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Fibre : Pression sur les opérateurs d’infrastructures

Le vendredi, 08 octobre 2021. Posté dans News Rezopole

Fibre : Pression sur les opérateurs d’infrastructures

Même si le déploiement de la fibre optique bat tous les records, les écueils à franchir pour garantir le très haut débit restent encore nombreux.

 

À commencer par la qualité de service, un sujet qui n’en finit pas de mobiliser les autorités. Les taux d’échec dans les raccordements finaux s’élèvent encore aujourd’hui à environ 17 %, contre 25 % quelques mois auparavant. S’il y a du mieux sur ce front et que les “plats de nouilles” dans les points de mutualisation et les points de branchements optiques ont tendance à diminuer, la situation ne va toutefois pas sans irriter Cédric O.

 

Interrogé, le secrétaire d’État au numérique n’a pas mâché ses mots à l’encontre des opérateurs d’infrastructure, chargés du déploiement de la fibre optique sur le territoire. « Si qualitativement, les choses semblent aller un peu mieux, nous ne sommes pas au bout de l’histoire », a-t-il estimé, avant de pointer à mots couverts la responsabilité d’Orange et XpFibre (ex-SFR FttH) dans ce dossier.

 

Les deux opérateurs n’ont toujours pas ratifié la nouvelle version du contrat de sous-traitance à l’opérateur commercial (STOC) contrairement à leurs concurrents – Altitude, Axione et TDF. Mise en place il y a quelques mois, la V2 de ce cadre contractuel doit remettre de l’ordre dans les relations entre les opérateurs d’immeubles, les opérateurs commerciaux et leurs sous-traitants.

 

Si le retard accumulé par XpFibre et Orange dans la signature du contrat STOC V2 devrait bientôt être résorbé, il reste encore du pain sur la planche aux opérateurs d’infrastructures pour palier aux défauts de raccordement final. Ce problème de la qualité des raccordements finaux ne date pas d’hier. Un groupe de travail constitué par l'Arcep sur le sujet faisait déjà état en 2019 de « taux de malfaçons importants dans la réalisation des opérations de raccordement final et de brassage au point de mutualisation ».

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

Fibre optique : la France va réussir son pari

Le vendredi, 08 octobre 2021. Posté dans News Rezopole

Fibre optique : la France va réussir son pari

« L’objectif sera tenu : apporter le Très haut débit à 100 % des Français fin 2022, dont 80 % en fibre – probablement plus » a affirmé Cédric O, le secrétaire d’État en charge du numérique.

 

Après une décennie de travaux et plus de 20 milliards d’euros investis, les chiffres lui donnent raison. En effet, deux tiers des foyers français étaient éligibles à la fibre optique au printemps dernier. Avec un rythme actuel de 15 000 nouveaux logements et entreprises voyant arriver la fibre à leur porte chaque jour, la barre des 80 % sera franchie dès le premier semestre 2022.

Pour les Français n’étant pas couverts, une solution alternative offrant des débits supérieurs à 100 Mb/s : le VDSL, câble ou, bientôt, satellite – grâce à la mise en service du très puissant Konnect VHTS d'Eutelsat.

 

Le pari est donc réussi neuf ans après le lancement du “Plan France très haut débit”. D’autant que les objectifs ont été rehaussés : l’estimation du nombre total de foyers en France est passée de 36 millions en 2013 à 41 millions en 2022, sans que la barre des 80 % soit abaissée. Et que les difficultés n’ont pas manqué : pénurie de matière première, de main-d'œuvre, arrêt des chantiers au début de la pandémie…

 

Reste à finir le travail car même dans les grandes villes, environ 10 % des foyers restent privés de fibre optique. Dans les villes moyennes, le compte n’y est pas non plus. Elles étaient censées être intégralement couvertes en fibre fin 2020. Six mois après l’échéance, seuls quatre foyers sur cinq étaient éligibles. Le gouvernement et l'Arcep se renvoient la balle sur une éventuelle sanction, mais un certain agacement est perceptible du côté des autorités. Quant aux campagnes, la fibre s’y déploie à une vitesse folle. Mais elles ne sont pas intégralement couvertes par les projets déjà lancés. Environ 2 millions de foyers sont encore dans les limbes. Ces lignes, les plus compliquées à construire et les moins rentables, nécessiteront de nouvelles subventions.

