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Aperezo #63 : reporté

Le vendredi, 13 mars 2020. Posté dans Archives Rezopole

Aperezo #63 : reporté

En raison du trop grand nombre d’incertitudes liées à la pandémie du Coronavirus / COVID-19 et par mesure de prévention, Rezopole a pris la décision de reporter l'Aperezo du 18 mars prochain. La protection de toutes les parties prenantes restant notre priorité.

 

La date de report vous sera communiquée dès que possible.

Vous remerciant pour votre compréhension et en espérant vous retrouver très bientôt.

 

 

Le service Communication

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+33 4 27 46 00 53

 

 

 

 

Inscrivez-vous à l'IXPloration #25 !

Le mercredi, 26 février 2020. Posté dans Archives Rezopole

Inscrivez-vous à l'IXPloration #25 !

Rezopole a le plaisir de vous inviter le jeudi 19 mars à la prochaine IXPloration organisée dans ses locaux au 16 rue de la Thibaudière, 69007 Lyon.

 

Cet événement entièrement gratuit sera l'occasion pour vous de découvrir LyonIX, l'IXP / NAP de Lyon.

 

Ainsi seront détaillés lors de cette matinale :

- la partie IXP qui apporte une amélioration des échanges Internet entre les utilisateurs d’un territoire, une baisse des coûts Télécom, ainsi qu'une sécurisation et optimisation du réseau grâce aux routes multiples proposées.

- la partie NAP qui propose aux membres connectés un accès direct aux opérateurs présents et à leurs offres. On y achète ou vend tout type de service Télécom avec une grande flexibilité.

 

Au programme

9h00 – 9h30 : Accueil autour d'un café

9h30 – 10h30 : Présentation de LyonIX :

                         - Avantages économiques et techniques

                         - Solutions de raccordement

                         - Questions et réponses

10h30 – 11h30 : Visite d'un Point de présence LyonIX

 

 

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Câbles sous-marins : Orange et Telxius s’associent

Le jeudi, 20 février 2020. Posté dans Archives Rezopole

Câbles sous-marins : Orange et Telxius s’associent

Le 18 février, Orange et Telxius, une filiale de l’opérateur historique espagnol Telefonica, ont annoncé leur association en vue de la mise en service d’un nouveau câble sous-marin transatlantique. Appartenant à Google, le câble ‘Dunant’ reliera courant 2020 la France aux États-Unis. Orange disposera de deux paires de fibre et Telxius d’une seule sur les douze que compte le câble.

 

Ils « offriront et exploiteront des services de colocalisation dans leurs stations d’atterrissement respectives », à Saint-Hilaire-de-Riez (côte ouest de la France) et à Virigina Beach (côte est des États-Unis), précisent les deux groupes dans un communiqué commun. Telxius fournira à Orange par une liaison de sa station d’atterrissement à Ashburn, en Virginie. En retour, Telxius bénéficiera des liaisons d’Orange vers Paris et les principales villes de l’Hexagone.

Avec cet accord Orange disposera de davantage de capacité entre l’Europe et les États-Unis. Il s’agit pour l’opérateur historique d’un impératif pour faire face à l’explosion du trafic de données entre le Vieux Continent et le pays de l’Oncle Sam. Pour le leader français des télécoms, Dunant constitue un investissement conséquent s’élevant à plusieurs dizaines de millions d’euros.

 

Dans le cadre de cette entreprise, Orange collabore aussi avec Google afin de lui fournir des liaisons en fibre optique terrestres en France. Ce qui permet au géant de Mountain View de connecter ses data centers des deux côtés de l’Atlantique. Ces dernières années, il a investi dans une dizaine de ces artères reposant au fond des mers, et si essentielles au bon fonctionnement d’Internet.

