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Patrick Drahi se casse les dents sur Eutelsat

Le vendredi, 01 octobre 2021. Posté dans News Rezopole

Patrick Drahi se casse les dents sur Eutelsat

Reuters a indiqué que Patrick Drahi était en discussion avec Eutelsat, opérateur européen de satellites, au sujet d’un éventuel rachat. Un accord qui aurait vu l’un de ses véhicules d’investissement prendre le contrôle direct de l’entreprise coté à Paris. « Une offre pour Eutelsat qui a une valeur de marché de 2,3 milliards d’euros (1,96 milliard de dollars) et est soutenu par l’investisseur public Bpifrance avec une participation de 20 % » d’après Reuters. Celle-ci a été refusée par l’opérateur de satellite car jugée trop basse.

 

L’homme a récemment reçu l’approbation réglementaire pour privatiser le groupe de télécommunications Altice Europe après que ses actionnaires minoritaires aient approuvé son offre de rachat de la société. En juin, il avait pris une participation de 12,1 % dans l’opérateur de télécommunications britannique BT Group en utilisant le véhicule nouvellement créé Altice UK. Selon des sources anonymes, le milliardaire n’avait pas l’intention de fusionner Eutelsat avec ses actifs télécoms et médias et souhaiterait conserver la société française au sein d’une holding distincte.

 

De son côté, Eutelsat, opérateur historique – depuis 1977 – a récemment racheté près de 24 % de son rival britannique OneWeb pour 550 millions de dollars – le plus gros contrat depuis l’entrée en fonction du PDG Rodolphe Belmer en 2016.

 

 

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Source : Le Monde Informatique

 

 

 

 

Altice signe un accord pour l’acquisition de Coriolis

Le vendredi, 24 septembre 2021. Posté dans News Rezopole

Altice signe un accord pour l’acquisition de Coriolis

La maison-mère de SFR, Altice France, a annoncé le 20 septembre dernier avoir conclu un accord pour acquérir 100 % de Coriolis Télécom. Une transaction de 415 millions d’euros : un prix d’achat initial de 298 millions d’euros puis un versement différé de 117 millions d’euros. Celle-ci devra être approuvée par les autorités compétentes, et devrait être finalisée durant le premier semestre 2022.

 

Créé il y a plus de 30 ans, Coriolis Télécom est un opérateur indépendant français. Il dispose d’un parc de plus de 500 000 clients et 30 000 entreprises sur le fixe et le mobile dans l’Hexagone.

Ce rachat permettra donc à SFR de profiter de l’expertise, des partenariats et des réseaux de distribution de Coriolis pour compléter ses offres.

 

Le groupe de Patrick Drahi n’en est pas à son coup d’essai dans les rachats. En effet, il a déjà fait l’acquisition de Réglo Mobile en mai dernier. L’opérateur mobile virtuel, qui appartenait à Leclerc, a ainsi permis à Altice de renforcer son parc client de 770 000 abonnés.

Grâce à ces deux acquisitions, le nombre total d’abonnés grand public augmente d’un peu plus de 1,2 million de clients.

 

Le mouvement de concentration dans les télécoms continue. Si SFR signe l’acquisition de deux autres opérateurs virtuels, Bouygues Telecom a également acquis Euro Information Telecom (NRJ Mobile, CIC Mobile, Auchan Telecom…).

 

 

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Source : alloforfait

 

 

 

 

SFR FttH se transforme et devient “Xp Fibre”

Le vendredi, 02 avril 2021. Posté dans Archives Rezopole

SFR FttH se transforme et devient “Xp Fibre”

La Commission européenne validait, en novembre dernier, le rachat de Covage par SFR FttH. L’entreprise se nomme désormais Xp Fibre et dispose d’un parc de 7 millions de prises en fibre optique. Il comprend 24 Réseaux d’Initiative Publique (RIP), opérés dans le cadre de délégations de service public (DSP) ; cinq zones AMEL et deux réseaux en propre ; ainsi que 2,6 millions de prise en zones AMII.

 

Son rôle demeure globalement le même que celui de SFR FttH, à savoir le déploiement du réseau, l’exploitation et la commercialisation des prises en propre, ou au travers de partenariats publics, selon les zones à équiper.