 

À travers le plan de relance, l’État a déjà mis 150 millions d’euros sur la table. L’industrie estime qu’il faudra au minimum deux à trois fois plus. Une mission d’évaluation devrait être rendue publique en fin d’année. On saura alors combien le prochain exécutif devra investir s’il veut apporter la fibre à 100 % des Français.

 

 

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Source : Les Echos

 

 

 

 

Nouveau câble transatlantique à Bordeaux

Le vendredi, 01 octobre 2021. Posté dans News Rezopole

Nouveau câble transatlantique à Bordeaux

L’un des principaux projets de câble transatlantique concernant l’Hexagone vient “d’atterrir” sur une plage à Porge, près de Bordeaux. Un projet initié par Facebook et construit par Alcatel Submarine Networks. Orange, partenaire pour la partie française, était responsable de l’opération. Celle-ci a nécessité un forage horizontal à 20 mètres sous la plage et la dune, afin de limiter l’impact sur l’environnement et notamment la forêt.

Baptisé “Amitié”, ce câble relie le Massachusetts aux États-Unis à Porge en France et Bude en Angleterre. Il mesure 6 800 km et embarque en tout 16 paires de fibre optique. Sa mise en service est prévue début 2022.

 

L’opérateur historique français bénéficiera de deux paires de fibres optiques sur ce câble et sera en charge de l’exploitation et de la maintenance de la “station d’atterrissement”. Orange fournira les liens terrestres au départ de cette station vers Bordeaux, puis Paris et Lyon, et enfin le reste de l’Europe. Il indique aussi que le câble permettra l’implantation de nouveaux data centers dans la région de Bordeaux.

 

Un autre câble transatlantique, “Dunant”, a récemment été mis en service en Vendée par Google. Le trafic entre l’Europe et l’Amérique du Nord doublant en moyenne tous les deux ans, il est nécessaire d’investir dans de nouvelles infrastructures pour absorber cette hausse. À eux deux, “Dunant” et “Amitié”, auront une capacité supérieure à celle de tous les câbles transatlantiques précédents.

 

 

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Source : L'Usine Digitale

 

 

 

 

Patrick Drahi se casse les dents sur Eutelsat

Le vendredi, 01 octobre 2021. Posté dans News Rezopole

Patrick Drahi se casse les dents sur Eutelsat

Reuters a indiqué que Patrick Drahi était en discussion avec Eutelsat, opérateur européen de satellites, au sujet d’un éventuel rachat. Un accord qui aurait vu l’un de ses véhicules d’investissement prendre le contrôle direct de l’entreprise coté à Paris. « Une offre pour Eutelsat qui a une valeur de marché de 2,3 milliards d’euros (1,96 milliard de dollars) et est soutenu par l’investisseur public Bpifrance avec une participation de 20 % » d’après Reuters. Celle-ci a été refusée par l’opérateur de satellite car jugée trop basse.

 

L’homme a récemment reçu l’approbation réglementaire pour privatiser le groupe de télécommunications Altice Europe après que ses actionnaires minoritaires aient approuvé son offre de rachat de la société. En juin, il avait pris une participation de 12,1 % dans l’opérateur de télécommunications britannique BT Group en utilisant le véhicule nouvellement créé Altice UK. Selon des sources anonymes, le milliardaire n’avait pas l’intention de fusionner Eutelsat avec ses actifs télécoms et médias et souhaiterait conserver la société française au sein d’une holding distincte.

 

De son côté, Eutelsat, opérateur historique – depuis 1977 – a récemment racheté près de 24 % de son rival britannique OneWeb pour 550 millions de dollars – le plus gros contrat depuis l’entrée en fonction du PDG Rodolphe Belmer en 2016.

 

 

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Source : Le Monde Informatique

 

 

 

 

Iliad veut racheter UPC Poland

Le vendredi, 24 septembre 2021. Posté dans News Rezopole

Iliad veut racheter UPC Poland

L’intégration de l’opérateur polonais Play étant terminée, la société de Xavier Niel lance le rachat du câblo-opérateur UPC Poland. Ce dernier est présenté comme « l’un des principaux fournisseurs d’accès à Internet de Pologne avec 3,7 millions de foyers couverts en Fibre et 1,5 million d’abonnés ».

