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RDV en ligne pour le RUG #26

Le mercredi, 01 décembre 2021. Posté dans News Rezopole

RDV en ligne pour le RUG #26

Rendez-vous le vendredi 17 décembre, à partir de 9h30, en visioconférence pour le RUG #26.

 

Au programme :

  • Les nouveaux services France-IX étendus sur la région Auvergne-Rhône-Alpes
  • La fusion en interne : fusion des Systèmes d'Information
  • Évolution de l'infrastructure Auvergne-Rhône-Alpes en 2022

 

Informations utiles

  • Horaire de 9h30 à 12h00
  • Confirmez votre participation avant le 15 décembre
  • Le lien de la visioconférence vous sera envoyé quelques jours avant l'événement

 

 

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L’Internet des champs et l’Internet des villes

Le vendredi, 17 septembre 2021. Posté dans News Rezopole

L’Internet des champs et l’Internet des villes

Force est de constater que les zones blanches ne se limitent pas aux déserts ruraux. Elles concernent également des zones touristiques très fréquentées l’été par les cyclistes, les randonneurs et les dépités du littoral.

Dans le Luberon, si la fibre optique est bien arrivée à l’Isle sur la Sorgue ou à Maubec, l’ADSL est particulièrement anémique à Gordes, et la 4G presque aux abonnés absents. Les différents acteurs locaux subissent un désinvestissement des principaux opérateurs et des pouvoirs publics. Ces derniers peinent à imposer un service minimum pour des services désormais essentiels à l’heure de la dématérialisation des démarches administratives.

 

Si le numérique est aujourd’hui sur toutes les lèvres, une fois sorti des agglomérations, c’est la misère digitale avec une France à deux vitesses.

L’ancien défenseur des droits, Jacques Toubon, indiquait dans un rapport publié le 16 janvier 2020, que « dans les communes de moins de 1 000 habitants, plus d’un tiers des habitants n’ont pas accès à un Internet de qualité, ce qui représente près de 75 % des communes de France et 15 % de la population ». Heureusement des fournisseurs d’accès Internet alternatifs ou des sociétés  d’aménagement numérique viennent en aide aux communes rurales. Ils montent ainsi des réseaux radio artisanaux accessibles aux particuliers comme aux petites entreprises. Des initiatives locales essentielles puisque le plan France Très Haut Débit, lancé en 2013, et le New Deal Mobile, initié en 2018, peinent à éradiquer la fracture numérique et assurer une égalité d’accès à Internet à tous les Français.

 

 

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Source : Le Monde Informatique

 

 

 

 

Le dernier rapport d’activité Rezopole

Le mercredi, 07 juillet 2021. Posté dans Archives Rezopole

Le dernier rapport d’activité Rezopole

« Comme vous le savez tous, 2020 aura été une année charnière puisque nous avons validé la fusion de Rezopole avec France-IX, et que nous sommes désormais France-IX Lyon.

 

Ce choix a été mûrement réfléchi tout au long de l’année 2020, avec vous nos membres, l’équipe de Rezopole et le Conseil d’Administration.

 

Ce choix va nous permettre de poursuivre et développer notre savoir-faire autour du réseau Internet, en région Auvergne-Rhône-Alpes et sur tout le territoire français.

 

Je souhaite remercier dans ce dernier “Bilan annuel” tous ceux qui ont cru dans le projet Rezopole et nous ont soutenu malgré les difficultés :

  • Merci aux fondateurs de Rezopole, tous pionniers et passionnés de l’Internet !
  • Merci aux membres du bureau (bénévoles) qui ont passé de nombreuses soirées toutes ces années pour nous aider à grandir,
  • Merci à l’équipe de Lyon, qui a fait fonctionner Rezopole au quotidien et en 24/7,
  • Merci aux collectivités publiques pour leur soutien financier indispensable,
  • Et merci à vous tous, nos membres, pour qui nous avons créé Rezopole afin de développer la filière.