Dans le détail, SFR FttH disposait déjà de 5,5 millions de prises sur l’ensemble du territoire national, notamment par l’intermédiaire de 16 DSP, de 3 zones AMEL et de la zone AMII. Avec cette acquisition, Xp Fibre dispose donc de 8 DSP et 4 réseaux en propre (dont deux AMEL) supplémentaires.

 

Chacune des zones de déploiement bénéficiera d’un réseau en fibre optique ouvert à tous les opérateurs commerciaux, Xp Fibre étant un opérateur d’infrastructure. Le grand public, les entreprises, mais aussi les collectivités territoriales pourront toutes et tous souscrire au fournisseur d’accès de leur choix.

« Le nouvel ensemble constitué des actifs de SFR FttH et de ceux issus de l’acquisition de Covage, donne naissance à un nouvel acteur encore plus ambitieux de la fibre pour les territoires et à un interlocuteur incontournable pour les opérateurs commerciaux », a commenté Lionel Recorbet, président de Xp Fibre.

 

Le capital de la nouvelle entité reste composé du fonds canadien OMERS (l’un des principaux régimes de retraite à prestation définis du Canada), d'Altice France et des fonds d’infrastructure des groupes Axa et Allianz, comme l’était celui de SFR FttH.

 

 

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Source : Clubic

 

 

 

 

Feu vert pour le rachat de Covage par SFR FTTH

Le vendredi, 04 décembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

Feu vert pour le rachat de Covage par SFR FTTH

Altice, via sa branche SFR FTTH, entrait en négociations exclusives il y a un an pour racheter 100 % de l’opérateur de gros Covage.

L’Association des Opérateurs Télécoms Alternatifs avait alors rapidement fait part de son inquiétude, car ce rapprochement n’était pas « sans susciter de profondes interrogations sur la préservation d’une intensité concurrentielle déjà fragile sur le marché entreprises et collectivités ».

 

La Commission européenne « a autorisé, en vertu du règlement de l’UE sur les concentrations, le projet d’acquisition de Covage par SFR FTTH, une entreprise contrôlée conjointement par Altice, Allianz et Omers. L’autorisation est subordonnée au respect intégral d’une série d’engagements offerts ».

 

Deux engagements sont pris par SFR FTTH :

  • « La cession à un acquéreur approprié de 25 filiales et d’actifs correspondant à l’activité “boucle locale optique” » de Covage sur le territoire de 30 institutions publiques. Ces filiales et ces actifs se composent de réseaux FttO et représentent au total environ 95 % de l’activité FttO de Covage.
  • « L’offre d’un contrat de services transitoire, portant notamment sur l’accès à tous les actifs et services requis pour exploiter l’activité cédée dans des conditions concurrentielles pendant une durée permettant à SFR FTTH de devenir totalement indépendante ».

 

Pour conclure, la Commission affirme que « les engagements définitifs répondent aux problèmes de concurrence recensés par la Commission en ce qui concerne l’acquisition de Covage par SFR FTTH et ont été considérablement améliorés à la suite des observations fournies par les acteurs du marché. La Commission a donc conclu que l’opération envisagée, telle que modifiée par les engagements, ne posait plus de problème de concurrence ».

 

 

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Source : Next Inpact

 

 

 

 

Le déploiement de la fibre se cherche des stimulants

Le vendredi, 22 mai 2020. Posté dans Archives Rezopole

Le déploiement de la fibre se cherche des stimulants

Organisés par Mon Territoire Numérique chaque année en mars à Deauville, les États généraux des RIP se sont finalement déroulés sous format visio. Le rendez-vous des réseaux d’initiative publique a permis de jauger l’impact de la crise sanitaire sur les projets Très Haut Débit portés par les collectivités.

 

Fin mars, InfraNum prévenait que l’arrêt complet des chantiers de déploiement de la fibre optique serait une “catastrophe” susceptible d’engendrer 12 mois d’inertie. Aujourd’hui la Fédération des industriels des infrastructures numériques respire – un peu. Son président, Étienne Dugas, indique « Nous avons travaillé sur les ordonnances, sur les différents décrets avec plus ou moins de succès » afin d’ « éviter l’arrêt complet de l’outil industriel, ce qui est chose faite ».

Au global, l’activité est tombée, en moyenne, aux alentours de 30 % de la production nominale durant le confinement. Permettant donc de maintenir l’outil industriel en fonctionnement, bien que la situation ait fortement varié selon les territoires.