 

 

 

 

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Source : La Tribune

 

 

 

 

L’Auvergne couverte en très haut débit fin 2020

Le jeudi, 13 février 2020. Posté dans Archives Rezopole

L’Auvergne couverte en très haut débit fin 2020

Un nouveau contrat entre la Région, les 4 départements auvergnats et Orange, signé il y a 10 mois, prévoit une couverture haut débit de l’ensemble de l’Auvergne d’ici fin 2020. Tout laisse penser que cet objectif sera atteint tout comme celui de rendre éligible à la fibre 91 % de la population auvergnate d’ici fin 2022.

 

Afin de financer l’équipement des zones rurales, la Région Auvergne et les 4 départements avaient créé un Réseau d’Initiative Public (RIP). L’an passé, Laurent Wauquiez a renégocié la phase 3 du RIP, obtenant que l’opérateur national fasse « mieux (800 communes au lieu de 400), plus vite (2022 au lieu de 2025) et pour moins cher (137 millions économisés) ».

 

Un comité de suivi a ensuite été créé pour s’assurer qu’Orange respecte son engagement. Il s’est réuni le 7 février dernier pour la deuxième fois. Jérôme Barré, responsable des marchés de gros chez Orange, a ainsi déclaré sans détour « En 2019, on a fait le grand chelem ».

En chiffres : 50 % de prises raccordées supplémentaires en 2019 par rapport en 2018, 166 000 clients déjà raccordables, 48 000 clients raccordés, soit un taux de pénétration de 28 %.

 

Depuis juillet 2019, les foyers raccordés ont le choix avec un autre opérateur, Free. Jérôme Barré a également annoncé que l’ensemble de l’offre (avec SFR et Bouygues) sera accessible en 2021. Et ce sera une première pour un RIP.

Du côté des entreprises, Orange s’engage à « mettre de la fibre partout ». Une offre à 250 € leur est proposée, alors que les précédents tarifs étaient prohibitifs, a rappelé Laurent Wauquiez.

 

 

 

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Source : La Montagne

 

 

 

 

L’Aperezo 62 est complet !

Le vendredi, 17 janvier 2020. Posté dans Archives Rezopole

L’Aperezo 62 est complet !

Désolé pour les retardataires, mais nous clôturons aujourd’hui les inscriptions !

L’AOTA et Rezopole vous remercient pour l’intérêt que vous portez à cet événement.

 

Rendez-vous le mercredi 29 janvier à partir de 18h30

dans un lieu emblématique de la musique et du divertissement, le Hard Rock Café.

 

 

 

 

 

 

Inscrivez-vous à l'IXPloration #24 !

Le lundi, 13 janvier 2020. Posté dans Archives Rezopole

Inscrivez-vous à l'IXPloration #24 !

Rezopole a le plaisir de vous inviter le jeudi 30 janvier à la prochaine IXPloration organisée dans ses locaux au 16 rue de la Thibaudière, 69007 Lyon.

 

Cet événement entièrement gratuit sera l'occasion pour vous de découvrir LyonIX, l'IXP / NAP de Lyon.

 

Ainsi seront détaillés lors de cette matinale :

- la partie IXP qui apporte une amélioration des échanges Internet entre les utilisateurs d’un territoire, une baisse des coûts Télécom, ainsi qu'une sécurisation et optimisation du réseau grâce aux routes multiples proposées.

- la partie NAP qui propose aux membres connectés un accès direct aux opérateurs présents et à leurs offres. On y achète ou vend tout type de service Télécom avec une grande flexibilité.

 

Au programme

9h00 – 9h30 : Accueil autour d'un café

9h30 – 10h30 : Présentation de LyonIX :

                         - Avantages économiques et techniques

                         - Solutions de raccordement

                         - Questions et réponses

10h30 – 11h30 : Visite d'un Point de présence LyonIX

 

 

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Députés : dernier recours du Plan France THD

Le jeudi, 19 décembre 2019. Posté dans Archives Rezopole

Députés : dernier recours du Plan France THD

Réussite exceptionnelle concernant les déploiements FttH en zone d’initiative publique, le Plan France THD a été conçu pour équiper en fibre optique les logements dans les zones les plus fragiles (rurales, montagnardes et insulaires). Il unifie ainsi les conditions techniques de déploiement sur tout le territoire national.