 

Une transaction estimée à 7,0 milliards de zlotys, ce qui représente 1,53 milliard d’euros. « La transaction sera financée en dette et trésorerie disponible au niveau de Play ». La finalisation est attendue pour le 1er semestre 2022, après approbation des autorités compétentes. UPC Poland sera alors une filiale de Play.

 

 

 

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Source : NextInpact

 

 

 

 

Altice signe un accord pour l’acquisition de Coriolis

Le vendredi, 24 septembre 2021. Posté dans News Rezopole

Altice signe un accord pour l’acquisition de Coriolis

La maison-mère de SFR, Altice France, a annoncé le 20 septembre dernier avoir conclu un accord pour acquérir 100 % de Coriolis Télécom. Une transaction de 415 millions d’euros : un prix d’achat initial de 298 millions d’euros puis un versement différé de 117 millions d’euros. Celle-ci devra être approuvée par les autorités compétentes, et devrait être finalisée durant le premier semestre 2022.

 

Créé il y a plus de 30 ans, Coriolis Télécom est un opérateur indépendant français. Il dispose d’un parc de plus de 500 000 clients et 30 000 entreprises sur le fixe et le mobile dans l’Hexagone.

Ce rachat permettra donc à SFR de profiter de l’expertise, des partenariats et des réseaux de distribution de Coriolis pour compléter ses offres.

 

Le groupe de Patrick Drahi n’en est pas à son coup d’essai dans les rachats. En effet, il a déjà fait l’acquisition de Réglo Mobile en mai dernier. L’opérateur mobile virtuel, qui appartenait à Leclerc, a ainsi permis à Altice de renforcer son parc client de 770 000 abonnés.

Grâce à ces deux acquisitions, le nombre total d’abonnés grand public augmente d’un peu plus de 1,2 million de clients.

 

Le mouvement de concentration dans les télécoms continue. Si SFR signe l’acquisition de deux autres opérateurs virtuels, Bouygues Telecom a également acquis Euro Information Telecom (NRJ Mobile, CIC Mobile, Auchan Telecom…).

 

 

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Source : alloforfait

 

 

 

 

L’Internet des champs et l’Internet des villes

Le vendredi, 17 septembre 2021. Posté dans News Rezopole

L’Internet des champs et l’Internet des villes

Force est de constater que les zones blanches ne se limitent pas aux déserts ruraux. Elles concernent également des zones touristiques très fréquentées l’été par les cyclistes, les randonneurs et les dépités du littoral.

Dans le Luberon, si la fibre optique est bien arrivée à l’Isle sur la Sorgue ou à Maubec, l’ADSL est particulièrement anémique à Gordes, et la 4G presque aux abonnés absents. Les différents acteurs locaux subissent un désinvestissement des principaux opérateurs et des pouvoirs publics. Ces derniers peinent à imposer un service minimum pour des services désormais essentiels à l’heure de la dématérialisation des démarches administratives.

 

Si le numérique est aujourd’hui sur toutes les lèvres, une fois sorti des agglomérations, c’est la misère digitale avec une France à deux vitesses.

L’ancien défenseur des droits, Jacques Toubon, indiquait dans un rapport publié le 16 janvier 2020, que « dans les communes de moins de 1 000 habitants, plus d’un tiers des habitants n’ont pas accès à un Internet de qualité, ce qui représente près de 75 % des communes de France et 15 % de la population ». Heureusement des fournisseurs d’accès Internet alternatifs ou des sociétés  d’aménagement numérique viennent en aide aux communes rurales. Ils montent ainsi des réseaux radio artisanaux accessibles aux particuliers comme aux petites entreprises. Des initiatives locales essentielles puisque le plan France Très Haut Débit, lancé en 2013, et le New Deal Mobile, initié en 2018, peinent à éradiquer la fracture numérique et assurer une égalité d’accès à Internet à tous les Français.

 

 

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Source : Le Monde Informatique

 

 

 

 

Le trafic vers les FAI a augmenté de 50 % en un an

Le vendredi, 09 juillet 2021. Posté dans Archives Rezopole

Le trafic vers les FAI a augmenté de 50 % en un an

Afin d’accélérer le développement de la 5G, et en particulier dans le monde industriel, l’État vise 1,7 milliard d’euros d’investissements publics et privés jusqu’en 2025. L’exécutif « va mobiliser 480 millions d’euros de financement public pour soutenir des projets prioritaires d’ici 2022, et vise jusqu’à 735 millions de financements publics d’ici 2025 pour mobiliser, par effet de levier, jusqu’à 1,7 milliard d’investissements d’ici 2025 », a indiqué Agnès Pannier-Runacher, ministre déléguée à l’Industrie, le 6 juillet dernier lors d’une conférence de presse.

