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Jaguar Network lance la construction d’un 3ᵉ DC à Lyon

Le vendredi, 06 novembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

Jaguar Network lance la construction d’un 3ᵉ DC à Lyon

Après avoir racheté DCforData et son datacenter à Limonest en 2018, Jaguar Network inaugure son deuxième datacenter baptisé “Rock” un an plus tard dans le 8ᵉ arrondissement de Lyon. L’opérateur et hébergeur, filiale B2B du Groupe Iliad, lance aujourd’hui la construction d’un troisième site.

 

Une construction permettant de répondre à la demande exponentielle d’hébergement de données en région Auvergne-Rhône-Alpes et ainsi préserver cette souveraineté en proximité immédiate. L’objectif étant de proposer immédiatement de nouveaux services complémentaires pour des secteurs précurseurs comme l’industrie 4.0 et la e-Santé.

 

Les architectures d’hébergement désormais réparties sur trois sites actifs permettront d’adresser des demandes en provenance de toute la métropole lyonnaise et de sa région tout en garantissant la diversification et la sécurité de l’alimentation électrique.

Interconnecté aux opérateurs internationaux de premier rang ainsi qu’aux opérateurs nationaux et régionaux, ce nouveau de nœud de communication à très haut débit permettra d’accompagner les nouveaux usages et la transformation de la ville en optimisant la connectivité.

Spécialisé dans la smartcity et les enjeux de l’IA et du big data, ce nouveau datacenter, aura pour vocation de créer de nouveaux partenariats avec l’écosystème et d’ouvrir de nouvelles opportunités pour un bassin d’emplois en pleine mutation.

 

Une annonce confirmant l’investissement du Groupe Iliad dans la fibre optique pusiqu’il vise à raccorder 100 % des entreprises de la région AuRA d’ici 2024.

Et c’est l’affirmation pour Jaguar Network de son installation au sein de la deuxième région économique française en lien avec son marché historique des PME, ETI et grands comptes. Ceci préfigurant l’arrivée prochaine du Groupe Iliad dans le marché de l’entreprise.

 

 

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Source : Datacenter Magazine

 

 

 

 

Transition numérique : développons les DC locaux

Le jeudi, 07 mai 2020. Posté dans Archives Rezopole

Transition numérique : développons les DC locaux

L’École urbaine de Lyon poursuit ses conférences intitulées "Les Mercredis de l’anthropocène". Thème de cette semaine : l’impact du numérique sur l’aménagement du territoire avec Cécile Diguet, urbaniste, directrice du département Urbanisme Aménagement et Territoires de l’Institut Paris Région et Jean-Vincent Bayarri, architecte des Systèmes d’Information à la Métropole de Lyon.

Partenaire, Rue89Lyon publie en podcast ces tribunes. Jean-Vincent Bayarri, a également rédigé le texte ci-dessous.

 

La ville intelligente repose sur des infrastructures numériques importantes, notamment les datacenters. Comment se déploient ces infrastructures sur le territoire ? Quels enjeux sont soulevés par leur intégration spatiale ? Contraintes ou opportunités pour une fabrique écologique de la ville ? Les acteurs du numérique sont-ils les nouveaux protagonistes du projet urbain ?

 

Au départ, le confinement…

Visioconférence, streaming, télétravail, e-commerce, jeu en ligne sont en cette période de confinement encore plus largement consommées qu’à l’accoutumée par les Français.

Dans la presse de nombreux articles explique en quoi la consommation induite sur les seuls “réseaux” peut être problématique, au risque de “ralentir” voir “paralyser” Internet.

 

“Les réseaux”

Avant tout, Internet est un ensemble de machines connectées entre elles c’est-à-dire de multiples routes, gérées par une multitude d’acteurs : opérateurs, structures publiques ou privées, associations, grandes entreprises. Le terme “réseau” est en réalité vague puisqu’il s’agit d’une multitude de réseaux interconnectés entre eux. À la fin de la chaîne, se trouve une infrastructure de serveurs qui doit répondre à la demande élevée observée dans cette période de confinement.

 

S’il est vrai que certains réseaux peuvent parfois être des ressources rares, notamment les réseaux mobiles, la plupart sont bien dimensionnés en France pour véhiculer le trafic.