 

Couvrir 100 % du territoire d’ici 2025 est une condition de la compétitivité de l’économie française au sein de l’Union européenne. Les gouvernements successifs ont soutenu une telle ambition en apportant une aide financière importante à parité avec les collectivités. Un équilibre aujourd’hui rompu…

En effet, la Conférence nationale des territoires de décembre 2017 a marqué le fléchissement du Plan France THD : la fermeture du guichet FSN, une aide publique de 3 à 5 milliards aux opérateurs privés dans le cadre du “New Deal Mobile”, la suppression de 100 millions d’€ de subventions aux collectivités…

 

L’annonce de la réouverture du guichet par le gouvernement le 15 octobre 2019 ne s’est accompagnée d’aucune projection budgétaire réaliste pour finaliser ce chantier essentiel d’infrastructure.

L’État persiste sur le chiffre de 140 millions d’€ alors que les besoins estimés sont 4 à 5 fois supérieurs. Les propositions du Sénat de compléter par 322 millions d’€ de crédits d’engagements ont été rejetées. Après l’échec de la Commission Mixte Paritaire, les députés sont donc le dernier recours des collectivités.

Les associations d’élus invitent ainsi les députés à être attentifs à l’article 38 – État B de la Mission économie proposé en seconde partie du texte et à s’opposer à tout amendement qui supprimerait cette disposition essentielle du projet de Loi de finances.

 

 

 

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Source : Avicca

 

 

 

 

Le RIPE NCC est à court d’adresses IPv4

Le jeudi, 28 novembre 2019. Posté dans Archives Rezopole

Le RIPE NCC est à court d’adresses IPv4

Le 25 novembre 2019 à 15h35, le RIPE NCC a effectué sa dernière allocation IPv4 /22. L’organisation est maintenant à court d’adresses IPv4. Une annonce sans surprise pour les opérateurs de réseaux : la communauté RIPE a depuis longtemps anticipé et planifié l’épuisement d’IPv4. En effet, le RIPE NCC a été en mesure de fournir des milliers de nouveaux réseaux avec des allocations /22 grâce à une gestion responsable de ces ressources par la collectivité.

 

Même s’il n’y a plus d’adresses IPv4, le RIPE NCC continuera à les récupérer. Celles-ci proviendront d’organisations ayant cessé leurs activités ou fermées, ou de réseaux renvoyant des adresses dont ils n’ont plus besoin. Ces adresses seront attribuées aux membres (LIR) en fonction de leur position sur une nouvelle liste d’attente qui est maintenant active. Seuls les LIR n’ayant jamais reçu d’allocation IPv4 du RIPE NCC peuvent demander des adresses sur la liste d’attente, et ils ne peuvent recevoir qu’une seule allocation /24. Cependant, ces petites quantités d’adresses récupérées ne se rapprocheront pas des millions d’adresses dont les réseaux ont besoin aujourd’hui.

 

Cet événement est une nouvelle étape sur la voie de l’épuisement global de l’espace d’adressage IPv4 restant. L’émergence d’un marché de transfert IPv4 et l’utilisation accrue du Carrier Grade Network Address Translation (CGNAT) au cours des dernières années, ne résout pas le problème sous-jacent : il n’y a pas assez d’adresses IPv4 pour tous.

Sans un déploiement IPv6 à grande échelle, il y a un risque de se diriger vers un avenir où la croissance de l’Internet sera inutilement limitée à cause d’une pénurie d’identificateurs de réseau uniques. Il reste encore beaucoup de chemin à parcourir, et le RIPE NCC appelle toutes les parties prenantes à jouer leur rôle pour soutenir le déploiement d’IPv6.

 

 

 

 

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Source : RIPE NCC

 

 

 

 

Inscrivez-vous à l'IXPloration #24 !