 

À bientôt lors d’un prochain événement. »

 

Philippe Duby,

Ancien Président Rezopole

Vice-Président France-IX

 

 

 

 

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Comment Orange va maintenir la qualité du réseau cuivre

Le vendredi, 28 mai 2021. Posté dans Archives Rezopole

Comment Orange va maintenir la qualité du réseau cuivre

Après de longues négociations, le gouvernement et Orange viennent de s’entendre sur un plan d’action pour améliorer la qualité de service du réseau cuivre. En effet, même si le déploiement de la fibre optique progresse rapidement, il ne faut pas négliger les 22 millions de Français disposant encore d’une ligne active reposant sur ce réseau.

 

Le plan prévoit ainsi d’engager 10 millions d’euros supplémentaires pour 17 territoires prioritaires ainsi que pourvoir 123 nouveaux postes dans les départements en tension et augmenter de 30 % les effectifs nationaux d’intervention en cas de crise.

 

L’opérateur historique devra fournir une solution de secours en 24 heures maximum à partir du signalement de l’incident, sous réserve d’une couverture mobile. Si le réseau mobile n’est pas suffisant, c’est une connexion satellitaire qui sera mise à disposition depuis les mairies.

 

Pour une meilleure concertation entre Orange et les élus, des comités de concertation locaux vont être mis en place. Un comité de concertation national fera appel, en plus, à des représentants de la commission supérieure du numérique et des postes (CSNP), les représentants des associations de collectivités territoriales et les services de l’État.

 

Rappelons que le démantèlement total du réseau cuivre débutera en 2023 et s’étendra jusqu’en 2030, au fur et à mesure que la couverture du territoire en fibre optique progressera.

 

 

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Source : 01net

 

 

 

 

RDV en ligne pour le RUG #25

Le mercredi, 12 mai 2021. Posté dans Archives Rezopole

RDV en ligne pour le RUG #25

Venez échanger sur le thème de la supervision dans votre infrastructure lors du prochain RUG ! Rendez-vous le vendredi 04 juin, de 9h30 à 12h00, en visioconférence pour partager points de vue et retours d'expérience avec les équipes de France-IX (Lyon et Paris).

 

Au programme :

  • L'architecture France-IX présentée par Simon Muyal - Directeur Technique
  • Présentation des différents outils de monitoring mis en place sur France-IX Lyon
  • Les outils de mesure de SLA et le portail Tools : les outils de monitoring de France-IX
  • Discussion ouverte sur les perspectives dans les domaines monitoring et alerting

 

Informations utiles

  • Horaire de 9h30 à 12h00
  • Confirmez votre participation avant le 02 juin
  • Le lien de la visioconférence vous sera envoyé quelques jours avant l'événement

 

 

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Europe : 10 ans pour couvrir les zones habitées en 5G

Le vendredi, 12 mars 2021. Posté dans Archives Rezopole

Europe : 10 ans pour couvrir les zones habitées en 5G

La Commission européenne a dévoilé, le 9 mars dernier, sa vision « pour une transformation numérique réussie de l’Europe d’ici à 2030 ». Une série d’objectifs à remplir d’ici moins de dix ans, comme la disponibilité de tous les services publics clés sur le web ou encore la montée en compétence des individus.

La 5G constitue l’un de ces objectifs. L’ultra haut débit mobile arrive progressivement sur le Vieux Continent et Bruxelles souhaite que cette nouvelle technologie soit accessible en 2030 dans toutes les zones peuplées.

 

D’après la Commission européenne, 14 % des zones habitées sont couvertes en 5G en 2021. Un chiffre qui peut paraître élevé compte tenu du caractère très récent de cette norme. Mais la formulation choisie par l’exécutif européen exclut les aires inhabitées, ce qui de fait évacue du calcul de larges pans du continent. Neuf ans suffiraient donc à combler les 86 % restants.