 

Le problème pour le gouvernement aujourd’hui n’est pas de déployer des infrastructures de la 5G mais d’accélérer le développement de cas d’usage de celle-ci. L’État a ainsi déjà sélectionné en septembre 2020, 18 projets qui recevront 83 millions d’euros d’argent public, pour un total d’investissement de 260 millions d’euros.

Trois autres projets ont été annoncés et recevront 10 millions d’argent public : un projet de communication machine à machine (mMTC) porté par la société d’ingénierie et de conseil Médiane Système, une carte d’accélération de réseau de la PME grenobloise Kalray, et une solution de contrôle de la ventilation et du chauffage des bâtiments d’une autre PME grenobloise, Adeunis.

 

Les fonds publics proviendront de France Relance, le plan pour soutenir l’économie après la crise de la Covid-19, et du 4ème programme pour les investissements d’avenir. Le gouvernement estime que cet effort de stimulation des applications de la 5G peut permettre de créer 20 000 nouveaux emplois d’ici 2025, et porter à 15 milliards d’euros le marché de la 5G en France à cette date.

 

 

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Source : FrenchWeb.fr

 

 

 

 

L’UE veut prolonger la suppression des frais d’itinérance

Le vendredi, 26 février 2021. Posté dans Archives Rezopole

L’UE veut prolonger la suppression des frais d’itinérance

Annoncée en juin 2015, après un accord noué entre les Parlements européens et le Conseil, la fin des frais d’itinérance s’est bien concrétisée deux ans plus tard. Si depuis tout le monde a pris goût à cette mesure qui évite les mauvaises surprises sur sa facture téléphonique lors de ses déplacements à l’étranger, celle-ci doit prendre fin en 2022.

 

La Commission européenne vient donc de proposer de prolonger de dix ans la suppression des frais de “roaming” entre les pays membres. L’objectif étant même d’aller encore plus loin : « Les consommateurs pourront bénéficier de la même qualité et de la même vitesse de connexion à leur réseau mobile à l’étranger que chez eux, lorsque des réseaux équivalents sont disponibles » précise l’institution dans un communiqué.

En effet, 33 % des Européens jugent que leur vitesse de connexion mobile est de moins bonne qualité lorsqu’ils sont à l’étranger. Les opérateurs du pays visité seraient donc tenus de fournir des performances équivalentes lorsque les consommateurs sont en itinérance.

 

Un sujet qui tient à cœur de l’UE depuis de nombreuses années. D’ailleurs, les consommateurs européens avaient déjà pu constater une baisse de 80 % depuis 2007 du prix des appels, des SMS et des transferts de données d’un pays à l’autre de l’Union.

 

Pour la suite, les négociations sont toujours en cours avec les opérateurs téléphoniques. Ces derniers tentent de mesurer l’impact des nouvelles mesures souhaitées par la Commission.

 

 

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Source : Presse Citron

 

 

 

 

Numérique plus vert : le gouvernement dévoile ses plans

Le vendredi, 26 février 2021. Posté dans Archives Rezopole

Numérique plus vert : le gouvernement dévoile ses plans

Le gouvernement vient d’annoncer une “feuille de route numérique et environnement” afin de réduire l’empreinte carbone du numérique en France. Avec plusieurs mesures, ce document est le fruit de la collaboration entre les cabinets de Cédric O, secrétaire d’État au numérique, et Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique. Un fonds d’aide doté d’une enveloppe de 300 millions d’euros est également prévu.

 

Parmi ces mesures, les opérateurs télécoms devront ainsi inciter les clients à rapporter leurs mobiles non utilisés. Le but étant de les injecter dans le circuit du reconditionnement ou les diriger vers celui du recyclage.