Le jeudi, 21 novembre 2019. Posté dans Archives Rezopole

Inscrivez-vous à l'IXPloration #24 !

Rezopole a le plaisir de vous inviter le jeudi 12 décembre à la prochaine IXPloration organisée dans ses locaux au 16 rue de la Thibaudière, 69007 Lyon.

 

Cet événement entièrement gratuit sera l'occasion pour vous de découvrir LyonIX, l'IXP / NAP de Lyon.

 

Ainsi seront détaillés lors de cette matinale :

- la partie IXP qui apporte une amélioration des échanges Internet entre les utilisateurs d’un territoire, une baisse des coûts Télécom, ainsi qu'une sécurisation et optimisation du réseau grâce aux routes multiples proposées.

- la partie NAP qui propose aux membres connectés un accès direct aux opérateurs présents et à leurs offres. On y achète ou vend tout type de service Télécom avec une grande flexibilité.

 

Au programme

9h00 – 9h30 : Accueil autour d'un café

9h30 – 10h30 : Présentation de LyonIX :

                         - Avantages économiques et techniques

                         - Solutions de raccordement

                         - Questions et réponses

10h30 – 11h30 : Visite d'un Point de présence LyonIX

 

 

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Dans la tuyauterie d’Internet

Le lundi, 18 novembre 2019. Posté dans Archives Rezopole

Dans la tuyauterie d’Internet

D’après Greenpeace, si Internet était un pays, il serait le troisième plus gros consommateur d’énergie de la planète derrière les États-Unis et la Chine. Car la toile a besoin d’infrastructures colossales pour fonctionner : câbles sous-marins, data centers et serveurs par millions.

 

Avant tout, Internet est une histoire de câbles interminables et de vastes bâtiments remplis de fibres et de serveurs. Du navire câblier déposant la fibre au fond des océans au data center hébergeant nos données, le Numérique offre une face visible et palpable mais trop souvent méconnue. Ce reportage de France Culture vous emmène à la découverte de ces briques essentielles sans lesquelles Internet n’existerait pas.

 

99 % des communications intercontinentales transitent par les câbles sous-marins. Le 1 % restant voyage par satellite, car cette technologie est bien plus coûteuse et bien plus lente en termes de débit. Mais pour installer ces immenses câbles, il faut des bateaux très spéciaux : des câbliers. Construits autour de grandes cuves stockant la fibre optique, ces navires sont plutôt rares. En effet, il n’en existe qu’une quarantaine dans le monde.

Colonne vertébrale de notre société connectée : le câble sous-marin est une technologie coûteuse et sophistiquée maîtrisée par peu d’acteurs dans le monde. Le marché est dominé par trois entreprises en 2019 : l’américain Subcom, le japonais Nec et le français Alcatel Submarine Network (ASN), propriété du finlandais Nokia depuis 2016. Mais pour investir dans le câble Internet sous-marin, comptez quelques dizaines de millions d’euros pour un petit câble régional et jusqu’à plusieurs centaines de millions d’euros pour une liaison transpacifique ou transatlantique. Dominée par les États au XIXe siècle lorsque la communication se faisait en morse, la pose des câbles était ensuite devenue l’affaire d’opérateurs télécoms nationaux mais les GAFAM ont pris la relève ces dernières années.

 

Autre brique essentielle d’Internet : les data centers. Ces vastes bâtiments hébergent des serveurs et des équipements informatiques nous permettant d’accéder à nos données. La géographie des data centers recouvre celle des capitales économiques : Londres, Francfort, Paris, Madrid, etc. Mais parfois, les hébergeurs agissent sur d’autres critères ; ainsi Marseille est devenue une des villes les plus importantes au monde en la matière.

