenir ce réseau vieillissant, énergivore et qui coûte cher à entretenir. Avec 22,6 millions de lignes toujours actives et 1,1 million de câbles, dont 60 % dans des tranchées souterraines, il s’agit d’un chantier titanesque.

Orange, propriétaire historique du réseau cuivre, a signé un accord avec l’Arcep pour mener des tests de démantèlement.

« Nous avons choisi Lévis Saint Nom pour commencer à cause de ses 1 600 habitants, de ses 700 logements et du fait qu’il y ait peu d’entreprises. Cette typologie est représentative de 80 % des communes en France », nous explique Laurence Thouveny, directrice d’Orange Île-de-France.

 

Lors du démarrage du “décommissionnement”, en juin 2020, il restait 120 clients du cuivre dans la commune. Chaque opérateur commercial a alors dû convaincre ses clients de passer à la fibre optique avec la garantie, pour ceux utilisant uniquement le téléphone, d’avoir des offres tarifaires similaires. Huit abonnés s’accrochent encore au cuivre mais le 31 mars, quoiqu’il arrive, Orange coupera tout.

« Il n’y a pas de difficulté technique avec l’arrêt du cuivre. Le sujet principal, c’est d’accompagner les clients et de les contacter un par un pour leur proposer des offres de substitution », résume le directeur technique et ses systèmes d’information d’Orange Marc Blanchet.

 

L’extinction du cuivre ne fait que débuter et ne devrait pas s’achever avant 2030. Ce long processus se fera par plaques, zone par zone avec des préavis extrêmement larges de plusieurs années.

Enfin, la disparition du cuivre ne signifie absolument pas la fin du téléphone fixe qui pourra tout à fait continuer à fonctionner via la fibre optique, le tout sans aucune obligation de souscrire à un abonnement Internet.

 

Après Lévis Saint Nom, deux autres villes seront choisies dans les semaines qui viennent pour continuer l’expérimentation.

 

 

 Lire l'article

 

Source : 01net

 

 

 

 

FttH : plus de 10 millions d’abonnements

Le vendredi, 05 mars 2021. Posté dans Archives Rezopole

FttH : plus de 10 millions d’abonnements

Les derniers chiffres trimestriels publiés par l'Arcep confirment la progression de la fibre optique sur le territoire français : « le quatrième trimestre 2020 a été marqué par une progression record de déploiement de la fibre optique (FttH) et de son adoption, qui conclut une année 2020 elle aussi record ». La barre des 10 millions d’abonnements à des offres FttH a ainsi été franchie.

 

Désormais, le nombre d’abonnements à très haut débit s’élève à 14,7 millions. Ce qui représente près de la moitié du nombre total d’abonnements Internet en France, et 51 % du nombre de locaux éligibles au très haut débit, soit une hausse de 3 points en un an.

Une progression qui est avant tout due à l’augmentation des abonnements au FttH. Avec 3,3 millions d’accès supplémentaires en 2020, le nombre d’abonnements FttH est chiffré à 10,4 millions soit 70 % du nombre total d’accès à très haut débit. Même si les abonnements à haut débit constituent toujours la majorité des abonnements à Internet, avec presque 16 millions, ils ont chuté de 2,5 millions en 2020.

Au total à la fin de l’année 2020, la France compte 30,6 millions d’abonnements à haut et très haut débit. Une progression de 285 000 en un trimestre et de 800 000 en un an (+ 2,7 %). « Une telle croissance annuelle n’avait pas été observée depuis trois ans », estime-t-on du côté de l'Arcep.

 

Une tendance qui doit beaucoup au déploiement soutenu des lignes de fibre optique de bout en bout par les opérateurs et les acteurs du secteur. Plus de 1,9 million de locaux supplémentaires ont été rendus raccordables au FttH au cours du quatrième trimestre 2020. « Plus de 5,8 millions de lignes ont été déployées au cours de l’année 2020, malgré la situation sanitaire, soit 19 % de plus qu’en 2019 », fait valoir le gendarme des télécoms.

Désormais, 24,2 millions de locaux sont éligibles aux offres FttH, soit une hausse de 31 % en un an. Cette croissance se situe majoritairement en zone moyennement dense – zone AMII (Appel à Manifestation d’Intention d’Investissement). À la fin du quatrième trimestre 2020, 28,6 millions de locaux au total étaient éligibles à des services à très haut débit, toutes technologies confondues, dont 21,7 millions en dehors des zones très denses.