Alors quand le site web d’une enseigne d’hypermarchés, croulant sous les requêtes de consommateurs confinés, affiche un message demandant de patienter est-ce la faute du “réseau” ? Certainement pas.

Le problème peut venir bien souvent du dernier maillon de la chaîne, le “serveur” portant la ressource et le contenu consommé. Comment savoir à quel moment et où aligner un nombre suffisant de ressources pour répondre à la demande ?

 

Les datacenters

Là est l’importance des datacenters puisqu’ils permettent justement d’affecter rapidement de multiples serveurs à des tâches bien spécifiques.

Et cette capacité s’applique aussi aux datacenters eux-mêmes ! À l’image d’Internet qui est maillé et décentralisé, la stratégie retenue par des sociétés comme Netflix est une très large répartition de datacenters : sur plusieurs continents, dans plusieurs villes, et même au plus près de l’utilisateur, en partie chez les FAI eux-mêmes. Une pratique également courante dans la plupart des entreprises que de répartir ses ressources dans plusieurs datacenters, pour des raisons de sécurité, de redondance et de haute disponibilité.

 

La proximité, un atout technique, économique et stratégique

Certaines villes ont un atout considérable : un GIX (Global Internet eXchange point) c’est-à-dire un point d’échange Internet sur place. À Lyon, il s’agit de LyonIX dont la gestion est assurée par Rezopole. Les entreprises ou administrations qui le souhaitent, peuvent se raccorder en local à ce GIX et échanger via Internet “en local”.

Ainsi à la Métropole de Lyon, une part très significative du trafic Internet est consommée par les services Google (Maps notamment). Google étant présent sur LyonIX, les accès sont non seulement instantanés (très faible latence) mais aussi gratuits. Le reste du trafic Internet est écoulé par les tuyaux (payants) d’un transitaire.

 

Au-delà des coûts purement télécoms, la logique de développement économique est claire : plus il y a d’infrastructures Internet présentes en local, plus les investisseurs sont attirés pour construire des datacenters locaux. Cela rime avec plus d’emplois, plus de valeur créée, et une facilitation de la transition numérique.

L’intérêt est aussi stratégique puisque mettre ses données dans le “cloud”, c’est les placer dans les datacenters de quelqu’un d’autre… Une offre variée et locale de datacenters permet donc de garder les données des entreprises sur le sol national, dans de meilleures conditions de sécurité (RGPD par exemple), ce qui représente une certaine souveraineté numérique.

 

Transition numérique, écologique ?

« Pour sauver la planète, n’imprimez ce message que si nécessaire ». Cette maxime pourrait presque résumer à elle seule l’enjeu de la transition numérique.

La visioconférence, le développement d’applications mobiles de guichet numérique, voilà quelques exemples d’applications très concrètes – permises par la présence de ces infrastructures, de ces réseaux, de ces datacenters dans la Ville – qui facilitent également la transition écologique.

 

Les datacenters travaillent eux-mêmes dessus avec la réduction du facteur d’efficience énergétique ou la réutilisation de la chaleur produite par le chauffage urbain du quartier environnant, voire un fonctionnement à 100 % sur des énergies renouvelables.

La révolution numérique a donné aux datacenters une importance désormais multiple (économique, sociale, écologique) dans la ville au même titre que d’autres structures essentielles. Un maillon central de l’aménagement du territoire et des transitions numérique et écologique, qui bien loin de s’opposer, sont parfaitement complémentaires.

 

 

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Source : Rue89Lyon

 

 

 

 

Canicule : pourquoi les DC français tiennent le coup

Le jeudi, 01 août 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX Archives LyonIX

Canicule : pourquoi les DC français tiennent le coup

Les épisodes de chaleur ne sont pas pris à la légère par les opérateurs de datacenters. En France, « nous sommes passés de 40 degrés à 46 degrés en quelques années. Nous avons rejoint les spécifications de l’Espagne » dit Marie Chabanon, directrice technique de DATA4 groupe.

 

Afin de contrer tout coup de chaud, la résistance des datacenters aux températures a augmenté « La grande crainte, c’est l’effet domino […] Si tout ou partie de l’infrastructure de froid a des problèmes, cela joue sur le reste de l’équipement. Et si le groupe froid s’arrête, c’est le pire qui puisse nous arriver avec la panne complète d’électricité » ajoute le Directeur Général d’Interxion, Fabrice Coquio. Un risque également lié à la qualité de la distribution électrique de RTE ou Enedis. « Nous devons anticiper un risque de perte électrique ou d’incident électrique » explique Marie Chabanon.