« Depuis cinq ans, Marseille est devenue un des hubs principaux des échanges de contenu dans le monde. La ville est désormais le 10ᵉ nœud mondial de concentration de réseaux et d’échanges de données […] il y a un atout géographique grâce aux 14 câbles sous marins qui atterrissent ici et qui permettent d’acheminer de la donnée tout autour de la Méditerranée mais aussi au Moyen-Orient et en Asie » Fabrice Coquio, président d'Interxion France.

 

Pour acheminer toutes ces données jusqu’à nos ordinateurs et téléphones, Internet s’appuie aussi sur 600 points d’échange dans le monde, une vingtaine en France dont France IX.

« [...] France IX a été créé il y a une dizaine d’années pour structurer l’Internet français. Le but était que les grands opérateurs puissent échanger entre eux sur des “autoroutes” en évitant les congestions. Tous ces acteurs se connectent à nos infrastructures afin d’avoir le chemin le plus rapide » Franck Simon, président de France IX.

 

Face au monopole des géants de la Silicon Valley, le salut de l’Europe – et de la France – peut-il venir de tous ces acteurs ? « C’est vrai qu’on a de beaux restes. On a quand même eu une grande industrie des télécoms, une grande industrie des composants. À titre personnel et avec mon expérience de 25 ans dans le numérique, peut-être qu’on ferait mieux de repartir d’industries où nous sommes encore forts, avec de grandes traditions. Nous sommes bons en Internet des objets, en domotique, en design, etc. Si l’on veut riposter, il faut trouver des points hauts stratégiques, et ça ne consiste pas à faire un contre Google, un contre Facebook ou un contre Netflix… On peut le faire si on veut, mais il faudra probablement inventer notre chemin propre avec notre génie propre. Il faudra aussi créer un marché européen unifié pour le numérique et trouver de nouvelles stratégies de financement ; la BPI (Banque publique d’investissement) a un peu changé la donne mais ça n’est pas encore assez » Henri Verdier, ambassadeur pour le numérique.

 

 

 

 

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Source : France Culture

 

 

 

 

Le trafic Internet mondial en temps réel !

Le jeudi, 07 novembre 2019. Posté dans Archives Rezopole

Le trafic Internet mondial en temps réel !

Dans un trafic mondial en pleine expansion, Internet évolue sans cesse. Mais l’analyse de ces transferts de données dans leur globalité représente un réel défi pour les chercheurs alors qu’avec de telles informations ils pourraient aider à créer un réseau plus efficace, prévenir les pannes et améliorer les défenses contre les cyberattaques.

 

En s’appuyant sur un superordinateur, une équipe de chercheurs du Massachusetts Institute of Technology (MIT) est récemment parvenue à créer un outil d’analyse du trafic Internet mondial. Ils ont analysé, depuis 2015 au Japon et en Californie, près de 50 milliards de paquets de données collectés.

Pour ce faire, ils ont dans un premier temps été obligés de traiter ces données « hypercreuses » avec une technique appelée Dynamic Distributed Dimensional Data Mode (D4M). Puis, ils ont, dans un second temps, créé un réseau neuronal servant à analyser les données pour trouver des relations.

 

Les chercheurs ont assimilé les résultats à une mesure du bruit de fond de l’Internet. Ceci permettant de repérer les anomalies et d’obtenir des informations sur le partage de fichiers, des adresses IP malveillants et le spam, la distribution des attaques, ainsi que les embouteillages de données.

 

 

 

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Source : Futura Tech

 

 

 

 

Bouygues Telecom débarque en zone AMII

Le mercredi, 16 octobre 2019. Posté dans Archives Rezopole

Bouygues Telecom débarque en zone AMII

L’opérateur a lancé la commercialisation de ses abonnements Très Haut Débit, jusqu’à 1 Gb/s, dans de nombreuses villes. Pour ce faire, il s’est appuyé sur le réseau FttH que déploie SFR. Il s’agit de zones AMII, zones moyennement denses, où l’opérateur au carré rouge est seul à la manœuvre. Il y installe un réseau de fibre optique mutualisé, que les autres FAI pourront par la suite utiliser.