 

Si le déploiement de la fibre optique va bon train, nombreux sont les foyers ou les entreprises à se plaindre d’une connectivité en berne. La faute à des défauts d’entretien ou de raccordement sur les points de mutualisation générant de nombreux problèmes de qualité de service.

Pour y remédier, les opérateurs viennent de conclure un accord qui pourrait faire date dans le secteur. Ils s’engagent ainsi à améliorer la sécurité et la qualité des interventions avec un nouveau régime de sanctions.

L’accord, annoncé par Infranum, prévoit également une prise en charge collective des frais de remise en état du réseau. De quoi freiner l’explosion des “plats de nouilles” débordant des points de mutualisation, qui pourrait à terme poser un problème majeur pour la connectivité des particuliers et des professionnels.

 

 

 

 Lire l'article

 

Source : ZDNet

 

 

 

 

Les tarifs d’accès au réseau de SFR revus à la baisse

Le vendredi, 08 janvier 2021. Posté dans Archives Rezopole

Les tarifs d’accès au réseau de SFR revus à la baisse

En juillet 2020, Free saisissait l'Arcep en lui réclamant de préciser les conditions d’accès des acteurs du marché au réseau FttH de SFR en zone moins dense d’initiative privée (AMII). La filiale d’Iliad réclamait l’encadrement des tarifs exigés par SFR pour accéder à la partie terminale de son réseau en limitant toute hausse à la seule application de l’indexation prévue par le contrat de mutualisation noué entre les deux opérateurs et en conditionnant toute évolution au-delà de ce barème à la signature d’un avenant « négocié de bonne foi ».

 

Un sujet brûlant car déjà en avril dernier, l'Arcep se disait prête à remettre « les points sur les i » dans le dossier de la hausse des tarifs de raccordement au réseau fibre de SFR dans les zones privées. En effet, l’Autorité avait déjà exigé de la marque au carré rouge l’annulation de la hausse de ses tarifs en vigueur depuis le début d’année 2020 après avoir été saisie par Bouygues Telecom à l’hiver dernier.

 

Free qui exigeait donc la révision des tarifs de cofinancement reclamés par SFR, en zone AMII, afin qu’ils ne dépassent pas 5,12 € par ligne et par mois (ou 513,6 € par ligne pour le tarif non récurrent) pour un cofinancement à hauteur de 20 %.

Une demande acceptée par l'Arcep, qui a demandé à SFR d’ajuster ses tarifs dans les zones AMII mais également dans les zones AMEL. Le gendarme des télécoms justifie cette position en indiquant que la branche d’infrastructure de SFR « n’a pas produit d’éléments spécifiques permettant d’appréhender ses coûts » et estimant que les hausses de tarifs d’accès doivent « être justifiés par des éléments de coûts ».

 

Comme dans le différend opposant Bouygues Telecom à SFR, l'Arcep a enjoint la marque au carré rouge de revenir à ses tarifs de cofinancement pratiqués avant le mois de février 2020. Elle a toutefois la possibilité de les ajuster de manière beaucoup plus modeste par voie d’avenant. Une décision très attendue par certains acteurs du secteur, pour qui il en allait de la survie du principe de mutualisation de la partie terminale des réseaux fibre d’Orange et de SFR, en vigueur depuis 2008.

 

 

 Lire l'article

 

Source : ZDNet

 

 

 

 

L’Arcep presse Orange d’accélérer la fin de l’ADSL

Le vendredi, 04 décembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

L’Arcep presse Orange d’accélérer la fin de l’ADSL

Le projet de régulation du marché fixe concocté par l’Arcep, déjà approuvé par l’Autorité de la concurrence, vient également d’être adoubé par Bruxelles. Composé de deux volets, il concerne spécifiquement Orange pour une partie et l’ensemble des acteurs pour l’autre.