 

Mais libre aux pays d’aller plus vite s’ils le souhaitent. En France, tout le réseau pourrait être en 5G d’ici 2030. C’est en tous cas la perspective que l’ex-président de l’Arcep, Sébastien Soriano, a tracée en 2019. Un premier palier devra avoir été franchi en 2025, avec deux tiers de la population couverte.

Le calendrier de la 5G contient plusieurs rendez-vous, selon les impératifs d’aménagement du territoire (couverture des principaux axes de transport et des régions plus rurales) et les circonstances de l’actualité (à l’image des Jeux olympiques d’été en 2024). Par ailleurs, le régulateur fournira d’autres licences aux opérateurs pour qu’ils exploitent des fréquences additionnelles.

 

 

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Source : Numerama

 

 

 

 

Raccordements fibre : un accord mais pas à l’unisson

Le vendredi, 05 mars 2021. Posté dans Archives Rezopole

Raccordements fibre : un accord mais pas à l’unisson

InfraNum vient d’annoncer « un accord majeur entre opérateurs pour améliorer la qualité des raccordements et garantir la pérennité des réseaux fibre en France ». La qualité des opérations de raccordement à la fibre optique étant en ce moment sous le feu des critiques, la fédération des industriels des infrastructures numériques s’efforce ainsi de rassurer. Un cadre a donc été mis en place et sera décliné dans de multiples accords entre fournisseurs d’accès et exploitants de réseaux… mais dont certains restent néanmoins à signer.

 

Depuis 18 mois, opérateurs d’infrastructure (OI) et opérateurs commerciaux (OC) travaillent ensemble à l’élaboration de ces nouveaux contrats Stoc (pour sous-traitance opérateur commercial). Le but étant d’améliorer un mode opératoire que tous tiennent absolument à conserver : le fournisseur d’accès à Internet (OC) réalise le raccordement de son abonné, en qualité de sous-traitant de l’exploitant du réseau (OI).

En effet, face à l’afflux de demande, ses défenseurs arguent qu’il s’agit du fonctionnement le plus efficace pour faire vite. Mais pas pour faire bien, rétorquent les détracteurs du mode Stoc dénonçant dégradations, échecs de raccordement ou coupures d’accès.

 

Le mode Stoc s’efforce donc de faire sa mue, « pour améliorer la qualité et la sécurité des interventions, les processus et la rapidité de raccordement, la formation des intervenants ». InfraNum annonce donc que les discussions entre exploitants de réseaux et FAI ont permis d’avancer sur trois axes :

  • « Améliorer la sécurité et la qualité des interventions », avec notamment la « réalisation d’audits communs et introduction de sanctions pouvant aller jusqu’à l’exclusion d’un sous-traitant en cas de manquement contractuel »
  • « Renforcer la transparence » grâce un système de suivi des interventions et un « contrôle par un système d’intelligence artificielle » du côté de l’exploitant du réseau
  • « Rééquilibrer les coûts de maintenance : entre les OI et les OC, une prise en charge collective des frais de remise en état du réseau, selon une clé de répartition approuvée par l'Arcep »

 

Si la fédération industrielle assure que « les premières signatures ont déjà eu lieu pour une généralisation rapide et une mise en place immédiate », elle concède toutefois que ce « nouveau cadre contractuel » n’est pas encore pleinement déployé.

Ainsi, les opérateurs de réseaux Axione et Altitude Infra ont signé « avec la majorité des OC » tandis que les choses sont « en bonne voie » du côté de TDF. En revanche, rien sur l’avancée des discussions du côté d’Orange et SFR, qui ont la particularité d’être à la fois opérateurs commerciaux et exploitants de réseaux, notamment en zone publique et en zone d’initiative privée.