 

Aujourd’hui l’heure est à la remontée en charge : 50 % d’activité la semaine dernière, 70 % cette semaine. Ce sont en tous cas les chiffres annoncés par le ministre de la Ville et du logement Julien Denormandie, en charges des dossiers THD depuis 2017. Mais Étienne Dugas prévient qu’ils sont à prendre avec précaution « En termes de productivité, nous sommes encore loin des taux que nous pouvions avoir précédemment ».

Un constat corroboré par Lionel Recorbet pour SFR FttH : « Nous allons avoir beaucoup, beaucoup de difficultés à retrouver le 100 % ». Cyril Luneau, directeur des relations avec les collectivités chez Orange, avertit lui aussi d’ores et déjà que le retour aux niveaux de déploiement de la fibre d’avant crise « n’est pas pour tout de suite ». L’épisode Covid aura « une incidence sérieuse et profonde sur les calendriers, les jalons de cette fin d’année, et sans doute sur 2022 », c’est-à-dire les échéances d’engagement de l’opérateur en zone AMII.

 

Les opérateurs préviennent donc qu’à ce stade il est difficile de chiffrer les délais supplémentaires. Pascal Rialland, président de Covage, se risque néanmoins à prédire un report de déploiement de « 4 à 6 mois en 2021 » pour les 75 000 lignes de fibre optique que Covage devait déployer en 2020 dans le Calvados.

Des dérapages de calendriers seront inévitables et par conséquent les retards de commercialisation risquent de peser à terme sur l’économie des projets portés par les collectivités. Tout comme les surcoûts plus immédiats liés aux précautions sanitaires.

Impossible à ce stade de chiffrer le montant de ces surcoûts. InfraNum a par ailleurs commandée une étude d’impact pour la fin du mois. La Fédération d’industriels compte s’appuyer sur ce travail pour s’inscrire dans le plan de relance promis par le gouvernement pour septembre prochain.

 

En attendant d’y voir plus clair sur l’impact de la crise sanitaire, les participants aux États généraux des RIP ont préféré insister sur les autres leviers d’accélération du déploiement pour répondre à l’impatience numérique.

Côté industriel, on souligne les besoins de cash immédiats des entreprises de la filière afin de pouvoir poursuivre leur activité. Au plus fort de la crise, les opérateurs d’infrastructure ont multiplié les initiatives pour soulager la trésorerie de leurs sous-traitants (réductions des délais de paiement, avances et autres bonifications). À présent, l’idée est de « mettre plus d’agilité » dans les versements des subventions France THD aux collectivités, annonce Julien Denormandie.

 

Mais le président de la Fédération française des Télécoms, Arthur Dreyfuss, tempère « la réponse ne peut pas être qu’argent public ». Au-delà de nouveaux coups de pouce financiers, le secrétaire général d'Altice France attend que soient levés « tous ces petits freins du quotidien » au déploiement de la fibre. De nombreuses doléances sont émises depuis des années que de nombreux acteurs du THD aimeraient voir enfin entendues. Dans cette situation exceptionnelle, « il faut battre le fer », résume Patrick Chaize. En faisant, par exemple, des infrastructures numériques un bien essentiel, fait valoir le sénateur de l’Ain et président de l'Avicca. Une approche permettant ainsi au déploiement d’outrepasser certains de ces blocages, croit aussi Arthur Dreyfuss, déplorant que « nous ne bénéficions pas du droit dont bénéficient le gaz ou l’électricité ».

Une idée qui ne convainc pas Julien Denormandie, pour qui consacrer un tel statut risque d’être mal compris par les Français privés d’une bonne connexion. Le ministre préfère passer par d’autres textes pour certaines avancées opérationnelles auxquelles il se dit “ouvert”. En revanche, concernant la très pressante question des copropriétés, le ministre botte en touche, en renvoyant aux “équilibres” de la loi Elan. Opérateurs et collectivités n’en ont donc pas fini avec ce travail de fourmi.

 

 

 

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Source : DegroupNews

 

 

 

 

OMTEL cède ses tours Télécom !

Le lundi, 13 janvier 2020. Posté dans Archives Rezopole

OMTEL cède ses tours Télécom !