Si se tourner vers des appareils facilement réparables (grâce à l’indice de réparatibilité en place depuis le 1er janvier 2021) ou le reconditionné (auprès d’acteurs tels que Back Mark, ReCommerce ou PRS Solution), c’est mieux mais pas l’idéal non plus. Cédric O indique : « Nous avons confié une mission à l’Arcep afin qu’elle se penche sur le modèle des smartphones subventionnés par les opérateurs télécoms. Cela est peut-être un accélérateur du renouvellement des téléphones et donc problématique pour l’environnement. Nous voulons creuser ce sujet et objectiver l’impact de ces pratiques commerciales avant de prendre d’éventuelles décisions sur le sujet ».

Le secrétaire d’État au numérique réfléchit notamment à pousser davantage « la location des smartphones auprès des opérateurs, comme cela se fait dans d’autres pays ».

 

De son côté, le gendarme des télécoms s’est vu demander la création d’un “baromètre environnemental des acteurs du numérique”. Celui-ci se basera sur les données collectées auprès d’acteurs tels que les gestionnaires de centre de données, les fabricants de smartphones et les opérateurs télécoms.

L’Arcep devra également tenir compte de l’aspect environnemental lors de l’attribution des fréquences de la 5G. De ce fait, les critères d’attribution pourraient inclure la consommation énergétique des antennes-relais, au même titre que la couverture du territoire.

 

Sans oublier les géants du Net et plus particulièrement les plates-formes vidéo populaires telles que Neflix. Barbara Pompili explique : « Quel est l’intérêt de diffuser des vidéos en très haute qualité sur des écrans de smartphones de quelques centimètres ? Il faut éviter ces pratiques aberrantes comme, par exemple, la lecture automatique des vidéos, qui entraînent des dépenses d’énergie inutiles ».

 

Le gouvernement devra lui aussi montrer l’exemple en se tournant vers le reconditionné et en soutenant la filière. « L’État doit donner l’exemple. Nous souhaitons que 20 % des commandes publiques de téléphones ou de matériels informatiques concernent des appareils reconditionnés », annonce Barbara Pompili.

 

 

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Source : Univers Freebox

 

 

 

 

Fibre : fin d’année record pour Orange et Bouygues

Le vendredi, 19 février 2021. Posté dans Archives Rezopole

Fibre : fin d’année record pour Orange et Bouygues

Les résultats publiés par Orange et Bouygues Telecom confirment l’engouement des Français pour l’Internet à Très Haut Débit. Les deux opérateurs ont vu leur nombre d’abonnés FttH exploser au cours du 4e trimestre 2020 avec des gains de 9 % pour le premier et de 16 % pour le second.

 

La fin d’année 2020 n’a jamais été aussi fructueuse pour l’opérateur historique. Avec 388 000 clients fibre supplémentaires sur les trois derniers mois de l’année, Orange comptabilise 4,5 millions d’abonnés Internet en FttH. Ce qui lui permet aussi d’asseoir sa position de numéro un sur la fibre même si son dauphin, Free, n’a pas encore publié ses résultats.

L’acte 2 du confinement a achevé de convaincre bon nombre de Français de la nécessité de se doter d’une ligne Internet à très haut débit pour faire face à la répétition de ce type de situation. Dans ce contexte, la fibre Orange étant la plus disponible, avec 22,9 millions de locaux éligibles à la fin d’année, a sans surprise été fortement sollicitée.

 

Bouygues Telecom reste un cran derrière Orange, mais aussi Free, en nombre de locaux éligibles à ses offres FttH : 17,7 millions à fin 2020. C’est tout de même 6 millions de plus en un an, ce qui, conjugué à l’effet confinement et au fait qu’il parte de plus loin, n’est pas étranger à l’impressionnante progression affichée par l’opérateur.

En effet, la marque télécom du groupe Bouygues est passée de 1 million à 1,6 million de clients Internet en fibre optique en seulement un an. Soit un bond de 60 % auquel a largement contribué le 4e trimestre puisque 226 000 abonnés FttH sont venus grossir les rangs sur la période.

 

Au total, près de 40 % des 4,2 millions de foyers surfant chez Bouygues disposent de la fibre optique, soit un taux de pénétration similaire à celui d’Orange et Free. Avec un contexte si porteur pour la fibre, la marque d’Iliad devrait sans nul doute battre des records au 4e trimestre, et approcher le cap symbolique des 3 millions d’abonnés fibre. Réponse lors de son bilan 2020, prévu le mois prochain.