 

Un des objectifs principal étant d’inciter Orange à mettre fin le plus rapidement possible au cuivre et donc à l’ADSL afin qu’il ne soit pas tenté de prolonger la “rente” du réseau cuivre. L’opérateur historique n’aura ainsi plus le droit d’ouvrir de nouveaux accès cuivre dans les immeubles où les quatre grands acteurs sont présents en fibre optique. Il devra également raccorder plus facilement à la demande les entreprises et les foyers éloignés de son réseau, de manière à combler les trous dans la raquette de la couverture et augmenter le taux d’adoption du FttH.

Le gendarme des télécoms s’est fixé comme autre objectif de contenir la domination d’Orange sur le marché entreprise. En effet, tous les FAI utilisant sa fibre mutualisée pour proposer des offres commerciales aux particuliers pourront désormais le faire aussi à destination des entreprises.

 

 

 Lire l'article

 

Source : 01Net

 

 

 

 

Feu vert pour le rachat de Covage par SFR FTTH

Le vendredi, 04 décembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

Feu vert pour le rachat de Covage par SFR FTTH

Altice, via sa branche SFR FTTH, entrait en négociations exclusives il y a un an pour racheter 100 % de l’opérateur de gros Covage.

L’Association des Opérateurs Télécoms Alternatifs avait alors rapidement fait part de son inquiétude, car ce rapprochement n’était pas « sans susciter de profondes interrogations sur la préservation d’une intensité concurrentielle déjà fragile sur le marché entreprises et collectivités ».

 

La Commission européenne « a autorisé, en vertu du règlement de l’UE sur les concentrations, le projet d’acquisition de Covage par SFR FTTH, une entreprise contrôlée conjointement par Altice, Allianz et Omers. L’autorisation est subordonnée au respect intégral d’une série d’engagements offerts ».

 

Deux engagements sont pris par SFR FTTH :

  • « La cession à un acquéreur approprié de 25 filiales et d’actifs correspondant à l’activité “boucle locale optique” » de Covage sur le territoire de 30 institutions publiques. Ces filiales et ces actifs se composent de réseaux FttO et représentent au total environ 95 % de l’activité FttO de Covage.
  • « L’offre d’un contrat de services transitoire, portant notamment sur l’accès à tous les actifs et services requis pour exploiter l’activité cédée dans des conditions concurrentielles pendant une durée permettant à SFR FTTH de devenir totalement indépendante ».

 

Pour conclure, la Commission affirme que « les engagements définitifs répondent aux problèmes de concurrence recensés par la Commission en ce qui concerne l’acquisition de Covage par SFR FTTH et ont été considérablement améliorés à la suite des observations fournies par les acteurs du marché. La Commission a donc conclu que l’opération envisagée, telle que modifiée par les engagements, ne posait plus de problème de concurrence ».

 

 

 Lire l'article

 

Source : Next Inpact

 

 

 

 

Les réseaux fibre vont passer au contrôle technique

Le vendredi, 13 novembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

Les réseaux fibre vont passer au contrôle technique

Pour s’assurer de la qualité du déploiement de la fibre, le gouvernement va lancer une mission de contrôle des déploiements FttH.

 

L’aspect le plus visible de la dégradation de l’état des réseaux de fibre optique se trouve dans certaines armoires de rue. Le modèle consistant à confier le raccordement des abonnés aux fournisseurs d’accès à Internet, dans une relation de sous-traitance aux exploitants des réseaux, est régulièrement montré du doigt pour expliquer ces déboires. Et les différents protagonistes peinent toujours à s’entendre pour mettre fin au désordre.

Certains observateurs pointent également le choix originel de déporter les points de mutualisation, au plus près des locaux d’habitation ou professionnels, au détriment d’une architecture plus centralisée et donc plus sécurisée.

 

Mais au-delà de l’état des armoires, la partie amont est également dans le viseur de cette grande opération de contrôle que compte lancer le gouvernement.

En effet, l’initiative s’appuie sur un faisceau d’alertes portant notamment sur le sous-dimensionnement de câbles de transport. À certains endroits, la quantité de route optiques disponibles serait insuffisante pour pouvoir desservir tous les utilisateurs.

Les fibres optiques d’importation posent également question, car elles ne semblent pas donner entière satisfaction.

La vulnérabilité des réseaux fibre aux aléas climatiques explique aussi ce regain de vigilance.

