Together, your Internet even better

Articles taggés avec : Commission européenne

Europe : 10 ans pour couvrir les zones habitées en 5G

Le vendredi, 12 mars 2021. Posté dans Archives Rezopole

Europe : 10 ans pour couvrir les zones habitées en 5G

La Commission européenne a dévoilé, le 9 mars dernier, sa vision « pour une transformation numérique réussie de l’Europe d’ici à 2030 ». Une série d’objectifs à remplir d’ici moins de dix ans, comme la disponibilité de tous les services publics clés sur le web ou encore la montée en compétence des individus.

La 5G constitue l’un de ces objectifs. L’ultra haut débit mobile arrive progressivement sur le Vieux Continent et Bruxelles souhaite que cette nouvelle technologie soit accessible en 2030 dans toutes les zones peuplées.

 

D’après la Commission européenne, 14 % des zones habitées sont couvertes en 5G en 2021. Un chiffre qui peut paraître élevé compte tenu du caractère très récent de cette norme. Mais la formulation choisie par l’exécutif européen exclut les aires inhabitées, ce qui de fait évacue du calcul de larges pans du continent. Neuf ans suffiraient donc à combler les 86 % restants.

 

Mais libre aux pays d’aller plus vite s’ils le souhaitent. En France, tout le réseau pourrait être en 5G d’ici 2030. C’est en tous cas la perspective que l’ex-président de l’Arcep, Sébastien Soriano, a tracée en 2019. Un premier palier devra avoir été franchi en 2025, avec deux tiers de la population couverte.

Le calendrier de la 5G contient plusieurs rendez-vous, selon les impératifs d’aménagement du territoire (couverture des principaux axes de transport et des régions plus rurales) et les circonstances de l’actualité (à l’image des Jeux olympiques d’été en 2024). Par ailleurs, le régulateur fournira d’autres licences aux opérateurs pour qu’ils exploitent des fréquences additionnelles.

 

 

 Lire l'article

 

Source : Numerama

 

 

 

 

L’UE veut prolonger la suppression des frais d’itinérance

Le vendredi, 26 février 2021. Posté dans Archives Rezopole

L’UE veut prolonger la suppression des frais d’itinérance

Annoncée en juin 2015, après un accord noué entre les Parlements européens et le Conseil, la fin des frais d’itinérance s’est bien concrétisée deux ans plus tard. Si depuis tout le monde a pris goût à cette mesure qui évite les mauvaises surprises sur sa facture téléphonique lors de ses déplacements à l’étranger, celle-ci doit prendre fin en 2022.

 

La Commission européenne vient donc de proposer de prolonger de dix ans la suppression des frais de “roaming” entre les pays membres. L’objectif étant même d’aller encore plus loin : « Les consommateurs pourront bénéficier de la même qualité et de la même vitesse de connexion à leur réseau mobile à l’étranger que chez eux, lorsque des réseaux équivalents sont disponibles » précise l’institution dans un communiqué.

En effet, 33 % des Européens jugent que leur vitesse de connexion mobile est de moins bonne qualité lorsqu’ils sont à l’étranger. Les opérateurs du pays visité seraient donc tenus de fournir des performances équivalentes lorsque les consommateurs sont en itinérance.

 

Un sujet qui tient à cœur de l’UE depuis de nombreuses années. D’ailleurs, les consommateurs européens avaient déjà pu constater une baisse de 80 % depuis 2007 du prix des appels, des SMS et des transferts de données d’un pays à l’autre de l’Union.

 

Pour la suite, les négociations sont toujours en cours avec les opérateurs téléphoniques. Ces derniers tentent de mesurer l’impact des nouvelles mesures souhaitées par la Commission.

 

 

 Lire l'article

 

Source : Presse Citron

 

 

 

 

L’Europe enquête sur les importations de fibre chinoise

Le vendredi, 02 octobre 2020. Posté dans Archives Rezopole

L’Europe enquête sur les importations de fibre chinoise

Selon les informations de Reuters, la Commission européenne vient d’ouvrir une enquête sur les importations de câble depuis la Chine vers le Vieux Continent. L’objectif étant de vérifier les pratiques commerciales des fabricants chinois, que leurs homologues européens accusent de vendre à prix trop bas.

 

Suite à une plainte déposée le 10 août dernier par Europacable, le lobby européen des câbliers, une enquête anti-dumping a été enclenchée. Si la Commission Européenne donne raison aux plaignants, cela pourrait aboutir à l’imposition de barrière douanières d’ici 15 mois.

 

Europacable estime que les conditions de commercialisation en Europe de la fibre monomode fabriquée en Chine sont déloyales en raison des tarifs artificiellement bas pratiqués. Dans sa plainte, l’organisation des câbliers s'inquétait aussi de voir cette tendance s’amplifier sur fond d’imposition de barrières douanières sur ces produits chinois aux États-Unis. Ce qui risquerait de réorienter vers l’Europe les volumes non-écoulés outre-Atlantique.

 

Une initiative faisant écho au signal d’alarme tiré depuis un an par le syndicat des industriels français du secteur. Trimestre après trimestre, le Sycabel souligne la forte baisse des commandes de fibre optique à destination du secteur français des télécoms et la hausse concomitante des importations asiatiques.

L’organisation rappelait, dans son dernier bilan trimestriel, les difficultés que faisait peser cette situation sur une “filière française d’excellence”, alors que “des investissements massifs ont été engagés pour accompagner le déploiement du plan France THD”.