Après l’Espagne, l’Italie, les Pays-Bas, la France, la Suisse, le Royaume-Uni et l’Irlande, le géant européen des infrastructures de télécommunications Cellnex se lance à la conquête du Portugal. En effet, la société a annoncé le 2 janvier dernier l’acquisition de 100 % de l’opérateur de tours portugais OMTEL, valorisé à 800 millions d’euros, dont 25 % appartenait à Altice Europe, la maison-mère de SFR.

 

La société portugaise est à la tête de 25 % du réseau de tours au Portugal et compte pour principal client PT Portugal, l’opérateur détenu par Altice Europe.

« Avec OMTEL, nous n’intégrons pas seulement l’un des principaux opérateurs indépendants d’infrastructures de télécommunications au Portugal. Nous nous engageons également dans une croissance cohérente en Europe, en y intégrant un huitième marché - ce qui étend naturellement la couverture géographique actuelle des sept pays dans lesquels nous sommes déjà présents », a fait savoir Tobias Martínez, CEO de Cellnex.

La direction de la société espagnole a également indiqué vouloir renforcer le réseau d'OMTEL de 350 sites supplémentaires d’ici 2027, pour un investissement chiffré à 140 millions d’euros.

Une débauche d’investissement qui ne semble pas faire peur à Cellnex. Depuis son entrée en bourse en 2015, la société a annoncé avoir engagé pas moins de 12 milliards d’euros d’investissement pour l’acquisition ou la construction jusqu’en 2027 d’environ 48 000 infrastructures de télécommunications en plus des quelques 10 000 dont la société disposait à l’époque. Son portefeuille s’élève donc à un total de 58 000 sites.

 

L’appétit de Cellnex vise également la France. Après avoir acquis en 2017 pas moins de 3 000 sites appartenant à Bouygues Telecom pour un montant total de 800 millions d’euros, l’ogre espagnol a finalisé en fin d’année dernière l’acquisition de 70 % d’Iliad TowerCo qui exploite quelques 5 700 sites de télécommunications mobiles en France, pour une opération valorisée à 2 milliards d’euros.

La transaction conclue avec Free, comprenant également la cession de 100 % de la filiale italienne d’infrastructures de Free et de 90 % des antennes de Salt, a permis à Cellnex de voir son parc de pylônes passer de 3 000 sites de télécommunications mobiles à plus de 8 000 sites dans l’Hexagone.

De quoi faire frémir la concurrence, alors qu'Hivory revendique un parc de plus de 10 000 sites et que le parc de TDF culmine pour sa part à 13 900 sites.

 

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

Orange : une société pour céder ses antennes mobiles ?

Le jeudi, 21 novembre 2019. Posté dans Archives Rezopole

Orange : une société pour céder ses antennes mobiles ?

Selon le Financial Times, Orange préparerait la scission de son activité des tours mobiles, les pylônes où sont installés les équipements 3G/4G permettant d’utiliser son téléphone portable, au sein d’une entité séparée. Ceci pourrait être le prélude à une vente partielle ou totale par la suite. Une nouvelle entité pouvant être valorisée entre 8 et 10,3 milliards d’euros. Le groupe de Stéphane Richard dispose en effet du plus grand parc d’antennes en France (15 000 au total), et l’un des plus grands d’Europe (59 000 antennes sur le Vieux continent, en Afrique et au Moyen-Orient).

 

Orange informera de ses projets lors de sa journée pour les investisseurs prévue le 4 décembre prochain, d’après des sources au Financial Times. Son PDG déclarait en mai dernier que : « l’appétit actuel des fonds d’infrastructure révèle bien la valeur intrinsèque des réseaux télécoms ». L’opérateur français doit se poser la question de « la maximisation de la valeur » de ses infrastructures, avait-il dit alors.

 

Ce type de scission et de cession est un mouvement de fonds des opérateurs Télécom en quête de cash. En août dernier, Free cédait 70 % d’Iliad Tower Co. En 2018, SFR (Altice) vendait partiellement SFR TowerCo tandis que Bouygues Telecom a initié le mouvement dès 2016 avec deux cessions pour un montant total de 700 millions d’euros.