 

Mais les opérateurs de datacenters ont une botte secrète pour lutter contre cet effet domino. « Les systèmes électriques des datacenters sont construits pour être opérationnels a 100 % de la charge. Or ce n’est jamais le cas. La conséquence, c’est qu’en cas de sollicitation, comme un besoin de froid plus fort, nous avons de la puissance non allouée que nous pouvons utiliser » explique Fabien Gautier, d'Equinix. On appelle cela la redondance de capacité.

 

D’autant plus que la densification de puissance de calcul par unité d’espace ces dernières années, avec la démocratisation de la virtualisation, provoque plus de consommation et plus de chaleur. « Avec des baies de 14 ou 15 kvA on occasionne des points chauds, plus sensibles à des périodes de canicule » détaille Fabien Gautier. Le travail d’urbanisation de l’architecture IT déployée dans les salles est donc essentiel. « Notre travail c’est donc l’urbanisation des salles. Si elles ont été remplies à la volée, ça peut poser problème » ajoute-t-il.

Cela passe entre autres par de la répartition de charge. « Nos datacenters sont désignés avec des redondances et un taux de charge de 50 %. Les machines de backup seront utilisées pour assurer de la puissance complémentaire » en cas de canicule indique Marie Chabanon. Il faut néanmoins l’anticiper. « Nous devons nous assurer que les systèmes de backup sont prêts a être opérationnels, et ce par des actions de maintenance et de contrôle sur les équipements de sauvegarde ».

 

La protection des datacenters contre la chaleur passe aussi par la mise en place de systèmes curatifs. « Nous avons installé des systèmes de projection d’eau pour arroser les équipements de toit avec de l’eau pas trop froide » précise Fabrice Coquio.

Et pour parer à toute éventualité en début de soirée, le planning des techniciens présents sur le site a été modifié. Il est également nécessaire de prévenir les clients afin qu’ils fassent attention.

 

Les progrès récents en matière de résistance des matériels informatiques et de conception des datacenters permettent de revoir à la hausse les températures dans les salles de stockage des serveurs. « L’idée, c’est que plus le PUE (Power Usage Effectiveness) est bas plus il est performant. Il y a dix ans on faisait des datacenters où l’on arrivait difficilement à un PUE de 1,6. Aujourd’hui on est à 1,2 et on se rapproche de 1. Cela représente 20 % de gains en jouant sur la température et la performance énergétique des nouveaux équipements » indique Marie Chabanon. Résultat : le système de refroidissement se concentre désormais sur les machines avec de l’air pulsé. Il n’y a plus besoin de réfrigérer des salles entières.

« Nous constatons une évolution du design sur la température en salle selon les préconisations de l'Ashrae (American Society of Heating and Ventilating Engineers). L’idée est de bien fonctionner avec des plages de températures bien plus haute. Nous sommes passés de plages de 20 à 22 degrés à 18 à 27 degrés » complète-t-elle. Depuis 2011, ces normes ont été relevées : elles recommandent de souffler en face avant à 26 degrés sur les équipements en salle. « Le niveau d’hygrométrie a aussi été modifié […] En 2008, il était entre 40 et 60 %. Il est désormais à 70 % » précise Fabrice Coquio.

 

De quoi limiter les dépenses côté refroidissement sans pour autant jouer sur la résistance des installations. Un point critique en période de canicule.

 

 

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

Défaillances dans les DC : causées par le réseau ?

Le mercredi, 17 avril 2019. Posté dans Archives Rezopole

Défaillances dans les DC : causées par le réseau ?

Si les coupures d’électricité sont une cause fréquente de pannes dans les datacenters, elles ne sont plus les seules. En effet, les défaillances des systèmes IT et les erreurs réseaux sont à l’origine de panne de plus en plus nombreuses. C’est pourquoi l’Institut Uptime s’est intéressé aux pannes connues pour savoir qu’elle était l’origine des interruptions de services non planifiées. Pour se faire, la société a décortiqué 162 interruptions de services signalées dans les médias traditionnels et sociaux au cours des trois dernières années.