 

Encore un peu de patience donc avant que ce nouvel accord majeur soit décliné à l’unisson sur tous les réseaux et entre tous les exploitants et les FAI. L’intérêt pour les parties prenantes étant qu’il « évite d’imposer une décision réglementaire ». L'Arcep menant actuellement une consultation sur le sujet…

 

 

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Source : DegroupTest

 

 

 

 

Réseaux mobiles : fracture territoriale toujours d’actualité

Le vendredi, 12 février 2021. Posté dans Archives Rezopole

Réseaux mobiles : fracture territoriale toujours d’actualité

Le bilan annuel de la qualité d’expérience des services proposés par les opérateurs mobiles en France métropolitaine vient d’être publié par le cabinet spécialisé Qosi. Ce document est destiné à rendre compte de l’expérience des utilisateurs sur les réseaux 2G, 3G et 4G commercialisés par les opérateurs au cours de l’année 2020.

 

Cette étude est basée sur les remontées de terrain de 42 000 contributeurs répartis dans 20 000 communes de France. Et les résultats rendent compte d’une disparité de plus en plus grande des situations, que l’on soit à la campagne ou à la ville. En 2020, 23 % des communes de métropole disposent de réseau 4G de faible qualité, avec une large majorité de débits inférieurs à 10 Mb/s. Pire encore, 3 % des communes sondées ne disposent pas d’un quelconque réseau data exploitable… autant de communes qui se trouvent à 95 % en zone rurale.

 

À noter tout de même que la qualité de service des réseaux mobiles ne cesse de s’améliorer, en ville comme à la campagne. Concernant les débits descendants par exemple, Orange a pris une longueur d’avance sur ses concurrents en 2020, avec le meilleur débit moyen au niveau national. L’opérateur historique est suivi par SFR, puis Bouygues et enfin Free.

Malgré une amélioration généralisée, celle-ci ne suffit toujours pas à creuser le fossé béant qui sépare désormais les connexions des ruraux et des urbains.

Prenons le cas d’Orange. Même en améliorant ses débits descendants de 10 Mb/s dans toutes les zones géographiques, cela reste insuffisant pour résorber l’écart entre la qualité de service observée en milieu rural et en milieu urbain. L’opérateur est ainsi celui avec la plus forte disparité de débits entre les différentes strates de la population.

À l’inverse, Free progresse de manière uniforme sur l’ensemble du territoire ce qui en fait l’opérateur proposant la qualité de service la plus homogène.

 

Même son de cloche pour les débits montants. Orange présente le meilleur débit moyen montant au niveau national. Mais la différence de traitement restera forte selon que les utilisateurs se trouvent en milieu urbain ou rural. Malgré cela, l’opérateur historique s’impose comme celui qui présente les meilleurs débits pour toutes les strates de population. Suit Bouygues Telecom, talonné par SFR puis Free.

 

Cette fracture territoriale se retrouve logiquement dans les résultats de la qualité de service proposée par les opérateurs sur la navigation web. Au niveau national, la proportion de pages affichées en moins de 10 secondes est de 92 % pour Orange, 89 % pour Bouygues Telecom et SFR et de 86 % pour Free. Et là encore, la zone rurale décroche de 5 à 10 points par rapport aux zones urbaines. De quoi pousser les opérateurs à redoubler d’efforts pour espérer enfin combler la fracture numérique en 2021.

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

Le Rezopole User Group #24 en visoconférence

Le jeudi, 03 décembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

Le Rezopole User Group #24 en visoconférence

Vous n’avez pas pu assister au RUG du 27 novembre dernier ? Pas d’inquiétude, l’équipe technique de Rezopole vous propose une session de rattrapage le vendredi 18 décembre.