 

 

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Source : DegroupTest

 

 

 

 

Réseaux mobiles : fracture territoriale toujours d’actualité

Le vendredi, 12 février 2021. Posté dans Archives Rezopole

Réseaux mobiles : fracture territoriale toujours d’actualité

Le bilan annuel de la qualité d’expérience des services proposés par les opérateurs mobiles en France métropolitaine vient d’être publié par le cabinet spécialisé Qosi. Ce document est destiné à rendre compte de l’expérience des utilisateurs sur les réseaux 2G, 3G et 4G commercialisés par les opérateurs au cours de l’année 2020.

 

Cette étude est basée sur les remontées de terrain de 42 000 contributeurs répartis dans 20 000 communes de France. Et les résultats rendent compte d’une disparité de plus en plus grande des situations, que l’on soit à la campagne ou à la ville. En 2020, 23 % des communes de métropole disposent de réseau 4G de faible qualité, avec une large majorité de débits inférieurs à 10 Mb/s. Pire encore, 3 % des communes sondées ne disposent pas d’un quelconque réseau data exploitable… autant de communes qui se trouvent à 95 % en zone rurale.

 

À noter tout de même que la qualité de service des réseaux mobiles ne cesse de s’améliorer, en ville comme à la campagne. Concernant les débits descendants par exemple, Orange a pris une longueur d’avance sur ses concurrents en 2020, avec le meilleur débit moyen au niveau national. L’opérateur historique est suivi par SFR, puis Bouygues et enfin Free.

Malgré une amélioration généralisée, celle-ci ne suffit toujours pas à creuser le fossé béant qui sépare désormais les connexions des ruraux et des urbains.

Prenons le cas d’Orange. Même en améliorant ses débits descendants de 10 Mb/s dans toutes les zones géographiques, cela reste insuffisant pour résorber l’écart entre la qualité de service observée en milieu rural et en milieu urbain. L’opérateur est ainsi celui avec la plus forte disparité de débits entre les différentes strates de la population.

À l’inverse, Free progresse de manière uniforme sur l’ensemble du territoire ce qui en fait l’opérateur proposant la qualité de service la plus homogène.

 

Même son de cloche pour les débits montants. Orange présente le meilleur débit moyen montant au niveau national. Mais la différence de traitement restera forte selon que les utilisateurs se trouvent en milieu urbain ou rural. Malgré cela, l’opérateur historique s’impose comme celui qui présente les meilleurs débits pour toutes les strates de population. Suit Bouygues Telecom, talonné par SFR puis Free.

 

Cette fracture territoriale se retrouve logiquement dans les résultats de la qualité de service proposée par les opérateurs sur la navigation web. Au niveau national, la proportion de pages affichées en moins de 10 secondes est de 92 % pour Orange, 89 % pour Bouygues Telecom et SFR et de 86 % pour Free. Et là encore, la zone rurale décroche de 5 à 10 points par rapport aux zones urbaines. De quoi pousser les opérateurs à redoubler d’efforts pour espérer enfin combler la fracture numérique en 2021.

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

La France s’inquiète pour ses réseaux

Le vendredi, 27 novembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

La France s’inquiète pour ses réseaux

Depuis deux ou trois ans, l’accélération du déploiement de la fibre est franche mais le plus dur reste à faire : raccorder les zones les moins denses du territoire. Malgré les efforts du gouvernement – généralisation de la fibre à l’horizon 2025 en mobilisant près de 300 millions d’euros pour accompagner les derniers projets non encore financés – le compte n’y est pas. La raison : pour desservir l’habitat dispersé ou les entreprises isolées, le coût des raccordements dits longs est très élevé et pour certains, il risque même d’être rédhibitoire.

 

La réponse doit émerger d’ « une négociation avec les différentes collectivités sur le financement de leurs projets, avec des demandes importantes auxquelles, peut-être, on ne pourra pas répondre exactement » explique Cédric O. En effet, le secrétaire d’État souhaite « mettre en adéquation les besoins et les subventions pour atteindre l’objectif de 100 % fibre en 2025. Pour le cahier des charges, on verra après ».

 

Des raccordements non standard, il y en a aussi dans les zones moins denses d’initiative privée. La question de la disponibilité effective de la fibre se pose pour les foyers et entreprises isolés et/ou difficiles à desservir. C’est le cas en zone AMII où l’engagement d’Orange et SFR était de rendre 100 % des locaux raccordables à fin 2020. Dont 8 % sur demande car jugés plus complexes à desservir ou non prioritaires.