 

27 pannes ont fait l’objet d’articles dans les médias en 2016, 57 en 2017 et 78 en 2018. « Les pannes de services se retrouvent de plus en plus régulièrement à la une des médias » a déclaré Andy Lawrence, directeur exécutif de la recherche à l'Institut. Cela ne signifie pas nécessairement que le nombre de pannes augmente en flèche mais plutôt que les temps d’interruption attirent de plus en plus l'attention. « Il est clair que pour les utilisateurs, l’impact des pannes est certainement plus dommageable aujourd’hui » ajoute-t-il.

 

L’étude a permis de mettre en évidence que dans les pannes globales les problèmes de réseau et des systèmes IT sont davantage mis en cause que ceux liés à l’alimentation électrique. On explique cela par le fait que les systèmes d’alimentation électrique sont plus fiables que par le passé et qu’il y a donc moins de coupures de courant dans les datacenters.

 

En parallèle, la complexité croissante des environnements IT est à l’origine d’un nombre croissant de problème liés à l’IT et aux réseaux. « Désormais, les données sont dispersées dans plusieurs endroits, avec des dépendances critiques par rapport au réseau, par rapport à la façon dont les applications sont architecturées et à la façon dont les bases de données se répliquent. C’est un système très complexe, et il faut aujourd'hui moins d’événements pour en perturber le fonctionnement » a expliqué Todd Trader, vice-président de l’optimisation et de la stratégie IT à l’Institut Uptime.

 

Une tendance d’autant plus marquée lorsque l’on compare les causes d’une année sur l’autre. 28 % des pannes étaient liées à des problèmes d’alimentation électrique en 2017 contre 11 % l’année suivante. Les défaillances liées aux systèmes informatiques sont restées relativement constantes : 32 % en 2017 puis 35 % en 2018. Les pannes imputables aux problèmes de réseau ont augmenté de façon significative, passant de 19 % en 2017 à 32 % en 2018. « Les choses sont reliées non pas à un ou deux sites mais à trois ou quatre sites, voire plus, Le réseau joue un rôle de plus en plus important dans la résilience informatique » remarque Todd Traver.

 

Afin de pouvoir distinguer une interruption qui peut menacer l’activité d’une entreprise d’une panne juste gênante, l’Institut Uptime a mis au point une grille d’évaluation avec une échelle de 5 niveaux :

  • niveau 1 : désigne un arrêt négligeable. La panne est enregistrable mais il y a peu ou pas d’impact évident sur les services et aucune interruption de service.
  • niveau 2 : qualifie une interruption de service minimale. Les services sont perturbés, mais l’effet sur les utilisateurs, les clients ou la réputation est minime.
  • niveau 3 : désigne une interruption de service importante pour l’entreprise. Il s’agit d’interruptions du service à la clientèle ou aux utilisateurs, le plus souvent de portée, de durée ou d’effets limités. L’impact financier est minime ou nul mais il y a un certain impact sur la réputation ou la conformité.
  • niveau 4 : concerne une panne d’exploitation ou de service grave entraînant une perturbation du service et / ou des opérations impliquant des pertes financières, des manquements à la conformité, des atteintes à la réputation et peut-être même des problèmes de sécurité avec éventuellement des pertes de clients.
  • niveau 5 : qualifie une panne critique pour l’entreprise ou la mission, entraînant une interruption majeure et dommageable des services et / ou des opérations, impliquant d’importantes pertes financières, des problèmes de sécurité, des manquements à la conformité, des pertes de clients et des atteintes à la réputation.

 

Cette analyse a été approfondie par les chercheurs qui ont identifié plus spécifiquement l’origine des pannes de datacenters.