 

Le programme reste le même :

  • les bonnes pratiques de filtrage IP au niveau des routeurs de bordure d’un réseau
  • l’implémentation et le maniement de RTBH dans le contexte d’un IXP
  • un retour d’expérience sur l’utilisation d’un outil d’optimisation BGP basé sur les relèves de performances

 

Informations utiles

  • Horaire de 9h30 à 12h00
  • Confirmez votre participation avant le 16 décembre
  • Le lien de la visioconférence sera envoyé quelques jours avant l'événement

 

 

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La France s’inquiète pour ses réseaux

Le vendredi, 27 novembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

La France s’inquiète pour ses réseaux

Depuis deux ou trois ans, l’accélération du déploiement de la fibre est franche mais le plus dur reste à faire : raccorder les zones les moins denses du territoire. Malgré les efforts du gouvernement – généralisation de la fibre à l’horizon 2025 en mobilisant près de 300 millions d’euros pour accompagner les derniers projets non encore financés – le compte n’y est pas. La raison : pour desservir l’habitat dispersé ou les entreprises isolées, le coût des raccordements dits longs est très élevé et pour certains, il risque même d’être rédhibitoire.

 

La réponse doit émerger d’ « une négociation avec les différentes collectivités sur le financement de leurs projets, avec des demandes importantes auxquelles, peut-être, on ne pourra pas répondre exactement » explique Cédric O. En effet, le secrétaire d’État souhaite « mettre en adéquation les besoins et les subventions pour atteindre l’objectif de 100 % fibre en 2025. Pour le cahier des charges, on verra après ».

 

Des raccordements non standard, il y en a aussi dans les zones moins denses d’initiative privée. La question de la disponibilité effective de la fibre se pose pour les foyers et entreprises isolés et/ou difficiles à desservir. C’est le cas en zone AMII où l’engagement d’Orange et SFR était de rendre 100 % des locaux raccordables à fin 2020. Dont 8 % sur demande car jugés plus complexes à desservir ou non prioritaires.

Si la crise sanitaire a fait glisser l’échéance de ces engagements, ils seront finalement atteints en 2021 selon Nicolas Guérin, secrétaire général de la Fédération française des Télécoms. Pour l'Arcep, il incombe à l’État de s’en assurer. Pour Sébastien Soriano, président de l’Autorité de régulation, « pas d’inquiétude » sur le respect des délais par SFR. Cependant, il estime qu’il y a « un point d’atterrissage à construire avec Orange ».

Un terrain d’entente pourrait être trouvé sur le lancement d’offres destinées aux locaux raccordables sur demande. Ce qui permettrait à un peu plus d’un million de foyers et entreprises « mis de côté » lors de la programmation initiale du déploiement, de bénéficier d’un raccordement sous six mois à compter de la commande d’un fournisseur d’accès. Nicolas Guérin, également secrétaire général d’Orange explique qu’après avoir fait du déploiement massif, l’opérateur historique est désormais en mesure de « passer à un déploiement plus qualitatif ».

 

Du côté de l'Arcep, où « des procédures sont en cours » pour jauger le respect des règles de complétude par les opérateurs, on attend de voir si ces offres permettent de répondre aux problèmes identifiés. Sébastien Soriano juge en tout cas souhaitable que ces offres de raccordable sur demande arrivent d’abord sur les zones programmées depuis plus de cinq ans – et parfois beaucoup plus – et où 100 % des locaux ne sont pas encore raccordables.

 

La question de la pérennité des réseaux FttH se pose également, concernant notamment le raccordement en mode Stoc. Les fournisseurs d’accès veulent brancher eux-mêmes leurs clients. Si les exploitants de réseaux ne sont pas contre, ils s’inquiètent des échecs de raccordement et des dégradations que ce fonctionnement entraîne. Les deux parties ne désespèrent pas de trouver de nouveaux accords avant la fin de l’année, afin de clarifier les responsabilités de chacun.

Le tout sous l’œil excédé des collectivités propriétaires des réseaux d’initiative publique. S’il n’est pas étonnant d’entendre des élus tonner contre le mode Stoc ; il l’est plus de voir un membre du gouvernement hausser le ton sur ce sujet très opérationnel. « Ce n’est pas possible », a ainsi martelé Cédric O. « Nous sommes en train de gâcher ce que nous sommes en train de réussir » en incitant fortement les intéressés à dénouer le problème :« Soit on sait le régler de manière intelligente entre gens de bonne volonté, soit l’État va devoir prendre des décisions plus compliquées, quitte à causer des désagréments dans le système ».