Si la crise sanitaire a fait glisser l’échéance de ces engagements, ils seront finalement atteints en 2021 selon Nicolas Guérin, secrétaire général de la Fédération française des Télécoms. Pour l'Arcep, il incombe à l’État de s’en assurer. Pour Sébastien Soriano, président de l’Autorité de régulation, « pas d’inquiétude » sur le respect des délais par SFR. Cependant, il estime qu’il y a « un point d’atterrissage à construire avec Orange ».

Un terrain d’entente pourrait être trouvé sur le lancement d’offres destinées aux locaux raccordables sur demande. Ce qui permettrait à un peu plus d’un million de foyers et entreprises « mis de côté » lors de la programmation initiale du déploiement, de bénéficier d’un raccordement sous six mois à compter de la commande d’un fournisseur d’accès. Nicolas Guérin, également secrétaire général d’Orange explique qu’après avoir fait du déploiement massif, l’opérateur historique est désormais en mesure de « passer à un déploiement plus qualitatif ».

 

Du côté de l'Arcep, où « des procédures sont en cours » pour jauger le respect des règles de complétude par les opérateurs, on attend de voir si ces offres permettent de répondre aux problèmes identifiés. Sébastien Soriano juge en tout cas souhaitable que ces offres de raccordable sur demande arrivent d’abord sur les zones programmées depuis plus de cinq ans – et parfois beaucoup plus – et où 100 % des locaux ne sont pas encore raccordables.

 

La question de la pérennité des réseaux FttH se pose également, concernant notamment le raccordement en mode Stoc. Les fournisseurs d’accès veulent brancher eux-mêmes leurs clients. Si les exploitants de réseaux ne sont pas contre, ils s’inquiètent des échecs de raccordement et des dégradations que ce fonctionnement entraîne. Les deux parties ne désespèrent pas de trouver de nouveaux accords avant la fin de l’année, afin de clarifier les responsabilités de chacun.

Le tout sous l’œil excédé des collectivités propriétaires des réseaux d’initiative publique. S’il n’est pas étonnant d’entendre des élus tonner contre le mode Stoc ; il l’est plus de voir un membre du gouvernement hausser le ton sur ce sujet très opérationnel. « Ce n’est pas possible », a ainsi martelé Cédric O. « Nous sommes en train de gâcher ce que nous sommes en train de réussir » en incitant fortement les intéressés à dénouer le problème :« Soit on sait le régler de manière intelligente entre gens de bonne volonté, soit l’État va devoir prendre des décisions plus compliquées, quitte à causer des désagréments dans le système ».

Les parties prenantes ne semblent donc plus avoir beaucoup de marge de manœuvre pour sauver le mode Stoc. Et pour y arriver, les fédérations représentatives – InfraNum pour les réseaux, la FTT pour les opérateurs – doivent se mettre autour de la table, plaident ainsi plusieurs acteurs de l’écosystème. C’est aussi l’avis de Benoît Loutrel, missionné par le secrétariat d’État au Numérique pour étudier la « sécurisation des déploiements et des conditions d’exploitations des réseaux FttH ». Sa tâche consistera à réexaminer le programme France THD. Le rapport qu’il rendra d’ici un an n’aura « pas vocation à mettre la pression sur tel ou tel acteur, plutôt à problématiser et trouver une méthode », prévient l’intéressé. Il proposera des pistes pour « transférer les retours d’apprentissage » entre territoires, pour « organiser le jeu entre puissance publique et industriels », et enfin « anticiper la résilience des réseaux ».

 

Sur ce dernier point, si l’enfouissement est un choix de bon sens aux Antilles, il n’est pas moins pertinent en métropole. Les risques climatiques pèsent aussi sur un déploiement aérien tout sauf marginal, fait valoir la Banque des Territoires. Dans le cadre de son plan de relance, elle prévoit ainsi d’allouer des moyens supplémentaires pour accompagner les collectivités dans leurs projets d’enfouissement, ou de sécurisation des accès aux sites majeurs des réseaux. À cette fin, un appel à projets sera lancé dès 2021.