Les motifs des pannes les plus courants quand le réseau est en panne :

  • coupures de fibres en dehors du datacenter et nombre insuffisant d’alternatives de routage
  • panne intermittente des principaux commutateurs et absence de routeurs secondaires
  • panne majeure de switch sans sauvegarde
  • configuration incorrecte du trafic pendant la maintenance
  • mauvaise configuration des routeurs et des réseaux définis par logiciel
  • défaut d’alimentation de composants individuels non sauvegardés comme des commutateurs et des routeurs

 

Pour l’informatique, les causes les plus courantes sont :

  • mise à niveau mal gérée
  • échec et corruption de données subséquente d’un grand nombre de disques ou de systèmes de stockage SAN
  • défaillance de synchronisation ou erreurs de programmation dans le système d’équilibrage de charge ou de gestion du trafic
  • système de défaillance / synchronisation ou de reprise après sinistre mal programmés
  • perte de puissance au profit de composants individuels non sauvegardés

 

Quand c’est l’alimentation électrique qui fait défaut, les motifs des pannes sont :

  • la foudre provoque des surtensions et des coupures d’électricité
  • défaillances intermittentes avec les commutateurs de transfert et impossibilité de démarrer les générateurs ou d’effectuer les transferts vers un second datacenter
  • pannes de l’onduleur et absence de transfert vers les systèmes secondaires
  • le fournisseur n’arrive pas à délivrer la puissance nécessaire avec défaillance subséquente du générateur ou de l’onduleur
  • dommages causés aux équipements informatiques par surtension

 

« De façon générale, les entreprises devraient accorder plus d’attention à la résilience des datacenters. Elles ont besoin de connaître leurs architectures, de bien comprendre toutes les interdépendances, d’identifier les motifs des défaillances, de prévoir des solutions en cas d’échec. Or ce dernier aspect est souvent négligé » ajoute Todd Traver.

 

 

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Source : Le Monde Informatique

 

 

 

 

Concevoir aujourd’hui des DC pour demain

Le mercredi, 27 février 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX Archives LyonIX

Concevoir aujourd’hui des DC pour demain

Comment parvenir à construire des infrastructures informatiques de manière durable et pérenne pour les 20 prochaines années ? Quels sont les éléments importants à prendre en compte lors de la phase de conception ?

 

Même si en apparence construire des centres de données peut paraître assez facile, il s’agit d’un secteur évoluant rapidement. En effet, aujourd’hui les salles se densifient, les serveurs consomment de plus en plus d’énergie et sont plus lourds. Des concepts de modularité bousculent le marché tous les mois, les gammes évoluent vite pour répondre davantage aux besoins des utilisateurs…

 

C’est pourquoi l’adaptabilité et la modularité doivent faire partie des solutions à ces problématiques dès les phases de conception. Comme par exemples, choisir des solutions de refroidissement et électriques modulables, augmenter la puissance et monter en charge lors des maintenances, designer les gros équipements en les surdimensionnant.

Il peut également être très utile de mettre en place de nouvelles méthodes de travail type Agile. Il est donc primordial d’être flexible et de s’adapter à ces changements qui peuvent affecter le projet durablement.

La modularité est aussi un point indispensable lors de la conception notamment si l’on choisit un lieu atypique pour implanter son centre de données. Cependant, des aspects légaux ou réglementaires peuvent aller à l’encontre de cette modularité. Il faut donc aborder au plus tôt ces problématiques qui ont souvent des délais incompressibles…

 

 

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Source : Le Monde Informatique

 

 

 

 

Développement des DC français

Le mercredi, 20 février 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX Archives LyonIX

Développement des DC français

Interviewé par LeMagIT, Olivier Micheli constate que les centres de données français séduisent enfin les acteurs internationaux du Cloud et qu’ils se développent géographiquement afin de réduire les latences.

 

Exerçant à la fois les fonctions de PDG de Data4 Group et de Président de l’association France Datacenter, Olivier Micheli estime à 200 le nombre de grands datacenters en France pouvant atteindre jusqu’à 10 000 m². La capitale réunissant le plus grand nombre car Paris est un nœud d’interconnexion européen.

On dénombre entre 3000 et 5000 salles informatiques privées de taille et puissance variables à travers le pays.

Au-delà du souhait des entreprises d’avoir la main sur leurs équipements, l’importance d’une latence toujours plus faible pèse de plus en plus dans les activités économiques locales et le développement des villes intelligentes.

Selon Olivier Micheli, le marché tend vers des centres de données dont la taille est proportionnelle à celle de l’activité économique à proximité.