Les parties prenantes ne semblent donc plus avoir beaucoup de marge de manœuvre pour sauver le mode Stoc. Et pour y arriver, les fédérations représentatives – InfraNum pour les réseaux, la FTT pour les opérateurs – doivent se mettre autour de la table, plaident ainsi plusieurs acteurs de l’écosystème. C’est aussi l’avis de Benoît Loutrel, missionné par le secrétariat d’État au Numérique pour étudier la « sécurisation des déploiements et des conditions d’exploitations des réseaux FttH ». Sa tâche consistera à réexaminer le programme France THD. Le rapport qu’il rendra d’ici un an n’aura « pas vocation à mettre la pression sur tel ou tel acteur, plutôt à problématiser et trouver une méthode », prévient l’intéressé. Il proposera des pistes pour « transférer les retours d’apprentissage » entre territoires, pour « organiser le jeu entre puissance publique et industriels », et enfin « anticiper la résilience des réseaux ».

 

Sur ce dernier point, si l’enfouissement est un choix de bon sens aux Antilles, il n’est pas moins pertinent en métropole. Les risques climatiques pèsent aussi sur un déploiement aérien tout sauf marginal, fait valoir la Banque des Territoires. Dans le cadre de son plan de relance, elle prévoit ainsi d’allouer des moyens supplémentaires pour accompagner les collectivités dans leurs projets d’enfouissement, ou de sécurisation des accès aux sites majeurs des réseaux. À cette fin, un appel à projets sera lancé dès 2021.

 

 

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Source : Kulture Geek

 

 

 

 

5G : les opérateurs énervés après un refus des aéroports

Le vendredi, 27 novembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

5G : les opérateurs énervés après un refus des aéroports

S’appuyant sur un rapport américain d’octobre évoquant le cas de la bande des 3,7-3,9 GHz utilisée par la 5G, la Direction Générale de l’Aviation Civile (DGAC) redoute que les premières antennes 5G perturbent les systèmes de guidage à l’intérieur des avions. En effet, cela créerait un “risque majeur” pour les radioaltimètres des avions qui s’appuient également sur ces fréquences. Ce système étant le seul appareil à bord des avions à pouvoir mesurer leur distance par rapport au sol ou à d’autres obstacles. Philippe Barnola, sous-directeur à la DGAC, précise que « Des analyses techniques complémentaires sont en cours pour s’assurer de la compatibilité de ces stations 5G avec les besoins de l’aviation civile ».

Et cela dérange particulièrement les opérateurs qui expliquent avoir été informés du problème une fois les fréquences payées. Désormais, ils redoutent des retards dans le déploiement de la 5G.

Si au départ les opérateurs vont se concentrer sur les centres-ville, ils craignent cependant de ne pas pouvoir couvrir des zones plus ou moins larges autour des aéroports à l’avenir. Et cela pourrait concerner des villes dans certains cas comme celles autour des aéroports de Roissy ou d’Orly.

 

Les opérateurs ont donc décidé d’écrire au secrétaire d’État en charge du Numérique et des Communications électroniques. De son côté, SFR menace de ne pas payer la première tranche qu’il doit à l’État pour des fréquences. Tandis que Bouygues Telecom veut être indemnisé « à proportion de ces nouvelles contraintes ».

Au cabinet du secrétaire d’État, on se veut rassurant « En Allemagne tout se passe bien, il n’y a pas de raison que cela soit différent en France ». Les zones de protection autour des aéroports vont être adaptées pour la 5G, par exemple. Des travaux ont également été lancés au niveau européen.

Il en est de même du côté de l’Agence nationale des fréquences (ANFR). « Au final, il y aura un retard de quelques semaines, voire de quelques mois, sur un nombre limité d’antennes à proximité des aéroports […] Il n’y aura pas de zones d’exclusion durables. Les aéroports français ont la 2G, la 3G et la 4G. Ils auront aussi la 5G ».