 

Plus de 50 villes dans une quinzaine de départements sont concernées au total par l’arrivée des offres de Bouygues Telecom. L’opérateur emboîte ainsi le pas à Free, qui a commencé à investir ces territoires depuis déjà plusieurs mois.

Absent jusqu’ici, Bouygues Telecom semble avoir lancé depuis fin septembre un vaste effort de commercialisation. Notamment en périphérie de grandes métropoles comme Calais, Cannes, Marignane, Nantes, Toulon, Toulouse et Orléans ainsi que dans plusieurs grandes communes d'Ile-de-France.

 

Dans ces régions, la concurrence va donc être quelque peu aiguisée puisqu’au début de l’année seules les offres de SFR, RED, Orange et Sosh étaient disponibles. Depuis quelques mois déjà Free monte en puissance, il n’est donc pas surprenant de voir Bouygues Telecom venir compléter le tableau. Cela afin de ne pas se laisser distancer sur ces territoires comptant des centaines de milliers de clients potentiels.

 

Parallèlement, Bouygues Telecom cravache pour reprendre du terrain dans les grandes métropoles. Début 2019, ses offres Internet très haut débit étaient encore absentes de nombreuses grandes villes situées en zone dite très dense (ZTD). Mais la situation s’améliore progressivement avec une arrivée de sa fibre à Cannes, Clermont-Ferrand, Grenoble, Poitiers, Rennes, Rouen, Saint-Etienne, Toulon ou encore certaines communes franciliennes comme très récemment Fontenay-sous-Bois.

 

 

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Source : Ariase

 

 

 

 

Épuisement des adresses IPv4 : désormais une réalité

Le jeudi, 10 octobre 2019. Posté dans Archives Rezopole

Épuisement des adresses IPv4 :  désormais une réalité

L’Arcep estimait encore, avant les vacances d’été, que le nombre d’adresses IPv4 publiques disponibles permettrait de tenir jusqu’en mars 2020. Mais depuis, les demandes d’allocation se multiplient et le stock restant fond comme neige au soleil. La date d’épuisement est désormais prévue… le 5 novembre 2019.

 

Passé cette date, le registre européen RIPE basculera dans un mode de strict rationnement. Les organisations souhaitant se fournir devront donc s’inscrire sur liste d’attente. Le cas échéant, ils recevront une petite plage de 256 adresses. Pour ceux détenant déjà des plages d’adresses, ils n’ont quasiment aucune chance de recevoir cette obole. « Nous allons privilégier les acteurs qui n’ont encore jamais bénéficié d’une allocation d’adresses IPv4 », prévient Marco Schmidt, responsable du développement des règles et de la politique interne au RIPE.

 

Ces adresses proviendront essentiellement d’entreprises en faillites. Les acteurs historiques ayant bénéficié d’une large allocation par le passé et n’ayant plus usage de certaines plages, peuvent évidemment les retourner au RIPE. Mais ce cas sera plutôt rare. « Les adresses IPv4 sont devenues des avoirs stratégiques. Presque personne ne voudra s’en séparer », estime Vincentus Grinius, PDG de Heficed.

Le nombre de transferts d’adresses IP ne devrait pas franchement s’envoler à l’avenir pour les mêmes raisons que vues ci-dessus. Cependant, le prix de l’adresse IPv4 pourrait fortement augmenter en même temps que l’offre se raréfie. On trouve actuellement une vingtaine d’offres au niveau global sur le site d’enchères auctions.ipv4.global. Le prix moyen d’achat a plus que doublé, passant de 9 à 21 dollars, en l’espace de trois ans.

 

Cette pénurie inspire d’ores et déjà les esprits fraudeurs qui sont à l’affût pour récupérer des stocks d’adresses IPv4. Ces dernières années, quelques centaines de cas ont déjà atterri sur les bureaux du RIPE.