 

 

 Lire l'article

 

Source : DegroupTest

 

 

 

 

Pas question de reporter la 5G

Le jeudi, 14 mai 2020. Posté dans Archives Rezopole

Pas question de reporter la 5G

Margrethe Vestager, vice-présidente de la Commission européenne chargée du Numérique, aurait rappelé à l’ordre les ministres européens des Télécoms afin que l’attribution du spectre 5G ne prenne pas trop de retard.

 

Fixés en 2016, les objectifs actuels de l’UE dans ce domaine sont de commercialiser la 5G dans au moins une grande ville de chaque pays de l’Union avant fin 2020, ainsi que dans toutes les zones urbaines et les grands axes de transport d’ici 2025.

L’intervention de la vice-présidente ferait suite à une demande de la Croatie de revoir ce plan d’action et ce calendrier.

 

De nombreux pays, dont l’Espagne, l’Autriche, le Portugal, la Pologne et la République tchèque n’ont toujours pas attribué leurs premières fréquences 5G. Les procédures ayant été repoussées en raison de la pandémie et des mesures de confinement qui s’en sont suivies.

En France, les enchères devraient être reportées au plus tard en septembre pour un déploiement dans la foulée. La commercialisation est donc envisageable cet automne.

 

 

 Lire l'article

 

Source : 01net

 

 

 

 

5G : l'ombre de Huawei plane en Europe

Le mercredi, 16 octobre 2019. Posté dans Archives Rezopole

5G : l'ombre de Huawei plane en Europe

Dans un rapport publié avec l’Agence européenne pour la cybersécurité sur la sécurisation des réseaux 5G, la Commission européenne a prévenu les États membres de l’UE de la dangerosité de la nouvelle technologie de télécommunication sans fil. Pour la Commission, le déploiement de la 5G risque de « créer un nouveau paradigme de sécurité rendant nécessaire une réévaluation de la politique actuelle et du cadre de sécurité applicable au secteur et à son écosystème et indispensable pour que les États membres prennent les mesures d’atténuation nécessaires ».

 

Plus en détail, ce rapport préconise de revoir la conception actuelle des réseaux 3G et 4G et met en garde contre le recours à un fournisseur unique, particulièrement ceux n’étant pas basés dans l’Union européenne sans toutefois prononcer le nom de Huawei. « Le rôle accru des logiciels et des services fournis par des fournisseurs tiers dans les réseaux 5G conduit à une plus grande exposition à un certain nombre de vulnérabilités qui peuvent découler du profil de risque des fournisseurs individuels ».

 

La Commission européenne explique également « Si la technologie et les normes des réseaux 5G apporteront également certaines améliorations en matière de sécurité par rapport aux générations précédentes, plusieurs défis importants découlent des nouvelles caractéristiques de l’architecture du réseau et de la vaste gamme de services et d’applications, qui pourraient à l’avenir dépendre largement des réseaux 5G. […] D’importantes failles de sécurité, telles que celles qui découlent de mauvais processus de développement de logiciels chez les fournisseurs d’équipement, pourraient faciliter l’insertion malveillante par les acteurs de portes dérobées intentionnelles dans les produits et les rendre plus difficiles à détecter. Cela peut accroître la possibilité que leur exploitation ait un impact négatif particulièrement grave et généralisé ».

 

Il est ajouté dans le rapport que les pays membres de l’UE ne devraient pas juger les fournisseurs de réseaux 5G à leurs seules qualités techniques et les évaluer sur la base des « vulnérabilités non techniques liées aux réseaux 5G », telles que le pays du fournisseur n’ait « aucun contrôle et équilibre législatif ou démocratique en place, ou en l’absence d’accords de sécurité ou de protection des données entre l’UE et le pays tiers donné » ou que la structure du propriétaire du fournisseur et la capacité pour son propre pays à « exercer toute pression, notamment par rapport à la fabrication du matériel ». Si le nom de Huawei n’est pas prononcé, impossible de ne pas y penser…

 

Dans la foulée, Huawei s’est une nouvelle fois défendue de toute ingérence par les autorités chinoises « Nous sommes une entreprise 100 % privée, détenue à 100 % par ses employés, et la cybersécurité est une priorité absolue : notre système d’assurance de la cybersécurité de bout en bout couvre tous les domaines de processus, et notre solide expérience prouve qu’il fonctionne ».

 

Nul ne dit que la Commission répondra à cette main tendue puisqu’elle a semble-t-il également décidé de balayer une autre option proposée par Huawei. En effet, le constructeur chinois avait indiqué pouvoir se contenter de n’intervenir que sur des parties jugées moins sensibles des futurs réseaux 5G des pays membres de l’UE.

 

Les prochaines étapes de réflexion de l’Union européenne déboucheront sur la publication d’une panoplie de mesures d’atténuation pour faire face aux risques identifiés en matière de cybersécurité aux niveaux National et de l’Union d’ici au 31 décembre 2019. Enfin, les États membres devraient évaluer les effets de la recommandation afin de déterminer s’il y a lieu de prendre de nouvelles mesures d’ici au 1er octobre 2020. Cette évaluation devrait tenir compte des résultats de l’évaluation européenne coordonnée des risques et de l’efficacité des mesures.

 

 

 

 Lire l'article

 

Source : ZDnet

 

 

 

 

FaLang translation system by Faboba