 

 

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Source : Kulture Geek

 

 

 

 

Nice première ville couverte par la 5G

Le vendredi, 20 novembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

Nice première ville couverte par la 5G

C’est au micro de BFM Business que Grégory Rabuel, directeur général de SFR, a annoncé le lancement de la 5G à Nice à partir du 20 novembre au soir. Un peu plus de 50 % de la ville sera couverte par cette nouvelle génération de réseau mobile.

Si Montpellier, Bordeaux, Nantes, Marseille et le Grand Paris seront les prochaines villes couvertes en 5G par l’opérateur d’autres communes demandent un moratoire sur cette technologie.

 

SFR a également dévoilé ses offres commerciales à destination du grand public et des entreprises. De leurs côtés, Orange et Bouygues Telecom ont communiqué leurs offres grand public mais sans pour autant annoncer leur plan de couverture. Tandis que Free a évoqué un lancement dans "les prochaines semaines".

 

Si les opérateurs peuvent jouir de leurs fréquences 5G depuis le 18 novembre dernier, ils restent toutefois soumis à des procédures administratives liées aux autorisations techniques à déposer auprès de l’ANFR et aux demandes d’information des mairies.

Or plusieurs maires écologistes ou de gauche, comme à Lille ou Grenoble, ont déclaré être en faveur d’un moratoire jusqu’à la publication d’un rapport de l’Anses, prévue au printemps 2021.

Dans la capitale, le conseil de Paris a voté la création d’une conférence citoyenne sur la 5G, alors qu’une partie de l’opinion se dit méfiante sur les effets sanitaires et environnementaux des ondes électromagnétiques.

 

Même si la 5G promet d’offrir, à terme, un débit jusqu’à 10 fois plus rapide ; avant tout, les opérateurs comptent sur son lancement pour gérer l’augmentation du trafic et éviter la saturation de leurs réseaux mobiles.

 

 

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Source : Le Parisien

 

 

 

 

L'Arcep rabote les prix de gros de SFR sur la fibre optique

Le vendredi, 20 novembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

L'Arcep rabote les prix de gros de SFR sur la fibre optique

Après dix mois de procédure, l'Arcep a donné raison à Bouygues Telecom au sujet des prix de gros facturés par SFR FTTH aux autres opérateurs nationaux ou régionaux. Ces derniers se greffent sur le réseau de fibre optique de SFR dans les campagnes afin de pouvoir proposer cette technologie dans les zones où leurs propres réseaux sont moins développés.

 

L'Arcep avait été saisie en janvier dernier par l’opérateur de Martin Bouygues, après une hausse des prix côté SFR. En effet, pour accéder à un “paquet” de lignes de SFR, les opérateurs devaient payer 5,80 euros par ligne et par mois, contre 5,48 euros pour Orange. Les prix de la location à la ligne avaient eux augmenté pour atteindre 16,40 euros par mois et par ligne.

SFR FTTH a pu augmenter ses prix car, en matière de fibre optique, seuls les tarifs d’Orange sont régulés. De son côté, Bouygues Telecom exigeait deux choses : le retour aux tarifs en vigueur avant la hausse du 1er février 2020 et une baisse des prix de location à la ligne, avec une fourchette allant de 12,20 euros à 13,20 euros.

 

Le régulateur lui a donné raison sur ces deux sujets. SFR va donc devoir proposer à Bouygues Telecom un avenant au contrat pour rétablir les anciens tarifs dans un délai d’un mois. Concernant la location à la ligne, SFR est tenu de proposer un nouveau tarif à Bouygues ne devant pas dépasser 13,20 euros par mois et par ligne.

 

Un vrai revers pour SFR qui, fin 2018, avait vendu la moitié de son réseau de fibre optique dans les campagnes à trois fonds. Ces derniers avaient payé très cher pour cet actif, sans doute alléchés par la promesse de revenus locatifs élevés et de long terme.

