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Xavier Niel veut retirer Iliad de la Bourse

Le vendredi, 30 juillet 2021. Posté dans Archives Rezopole

Xavier Niel veut retirer Iliad de la Bourse

Le fondateur et actionnaire majoritaire d’Iliad, Xavier Niel, a décidé de renforcer son contrôle sur le groupe Télécom en lançant une opération de rachat d’actions. L’objectif étant de retirer le titre de la Bourse.

Cette offre publique d’achat simplifiée, visant à détenir l’ensemble des actions non détenues, est fixée à 182 euros l’action soit environ 60 % au-dessus du dernier cours. Cette annonce faisait mécaniquement s’envoler le titre Iliad de 61 % à la Bourse de Paris dans les premiers échanges vendredi 30 juillet au matin.

 

L’opération est initiée par HoldCo II, une société contrôlée par Xavier Niel. Il détient ainsi, directement et indirectement, 70,6 % du capital et 78,7 % des droits de vote de la société.

Xavier Niel et les cadres dirigeants et actionnaires historiques d’Iliad, qui se sont engagés à apporter leurs actions à l’offre, détiennent directement et indirectement 74,9 % du capital et 83,6 % des droits de vote du groupe. « À l’issue de l’offre, si le nombre d’actions non présentées à l’offre ne représente pas plus de 10 % du capital et des droits de vote d’Iliad, HoldCo II demandera à l’Autorité des marchés financiers la mise en œuvre d’une procédure de retrait obligatoire », a indiqué l’entreprise dans un communiqué.

 

Fondée en 1999, la maison mère de l’opérateur Free est présente en France, en Italie et en Pologne. Sixième opérateur mobile européen en nombre d’abonnés, Iliad compte 42,7 millions d’abonnés et a généré un chiffre d’affaires de 5,9 milliards d’euros en 2020.

« Désormais, la nouvelle phase de développement d’Iliad exige des transformations rapides et des investissements significatifs qui seront plus aisément menés à bien en tant que société non cotée. Notre ambition pour Iliad nous pousse à accélérer son développement pour en faire un leader des télécommunications en Europe », a indiqué Xavier Niel dans un communiqué.

 

Une opération non isolée dans le secteur des Télécom. En effet en janvier dernier, Patrick Drahi, fondateur et actionnaire majoritaire du groupe Altice, a également retiré de la cote son groupe européen (SFR, RMC, BFMTV…). L’opération devait permettre à Altice Europe de mettre en place plus facilement sa stratégie et de mieux se concentrer sur des objectifs de long terme, sans avoir ses performances trimestrielles scrutées par les marchés.

 

 

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Source : Challenges

 

 

 

 

Fréquences 5G : l’État empochera au moins 2,65 milliards

Le vendredi, 02 octobre 2020. Posté dans Archives Rezopole

Fréquences 5G : l’État empochera au moins 2,65 milliards

Au soir de la deuxième journée d’enchères, l’État est déjà assuré d’empocher au moins 2,65 milliards d’euros pour l’attribution des fréquences de la 5G en France.

 

Organisée par l'Arcep, cette vente aux enchères porte sur onze blocs de 10 MHz que convoitent Bouygues Telecom (Bouygues), Orange, Free (Iliad) et SFR (Altice).

Chacun des blocs de 10 MHz, mis en vente au prix minimum de 70 millions d’euros, a atteint le 30 septembre au soir un nouveau prix de 114 millions. Il était déjà passé à 90 millions au cours de la première journée d’enchères la veille. L’Arcep précise que le processus se poursuivra encore jeudi.

 

Ayant déjà engrangé 1,4 milliard d’euros lors de l’attribution hors enchères de quatre blocs de 50 MHz – un par opérateur -, le montant atteint par les enchères garantit pour l’heure 2,65 milliards à l’État. Orange réclame toujours cinq blocs, suivi par SFR et Bouygues Telecom avec trois blocs chacun puis Iliad avec seulement 2 blocs.

 

 

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Source : Challenges

 

 

 

 

La Chine demande ne pas discriminer Huawei

Le jeudi, 13 février 2020. Posté dans Archives Rezopole

La Chine demande ne pas discriminer Huawei

Le déploiement de la 5G est devenu un enjeu géopolitique international. Et le porte-parole de l’ambassade de Chine en France s’inquiète de « reportages récents dans plusieurs médias français selon lesquels les autorités compétentes françaises envisageraient de prendre des mesures restrictives contre Huawei dans le déploiement de la 5G en France ».

Il rappelle, dans ce communiqué, que le président français ainsi que de hauts responsables ont affirmé qu’en matière de 5G, « la France ne prendrait pas de mesures discriminatoires contre un pays ou une entreprise spécifique, ni n’exclurait pas Huawei ».

 

Ces craintes d’espionnage sont infondées pour la Chine. « En réalité, les équipements 5G de Huawei sont totalement fiables et n’ont jamais présenté aucun risque technique ou sécuritaire, ni laissé aucune ‘porte dérobée’ », dit le porte-parole.

La Chine dit compter sur la France « pour prendre des actions concrètes et créer un environnement d’affaires ouvert, transparent et non discriminatoire à l’égard des entreprises de tous les pays, y compris de la Chine ».

 

Vendredi dernier, Orange a annoncé avoir sélectionné les groupes européens Nokia et Ericsson comme équipementiers pour le déploiement d’un réseau mobile de 5ᵉ génération en France métropolitaine.

Au sein du secteur français des Télécoms, le sentiment qui prévaut au est que les autorités françaises souhaitent bannir Huawei du marché de la 5G mais ne le diront pas publiquement.

De son côté, la Commission européenne a publié ses directives en refusant d’exclure le groupe chinois, tout en autorisant les pays membres à interdire les équipementiers qu’ils jugeraient à ‘haut risque’.

Plusieurs opérateurs disent redouter que l’exclusion de Huawei entraîne des retards et surcoûts dans le déploiement de la 5G.

 

 

 

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Source : Challenges

 

 

 

 

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