Le RIPE a donc renforcé ses contrôles pour remédier à cette situation. Plus de 600 enquêtes, soit deux fois plus que l’année précédente, ont été réalisées en 2018. Les membres sont désormais priés de vérifier régulièrement que leurs données sont correctes et à jour.

 

Mais cela ne va toutefois pas résoudre le problème fondamental de la pénurie. Aujourd’hui, aucun acteur Télécom ne peut faire l’impasse sur l’IPv4. Même si l’IPv6 se développe, cette technologie ne connecte qu’environ un quart de la Toile. « L’Internet ne cessera pas de fonctionner, mais il cessera de grandir. Cette pénurie va surtout affecter les nouveaux entrants et les acteurs en croissance, car ce sont eux qui ont le plus besoin de nouvelles adresses IPv4 publiques. Soit ils arrivent à s’en procurer sur le marché secondaire, soit ils devront partager les adresses IPv4 entre plusieurs clients » explique Vivien Guéant, chargé de mission au sein de l’unité « Internet ouvert » de l’Arcep.

 

Une situation loin d’être neutre pour l’utilisateur final puisqu’elle influe sur la qualité de service. Effectivement, lorsqu’un opérateur récupère des adresses IPv4 depuis un acteur localisé dans un autre pays ou un autre continent, il peut arriver que cette information géographique ne soit pas mise à jour.

Le partage d’adresses a également des défauts puisqu’il permet de connecter plusieurs centaines voire milliers de clients sur une seule adresse IPv4. Et cela complexifie sensiblement la maintenance pour l’opérateur et rend difficiles, voire impossibles, certains usages « comme le peer-to-peer, l’accès à distance à des fichiers partagés sur un NAS, l’accès à des systèmes de contrôle de maison connectée, certains jeux en réseau », explique l’Arcep dans son « Suivi de l’épuisement des adresses IPv4 ».

La police pâtit également de ce partage forcé. Les enquêtes auront du mal à aboutir si les adresses sont de plus en plus partagées puisqu’elle s’appuie souvent sur une adresse IP pour trouver un délinquant numérique. Pour pallier cette situation, les forces de police européennes souhaiteraient que les opérateurs et FAI réduisent le nombre de clients partagés par adresse IPv4. En Belgique, par exemple, l’industrie des Télécoms a joué le jeu et l’instauration d’un code de bonne conduite a permis de limiter le ratio d’abonnés à 16/1.

 

La seule solution, à long terme, est la généralisation d’IPv6. « Les acteurs du secteur n’ont jamais vu beaucoup d’intérêt dans l’IPv6, car cette technologie n’avait pas d’effets immédiats : tous les sites Web et clients qui ont de l’IPv6 ont également de l’IPv4. IPv6 n’est utile que si tout le monde s’y met. Il faudra probablement garder l’IPv4 pendant encore longtemps. Certains pensent même que l’IPv4 ne s’arrêtera jamais », ajoute Vivien Guéant. À moins de faire comme la Biélorussie qui vient de déposer un décret présidentiel contraignant ces FAI à déployer l’IPv6 auprès de tous les utilisateurs d’ici le 1er janvier 2020. C’est à ce jour le seul pays à forcer le déploiement de l’IPv6 par une loi.

 

 

 

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Source : 01net

 

 

 

 

L'Arcep dévoile les projets 5G sur la bande 26 GHz

Le jeudi, 10 octobre 2019. Posté dans Archives Rezopole

L'Arcep dévoile les projets 5G sur la bande 26 GHz

Le 7 octobre dernier, l’Arcep a indiqué les premiers projets retenus pour utiliser la bande de fréquence 26 GHz. Appelée « bande millimétrique », cette bande représente selon le régulateur « un apport capacitif extrêmement localisé pour les réseaux mobiles très haut débit dans les zones très denses, essentiellement en zones urbaines ou suburbaines, dans des lieux spécifiques (ports, usines…) ou à l’intérieur des bâtiments ».