 

Après une période creuse entre 2012 et 2015, le marché des datacenters français a rattrapé son retard. La France se place aujourd’hui en quatrième position en Europe ex-aequo avec l’Irlande. Plusieurs raisons à cela : l’opportunité pour les entreprises internationales de s’adresser à 67 millions d’individus depuis des ressources IT hébergées localement, l’importance géostratégique de Marseille et aussi les efforts du gouvernement pour créer des conditions favorables au développement de ces datacenters.

Ce qui permet enfin à l’Hexagone de s’aligner sur le Royaume-Uni, l’Allemagne ou encore les Pays-Bas.

 

Les clients de ces centres de données sont à 70 % des acteurs du Cloud public tels que Amazon, AWS mais également des éditeurs comme Salesforce. Les entreprises utilisatrices souhaitent quant à elles beaucoup d’accompagnement.

 

Le premier enjeu des datacenters est, selon Olivier Micheli, la connectivité. En effet, les entreprises souhaitent désormais bénéficier d’une salle informatique délocalisée afin de redistribuer ces données vers les usagers et les acteurs d’Internet.

Le second enjeu est celui du bâtiment intelligent et d’atteindre 100 % d’énergie renouvelable en utilisant par exemple le Free Cooling.

 

 

 

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Source : LeMagIT

 

 

 

 

Le plus grand datacenter de Lyon

Le jeudi, 24 janvier 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX Archives LyonIX

Le plus grand datacenter de Lyon

Inauguré le 15 janvier dernier par l’opérateur national Jaguar Network, le tout nouveau datacenter de la Métropole lyonnaise a été construit au sein du Bioparc du 8ème arrondissement. Baptisé « Rock » ce datacenter est également le plus important à Lyon avec plus de 4 000 m² et 800 baies informatiques.

Ce projet, soutenu par la région Auvergne-Rhône-Alpes, accueille dorénavant des projets informatiques dans les secteurs de la santé et de l’industrie 4.0 après seulement douze mois de construction.

 

Le bâtiment possède cependant une particularité pour un datacenter « L’esthétisme du bâtiment a été une contrainte imposée par les architectes de bâtiments de France : en effet, Rock se situe dans le périmètre de l’Hôpital Édouard Herriot, construit il y a un siècle par l'architecte Tony Garnier et inscrit à l’inventaire des monuments historiques. Ainsi, pour respecter le cahier des charges imposé par l'administration française, il a été obligatoire de doter le bâtiment de fenêtres, murées par des parpaings puisque totalement inutiles pour des salles informatiques..! » remarque Pierre Col dans un article de ZDNet.

 

L’exploitation des infrastructures de ce nouveau datacenter a été maximisée en utilisant par exemple l’intelligence artificielle « Une application développée par les équipes de Jaguar Network pilote pro-activement les installations afin d’en faire la maintenance préventive pour maximiser la disponibilité. C’est ainsi que des technologies basées sur le Big Data et le Machine Learning sont intégrées aux boîtiers spectres dont la mission est de détecter prédictivement tout incident », précise Jaguar Network.

De plus, une équipe est présente en permanence sur le site « Ce qui garantit un accompagnement de proximité aux clients pour l’exploitation simplifiée de leurs équipements IT. Un technicien peut intervenir en moins de 10 minutes sur tout serveur hébergé au cœur du bâtiment », explique l’opérateur et hébergeur Cloud.

 

Pour affirmer sa volonté d’investir dans la transformation numérique, la société a également créé un réseau de plus de 80 km de réseau de fibres noires. Ceci permet le raccordement de toute entreprise de la métropole lyonnaise directement par des câbles dédiés et sécurisés « Une offre de réseau dédié de 100 Gbps sera d’ailleurs commercialisée dès février 2019 pour proposer les plus importants débits de connexion disponibles en France pour les entreprises », annonce Jaguar Network.

 

 

 

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Source : Lyon-entreprises.com

 

 

 

 

Comment fonctionne Internet ?

Le lundi, 25 juin 2018. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX Archives LyonIX

Comment fonctionne Internet ?

Contrairement à ce que beaucoup imaginent, Internet ne flotte pas dans l‘air. Il existe grâce à des câbles, datacenters et IXP contrôlés par des entreprises. Francesca Musiani, chargée de recherches au CNRS, explique pourquoi il est nécessaire de comprendre ces rouages afin d’être un internaute avisé.