 

L’objectif énoncé dans la lettre de mission de cette opération de contrôle : « mieux sécuriser les déploiements et les conditions d’exploitation sur les réseaux d’initiative publique » (RIP). Et trouver des “remédiations” aux potentiels problèmes identifiés.

Les réseaux fibre déployés sur fonds propres par les opérateurs, dans les zones très denses ou dans les zones moins denses d’initiative privée (AMII notamment), seraient donc exclus du périmètre de cette mission de contrôle.

S’agira-t-il de laisser le soin aux opérateurs de s’assurer du bon fonctionnement de leur propre réseau, tandis que l’État ne le ferait que sur les RIP, là où des deniers publics ont été engagés ?

 

 

 Lire l'article

 

Source : DegroupTest

 

 

 

 

Fibre : la France championne du raccordement

Le vendredi, 10 juillet 2020. Posté dans Archives Rezopole

Fibre : la France championne du raccordement

L’Hexagone aurait gagné 1,9 millions d’abonnés et 3,5 millions de foyers raccordés en FttH ou FttB en 2019. D’après le think tank Idate qui réalise chaque année une étude pour le Conseil de l’Europe du FttH, ce serait la croissance la plus forte en Europe.

 

Des bons résultats dus au volontarisme du Plan France Très Haut Débit visant à atteindre 100 % de foyers accessibles au Très haut débit d’ici fin 2022.

57,1 % des abonnés français au total étaient éligibles au FttH ou FttB en 2019. Soit plus qu’en Allemagne ou au Royaume-Uni mais moins qu’en Italie, en Espagne, en Norvège ou encore en Lituanie.

La France atteint désormais la 16ᵉ place du classement européen des souscriptions à la fibre, avec un peu plus de 25 % des abonnés en FttH ou FttB.

 

Cependant, les chiffres pour la France ne concordent pas vraiment avec ceux de l'Arcep. L’autorité de régulation ne prend en compte que le FttH lorsqu’elle parle de fibre optique. Elle a ainsi comptabilisé 4,8 millions de locaux supplémentaires raccordés et 2,3 millions d’abonnements au FttH en 2019.

 

 

 Lire l'article

 

Source : 01Net

 

 

 

 

La Cour d’appel valide la décision de l'Arcep

Le jeudi, 31 octobre 2019. Posté dans Archives Rezopole

La Cour d’appel valide la décision de l'Arcep

Engagé depuis plusieurs années dans le co-financement des réseaux FTTH déployés par Orange, Free contestait plusieurs termes de son contrat avec l’opérateur historique. L’Autorité de régulation avait réglé ce litige en faveur de Free mais Orange en contestait depuis la légalité. La Cour d’appel de Paris a confirmé la décision de l’Arcep dans un arrêté du 26 septembre 2019.

 

Le renouvellement prévu de la durée et des conditions d’accès aux infrastructures d’Orange étaient contestées par Free. L’Arcep a confirmé qu’elles ne permettaient pas de satisfaire les besoins de visibilité et de transparence de Free et a donc imposé à Orange d’accorder un droit d’accès d’une durée définie et d’au moins 40 ans. Dans son arrêté, la Cour d’appel a confirmé que ces conditions ne sont « pas suffisamment précises eu égard au besoin de visibilité de la société Free sur la durée effective de ce droit ».

Par ailleurs l'Arcep a estimé qu’il était justifié et raisonnable pour Free d’obtenir des éléments de visibilité sur la formation des tarifs d’accès aux réseaux FTTH d’Orange en zones moins denses d’initiative privée. Ce que la Cour d’appel a également appuyé en indiquant que ces tarifs étaient « directement lié aux conditions financières de l’offre, dont il tend à garantir le caractère équitable ».

Enfin, l’Autorité de régulation a estimé que l’opérateur historique devra permettre à Free de raccorder les stations de base mobiles en zones moins denses d’initiative privée via les fibres optiques surnuméraires du réseau FTTH déployé par Orange et cofinancé par Free. Un point n’ayant pas fait l’objet d’une contestation d’Orange dans le cadre de son recours.

 

En outre, la Cour d’appel de Paris a estimé que la décision ne portait pas atteinte au secret des affaires et confirmé l’analyse de l’Arcep. Et relevant ainsi que les informations qu’Orange doit fournir à Free en application de la décision « se caractérisent par leur très fort degré d’agrégation, tant géographique que par postes de dépenses ».