 

Le régulateur et le gouvernement avaient lancé un appel à projet, en janvier 2019, pour identifier les usages de la 5G dans cette bande de fréquence. Au total, 11 projets ont été validés par les autorités pour expérimenter la 5G sur la bande 26 GHz pendant 3 ans. Sébastien Soriano précise « l’enjeu fondamental c’est l’Internet des objets, un univers quasiment infini s’ouvre à nous ».

 

Des propositions hétérogènes :

  • le grand port maritime du Havre cherche à développer la ville portuaire de demain.
  • Bordeaux Métropole va se servir de la 5G pour gérer les lampadaires connectés et ainsi assurer la gestion intelligente de l’énergie au sein des communes concernées.
  • dans l’optique des jeux Olympiques de 2024, le vélodrome national de Saint-Quentin en Yvelines va pouvoir tester la 5G à destination des médias.
  • la SNCF va pouvoir observer les bienfaits de la 5G dans la gare de Rennes avec différents cas d’usage touchant aussi bien les usagers que les agents SNCF.

 

 

 

 

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Source : Le Monde Informatique

 

 

 

 

Le Wi-Fi 6 cherche à s’imposer face à la 5G

Le lundi, 07 octobre 2019. Posté dans Archives Rezopole

Le Wi-Fi 6 cherche à s’imposer face à la 5G

Lancé le 16 septembre dernier, le Wi-Fi 6 va se généraliser dans les Télécoms. En effet, selon la Wi-Fi Alliance, plus de 1,6 milliard d’appareils le proposeront d’ici la fin 2020. « C’est la première fois, dans l’histoire du Wi-Fi, que l’on va avoir autant d’avancées. L’impact du Wi-Fi passe souvent inaperçu. Pourtant, même le commerce international en dépend ! Le Wi-Fi 6 est là, c’est une réalité, les entreprises livrent leurs produits » s’enthousiasme le vice-président marketing de Wifi-Alliance, Kevin Robinson.

 

Le prochain standard de téléphonie mobile, la 5G, est prévu pour 2020 en France. Les opérateurs Télécoms vont devoir dans un premier temps acheter les précieuses licences cet automne. Utilisant en revanche des fréquences gratuites, le Wi-Fi 6 a pu arriver dès cet été dans l’Hexagone.

Cette version 6 a de nombreux avantages. Il permet de connecter des dizaines d’appareils simultanément. « Aujourd’hui, dans une famille moyenne de quatre personnes, il y a au moins quatre téléphones sur un même Wi-Fi, sans parler des smartphones professionnels, des tablettes, un ou plusieurs PC, une télévision connectée… On constate que le nombre d’appareils par foyer augmente plus vite que le débit consommé » explique Christian Gacon, directeur des réseaux fixes chez Orange Labs.

Mais la 5G ne devrait pas soulager le problème. La 5G utilise des bandes de fréquences hautes, par rapport à la 4G, permettant certes de diffuser plus loin mais pénétrant moins bien à l’intérieur des bâtiments. C’est pour cette raison que la 5G sera surtout utilisée à l’extérieur et le Wi-Fi 6 à l’intérieur. « Ce sont deux technologies complémentaires. Par exemple, le Wi-Fi 6 ne va pas permettre le développement des voitures autonomes ! » reprend Kevin Robinson. Dans le monde industriel, la 5G sera donc incontournable pour les usages exigeant un temps de latence très faible et de la longue portée. Le Wi-Fi 6, quant à lui, convient davantage à des usages de courte portée.

 

Mais d’autres sont plus mesurés. « Le Wi-Fi 5 est déjà très puissant et soutiendra les dix ans à venir. Le Wi-Fi 6, c’est pour les vingt ans prochains. Il apporte une amélioration… De mon point de vue, la vraie rupture est venue avec le Wi-Fi 5 » tempère Marc Taieb, président-fondateur de Wifirst.

 

 

 

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Source : Les Echos

 

 

 

 

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