 

La spécialiste des architectures de l’Internet nous présente dans une vidéo diffusée par Treize Minutes les dessous d’un monde encore trop méconnu. Les infrastructures réseaux font en sorte que leur fonctionnement reste discret, si bien que l’on ne prend conscience de leur existence qu’au moment où Internet atteint ses limites, qui sont bel et bien matérielles. Pourtant, il est primordial de mieux conceptualiser cet outil du quotidien, qui est bien plus tentaculaire qu’il n’y paraît.

 

 

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En effet, elle soulève le fait que les diverses infrastructures Internet sont sous le contrôle d’entreprises qui poursuivent leur intérêt propre. Un fait qu’il faut bien comprendre, notamment en cette période où la protection des données personnelles et la manipulation de l’information sont au cœur de tous les débats.

 

Dans un article de Libération rédigé par Amaelle Guiton, Francesca aborde le sujet du projet de loi sur la lutte contre les « fake news ». Pour elle, l’essentiel du problème ne réside pas dans l’émetteur de ces fausses informations, mais dans le fonctionnement-même des grandes plateformes sur lesquelles elles sont diffusées.

 

Leur modèle économique leur permet de propager des informations plus rapidement que tous les autres supports, qu’elles soient réelles ou infondées. Ainsi, une solution serait de rendre plus transparente l’activité de ces émetteurs de contenu. Par l’intervention d’entités tierces ciblant l’origine systémique du problème, Francesca espère pouvoir le résoudre sans bouleverser tout le fonctionnement des grandes plateformes. De plus, elle estime que le monopole de l’information en ligne par certaines entreprises est aussi une des sources du problème, qui pourrait être palliée par l’émergence de nouveaux acteurs. Des pistes de solutions intéressantes à découvrir dans cet article.

 

 

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Sources : Treize Minutes, Libération, Amaelle Guiton.

Nouveau membre LyonIX : Agora Calycé !

Le jeudi, 22 juin 2017. Posté dans Archives Rezopole Archives LyonIX

Nouveau membre LyonIX : Agora Calycé !

Agora Calycé accompagne la transformation numérique des organisations par la migration de leur Système d’information vers les services connectés, en élaborant avec elles des solutions sur-mesure et en leur fournissant des ressources à la demande dans les domaines de l’IT, l’IoT et les télécoms. Agora Calycé est l'alternative aux grands groupes en proposant un service de proximité de meilleure qualité.

 

 

Agora Calycé est présent en baie LyonIX 2D.

ASN : AS47833

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Trouvez plus d'informations ici : Agora Calycé

 

 

Le RezoLink 2017 est en ligne !

Le vendredi, 12 mai 2017. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX Archives LyonIX

Le RezoLink 2017 est en ligne !

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Nouvelle baie LyonIX 2I

Le mardi, 24 janvier 2017. Posté dans Archives Rezopole Archives LyonIX

Nouvelle baie LyonIX 2I

Elle a été livrée au NetCenter de Vénissieux. Cette baie en A028 est contigüe à la baie LyonIX 2H, ce qui permet aux membres présents de demander des jarretièrages inter-baies G-H-I au prix d'un intra-baie !

 

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Réunion Groupe ADIRA Télécoms le 10 novembre !

Le vendredi, 04 novembre 2016. Posté dans Archives Rezopole Archives LyonIX

Réunion Groupe ADIRA Télécoms le 10 novembre !

De 9h à 11h dans les locaux de l'ADIRA (Parc du Chêne - 5, allée Général Benoit - 69500 Bron).


Lionel DREVON de Maxnod est l'intervenant au sujet de la connectivité LAN et WAN des centres de données.

 

 

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À propos de l'ADIRA

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En savoir plus sur le site web de l'ADIRA.

Inauguration Datacenter du Pays Voironnais

Le mardi, 07 juin 2016. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX Archives LyonIX

Inauguration Datacenter du Pays Voironnais

Le Pays Voironnais, PV NUM et Modulo C vous invitent à l'Inauguration de leur nouveau Datacenter Modulaire de conception Green IT le 13 juin 2016 à CENTR'ALP (Moirans).

 

L'entrée est libre, venez nombreux !

 

 

 

Datacenters en France

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Le RezoLink 2016 actualisé !

Le lundi, 04 avril 2016. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX Archives LyonIX

Le RezoLink 2016 actualisé !

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