Or deux ans plus tard, l’opérateur doit raboter ses prix. Et à cela s’ajoute le fait que Free a lui aussi saisi l'Arcep sur le même sujet.

 

 

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Source : Les Échos

 

 

 

 

96 % du territoire couvert en 4G

Le vendredi, 13 novembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

96 % du territoire couvert en 4G

L’Arcep fait le point sur la couverture mobile en 4G de la métropole. Le gendarme des Télécom estime que le territoire serait aujourd’hui couvert à 96 % par au moins un opérateur et à 76 % couvert par tous les opérateurs.

 

Dans le cadre du New Deal Mobile, « 2 066 zones ont été identifiées par les collectivités territoriales. […] À date, 462 nouveaux sites apportent des services de voix/SMS en “bonne couverture” grâce à la 3G et en très haut débit mobile (4G) sur des zones qui ont été identifiées et priorisées par les collectivités » rappelle l’autorité de régulation.

 

Les engagements/obligations des opérateurs sont également vérifiés par l'Arcep. Identifiés par un arrêté du 4 juillet 2018, 445 sites devaient être mis en œuvre avant le 9 octobre 2020. Bilan : « 403 des 445 sites ont été mis en service soit près de 91 %. […] Les causes des retards de mise en services des autres sites sont en cours d’analyse » par les services du régulateur.

 

« L’Arcep se félicite de la bonne avancée du New Deal mobile, grâce à la mobilisation des opérateurs, des acteurs locaux et des pouvoirs publics. L’Autorité veillera au plein respect par les opérateurs de l’ensemble des engagements pris » conclut Sébastien Soriano.

 

 

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Source : NextInpact

 

 

 

 

Les réseaux fibre vont passer au contrôle technique

Le vendredi, 13 novembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

Les réseaux fibre vont passer au contrôle technique

Pour s’assurer de la qualité du déploiement de la fibre, le gouvernement va lancer une mission de contrôle des déploiements FttH.

 

L’aspect le plus visible de la dégradation de l’état des réseaux de fibre optique se trouve dans certaines armoires de rue. Le modèle consistant à confier le raccordement des abonnés aux fournisseurs d’accès à Internet, dans une relation de sous-traitance aux exploitants des réseaux, est régulièrement montré du doigt pour expliquer ces déboires. Et les différents protagonistes peinent toujours à s’entendre pour mettre fin au désordre.

Certains observateurs pointent également le choix originel de déporter les points de mutualisation, au plus près des locaux d’habitation ou professionnels, au détriment d’une architecture plus centralisée et donc plus sécurisée.

 

Mais au-delà de l’état des armoires, la partie amont est également dans le viseur de cette grande opération de contrôle que compte lancer le gouvernement.

En effet, l’initiative s’appuie sur un faisceau d’alertes portant notamment sur le sous-dimensionnement de câbles de transport. À certains endroits, la quantité de route optiques disponibles serait insuffisante pour pouvoir desservir tous les utilisateurs.

Les fibres optiques d’importation posent également question, car elles ne semblent pas donner entière satisfaction.

La vulnérabilité des réseaux fibre aux aléas climatiques explique aussi ce regain de vigilance.

 

L’objectif énoncé dans la lettre de mission de cette opération de contrôle : « mieux sécuriser les déploiements et les conditions d’exploitation sur les réseaux d’initiative publique » (RIP). Et trouver des “remédiations” aux potentiels problèmes identifiés.

Les réseaux fibre déployés sur fonds propres par les opérateurs, dans les zones très denses ou dans les zones moins denses d’initiative privée (AMII notamment), seraient donc exclus du périmètre de cette mission de contrôle.

S’agira-t-il de laisser le soin aux opérateurs de s’assurer du bon fonctionnement de leur propre réseau, tandis que l’État ne le ferait que sur les RIP, là où des deniers publics ont été engagés ?

 

 

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Source : DegroupTest

 

 

 

 

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