 

 

 

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Source : BFM Business

 

 

 

 

Rachat de SFR : Altice libéré de ses engagements

Le jeudi, 07 novembre 2019. Posté dans Archives Rezopole

Rachat de SFR : Altice libéré de ses engagements

Lors du rachat de SFR par Numéricable en 2014, la maison-mère, Altice, avait pris un certain nombre d’engagements devant l’Autorité de la concurrence afin de mieux faire passer cette concentration dans les Télécoms. Souscrits pour une durée de cinq ans, ces engagements ne doivent désormais plus être maintenus a estimé le gendarme à l’issue de cette période, le 28 octobre. À une exception près : l’accord de co-déploiement de la fibre en zone très dense conclu avec Bouygues avant le rachat.

 

L’Autorité de la concurrence a donc libéré Altice de plusieurs de ses engagements concernant :

  • l’obligation d’ouvrir le réseau câblé aux autres opérateurs, et de ne pas utiliser les informations dont dispose Altice pour déployer son réseau fibre.
  • l’interdiction de proposer des offres câble dans les agences La Poste avec qui SFR disposait d’un accord de distribution.
  • le maintien d’offres de fibre noire (FON) ou de boucle locale optique dédiée (BLOD) « au moins aussi avantageuses qu’avant l’opération ».

 

En revanche, le gendarme de la concurrence s’est montré plus pointilleux à propos du contrat Faber conclu entre SFR et Bouygues Telecom en 2010. Un accord de co-déploiement du réseau horizontal de fibre optique dans 22 villes situées en zone très dense (dont Paris). D’autant qu’Altice se voyait rappelé à l’ordre en 2017 en raison de « manquements […] particulièrement graves » sur l’exécution de ce contrat. Résultat : une amende de 40 millions d’euros et des injonctions à respecter les engagements de déploiement cofinancés par Bouygues Telecom.

L’Autorité a décidé de lever une partie des injonctions : celles, sans astreinte, imposant à Altice de procéder au raccordement des immeubles concernés par l’accord à compter de la décision de 2017. Le gendarme de la concurrence estime en effet que les intérêts d’Altice sont désormais « alignés avec ceux de Bouygues Telecom » sur le périmètre du contrat Faber. La maison-mère privilégiant désormais le FttH.

En revanche, sont maintenues les injonctions sous astreintes pour le stock d’immeubles qui devaient être fibrés avant 2017. L’Autorité examine les avancées du groupe de Patrick Drahi pour savoir s’il y a lieu de le libérer aussi de ces engagements. Ses conclusions seront rendues « au premier semestre 2020 ».

 

 

 

 

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Source : DegroupNews

 

 

 

 

Kosc contre-attaque devant le Conseil d’État

Le vendredi, 13 septembre 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX Archives LyonIX

Kosc contre-attaque devant le Conseil d’État

Débouté face à Altice, Kosc conteste la décision prise par l’Autorité de la concurrence. En effet, saisi à l’occasion de la cession du réseau cuivre de Completel, le gendarme de la concurrence a rendu la semaine dernière son verdict : « aucun élément ne permet de définir qu'Altice à commis une faute au regard de ses obligations ».

 

Un coup dur pour le fournisseur de gros de services télécoms aux opérateurs du marché entreprise qui dénonce depuis des mois les retards de livraison de la maison-mère de SFR. Une décision d’autant plus difficile à encaisser que son équation financière s’est ainsi sensiblement compliquée.

 

Mais l’opérateur n’entend pas en rester là puisqu’il « récuse », dans un communiqué, le verdict de l’Autorité de la Concurrence et annonce porter l’affaire devant le Conseil d’État. Une saisine « motivée par les nombreuses irrégularités qui ont émaillé le suivi du dossier par l’Autorité de la Concurrence, parmi lesquelles la durée inexpliquée de son instruction dans un contexte d’urgence et la probable violation de son secret ».

De plus, la société estime que l’abandon de la Banque des Territoires (groupe Caisse des dépôts), l’un de ses principaux soutiens, ne peut s’expliquer que par une connaissance du résultat favorable à Altice – SFR en amont.

 

Kosc met en garde contre une perspective de consolidation s’estimant désormais la « cible privilégiée d’une acquisition hostile » au regard de sa fragilité financière. Une opération qui « refermerait de facto le marché des télécommunications d’entreprises au détriment non seulement de l’écosystème de centaines d’opérateurs de services numériques aux entreprises mais aussi du début de rattrapage du retard en matière de numérisation des PME et TPE françaises », avertit l’opérateur.

 

 

 

 

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Source : DegroupNews

 

 

 

 

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