 

 

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Source : Kulture Geek

 

 

 

 

5G : les opérateurs énervés après un refus des aéroports

Le vendredi, 27 novembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

5G : les opérateurs énervés après un refus des aéroports

S’appuyant sur un rapport américain d’octobre évoquant le cas de la bande des 3,7-3,9 GHz utilisée par la 5G, la Direction Générale de l’Aviation Civile (DGAC) redoute que les premières antennes 5G perturbent les systèmes de guidage à l’intérieur des avions. En effet, cela créerait un “risque majeur” pour les radioaltimètres des avions qui s’appuient également sur ces fréquences. Ce système étant le seul appareil à bord des avions à pouvoir mesurer leur distance par rapport au sol ou à d’autres obstacles. Philippe Barnola, sous-directeur à la DGAC, précise que « Des analyses techniques complémentaires sont en cours pour s’assurer de la compatibilité de ces stations 5G avec les besoins de l’aviation civile ».

Et cela dérange particulièrement les opérateurs qui expliquent avoir été informés du problème une fois les fréquences payées. Désormais, ils redoutent des retards dans le déploiement de la 5G.

Si au départ les opérateurs vont se concentrer sur les centres-ville, ils craignent cependant de ne pas pouvoir couvrir des zones plus ou moins larges autour des aéroports à l’avenir. Et cela pourrait concerner des villes dans certains cas comme celles autour des aéroports de Roissy ou d’Orly.

 

Les opérateurs ont donc décidé d’écrire au secrétaire d’État en charge du Numérique et des Communications électroniques. De son côté, SFR menace de ne pas payer la première tranche qu’il doit à l’État pour des fréquences. Tandis que Bouygues Telecom veut être indemnisé « à proportion de ces nouvelles contraintes ».

Au cabinet du secrétaire d’État, on se veut rassurant « En Allemagne tout se passe bien, il n’y a pas de raison que cela soit différent en France ». Les zones de protection autour des aéroports vont être adaptées pour la 5G, par exemple. Des travaux ont également été lancés au niveau européen.

Il en est de même du côté de l’Agence nationale des fréquences (ANFR). « Au final, il y aura un retard de quelques semaines, voire de quelques mois, sur un nombre limité d’antennes à proximité des aéroports […] Il n’y aura pas de zones d’exclusion durables. Les aéroports français ont la 2G, la 3G et la 4G. Ils auront aussi la 5G ».

 

 

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Source : Kulture Geek

 

 

 

 

Nice première ville couverte par la 5G

Le vendredi, 20 novembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

Nice première ville couverte par la 5G

C’est au micro de BFM Business que Grégory Rabuel, directeur général de SFR, a annoncé le lancement de la 5G à Nice à partir du 20 novembre au soir. Un peu plus de 50 % de la ville sera couverte par cette nouvelle génération de réseau mobile.

Si Montpellier, Bordeaux, Nantes, Marseille et le Grand Paris seront les prochaines villes couvertes en 5G par l’opérateur d’autres communes demandent un moratoire sur cette technologie.

 

SFR a également dévoilé ses offres commerciales à destination du grand public et des entreprises. De leurs côtés, Orange et Bouygues Telecom ont communiqué leurs offres grand public mais sans pour autant annoncer leur plan de couverture. Tandis que Free a évoqué un lancement dans "les prochaines semaines".

 

Si les opérateurs peuvent jouir de leurs fréquences 5G depuis le 18 novembre dernier, ils restent toutefois soumis à des procédures administratives liées aux autorisations techniques à déposer auprès de l’ANFR et aux demandes d’information des mairies.

Or plusieurs maires écologistes ou de gauche, comme à Lille ou Grenoble, ont déclaré être en faveur d’un moratoire jusqu’à la publication d’un rapport de l’Anses, prévue au printemps 2021.

Dans la capitale, le conseil de Paris a voté la création d’une conférence citoyenne sur la 5G, alors qu’une partie de l’opinion se dit méfiante sur les effets sanitaires et environnementaux des ondes électromagnétiques.

 

Même si la 5G promet d’offrir, à terme, un débit jusqu’à 10 fois plus rapide ; avant tout, les opérateurs comptent sur son lancement pour gérer l’augmentation du trafic et éviter la saturation de leurs réseaux mobiles.

 

 

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Source : Le Parisien

 

 

 

 

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