 

 

 

 

 Lire l'article

 

Source : Le Monde Informatique

 

 

 

 

Bouygues Telecom débarque en zone AMII

Le mercredi, 16 octobre 2019. Posté dans Archives Rezopole

Bouygues Telecom débarque en zone AMII

L’opérateur a lancé la commercialisation de ses abonnements Très Haut Débit, jusqu’à 1 Gb/s, dans de nombreuses villes. Pour ce faire, il s’est appuyé sur le réseau FttH que déploie SFR. Il s’agit de zones AMII, zones moyennement denses, où l’opérateur au carré rouge est seul à la manœuvre. Il y installe un réseau de fibre optique mutualisé, que les autres FAI pourront par la suite utiliser.

 

Plus de 50 villes dans une quinzaine de départements sont concernées au total par l’arrivée des offres de Bouygues Telecom. L’opérateur emboîte ainsi le pas à Free, qui a commencé à investir ces territoires depuis déjà plusieurs mois.

Absent jusqu’ici, Bouygues Telecom semble avoir lancé depuis fin septembre un vaste effort de commercialisation. Notamment en périphérie de grandes métropoles comme Calais, Cannes, Marignane, Nantes, Toulon, Toulouse et Orléans ainsi que dans plusieurs grandes communes d'Ile-de-France.

 

Dans ces régions, la concurrence va donc être quelque peu aiguisée puisqu’au début de l’année seules les offres de SFR, RED, Orange et Sosh étaient disponibles. Depuis quelques mois déjà Free monte en puissance, il n’est donc pas surprenant de voir Bouygues Telecom venir compléter le tableau. Cela afin de ne pas se laisser distancer sur ces territoires comptant des centaines de milliers de clients potentiels.

 

Parallèlement, Bouygues Telecom cravache pour reprendre du terrain dans les grandes métropoles. Début 2019, ses offres Internet très haut débit étaient encore absentes de nombreuses grandes villes situées en zone dite très dense (ZTD). Mais la situation s’améliore progressivement avec une arrivée de sa fibre à Cannes, Clermont-Ferrand, Grenoble, Poitiers, Rennes, Rouen, Saint-Etienne, Toulon ou encore certaines communes franciliennes comme très récemment Fontenay-sous-Bois.

 

 

 Lire l'article

 

Source : Ariase

 

 

 

 

La Fédération FDN dévoile le baromètre FTTH

Le jeudi, 10 janvier 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX Archives LyonIX

La Fédération FDN dévoile le baromètre FTTH

Il aura fallu un an et demi de travail bénévole pour publier cette étude sur les conditions d’accès aux Réseaux d’Initiatives Publiques (RIP) déployés en France.

 

Cet outil est destiné aux FAI associatifs de la FFDN mais également aux autres opérateurs de taille similaire. Deux étapes ont été nécessaires à sa réalisation : d’abord collecter les informations comme les contrats et les catalogues de services puis analyser et présenter les informations obtenues. Cette démarche a pour objectifs de montrer la difficulté des FAI associatifs à opérer sur certains réseaux mais aussi qu’il est possible de créer des conditions leur permettant d’opérer puisque certains RIP les réunissent.

 

Afin de visualiser plus facilement les informations recueillies auprès de chaque délégataire de services publics, la FFDN a mis en place un système de notation. Chaque offre de service d’un RIP a donc été évaluée avec la même méthodologie contenant des critères objectifs comme la durée d’amortissement des investissements, le nombre d’abonnés minimum et le prix pour l’utilisateur final. Les conditions proposées par chaque RIP ont été ensuite synthétisées par l’attribution d’une note. De A à D, pour les réseaux sur lesquels il serait possible d’opérer. Et Z pour les réseaux où aucune offre activée n’est proposée au catalogue ou un autre point tout aussi bloquant.

 

Sur la carte ci-dessous, tiré du baromètre FTTH, nous pouvons constater que plus d’un tiers des départements français ont obtenus la note Z. Ce qui signifie qu’aucune offre proposée n’est adaptée aux besoins des FAI associatifs.

 

 

 

 

 Lire l'article

 

Source : Fédération FDN

 

 

 

 

 

 

FaLang translation system by Faboba